Nora ANSELL-SALLES

samedi 1 mars 2025

C'est à lire 📚 : 90 recettes pour remplacer les aliments ULTRA-TRANSFORMÉS!

Nouveauté Cuisine 📖  


Résumé

Plus de 90 recettes sucrées et salées pour dire non aux additifs en tout genre  !

Goûters, desserts, plats préparés, boissons, sauces… Par souci de facilité, nous consommons parfois une grande quantité de produits ultra-transformés au quotidien, dont les effets néfastes sur la santé sont bien connus.

Alors pour continuer à régaler petits et grands avec leurs recettes préférées, mais plus sainement, Amandine vous propose de les réaliser à la maison rapidement et facilement, avec des ingrédients simples  ! Le résultat est bluffant  !

 

ZOOM SUR L'auteure


Amandine  Bernardi est une jeune blogeuse du Nord de la France, passionnée de cuisine et de pâtisserie. 

Elle partage  à travers  son blog Amandine Cooking des recettes  équilibrées et de saison pour toute la famille. 

Elle cumule 290 000 abonnés sur les réseaux  sociaux. 

 

 À LIRE 📖 ÉGALEMENT Chez Larousse 


Résumé :

Découvrez 100 recettes anti-inflammatoires pour aider votre corps à bien fonctionner au quotidien ! 

  Granola maison, soupe de courge au gingembre et au curcuma, courgettes farcies veggies, taboulé libanais, dahl de lentilles corail, papillote de cabillaud aux petits légumes, omelette aux épinards…



📣 Participez à l'évaluation de la #LoiHandicap sur "Rien sans nous" !

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🗣️ Exprimez-vous et contribuez à cette mission pour améliorer l'application de la loi #handicap sur tout le territoire
🔗 riensansnous.fr

Picard réserve une foule de surprises pour les fêtes Pâques...

Découvrez en primeur:  les surprises que vous réserve les magasins Picard pour les fêtes de Pâques 2025...

Nouveautés de Pâques 



vendredi 28 février 2025

Pâques sans la Colomba, c’est comme l’Italie sans EATALY !


En Italie, Pâques, c’est bien plus qu’une fête, c’est une explosion de saveurs et de traditions à partager en famille ou entre amis ! Ici, on troque les cloches contre une Colomba moelleuse et parfumée, et on fond pour du chocolat d’exception. 
Fidèle à cet art de vivre généreux, EATALY met à l’honneur les douceurs artisanales italiennes, concoctées avec amour et savoir-faire.

Les Colomba d’Eataly, plus qu’un dessert, l’emblème du renouveau printanier

L’excellence de la pâtisserie italienne au cœur du Marais. Façonnées à la main en 4 jours, les Colomba EATALY respectent la tradition avec un levain vivant, une fermentation lente et des ingrédients d’exception, sans conservateurs ni arômes artificiels. Une douceur artisanale unique à savourer.

Colomba classica
900 g - 40,90 €

Colomba Trois chocolats
900 g - 41,90 €

Pour les grands, une collection d’œufs exquis et faits à la main format XXL

Oeuf chocolat noir & noisettes
400 g - 39.90 €

Oeuf chocolat au lait & noisettes
400 g - 39.90 €

Oeuf chocolat noir
230 g - 29.90 €

 
Oeuf chocolat au lait
230 g - 29.90 €

Pour les petits, une collection d’œufs joyeux et de lapins craquants en chocolat

Oeufs chocolat noir fourrés à la crème de pistache
6 oeufs - 15,5 g - 9.90 €

Oeufs chocolat à la crème de lait
6 oeufs - 15,5 g - 9.90

 
Lapin au chocolat noir
120 g - 14.90 €

Lapin au chocolat au lait
120 g - 14.90 €

 
              Clip🎬

L’excellence de la     pâtisserie italienne au   cœur du Marais. 
37 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris

Quand une représentante de la Nation ose légitimer les atrocités perpétrées par le Hamas lors du pogrom du 7 octobre 2023....

C'EST À  LIRE :
La réaction  de Caroline  Yadan  au propos de Rima Hasann

Les déclarations de @RimaHas, ce matin sur Sud Radio, sont d’une gravité absolue. 

Qu’une représentante de la Nation ose légitimer les atrocités perpétrées par le Hamas lors du pogrom du 7 octobre 2023 est indigne et inacceptable.  

Comme nous l'avions déjà fait en août 2024, nous avons saisi, avec plusieurs de mes collègues députés, la Procureure de la République, en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale, pour ces faits pouvant relever de l’apologie du terrorisme.



À propos de Rima Hassan 
Date/Lieu de naissance : 28 avril 1992 (Âge: 32 ans), Alep, Syrie
Parti : La France insoumise
Enseignement : Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (2016)
Fonction : Députée européenne depuis 2024
Organisation fondée : Observatoire des camps de réfugiés
Campagne précédente : Élections européennes de 2024


Rima Hassan déclare que « le Hamas a une action légitime du point de vue du droit international » ; Bruno Retailleau signale ses propos à la justice

https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/02/27/rima-hassan-declare-que-le-hamas-a-une-action-legitime-du-point-de-vue-du-droit-international-david-lisnard-signale-ses-propos-a-la-justice_6567161_823448.html


Jean-Philippe Tanguy demande la déchéance de nationalité de Rima Hassan, au motif qu’elle «travaille pour des intérêts étrangers»


Il est désormais clair que Rima Hassan ne cherche ni à œuvrer pour la création d’un État palestinien ni à défendre les droits des Palestiniens, que le Hamas utilise comme boucliers humains. Ce qui l’anime, c’est une idéologie nauséabonde, la même que celle de Daech et Boko Haram, une idéologie qui veut instaurer un califat islamique et qui prône la destruction des Juifs et de l'Occident. 


🎙️  interview  de Caroline Yadan d’hier soir sur Europe 1.

jeudi 27 février 2025

Enquête nationale de la FNMJI sur la profession de MJPMi

La Fédération Nationale des Mandataires Judiciaires Indépendants à la Protection des Majeurs (FNMJI) publie aujourd’hui les résultats d’une enquête inédite menée auprès des mandataires judiciaires à la protection des majeurs indépendants (MJPMi) en exercice, adhérents à la FNMJI. 
Cette étude éclaire les conditions d’exercice de ces professionnels tout en valorisant leur rôle indispensable dans un contexte de vieillissement de la population. 
 En publiant cette étude, la FNMJI réaffirme son engagement au sein de la protection juridique des majeurs, en faveur des personnes protégées, et pour la représentation et la défense des intérêts des MJPMi. 
Cette photographie de la profession sera un outil clé pour sensibiliser les décideurs et élaborer des solutions adaptées aux défis actuels.

