Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est mutualiste. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est mutualiste. Afficher tous les articles

lundi 28 février 2022

Attaquer la solidarité mutualiste, c’est attaquer la solidarité nationale


Dans le cadre des débats d'actualité, la Fédération des mutuelles de France (FMF) nous a autorisés à reprendre l'importante contribution qu'elle a apporté à Place de la Santé*, plate-forme initiée par la Mutualité Française et qui accueille de nombreuses  réflexions et points de vue en matière de santé et de protection sociale.

 

La FMF souligne que :

  • les gouvernements successifs suivent l'agenda libéral, depuis une trentaine d’années. En matière de protection sociale, ils rognent sur la Sécurité sociale en l’asphyxiant financièrement alors que les besoins vont croissant (c’est le rôle dévolu au trop fameux « trou de la Sécu », artificiellement créé par une limitation des recettes pour justifier l’austérité) ;
  • cette solidarité nationale dégradée est le contexte dans lequel d’autres solidarités s’organisent quotidiennement dans les mutuelles, sociétés de personnes (et non de capitaux) et entreprises à but non lucratif (et non commerciales).


Mais pour les mutuelles, la solidarité est à la fois un objectif et un moyen.

 

Sécurité sociale et mutuelles, partenaires pour la solidarité nationale
 

Ensemble, Sécurité sociale et mutuelles travaillent à rendre le droit inaliénable de chacun à la santé effectif. Elles conjuguent leurs actions pour faire en sorte que le coût de santé qui reste à la charge du patient soit le plus limité possible. Ainsi, la France est le pays de l’OCDE où le reste à charge en matière de santé est le plus bas. En moyenne, il représente moins de 10 % des dépenses. À titre de comparaison, il est moitié moindre qu’au Royaume-Uni et représente le tiers de celui constaté en Hongrie.


Quoi qu’on en dise et malgré des failles qu’il faut résorber, le « couple Sécu/mutuelles » protège efficacement la population.
Le rôle de la mutualité au service de la solidarité nationale ne s’est historiquement jamais limité au remboursement de frais de santé. Dans le couple protecteur qu’elles forment avec la Sécurité sociale, les mutuelles assument aussi un rôle d’innovation pour améliorer le système de protection sociale, répondre aux nouveaux besoins ou aux besoins non encore couverts.

  • À travers leurs centres de santé pratiquant les « tarifs conventionnés », les mutuelles ont aidé à développer la régulation des tarifs de consultations et de soins dans les années 1950 et 1960. Cette régulation agit encore aujourd’hui.
  • Le tiers-payant a été inventé par la mutualité pour faire disparaître tout obstacle financier à l’accès aux soins. Le patient n’a pas à avancer d’argent. Cet efficace dispositif a ensuite été repris par la Sécurité sociale (notamment dans le domaine des médicaments) mais reste trop parcellaire pour les actes médicaux de ville.
  • Au cœur de la pandémie, les mutuelles ont pris les consultations psychologiques en charge. C’est cette démarche que la Sécurité sociale a prolongé dans un second temps, en annonçant couvrir cette dépense de santé jusque-là non prise en compte.


L’innovation mutualiste se poursuit aujourd’hui. Ainsi, par exemple, les Mutuelles de France mettent à profit leurs savoir-faire de prise en charge de ce besoin vital qu’est la santé en les sollicitant pour de nouvelles modalités d’exercice de la solidarité (une réflexion est en cours sur les tiers-lieux) ou à d’autres besoins également vitaux, comme l’alimentation. C’est le sens de l’expérimentation d’une « mutuelle alimentaire » qui permet l’accès à des denrées alimentaires de qualité pour une alimentation équilibrée à un coût maîtrisé.


La mutualité ne conditionne pas ses réponses aux besoins aux bénéfices financiers escomptées. Elle cherche des solutions solidaires et durables partout où les populations en ont besoin.

 

La solidarité mutualiste, un objectif exigeant
 

Depuis l’autorisation des sociétés d’assurance privées et lucratives dans le champ de la santé au début des années 1990, on constate qu’en matière de solidarité, la mauvaise monnaie chasse la bonne. Les pratiques libérales ont tendance à contaminer le secteur de la protection sociale. Pourtant, dans le cadre extrêmement contraint imposé par la vision libérale qui domine la société, la solidarité mutualiste demeure. C’est notre identité et le sens de notre action pour que le plus grand nombre puisse accéder à une santé de qualité.

  • Les mutuelles ne pratiquent pas de sélection en fonction de l’état de santé des gens ou des revenus dont chacun dispose.
  • Elles accueillent les titulaires de la complémentaire de santé solidaire, alors que l’État ne donne pas les moyens suffisants pour le faire correctement et assurent le suivi qui permet l’effectivité de ce droit.
  • Les fonds mutualistes contribuent au développement des services de soins et d’accompagnement mutualistes où l’on est pris en charge sans avances de frais, sans dépassement d’honoraires, souvent là où l’offre médicale libérale fait défaut.
  • Les mutuelles réalisent chaque année des milliers d’actions de solidarité directe en lien avec des structures d’aide aux plus démunis : aide à l’accès aux soins, accompagnements vers le recours aux droits etc.
  • La mutualité est aussi une puissante actrice de prévention, dans un système de santé qui peine à sortir du « tout curatif ». Elle sait proposer des ateliers de prévention et de bien-être développant une utile culture générale sanitaire aux millions d’adhérents mutualistes et à l’ensemble de la population.

