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vendredi 27 septembre 2024
Forum Emploi Alternance Stages Handicap
Campagne choc - Cancer du Sein et Immobilier
UNE CAMPAGNE S’ENGAGE AUX CÔTÉS DES FEMMES ATTEINTES DE CANCER DU SEIN.
Chaque année en France, ce sont plus de 60 000 femmes qui voient leur destin chamboulé suite à l’annonce d’un cancer du sein. Mais ce sont aussi les projets d’une vie qui peuvent être impactés. Comme l’achat d’un bien immobilier, par exemple. En effet, les femmes ayant eu un cancer du sein et qui souhaitent acheter un bien immobilier rencontrent trop de difficultés pour accéder à la propriété́ : soit elles doivent attendre, parfois plusieurs années, avant de se lancer, soit les assurances refusent tout ou partie des garanties, soit ces femmes doivent payer beaucoup plus cher. Alors que s’ouvre Octobre Rose, CNP Assurances a décidé de lancer une campagne de sensibilisation qui pointe du doigt les barrières rencontrées par ces femmes pour devenir propriétaire. Comment ? En détournant les codes et les annonces immobilières avec le message “Pas à vendre”. Une manière de dénoncer les difficultés méconnues du grand public mais aussi d’informer les femmes touchées qu’elles peuvent désormais obtenir une assurance de prêt sans surprimes ni réductions de garanties liées à leur cancer, et ce, dès la fin de leur protocole thérapeutique. La campagne signée The Good Company sera visible pendant tout le mois d’octobre 2024, et relayée par les collaborateurs et les partenaires de CNP Assurances sur les réseaux sociaux. Elle sera d’autre part visible dans les rubriques petites annonces de la presse régionale et sur la plateforme de recherche immobilière SeLoger.com. CNP Assurances sera également présente sur la course Odyssea les 5 et 6 octobre prochains pour promouvoir son dispositif auprès des participants. Ces fausses annonces renverront, via un numéro de téléphone dédié et un QR code, vers un texte explicatif.
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mercredi 25 septembre 2024
Owl Labs dévoile son rapport annuel faisant l'état des lieux du travail hybride en France en 2024
Communiqué de presse
État des lieux du travail hybride en France en 2024 : 88% des travailleurs hybrides affirment qu’ils sont autant productifs que leurs collègues qui travaillent du bureau à temps plein
● 67% des sondés pensent que leur manager leur demande de revenir au bureau à cause d’une vision traditionnelle du travail
● 48% des salariés reviendraient au bureau si cela impliquait une augmentation de salaire
● Le « coffee badging » est resté très populaire auprès des collaborateurs, comme des managers. 22% des travailleurs et 32% des managers le pratiquent.
Paris, le 25 septembre 2024 - Owl Labs, spécialiste des technologies collaboratives hybrides dévoile les résultats de son 8ème rapport annuel* faisant l’état des lieux du travail hybride en France. Pour ce rapport 2024, l’entreprise a étudié les comportements sur le marché professionnel à l’heure où la façon de travailler a considérablement changée, ainsi que les tendances et nouvelles opportunités aussi bien pour les managers que les collaborateurs. En voici les principaux enseignements.
Des divergences qui ne cessent de se renforcer
Si le travail hybride, ainsi que le télétravail sont des pratiques adoptées depuis plusieurs années, il semblerait que certaines entreprises souhaitent mettre un terme à ces modes de travail. Pourtant, du point de vue des employés, le travail hybride et le télétravail ont parfaitement été intégrés et sont désormais même une nécessité. Pour les salariés la flexibilité dans l’espace de travail n’était plus un critère négociable. Owl Labs observe que près d’un répondant sur deux (49%) travaille en mode hybride, soit une légère augmentation par rapport à l’année dernière (47%).