 

81 % des mesures exercées pour des majeurs aux faibles revenus, inférieurs à 29 140, 61 euros par an.
Des charges élevées, absorbant 50 % du chiffre d’affaires.
Une surcharge de travail en augmentation ressentie par 64 % des MJPMi.
 
La société Taddeo, cabinet de conseil stratégique en communication et affaires publiques peut être amenée à collecter et traiter vos données personnelles à des fins de gestion et de suivi de ses activités. Pour en savoir plus sur le traitement de vos données ainsi que sur la manière d’exercer vos droits sur celles-ci, nous vous invitons à consulter notre politique de protection des données sur notre page dédiée.


Les fouilles ne suffisent pas: Lyynk, l'application qui écoute et protège

Face à l'augmentation du harcèlement scolaire, l'État a mis en place des mesures de sécurité, telles que les fouilles inopinées des sacs des élèves, pour cette année. Bien que cette initiative soit un bon début pour prévenir les actes de violence, elle ne s'attaque pas aux causes profondes du harcèlement, telles que l'intimidation psychologique, les discriminations ou le manque de soutien émotionnel pour les jeunes en difficulté. 

Les fouilles peuvent certes limiter certains risques immédiats, mais elles ne suffisent pas à résoudre un problème aussi complexe.

C'est là qu'une solution comme Lyynk prend toute son importance. Cette application permet aux élèves de signaler anonymement les incidents de harcèlement, qu'ils soient physiques ou psychologiques. 

Elle offre une plateforme sécurisée où les jeunes peuvent s'exprimer librement et être orientés vers des ressources appropriées, tout en facilitant la communication avec un adulte de confiance

Lyynk ne se contente pas de réagir aux symptômes du harcèlement, mais offre une solution, permettant aux élèves d’avoir un espace où ils peuvent être entendus et protégés dès les premiers signes de détresse.

Si les fouilles peuvent aider à maintenir un environnement plus sûr à court terme, des outils comme Lyynk sont essentiels pour créer un véritable changement culturel et un soutien durable pour les victimes de harcèlement. 


Déplacement de Mme Charlotte Parmentier-Lecocq dans les Hauts-de-France- Vendredi 28 février Mme Charlotte Parmentier-Lecocq




Paris, le  27 février 2025 

 


Madame Charlotte PARMENTIER-LECOCQ, 

Ministre déléguée chargée de l'Autonomie et du Handicap

 

 se rendra dans les Hauts-de-France

Vendredi 28 février 2025

Charlotte Parmentier-Lecocq, Ministre chargée de l’Autonomie et du Handicap, se rendra dans les Hauts-de-France pour échanger avec les acteurs engagés dans l’accompagnement des personnes en situation de handicap et des jeunes en difficulté.

 

Elle débutera son déplacement à Marcq-en-Barœul, où elle inaugurera les locaux du dispositif "Hors les murs" de la MAS La Gerlotte. Ce programme innovant permet un accompagnement individualisé des personnes en situation de handicap en dehors des structures traditionnelles, favorisant ainsi leur autonomie et leur intégration dans leur environnement de vie. Après une présentation du projet, la ministre échangera avec les professionnels, les bénéficiaires et leurs familles sur les défis et les perspectives de ce dispositif. Cette visite se conclura par une inauguration officielle en présence des élus locaux et des représentants des structures médico-sociales.

 

Elle se rendra ensuite à Lilamômes, un hébergement collectif et d’accompagnement à l’autonomie pour jeunes en difficulté, géré par l’association SPReNe. Après une visite des infrastructures, elle participera à un temps d’échange avec les éducateurs, la direction et les jeunes hébergés, afin d’aborder les enjeux de l’accompagnement vers l’autonomie et la transition vers l’âge adulte pour les jeunes pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance.

 

À travers ces visites, la ministre réaffirme son engagement en faveur d’un accompagnement de proximité, adapté aux besoins des personnes vulnérables. Elle tient à saluer l’implication des professionnels et des associations qui travaillent au quotidien pour favoriser l’inclusion et le bien-être des personnes en situation de handicap et des jeunes en difficulté.

Déroulé prévisionnel : 

Séquence 1 : locaux du dispositif « Hors les murs » de la MAS La Gerlotte

09h00

Accueil républicain

87 rue du Molinel – Bât D – Marcq-en-Baroeul

Ouvert à la presse accréditée

09h10

Présentation du dispositif « Hors les murs »

Salle de second étage

Ouvert à la presse accréditée

 

09h25

Temps d’échange avec l’assemblée sous forme de questions / réponses

Salle du second étage – format debout

Ouvert à la presse accréditée

09h45

Inauguration officielle - Coupure du ruban et dévoilement d’une plaque

Salle du second étage – format debout

Ouvert à la presse accréditée

09h50

Prise de Parole de Madame Charlotte Parmentier-Lecocq

Salle du second étage – format debout

Ouvert à la presse accréditée

10h00

Micro tendu 

Séquence 2 : hébergement collectif et d’accompagnement à l’autonomie

10h15

Accueil républicain

73 rue des Lilas, 59700 Marcq-en-Barœul 

Hors presse

10h20

Visite de de l’établissement 

Hors presse 

10h35

Temps d’échange avec les professionnels, éducateurs, la direction et les enfants

Hors Presse 

11h25

Fin de la visite 

Accréditation obligatoire  auprès de la préfecture des Hauts-de-France :

pref-communication@nord.gouv.fr

Secrétariat presse et communication

Ministère chargé de l'Autonomie et du Handicap

Cabinet de Mme Charlotte PARMENTIER-LECOCQ

Tél : 07 80 06 03 60

Mél : sec.presse.ah@social.gouv.fr

14 avenue Duquesne

75007 Paris



mercredi 26 février 2025

Le Cœur des Femmes : Un enjeu de santé incontournable, soutenu par la Fondation Cœur et Recherche

Les maladies cardiovasculaires restent la première cause de mortalité chez les femmes en France, et pourtant leur prise en charge est encore insuffisante. 

La santé cardiaque des femmes est un enjeu majeur soutenu depuis de nombreuses années par la Fondation Cœur et Recherche. 

Les spécificités physiologiques et hormonales du cœur des femmes nécessitent une approche différenciée et une prise en charge adaptée.

LE COEUR DES FEMMES : UN ENJEU  DE SANTÉ 
INCONTOURNABLE,  SOUTENU  PAR LA FONDATION COEUR ET RECHERCHE
Paris, le 26 février 2025

 👉 Les maladies cardiovasculaires constituent depuis les 30 dernières années la principale cause de mortalité dans le monde et la première cause de mortalité chez les femmes en France. Pourtant, les pathologies cardiovasculaires sont encore trop souvent perçues comme relevant principalement des hommes. 
La santé cardiaque des femmes est un enjeu majeur. 
Les spécificités physiologiques et hormonales du cœur des femmes nécessitent une approche différenciée et une prise en  charge  adaptée. 