Mais la solidarité n’est pas seulement un objectif en mutualité ; c’est aussi un moyen.

 

La solidarité, un outil efficace
 

La logique assurantielle en santé d’individualisation des risques mène à une démarche du chacun pour soi : « je paye pour me protéger moi ». Elle ne s’appuie pas sur un droit commun mais sur une vision segmentée de population qui serait éclatée en archipels qu’elle traite comme tels : les actifs contre les retraités ; les titulaires de l’AME contre les bénéficiaires de la CSS contre la population générale ; les salariés du privé contre les fonctionnaires ; les salariés contre les non-salariés etc.
 

La dynamique mutualiste consiste précisément en l’inverse : organiser une solidarité réciproque entre égaux, indépendamment de la situation de chacun qui, de toute façon, varie dans le temps. Le système qui permet la solidarité entre malades et bien portants, entre riches et pauvres et entre jeunes et vieux trouve son équilibre dans la diversité des situations prises en charge.
 

C’est bien cette logique qui a présidé à la création de la Sécurité sociale à laquelle, au départ, chacun contribuait selon ses moyens et de laquelle chacun recevait selon ses besoins. Logique vertueuse qui a largement transformé la société et a permis de nombreux progrès. Prenons un exemple : si la mortalité infantile a été divisée par plus de 13 depuis 1950, ce n’est pas seulement grâce aux progrès médicaux. Ces derniers ne nous seraient que d’un faible secours s’ils n’étaient pas accessibles à tous. C’est bien la Sécurité sociale et la mutualité qui les rendent accessibles.

 

La solidarité, un outil menace
 

C’est ni plus ni moins ce formidable outil de progrès pour tous que les libéraux cassent en cherchant à marchander des droits individuels différents et en dégradant le droit commun à tous. La solidarité nationale voit ses moyens rognés à force d’exonérations de cotisations sociales, trop souvent improprement désignées en tant que « charges sociales ». La solidarité mutualiste, elle, est entravée par la logique assurantielle et son bras armé, l’assimilation règlementaire qu’opèrent les directives européennes avec l’assentiment des gouvernements.
 

Nous le savons, les attaques libérales visent à transformer le pot commun mutualiste en une source de profits juteux. Ce mouvement ne constitue qu’une étape avant la libéralisation de la Sécurité sociale : ceux qui attaquent le principe de solidarité mutualiste fragilisent le principe de solidarité inhérent à la Sécurité Sociale, la solidarité nationale.
 

Face aux remises en cause du système actuel de santé et au « mutuelle bashing », la mutualité doit s’exprimer d’une seule voix et porter un discours offensif pour défendre le couple Sécu-mutuelles.
 

La pandémie en a fait l’éclatante démonstration : en matière de santé et de protection sociale, solidarité et universalité sont mères de sûreté. Le virus ne s’intéresse ni à la couleur de peau, ni à l’épaisseur du portefeuille, ni au statut : aucun bunker ne sera jamais assez épais pour protéger qui que ce soit de la maladie.
 

Dès lors, le consentement à la solidarité n’est pas une position morale mais un choix rationnel et efficace. La voie solitaire est une impasse. C'est l’horizon nécessaire et indispensable. Non seulement parce qu’une société en sécurité sociale est une société en meilleure santé mais aussi, plus globalement, parce qu’une société bien protégée des aléas de la vie est une société de gens plus libres.

(*) La santé, parlons-en !  Accueil - Place de la santé (placedelasante.fr) 

Place de la Santé accueille des réflexions et des points de vue en matière de santé et de protection sociale. Ils sont le fruit de travaux portés par la Mutualité Française, avec des think-tanks, des experts et des Français. Cette démarche vise à imaginer la protection sociale de demain et à nourrir le débat public.

Pas encore de commentaires

vendredi 9 juillet 2021

Retour en images sur la matinée Adom / Pandat Finance du 9 juillet 2021

Comment faire de l'allocation d'actifs un sujet mutualiste ?

Extraits vidéo d'une matinée très réussie.

Allocution de bienvenue de Bruno Huss Président de l'ADOM


Côté coulisses....

Album souvenir...
https://vm.tiktok.com/ZMdXtKaB5/

RAPPEL DU PROGRAMME: 

10h00-10h45 : Présentation macro-économique 

10h45-11h30 : Table ronde 1 - Quelles solutions de placements s’offrent aux mutuelles en matière d’optimisation de SCR avec une recherche de consommation de fonds propres minimum et un couple rendement/risque intéressant ?