Si les managers ont sûrement leurs raisons pour demander, voire imposer, un retour au bureau, plus d’un travailleur sur trois (67%), pensent que cela se fait en raison d'une vision traditionnelle du travail, contre 61% en 2023. Cette vision obsolète et inadaptée de l’organisation de l’espace de travail pourrait pénaliser les organisations notamment dans la fidélisation et l’attraction des talents. Concernant la fidélisation, 24% des collaborateurs affirment qu’ils resteraient à leur poste mais seraient moins heureux s’ils ne pouvaient plus travailler de manière hybride ou à distance et près d’un travailleur sur trois (30%) chercheraient un nouvel emploi offrant plus de flexibilité. On retrouve ainsi dans le top 3 des préoccupations des salariés : un manque de flexibilité (58%), une absence de perspective d’évolution (58%) et enfin la surveillance de leur activité (57%). Des préoccupations et envies qui sont malheureusement bien trop souvent mises de côté par les employeurs et engendrent un désengagement des salariés. Toutefois, le top 3 des raisons pour lesquelles presque un salarié sur deux (47%) se sent désengagé au travail est le fait de ne pas être rémunéré à sa juste valeur (34%), ne pas se sentir valorisé (30%) et un sentiment d’épuisement (21%).
Alors pour quelles raisons les collaborateurs accepteraient de revenir au bureau ? Le rapport révèle que parmi les principales raisons, 48% le feraient si cela impliquait une augmentation de salaire, 27% si leur trajet domicile-travail était plus court, 15% si un espace dédié à la remise en forme était disponible sur leur lieu de travail ou encore s’il y avait des évènements conviviaux pour renforcer les liens entre les collaborateurs (13%).
Des habitudes structurantes et rassurantes pour les collaborateurs
Si les salariés sont nettement plus enclins à travailler de manière hybride ou à distance, on observe toutefois que ceux-ci adaptent leur mode de travail en fonction de critères ou besoins bien précis. C’est ce que l’on qualifie de “task-based hybrid work” ou autrement dit, certaines tâches, demandant plus de concentration par exemple, sont mieux exécutées lorsque les collaborateurs travaillent depuis leur domicile. Notons que 3 jours par semaine au bureau, reste le ratio le plus populaire auprès des employés.
En outre, 88% des travailleurs hybrides affirment qu’ils sont tout aussi productifs, voire plus, lorsqu’ils travaillent en format hybride. On observe que les répondants se sentent plus productifs en travaillant depuis leur domicile. Cette organisation du travail leur permet de concilier plus facilement vie professionnelle et personnelle (61% au domicile contre 29% au bureau), de se concentrer (54% au domicile contre 38% au bureau) ou encore de travailler de manière indépendante (50% au domicile contre 31% au bureau). Toutefois, pour certaines tâches, les salariés préfèrent être au bureau. C’est notamment le cas pour la formation et l’apprentissage (57% au bureau contre 27% au domicile), la collaboration (62% au bureau contre 17% au domicile) ou encore la progression de leur carrière (69% bureau contre 20% au domicile).
Des managers toujours réticents
Du côté des managers, ces derniers ne pensent pas que les travailleurs en présentiel et en distanciel sont sur le même pied d'égalité. Par exemple, les managers se préoccupent plus quant à l’engagement, la communication ou encore les distractions et la productivité des salariés qui travaillent à distance. Par ailleurs, on note une préoccupation des managers plus accrue concernant le surmenage pour les travailleurs au bureau (21% contre 13% pour les travailleurs à distance).
Des tendances et des avantages qui peuvent fidéliser les collaborateurs
Tendance de l’année dernière et dévoilé par Owl Labs, le « coffee badging » est resté très populaire auprès des collaborateurs, comme des managers. Ainsi, l’état des lieux du travail hybride de 2024 en France révèle que 22% des travailleurs et 32% des managers le pratiquent également. Mais ce n’est pas la seule tendance qui perdure avec les phénomènes de tracances ou « workation » et de « quiet vacationing » qui quant à eux sont en augmentation avec 39% des employés travaillant à distance depuis des lieux autres que leur domicile ou un espace de coworking. Enfin, près d’un collaborateur sur cinq (17%) déclarent pratiquer les tracances entre 2 à 3 fois par an.
La rétention des talents est une problématique majeure pour toutes les entreprises. Selon les résultats du rapport, le top 3 des avantages les plus attrayants permettant de fidéliser ou attirer les talents sont: la semaine de 4 jours pour 39% des salariés, suivi des heures de travail flexibles pour 36% ou encore une assurance santé de meilleure qualité ou plus abordable pour 23%.