« Nous constatons une méconnaissance des facteurs de risque spécifiques aux femmes, et une augmentation des infarctus chez les jeunes femmes, un pronostic souvent plus grave que chez les hommes dans des conditions similaires, et une prise en charge encore largement insuffisante. Il est essentiel de sensibiliser aux particularités liées au genre et d'inclure davantage de femmes dans les essais cliniques » insiste Martine Gilard, administratrice de la Fondation Cœur et Recherche, membre de l’académie Nationale de Médecine de France et de la Société Européenne de Cardiologie.

Le rapport de l’Académie Nationale de Médecine sur l'inégalité de prise en charge de l'infarctus du myocarde chez les femmes en France dont la professeur Martine Gilard est rapporteur présenté et adopté par les membres de l’Académie en séance le 14 janvier 2025 met en évidence que les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et que des registres nationaux ont démontré une inégalité dans la prise en charge de l’infarctus du myocarde chez la femme, entraînant une surmortalité. L’objectif de ce rapport est de sensibiliser la population et l’ensemble des acteurs de santé à cette problématique cruciale et de formuler quatre recommandations concrètes pour améliorer la prévention, le diagnostic, la gestion et surtout le pronostic de cette maladie chez la femme.

 

Il existe des particularités anatomiques et physiologique différentes, sa taille moyenne est plus petite ainsi que ses artères, ce qui peut entraîner des complications cardiovasculaires spécifiques.

 
Pourquoi une Prise en Charge Différenciée ?
Les maladies cardiovasculaires tuent 6 fois plus que le cancer du sein chez les femmes, principalement en raison d'un mode de vie défavorable, du retard dans la prise en charge, mais aussi du manque de recours à la réadaptation après un infarctus. Ce retard et cette mauvaise prise en charge sont des facteurs qui contribuent à l’augmentation des risques, et il est essentiel de les corriger.

Les femmes jeunes représentent 25% des cas des victimes de crises cardiaques. Le taux de femmes jeunes non ménopausées victimes d’une crise cardiaque a d'ailleurs augmenté de 25 % en 10 ans. Ce phénomène souligne la nécessité de sensibiliser et de mieux comprendre les risques cardiovasculaires chez les jeunes femmes, dont la prise en charge reste insuffisante.

L'Impact de la Grossesse, de l'Endométriose et des Violences sur le cœur des femmes

La femme peut être touchée par les maladies cardiovasculaires à chaque étape de sa vie. Au début de sa puberté avec certaines maladies comme l’endométriose, lors de ses grossesses, la ménopause mais également au cours de sa vie avec le stress chronique ainsi que les traumatismes émotionnels.

 

Les changements hormonaux et circulatoires pendant la grossesse rendent les femmes plus vulnérables aux maladies cardiovasculaires, notamment en cas de complications comme l'hypertension gestationnelle ou la prééclampsie. Ces troubles sont des indicateurs de risques cardiovasculaires à long terme. Il est essentiel de surveiller les femmes après l'accouchement, car ces complications sont reconnues comme des facteurs de risque indépendants dans l’évolution des maladies cardiovasculaires.

 

L'endométriose est une maladie inflammatoire chronique qui touche environ 10 % des femmes en âge de procréer et peut entraîner des risques cardiovasculaires importants.

Le stress chronique et les traumatismes émotionnels liés aux violences ont également un impact direct sur la santé cardiaque des femmes. Elles sont ainsi exposées à un risque accru de maladies cardiovasculaires, avec des complications telles que l’hypertension, des troubles du rythme cardiaque et un risque accru d’ischémie responsable d’infarctus du myocarde.

 

« La Fondation Cœur et Recherche s’engage pleinement pour sensibiliser la population et les professionnels de santé à l'importance de la prise en charge spécifique de la santé cardiaque des femmes. Grâce au soutien de projets de recherche, nous espérons ouvrir la voie à une meilleure compréhension des risques cardiovasculaires des femmes et à des traitements plus adaptés à leurs besoins. » Explique Elisabeth Riboud, déléguée générale de la Fondation Cœur et Recherche.

 

À propos de la Fondation Cœur et Recherche

La Fondation Cœur et Recherche, créée par la Société Française de Cardiologie, est dédiée au soutien de la recherche cardiovasculaire française et la sensibilisation du grand public. Notre mission est de réduire l'incidence des maladies cardiovasculaires en France en soutenant et en finançant les progrès de la recherche. Ainsi, nous soutenons des projets de recherche cardiovasculaires qui mettent en avant l'importance de l'activité physique. 
Une France qui reste en forme passe par la prévention et la recherche, et pour cela, nous avons besoin de votre soutien et de votre générosité.




 

 

 

 

 

Delphine Sebah

Tel. +33.6.13.59.45.82

E-mail. Delphine@Stefiz.com

La cinquième enquête mondiale annuelle de ResMed révèle que le monde souffre d'un mauvais sommeil

😴 La cinquième enquête mondiale annuelle de ResMed révèle que le monde souffre d'un mauvais sommeil

 Cette enquête mondiale sur le sommeil menée auprès de 30 026 personnes dans 13 pays révèle l'ampleur du manque de sommeil et son impact sur la santé, le travail et les relations interpersonnelles.

 👉 En France, 56 % des personnes interrogées ont déclaré avoir déjà manqué au moins une journée de travail dans leur carrière à cause d’une mauvaise nuit de sommeil.
👉 14 % des femmes Françaises interrogées admettent voir leur sommeil dérangé par les ronflements de leur conjoint chaque nuit et pour 25 %, plusieurs fois par semaine,
👉 12 % des Français interrogés dorment séparément chaque nuit, et 64 % d’entre eux affirment que leur sommeil s’est amélioré grâce à cette pratique.
 

Paris, le 26 février 2025  ResMed https://www.resmed.fr/ (NYSE : RMD, ASX : RMD), leader mondial des technologies de la santé axées sur le sommeil, la respiration et les soins à domicile, dévoile les résultats de sa cinquième enquête annuelle sur le sommeil dans le monde. Grâce aux informations fournies par 30 026 personnes interrogées dans 13 pays, l'enquête met en évidence une crise du sommeil généralisée à l'échelle mondiale, y compris en France, où les personnes interrogées perdent en moyenne trois nuits de sommeil réparateur par semaine.

 
Malgré une prise de conscience croissante de l'importance d’une bonne qualité de sommeil, beaucoup de personnes continuent de souffrir en silence et restent prisonnières d'un cycle de fatigue chronique. L’enquête révèle que près d'une personne interrogée sur quatre (22 %) dans le monde choisit d'endurer cette mauvaise qualité de sommeil plutôt que de consulter. En France, ce chiffre passe à presque 30 %. Le manque de sommeil a des répercussions sur notre vie, qu’il s’agisse du travail[1], des relations[2], ou même de la santé mentale. Il est maintenant indispensable de renforcer la sensibilisation et l'action en faveur du sommeil.

 Prise de conscience versus actions mises en place : une balance négative

 Près d'un tiers des Français interrogés déclarent rencontrer des difficultés à s'endormir (29 %) ou à dormir d'une traite au moins 3 fois par semaine (32 %), notamment à cause du stress (56 %), de l’anxiété (53 %), des pressions financières (27 %) ou encore des problèmes familiaux et relationnels (24 %).

 
Alors que les personnes bien reposées voient leur humeur, leur concentration et leur productivité s'améliorer, les autres peuvent au contraire passer par des états de somnolence durant la journée, d’irritabilité ou rencontrer des difficultés de concentration après une mauvaise nuit de sommeil. Pourtant, rares sont ceux qui prennent les mesures nécessaires pour améliorer la qualité de leur sommeil :

 👉 89 % des Français interrogés estiment qu’avoir une bonne qualité de sommeil leur permet de se sentir mieux dans leur peau, mais seulement 19 % d'entre eux prendraient des mesures immédiates pour résoudre leurs problèmes de sommeil.
👉 22 % des personnes interrogées dans le monde, et jusqu'à 41 % en Australie, choisissent de « vivre avec » un sommeil de mauvaise qualité. En France, près d’un tier (30 %) de la population “choisit” malheureusement cette option.
👉 63 % des Français interrogés n’utilisent pas d’outils pour suivre l'évolution de leur sommeil, ce qui les prive d'informations précieuses qui pourraient améliorer leurs nuits.
 

« Un bon sommeil est aussi essentiel à la santé qu’une bonne alimentation ou faire de l’exercice physique, pourtant, des millions de personnes luttent en silence », a déclaré le Dr Carlos M. Nunez, Chief Medical Officier de ResMed. « Cette enquête met en lumière un besoin urgent de sensibilisation et d’action - nécessitant une attention immédiate pour améliorer la santé des personnes à l’échelle mondiale »

Les Français résilients par rapport au reste du monde

 Si un sommeil de qualité influe directement la performance au travail, de nombreux employés à travers le monde souffrent pourtant de privation de sommeil. En effet, 71 % des employés interrogés dans le monde ont déjà pris un congé maladie en raison d’un mauvais sommeil au moins une fois dans leur carrière, avec des taux particulièrement élevés en Inde (94 %), en Chine (78 %), à Singapour (73 %) et aux États-Unis (70 %). En France, cette pratique n’est pas une habitude : 44 % des Français interrogés par l’enquête n’ont jamais manqué un jour de travail pour des problèmes de sommeil, et 22 % le font moins d’une fois par an. Seulement 7 % ont admis le faire régulièrement, plus d’une fois par mois.

Les Français sont peu à avoir recours à cette pratique, même si 54 % d’entre eux admettent que leur sommeil a un impact significatif voire important sur leur performance au travail. D’ailleurs, près des deux tiers (69 %) des travailleurs français sondés estiment que leur qualité du sommeil n’est pas une priorité pour leurs employeurs, une opportunité pour les entreprises de prendre des initiatives pour encourager des habitudes de sommeil plus saines. Les Français interrogés attendent plus d’actions de la part de leur entreprise à ce sujet : 42 % des interrogés pensent que cela est essentiel autant pour la santé, la productivité que pour la satisfaction des employés, et 22 % estiment que cela devrait rentrer dans une stratégie de bien-être et santé plus large, incluant la santé mentale, la nutrition ou l’exercice physique.


Sommeil et couple : quand dormir ensemble devient un défi

Le sommeil joue également un rôle dans les relations personnelles. En France, 14 % des femmes interrogées ont déclarées être dérangées chaque nuit par leur conjoint, principalement à cause des ronflements (pour 48 % d’entre elles contre 34 % des hommes). Si en France, 57 % des femmes n'ont jamais pris la décision de dormir dans une chambre différente de celle de leur partenaire, dans le monde, 18 % des couples optent définitivement pour un « divorce du sommeil » pour pallier ce problème, choisissant de dormir séparément.

 Si les Français ne sont que 12 % à avoir opté pour cette pratique, 62 % d’entre eux admettent voir leur sommeil amélioré. Parmi ceux faisant chambre à part, 47 % des Français déclarent que leur relation n’a pas changée, tandis que 30 % estiment qu’elle s’est améliorée. Cependant, la séparation nocturne influence l’intimité des couples. En effet, dans le monde, 28 % des interrogés affirment que leur vie sexuelle s’est améliorée, alors que 22 % constatent l’inverse. En France cependant, 22 % des interrogés observent une amélioration de leur vie sexuelle et 49 % estiment que cela n’a rien changé.

 

« Un mauvais sommeil chronique a un impact sur nos relations, notre productivité au travail et augmente le risque de déclin cognitif, de troubles de l'humeur et de problèmes de santé graves comme l'insuffisance cardiaque et les accidents vasculaires cérébraux », ajoute le Dr Carlos Nunez. « Pour les personnes souffrant d'apnée du sommeil non traitée ou mal gérée, ces risques peuvent être accentués. C'est pourquoi il est important de consulter un médecin pour traiter les troubles du sommeil ».

 
ResMed met à disposition un questionnaire en ligne 👉 https://www.resmed.fr/patient/evaluation-sommeil/ sur le site 
👉 ResMed.fr . En moins de 5 minutes, cette évaluation permet d’analyser son sommeil et d’identifier des symptômes laissant présager un SAOS (Syndrome d'Apnée Obstructive du Sommeil).

Retrouvez l'intégralité des résultats de l'Enquête de ResMed sur le sommeil 2025
👉 ici :



 

Méthodologie d’enquête
ResMed a commandé une enquête auprès de 30 026 personnes aux États-Unis (5 000), en Chine (5 000), en Inde (5 000), au Royaume-Uni (2 000), en Allemagne (2 004), en France (2 001), en Australie (1 501), au Japon (1 500), en Corée (1 500), en Thaïlande (1 519), en Nouvelle-Zélande (1 000), à Singapour (1 000) et à Hong Kong (1 001). Les échantillons de chaque pays étaient représentatifs de la répartition par sexe et par âge de la population. L'enquête a été réalisée par PureSpectrum du 12 au 28 décembre 2024.