Le blocage de temps dans l’agenda et le phénomène de #WorkTok.
Un travailleur sur 3 (33%) déclare bloquer des moments dans son agenda pour protéger son temps. Une tendance naissante donc, car les salariés font face à une activité trop intense. Les milléniaux sont d’ailleurs ceux qui le pratiquent le plus (43%) contre 14% pour la gen Z, 31% pour les gen X et 12% chez les boomers. En 2024, le #WorkTok a prospéré grâce à la popularité des TikToks liés au travail et près d'un travailleur sur quatre (18 %) a publié des messages négatifs sur son travail ou son employeur sur les réseaux sociaux, 6 % d'entre eux déclarant avoir enregistré des conversations avec leur employeur. Un phénomène qui s'accroît surtout à travers les jeunes générations qui sont de plus en plus alertées sur leurs droits et la nécessité qu’ils soient respectés.
On observe notamment que 7% des salariés ont publié des messages négatifs concernant leur employeur sur leurs réseaux sociaux personnels tels que Instagram, X etc., 6% sur TikTok et 5% publient de manière anonyme sur Glassdoor. Un phénomène d’autant plus présent chez la génération Z. Plus d’un travailleur sur trois de la gen Z, soit 41%, a déjà publié du contenu négatif sur son travail ou son employeur sur les réseaux sociaux, contre 18% pour toutes les autres générations de travailleurs.
« Le travail hybride a rapidement été adopté par les collaborateurs et ne cesse de progresser. Les managers doivent rompre avec le biais de proximité et s’aligner avec les besoins des salariés car l’espace de travail est en constante évolution et un retour en arrière n’est pas envisageable. Si les managers souhaitent renforcer l’attractivité de leur entreprise et attirer de nouveaux talents, ils doivent tenir compte du changement et l’accompagner le mieux possible. »
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Frank Weishaupt, CEO d’Owl Labs
*Étude réalisée auprès de 2000 travailleurs à temps plein en France, âgés de 18 ans et plus, dans des entreprises de plus de 2 employés. Les données de cette enquête ont été collectées en juillet 2024.
Pour télécharger et consulter le rapport complet, cliquez ici.
A propos d’Owl Labs
Owl Labs est une entreprise de technologies collaboratives qui rendent les réunions plus inclusives et immersives grâce à des équipements vidéo intelligents et immersifs à 360 degrés. Conçu pour les entreprises et les institutions d’enseignement, Owl Labs se consacre à optimiser le travail des équipes hybrides et distantes grâce à sa technologie primée et à sa gamme de produits performants. Le produit phare de l'entreprise, le Meeting Owl Pro, a été désigné comme l'une des meilleures inventions du magazine TIME et comprend une caméra, un microphone et un haut-parleur à 360 degrés compatibles avec le Wi-Fi et dotés d'une technologie d'intelligence artificielle exclusive. Owl Labs a levé 47 millions de dollars de financement et est installée à Boston, avec des employés à travers le monde travaillant à distance et en mode hybride. Pour en savoir plus sur Owl Labs, visitez le site www.owllabs.fr.
mardi 24 septembre 2024
MFP - Absentéisme dans la Fonction publique
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Enquête : 67 % des Français jugent le système de santé de moins en moins performant
Les dépassements d’honoraires ne sont pas justifiés pour 82 % des Français
Plus de 52 % renoncent à consulter leur médecin généraliste à cause de difficultés financières
Bénéficier d’un service d’avance de frais de santé par leur employeur intéresse 89 % des Français
Paris, le 24 septembre 2024
ROSALY, entreprise française à impact social, s’est penchée sur les avances de frais de santé. Un sondage mené sur plus de 4 100 personnes afin de savoir comment les Français appréhendent le système de santé actuel et l’aspect financier des démarches.
C’était mieux avant ?
Pour deux Français sur trois (67 %), le système de santé actuel est en train de péricliter et devient de moins en moins performant. De plus, 18 % estiment que ce système de santé stagne et n’évolue pas ni en bien, ni en mal. Ils ne sont que 15 % à le déclarer de plus en plus performant.
De façon globale, vous diriez que le système de santé en France est : | |
Réponses | Pourcentages |
De plus en plus performant | 15 % |
Stagne en termes de performance | 18 % |
De moins en moins performant | 67 % |
Des dépassements d’honoraires inacceptables
Les dépassements d’honoraires sont devenus une pratique courante (1 médecin sur 2 en 2024) mais qui révolte une grande partie de la population. En effet, plus de 82 % des Français considèrent ces dépassements comme anormaux. Au-delà de ce mécontentement, près de 11 % déclarent être dans l’incompréhension vis-à-vis de cette pratique de surfacturation.
Trouvez-vous normal qu'un médecin sur deux pratique des dépassements d’honoraires ? | |
Réponses | Pourcentages |
Oui et je comprends pourquoi | 7 % |
Oui mais je ne sais pas vraiment pourquoi | 11 % |
Non, je ne trouve pas ça normal | 82 % |
Des problèmes financiers qui influent sur la santé
Si la santé doit passer avant tout, les difficultés des Français peuvent entraîner des répercussions sur leurs décisions de consultation. En effet, plus d’un Français sur deux (52 %) avoue devoir retarder une consultation chez leur médecin généraliste en cas de problèmes financiers.
En revanche, ils sont moins nombreux à annuler un rendez-vous avec un médecin généraliste (33 %) et encore moins à ne pas acheter de médicaments (9 %).
Si vous rencontriez un problème financier, quelle dépense de santé retarderiez-vous ? | |
Réponses | Pourcentages |
Une consultation chez votre médecin généraliste | 52 % |
Une consultation chez un médecin spécialiste | 33 % |
L’achat de médicaments | 9 % |
Aucune | 6 % |
La solution : l’avance des frais de santé
Face à cette problématique, plus de 89 % des Français seraient favorables à ce que leur employeur propose un service d’avance sur les frais de santé. 67 % seraient très favorables à ce genre de solution et 22 % favorables.
Que diriez-vous, si votre employeur vous offrait une carte vous permettant d’effectuer vos dépenses de santé sans avoir à les avancer vous-même ? | |
Réponses | Pourcentages |
Très favorable | 67 % |
Favorable | 22 % |
Défavorable | 11 % |
*Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 4 102 personnes de plus de 18 ans en juin 2024. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 200 personnes en France), envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
--- FIN ---
À propos de Rosaly
Rosaly est une entreprise française à impact social, fondée fin 2019 par Arbia SMITI, serial entrepreneure Tech, qui accompagne les entreprises dans l’amélioration du bien-être financier de leurs salariés. Rosaly propose un dispositif d'émancipation financière permettant aux entreprises de renforcer leur politique sociale et ainsi de fidéliser leurs salariés.
Côté salariés, Rosaly a développé une application mobile offrant aux collaborateurs un moyen d'aborder plus sereinement les fins de mois et d'éviter les conséquences du découvert bancaire et des crédits à la consommation à travers : l'acompte sur salaire automatisé et instantané, un simulateur d'aides sociales, un module d'échange avec des experts en budgétisation, un bouclier anti-découvert, etc.
Côté entreprises, Rosaly impacte fortement la marque employeur des sociétés qui utilisent sa solution, favorise la rétention et l'engagement des collaborateurs et supprime des coûts administratifs importants notamment ceux liés à la gestion des demandes d'acomptes en interne.
Rosaly a réalisé une première levée de fonds de 1,5 M€ en avril 2021 et une seconde levée de 10M€ en septembre 2022 auprès de grands fonds américains dont Fin Capital, The Treasury VC, FJ Labs, etc.
Élue “Meilleure Innovation RH” en 2023, Rosaly compte déjà plus de 100 000 utilisateurs et 300 clients en France de toutes tailles dans les secteurs : retail, de la restauration, des services à la personne, de la logistique, etc.
Plus d’informations : https://www.rosaly.com/
Cliquez ici pour visualiser la pièce jointe : CP_Rosaly_Frais_de_sante_
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