 

 

[1] Routinely assessing patients' sleep health is time well spent, Jean-Philippe Chaput, Judy Shiau, Preventive Medicine Reports Volume 14, June 2019, 100851

[2] Gordon AM, Chen S. The role of sleep in interpersonal conflict: Do sleepless nights mean worse fights? Social Psychological and Personality Science. 2014;5(2):168–175

 

À propos de ResMed

ResMed (NYSE : RMD, ASX : RMD) est à l'origine de solutions innovantes qui traitent les patients et leur évitent d'aller à l'hôpital, leur permettant ainsi de mener une vie plus saine et de meilleure qualité. Nos technologies de santé numérique et nos dispositifs médicaux connectés au cloud transforment les soins pour les personnes souffrant d'apnée du sommeil, de BPCO et d'autres maladies chroniques. Nos plateformes logicielles extrahospitalières complètes soutiennent les professionnels et les soignants qui aident les personnes à rester en bonne santé à domicile ou dans le cadre de soins de leur choix. En permettant de meilleurs soins, nous améliorons la qualité de vie, réduisons l'impact des maladies chroniques et diminuons les coûts pour les consommateurs et les systèmes de santé dans plus de 140 pays. Pour en savoir plus, visitez ResMed.com et suivez @ResMed.

 

Retraites : l’ultime combat des TUCS, oubliés de la retraite

🔷️ L'association "TUC, les oubliés de la retraite" lance un appel pressant aux médias pour mettre en lumière la situation toujours inacceptable et injuste des anciens bénéficiaires de Travaux d'Utilité Collective (TUC) et de 4 autres contrats aidés.

Alors que les concertations sur la réforme des retraites s’engagent, nous réitérons notre demande : les trimestres TUC doivent être considérés comme cotisés ou réputés cotisés, conformément aux recommandations du rapport Rist.

L’acquisition actuelle de ces trimestres, tels qu'ils sont reconnus (assimilés) est une injustice flagrante, pénalisant ceux qui ont commencé à travailler jeunes et les contraignant à prolonger leur activité professionnelle. Nous vous rappelons que 4 trimestres de chômage et quelques autres exceptions, peuvent être considérés comme « réputés cotisés » dans le cadre d’une retraite anticipée pour carrière longue ! alors que pour les TUC c’est toujours NON !

- Un dialogue de sourds avec les pouvoirs publics et les partenaires sociaux :

Malgré des interpellations répétées, la Ministre des Solidarités et des Familles se contente de réponses standardisées aux députés qui soutiennent notre cause (https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/questions/recherche?rechercheTextuelle=tuc&numeroQuestion=)

- Des actions à tous les niveaux :

Nous avons d’ailleurs relancé les 577 députés, sollicité les membres de la Commission des affaires sociales, interpellé l’animateur du conclave, les partenaires sociaux et ouvert une pétition sur le site de l’assemblée Nationale : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-2644

- Des conditions d'éligibilité abusives :

L'instruction ministérielle du 19 octobre 2023 impose des conditions de recevabilité des justificatifs excessivement restrictives notamment pour les attestations à produire qui doivent être contemporaines de l’époque du contrat aidé, rendant l'accès à la retraite anticipée pour carrières longues quasi-impossible pour les anciens TUC. Il est paradoxal de constater que d'autres dispositifs bénéficient de conditions plus souples.

Parallèlement, notre cause est également portée devant le Conseil d'État depuis juillet 2024.

- Nous demandons aux médias de se faire l'écho de notre combat :

Pour que la problématique des TUC soit enfin prise entièrement en compte dans la réforme des retraites.
Pour que les trimestres TUC soient reconnus comme cotisés ou réputés cotisés.
Pour que les conditions de recevabilité des justificatifs soient assouplies.

 
👉 À propos de l'association "TUC, les oubliés de la retraite" :

L'association "TUC, les oubliés de la retraite" est une association engagée, créée en 2022, qui se bat pour la reconnaissance des droits à la retraite des personnes ayant effectué des Travaux d'Utilité Collective (TUC) et contrats assimilés dans les années 80 à 90. Elle revendique que ces trimestres soient considérés comme cotisés ou réputés cotisés, afin de permettre aux anciens bénéficiaires de partir à la retraite dans des conditions équitables. Elle sensibilise l'opinion publique et interpelle les décideurs politiques pour faire valoir les droits des oubliés de la retraite, tout en ayant engagé une procédure au Conseil d’Etat en 2024.

Nous comptons sur votre soutien pour faire entendre la voix des oubliés de la retraite !

En vous remerciant d'avance,

Marie Claire STAHL – Présidente de l’association




Forte augmentation des départs en invalidité des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers

Forte augmentation des départs en invalidité des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers | Miroir Social

Journée des Maladies Rares - Ascendis Pharma réaffirme son engagement - Hypoparathyroïdie


🔷️ Ascendis Pharma s'engage pour la Journée des Maladies Rares

Paris, le 26 février 2025 - 

À l’occasion de la Journée des Maladies Rares, qui se tiendra le vendredi 28 février, Ascendis Pharma réaffirme son engagement en faveur de l’innovation thérapeutique pour répondre aux besoins des patients atteints de maladies rares.

Guidé par sa passion pour la science et son engagement envers les patients, ce groupe biopharmaceutique danois implanté en France depuis 2024, ainsi qu’en Europe et aux Etats-Unis, a mis au point une avancée majeure, la technologie innovante TransCon®, pour répondre à des besoins médicaux non satisfaits, en endocrinologie et dans d’autres aires thérapeutiques.

Ascendis Pharma soutient activement la Journée des Maladies Rares, afin d’informer et de sensibiliser sur les pathologies endocriniennes, rares mais à l'impact bien réel. Il s’agit de mettre en lumière les défis rencontrés par ces patients et d’apporter l’espoir d’un réel bénéfice sur leur qualité de vie au quotidien. 
Parmi elles, l’hypoparathyroïdie est une maladie rare des glandes parathyroïdes qui provoque un déficit en hormone parathyroïdienne ou PTH.

Elle touche environ 110 000 patients en Europe, en majorité des femmes, et environ 15 000 en France. 
Sa prévalence est très probablement sous-estimée en raison de l’errance diagnostique.

👉 L'Association de patients
Hypoparathyroïdisme France œuvre au soutien des patients, à briser leur isolement et à faire progresser la reconnaissance et la compréhension de cette maladie. 
Elle souligne que “vivre avec un déficit en PTH, c'est composer chaque jour avec un corps qui manque d’adaptabilité : la fatigue peut devenir écrasante, la concentration difficile, les douleurs imprévues et les limitations physiques entraver les gestes du quotidien. L’imprévisibilité rend la maladie d’autant plus invalidante et peut isoler ceux qui en souffrent. Derrière des résultats biologiques parfois "normaux", il y a des patients dont la vie est profondément bouleversée. 
Leur parole doit être entendue pour une prise en charge adaptée, qui tienne compte de la réalité, de leur vécu et des besoins spécifiques liés à cette maladie.”

👉 Dr Cécile Ghander, endocrinologue à l’hôpital Pitié Salpêtrière (Paris), ajoute : “L’hypoparathyroïdie peut être une maladie extrêmement handicapante. 
Elle est invisible, et peu compréhensible dans son entièreté par les médecins et par les proches. 
Elle peut affecter, parfois définitivement, tous les domaines de la vie, tant personnels que professionnels. 
Elle reste peu connue, avec un large spectre de symptômes. L’hypoparathyroïdie est probablement sous-estimée par le corps médical, alors même que dans la plupart des cas, la cause de l’hypoparathyroïdie est une conséquence involontaire d’un geste chirurgical (la thyroïdectomie). 
Faire connaître cette maladie est crucial, pour tenter de diminuer son incidence, en limitant les chirurgies thyroïdiennes au strict nécessaire, et pour la traiter au mieux, lorsque malheureusement elle advient en post-opératoire.”

👉 Carol Brucker, Directrice Générale d’Ascendis Pharma France & Benelux déclare : “À l’occasion de la Journée des Maladies Rares, nous renouvelons notre engagement à innover pour les patients touchés par ces pathologies invisibles mais profondément handicapantes, et nous poursuivons nos efforts de recherche et de développement de nouveaux traitements. Je suis fière de travailler aux côtés de nos équipes pour faire face aux défis des maladies endocriniennes rares et apporter espoir et améliorations de la qualité de vie de ces patients.."

Une expertise unique fondée sur la technologie TransCon®

TransCon® est une technologie conçue et brevetée par Ascendis Pharma, pour relever les défis posés par d'autres approches, visant à prolonger la durée d'action d'un médicament dans l'organisme à des niveaux sûrs et efficaces. Chaque molécule TransCon® est construite autour de 3 composantes : un médicament parent non modifié, un porteur inerte qui le protège et un « linker » qui lie temporairement les deux. Contrairement aux traitements à longue durée d'action traditionnels, Transcon® délivre une pharmacocinétique « sur mesure » grâce au « linker » qui permet une libération prolongée et prévisible du médicament parent.

🔹️A propos d’Ascendis Pharma

Ascendis Pharma s'appuie sur sa technologie innovante TransCon® pour établir une société biopharmaceutique de premier plan, dont l'objectif est d’apporter une amélioration significative dans la vie des patients. Guidée par ses valeurs fondamentales, les patients, la science et la passion, Ascendis utilise sa technologie TransCon® pour développer de nouveaux traitements, potentiellement les meilleurs de leur catégorie. Ascendis a son siège à Copenhague, au Danemark, et dispose d'autres établissements en Europe, dont en France, et aux États-Unis.
En savoir + :

Alerte info 🇮🇱 : Alon Ohel a désespérément besoin de visibilité.


Alon Ohel a désespérément besoin de visibilité.

Il n’est pas prévu qu’il soit libéré dans l’accord actuel de cessez-le-feu sur les otages. Il n’a pas de temps devant lui, il a besoin de voix fortes pour attirer l’attention sur sa situation dramatique.

Dans une interview télévisée bouleversante dimanche, Idit Ohel, la mère d’Alon, a supplié pour sa libération “demain”, expliquant qu’elle venait d’apprendre qu’il est enchaîné, affamé et gravement blessé dans un tunnel du Hamas.

Elle appelle toute la nation et le monde entier à exiger sa libération et à manifester lundi, jour de son 24ᵉ anniversaire, son deuxième en captivité.

Idit Ohel a révélé sur Channel 12 que les otages récemment libérés, Eli Sharabi et Or Levy, ont été détenus avec son fils pendant toute leur captivité. Leur retour samedi a été la première confirmation depuis 492 jours que son fils est encore en vie, après son enlèvement au festival de musique Nova.

 “Il a des éclats d’obus dans l’œil, l’épaule et le bras.
Il a été enchaîné tout ce temps, presque sans nourriture.”

Elle a aussi déclaré qu’il n’a reçu aucun soin médical et ne voit plus que des ombres de son œil blessé.

Nos grandes nations regardent, pendant que “plus jamais ça” est en train de se produire.
Il est à la merci des terroristes.

Nous ne pouvons pas manifester lundi, mais vous pouvez tous repartager, et demander à vos amis de faire de même.

Il a besoin de vos voix fortes pour dénoncer les conditions inhumaines dans lesquelles il est détenu.

Regardez les trois hommes libérés hier : Alon est en danger de mort.
Alors s’il vous plaît, repartagez – c’est simple et cela ne demande aucun effort.

Voici comment cela fonctionne :

1 personne repartage à 10 personnes → 10 repartagent à 100 →
100 repartagent à 1 000 → 1 000 repartagent à 10 000 →
10 000 repartagent à 100 000 → 100 000 repartagent à 1 million.

C’est aussi simple que ça...

S’il vous plaît, repartagez. 🙏


Alors que les funérailles de Shiri, Ariel et Kfir Bibas se tiennent aujourd’hui en Israël, Caroline Yadan a écrit à la Maire de Paris, Madame Anne Hidalgo, pour lui demander d’honorer leur mémoire en donnant leur nom à un espace public parisien.

Kidnappés le 7 octobre et assassinés à mains nues puis mutilés par le Hamas, ils étaient, ils sont et ils resteront à jamais le symbole de l’innocence face à la barbarie du terrorisme islamiste, le même qui a frappé Paris en 2015.

Paris, ville de liberté, de fraternité et de lumière, ne peut rester silencieuse face à cette tragédie qui nous touche en plein cœur.🧡

Chers amis,
J'ai l'immense joie de vous informer que 
Yael Braun Pivet a répondu favorablement à ma demande (non publique) d'éclairer la façade de l'Assemblée nationale en orange aujourd'hui 🙏💙

Assemblée  nationale  éclairée  en orange en hommage.

🧡 🧡 🧡 
Hier au soir, la façade de la Mairie du 17e s’est illuminée en orange en mémoire de Shiri Bibas et de ses deux enfants, Kfir et Ariel, tués en captivité à Gaza. 🧡 

Un symbole de solidarité et de soutien aux familles endeuillées, pour ne jamais oublier. 🕊 
  

mardi 25 février 2025

C'est à lire 📚 : publication du roman "Le journal d'Angie"

Les Éditions de la Lagune ont le plaisir de d' annoncer la publication du nouveau roman d’Éric Bohème « Le journal d'Angie », ce 24 février :


Résumé 
Angie est une jeune ivoirienne abandonnée par sa génitrice, alors qu’elle n’était qu’un bébé. Grâce au journal qu’elle a tenu depuis son plus jeune âge, le lecteur va découvrir toute son existence, qui commence dans le dénuement le plus total. 

Grâce à son courage et à la volonté de retrouver sa mère, elle va surmonter toutes les embûches placées sur son chemin : misère, drogue, délinquance, prostitution…

Se méfiant des hommes – et en particulier des Blancs – mais sachant les manipuler quand cela s’avère nécessaire, cette jolie fille va devoir affronter la dureté de la vie à Abidjan avant que les hasards de la vie et des rencontres la fassent atterrir au Mali, en Suisse puis en France. C’est Racine, ou plus exactement sa pièce de théâtre « Iphigénie », qui va donner un cours surprenant à l’existence de cette jeune femme volontaire, voire téméraire.

Ce roman émouvant et parfois poignant s’efforce de traduire, au plus cru de la réalité, la résilience nécessaire pour survivre dans une Afrique vécue et restituée par un œil autochtone.


🔎Zoom sur l'auteur :
Éric Bohème partage son temps entre la France et la Côte d’Ivoire. Il
est membre de l’AECI (Association des Ecrivains de Côte d’Ivoire).
En 2012 son premier roman « Zone 4 » est paru en Côte d’Ivoire. Il
a rencontré un franc succès auprès du public et de la critique. Éric
Bohème a également publié en 2017 « Réalités métissées », recueil de
chroniques, nouvelles et récits.
Revisitant ses racines berrichonnes, ses textes ultérieurs renvoient à
un univers provincial qu’il décrit avec originalité et sensibilité : la novella
« Le Monico » publiée en 2019 puis un roman : « Le Café du Centre »
publié en 2023.

• 204 pages format 140 x 216
• ISBN broché : 9782956155089
• ISBN e Book : 9782956155096
• Publication le 24/02/2025
• Prix vente broché : 19.50 € TTC
• Prix vente e book : 11.70 € TTC

En savoir plus :
Éditions de la Lagune
Côte d'Ivoire & France

Nicolas Gomart (Matmut) : « Il est essentiel de renforcer notre activité d'épargne retraite »

Nicolas Gomart, en poste depuis 2015, a officialisé le projet de rachat de HSBC Assurances Vie le 20 décembre. 
La transaction devrait se concrétiser au second semestre 2025.


Ndlr : Félicitations  à  la rédaction de L'Argus de l'assurance  pour cette interview particulièrement complète aux réponses "cash" de Nicolas Gomart. 


L'Argus de l'assurance. À peine un an après le lancement de votre plan stratégique, vous annoncez le projet de rachat de HSBC Assurances Vie. Pourquoi cette acquisition ?

Nicolas Gomart Nous assistons à des évolutions profondes dans le domaine de l'assurance de biens et de responsabilité. Je pense notamment aux questions autour de la mobilité, avec une utilisation de l'automobile potentiellement plus réduite, le développement des véhicules électriques… Le contexte en matière de sinistralité climatique a aussi des impacts sur l'assurance habitation et automobile. La volatilité dans les résultats de l'assurance dommages s'est fortement accrue. Et le désengagement des réassureurs a été une réalité pendant deux ans, même si cela s'améliore. Avec cette acquisition, il nous a donc paru essentiel de renforcer significativement notre activité d'épargne retraite.

Quels avantages présente l'épargne retraite ?

N. G. Cette activité a des cycles différents de ceux de l'assurance IARD. Elle permet de bénéficier de revenus récurrents. De ce fait, nous avions cette volonté stratégique de renforcer notre position sur ce secteur, avec l'objectif à moyen terme d'équilibrer les activités du groupe entre, d'une part, les assurances de personnes et, d'autre part, les assurances de biens. Il se trouve qu'avec cette acquisition, qui doit se faire dans le respect du calendrier de la consultation des instances représentatives du personnel et sous réserve de la validation par les autorités externes compétentes, nous allons atteindre cet objectif. C’est une vraie satisfaction !

La concurrence a-t-elle été vive pour remporter cette affaire ?

N. G. Oui, nous faisions face à une concurrence nombreuse et sérieuse. Nous étions les plus petits parmi les candidats. Nous avons su l’emporter à force d’agilité, de réactivité, que ce soit en termes d’équipes opérationnelles, mais aussi de gouvernance du groupe. J’ai notamment travaillé sur ce sujet en étroite concertation avec Christophe Bourret, le président de la Matmut, avec le soutien unanime du conseil d’administration du groupe.

Le rachat est évalué à 925 M€. Est-ce le rôle d'un acteur mutualiste de procéder à de telles acquisitions ?

N. G. Je ne vois pas ce qui empêche une entité mutualiste de faire ce type d'opération. Je crois que, dès lors qu'il y a une démarche stratégique cohérente, c'est une manière d'assurer la stabilité, la pérennité de l'entreprise, ce qui est forcément positif pour nos sociétaires. Tout comme le fait de pouvoir proposer l'ensemble de la palette des services d'assurance les plus classiques, via notre groupe complet d'assurance. Ainsi, je ne vois pas du tout d'antinomie avec le concept mutualiste. Au contraire, j'ai le sentiment que les idées du mutualisme, avec les différentes opérations récentes, ont tendance à gagner du terrain progressivement, et c'est une bonne chose.

Qu'est-ce qui vous a intéressé chez HSBC Assurances Vie ?

N. G. Déjà, la taille : un peu plus de 20 Md€ de provisions mathématiques. Cela nous positionne d'emblée à un bon niveau, tout en restant à la mesure de notre capacité d'achat. De plus, nous avions un apriori très favorable sur le sérieux de la maison. Quand nous avons regardé de manière très approfondie la société, cette impression de départ nous a été confirmée, avec notamment le grand professionnalisme et l’engagement des équipes en place. Une cible de transaction assez simple, claire. Un grand sérieux, pas de mauvaise surprise à redouter à première vue. Enfin, une capacité de distribution forte avec le CCF, qui s'inscrit dans une durée longue et qui a été reconfirmée à cette occasion.

Il y a quand même un plan social en cours au sein de CCF…

N. G. Regardant cela de l’extérieur et n’étant pas dans le détail des opérations du CCF, je n’ai pas spécialement de commentaire à faire. Vu de l’extérieur, ma perception est que le CCF développe une stratégie très orientée gestion patrimoniale, favorable de facto à l’activité d’assurance-vie, ce qui ne peut que nous encourager.

L’épargne devient refuge dans le secteur. Est-ce une des conséquences du réchauffement climatique qui engendre une tension sur le coût de la sinistralité ?

N. G. Deux phénomènes se conjuguent. Celui que j’ai précédemment cité en effet, ainsi que les taux d’intérêt qui ont remonté, ce qui donne plus d’air à l’activité d’épargne ne serait-ce que sur le fonds euros. Ces deux phénomènes conjugués expliquent l’engouement de certains acteurs IARD pour l’épargne. S’ajoute une grande incertitude globale : politique, économique, et géostratégique. Dès qu’il y a de l’instabilité politique, un manque de visibilité, les flux vers l’assurance vie augmentent. Ce phénomène-là joue également. Nous espérons d’ailleurs qu’il soit davantage conjoncturel que structurel.

Vous vous êtes développés en santé, notamment avec la Mutuelle Ociane Matmut. Comment percevez-vous les différents épisodes de transferts de charges vers les complémentaires santé dans le cadre du PLFSS ?

N. G. C'est une orientation qui ne règle rien, et n'est pas à la hauteur des enjeux. C'est de la matière assurable en plus pour les assureurs santé. Mais ces derniers doivent avoir la latitude d'ajuster leurs tarifs en fonction des coûts supplémentaires induits. Plus globalement, cela pose la question de l'assurabilité et de la capacité de nos concitoyens à continuer de s'assurer pour bénéficier des services d'une mutuelle, notamment dans le cadre du contrat responsable. Plus ce contrat est couvrant, plus il coûte cher. À partir d'une bonne idée initiale, il a été dévoyé au fil du temps. Il couvre trop de choses ne revêtant, pour certaines, que très peu d'aléa, pourtant un fondement du principe d'assurance. L'idée est de retrouver les bases d'un contrat responsable qui permettrait une capacité accrue de nos concitoyens à se couvrir. Pas nécessairement sur la totalité du périmètre actuel, mais au moins d'avoir la possibilité d'accéder à une couverture sur les soins essentiels, avec une fiscalité acceptable. Pour les adhérents de nos mutuelles ne pouvant pas se payer le contrat responsable, la seule solution est d'aller sur des contrats dits «non responsables» soumis à une fiscalité à 20,27 % au lieu de 13,27 %.

La pression des coûts concerne aussi l'assurance habitation et auto. Constatez-vous de plus en plus de non-assurance ou de défaut de paiement ?

N. G. Pour l'instant, nous n'observons pas cette évolution sur nos segments. Le sujet n'est pas prégnant chez nous, mais il peut le devenir. Nous avons un rôle mutualiste et sommes vigilants à la situation de nos sociétaires qui pourraient avoir du mal à s'assurer à tel ou tel endroit. Mais à l'impossible, nul n'est tenu. Dans certaines zones, la notion d'aléa n'existe plus. Elles ne sont donc plus assurables de façon classique. Certaines situations sont passées dans un autre champ que celui de l'assurance. À la Matmut, nous sommes volontaires pour trouver collectivement des solutions permettant de maintenir une offre d'assurance pour les zones les plus exposées. Selon nous, ces solutions doivent privilégier l'incitation plutôt que la contrainte. Nous sommes attachés à la liberté d'entreprendre et à la liberté des prix.

Comment faire face à ce risque d'inassurabilité ?

N. G. Avec le concours de toutes les parties prenantes, d'autres mécanismes doivent permettre d'arriver à une solution. Des mécanismes assurantiels, avec l'évolution du régime cat'nat' et notamment la modulation de la quote-part de la CCR (Caisse centrale de réassurance) en fonction des zones. Le mouvement mutualiste y est plutôt favorable.

Mais les tarifs, l'assurance, ne représentent qu'une partie du sujet. Il y a beaucoup d'autres aspects : la prévention - qui est naturellement essentielle -, l'implication du secteur de la construction, des collectivités locales, le rôle des assurés eux-mêmes et de l'État, avec le fonds Barnier, notamment, sans oublier l'investissement sur le long terme pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il faut aussi que la loi Elan évolue. Elle a prévu des normes pour limiter les conséquences de la sécheresse, mais elles sont insuffisamment efficaces pour lutter contre les problématiques de retrait-gonflement des sols argileux (RGA).

Êtes-vous confiant en l'avenir ?

N. G. Je suis assez optimiste. Cela prendra du temps, mais nous y arriverons si l'ensemble des acteurs jouent leur partition. Les choses vont plutôt dans le bon sens. La diversité autour de la table du conseil exécutif de France Assureurs, par exemple, est assez remarquable. Pourtant, nous avons réussi à trouver un modus operandi qui fait consensus. Je vois aussi que nos concitoyens prennent des mesures eux-mêmes pour limiter les dégâts chez eux. Le même niveau d'intensité de sinistre climatique a aujourd'hui moins d'impact sur notre portefeuille qu'il en avait il y a dix ans.

L'instabilité politique, avec la censure du gouvernement et des changements incessants d'interlocuteurs, vous inquiète-t-elle ?

N. G. Je suis assez préoccupé par le contexte. Indéniablement, la grande instabilité politique nationale traduit quelque chose de la société française. C'est une réalité dont il faudra sortir. C'est un élément d'incertitude, de risque. Et cela peut durer, malheureusement.

Comment percevez-vous la situation internationale ?

N. G. Sur l'aspect géostratégique, je suis assez volontariste dans les investissements que peut faire le groupe en matière de défense. Je considère qu'exclure certaines entreprises de la défense des critères ESG est une folie. Il y a des types d'arme qu'il faut bannir, bien sûr mais, globalement je pense que le secteur de la défense est un élément de durabilité.

Quelle est l'action de la Matmut en la matière ?

N. G. Les pays européens, et la France en particulier, doivent absolument se doter d'une défense solide, à la mesure des enjeux d'aujourd'hui. Je suis heureux que la Matmut contribue par ses investissements, et à la mesure de ses moyens, à cet effort en tant qu'investisseur institutionnel. Et j'invite les sociétés de gestion - certaines le font déjà -, à proposer des placements dans le domaine. Nous allons par ailleurs annoncer prochainement un partenariat avec la Garde nationale. L'environnement est incertain, mais cela ne doit surtout pas nous empêcher d'avancer, de construire, de réagir et de faire du mieux possible pour contribuer à désamorcer les raisons de l'instabilité, via l'ensemble de notre politique RSE en faveur de l'inclusion, et plus généralement du bien commun, mais également par diverses actions de financement.

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🔎Zoom  sur le parcours de Nicolas  Gomart :
Diplômé de l'Essec et du Centre des hautes études d'assurances, Nicolas Gomart, 60 ans, a démarré sa carrière dans la finance, avant de rejoindre en 2012 la Matmut. Il en est devenu directeur général en 2015.