11h45 - 12h30 : Table ronde 2 - Quelles solutions de placements à vocation ESG/ ISR/ Solidaires ? 

 Un compte rendu des échanges sera disponible sur le site de l'Adom: 

www.asso-adom.fr


samedi 1 mai 2021

L' ADOM souhaite une bonne fête du travail...

#1erMai2021🌱

Bruno HUSS, président de l' ADOM, & ses équipes souhaitent une bonne fête du travail 2021 à toutes et tous.
Amitiés mutualistes
https://vm.tiktok.com/ZMe4Jb9g7/

Agenda ADOM

vendredi 16 décembre 2016

Best-of du 16 décembre 2016





LE CHIFFRE DE LA SEMAINE :
725 540 visites

Intervention de Serge Brichet Président de la MFP et de la MGEFI le 15 décembre 2016 à l'Assemblée extraordinaire des mutuelles à Paris En savoir plus : http://pressentinelle2.blogspot.com/2016/12/assemblee-generale-extraordinaire-des.html?spref=bl


  "VU" POUR VOUS
CHAPEAU L'ARTISTE Ce matin le père Noël est passé au siège de la ;   en détachement à la Mutuelle, "James", son prénom dans la vraie vie, est un homme connu et reconnu dans nos murs pour sa gentillesse, son sourire, sa grande bonté  et  sa chaleur humaine. C'est aussi un grand professionnel. Son moteur : la satisfaction des



 
HIT DES PAGES LES PLUS LUES DE LA SEMAINE:



Rendez-vous sur l'espace de réflexion #Fonctionpublique. Suivez le #Regard des #agentspublics sur l'actu. Découvrez leurs questionnements et suggestions. Faites vivre la communauté en proposant des thèmes pour le mini sondage de la semaine. Merci d'avance à tous





Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Économie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.

A propos de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements de la vie les plus graves et aux risques les plus lourds.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR 
■ clip institutionnel 2015 https://vimeo.com/132203098?ref=tw-share

   TRÈS BON WEEK-END


mardi 3 décembre 2013

Observatoire Français des Retraites – 12ème édition


Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI

 

Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite, Le projet de réforme jugé insuffisant ne permet pas de sauver le système

 

- Nouveaux records d’inquiétude chez les actifs

- Mal connu, le projet de réforme des retraites suscite colère et résignation,

- La réforme en discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système

- La proportion de Français qui a épargné en vue de sa retraite décline.

 

Alors qu’un nouveau projet de réforme des retraites fait l’objet des dernières navettes parlementaires entre l’Assemblée Nationale et le Sénat, la douzième édition de l’Observatoire des Retraites UMR-Corem / Liaisons Sociales Magazine / Ipsos (1) fait le point sur le jugement des Français sur le sujet :

Ce projet de réforme parvient-il à apaiser leurs inquiétudes sur leurs conditions de vie au moment de leur retraite ? Le contenu du projet est-il connu ? Les incite t-il à épargner davantage en vue de leur retraite ?

 

(Publié dans Liaisons Sociales Magazine du lundi 2 décembre 2013)

 

Nouveaux records d’inquiétude des Français sur le sujet de la retraite

 

Six mois après la dernière vague d’analyse, le haut niveau d’appréhension à l’égard du montant de leur retraite (80% en avril dernier) ne faiblit pas. Des records d’inquiétude sont même battus en ce qui concerne leur niveau de vie au moment de leur retraite (73% ; +2 points par rapport à avril 2013), leur capacité à vivre de façon indépendante (61% ; +3) et leur santé et accès aux soins à ce moment de leur vie (61% ; +4). Globalement, les Français n’ont jamais été aussi inquiets au sujet de leur future retraite depuis 2009 et la mise en place de cet Observatoire.

Les craintes progressent en particulier chez les actifs occupés : 87% (+1 point par rapport à avril dernier) s’inquiètent du montant de leur retraite ; 79% (+2) de leur niveau de vie à ce moment de leur vie, 67% (+5) de leur capacité à vivre de manière indépendante et 67% (+7) de leur santé et accès aux soins.

 

Si les femmes demeurent plus inquiètes que les hommes par la perspective de leur retraite (ce qui s’explique par leurs carrières plus souvent interrompues et des niveaux de salaires moindres), les écarts ont tendance à se réduire par rapport à avril dernier : l’inquiétude progresse surtout chez les hommes.

 

Mal connu, le projet de réforme des retraites suscite colère et résignation, et les mesures sont diversement appréciées

 

Si 82% des Français déclarent avoir entendu parler de la réforme des retraites actuellement en discussion au Parlement, seuls 22% parmi eux savent précisément quelles en sont les principales dispositions.

 

 

(1) Enquête réalisée par téléphone les 8 et 9 novembre 2013 auprès d’un échantillon national représentatif de 1025 personnes âgées de 15 ans et plus.

 

Mal connue, la réforme est mal jugée et suscite colère (57% contre 53% en 2010 et même 69% des 45-59 ans ou encore 73% des personnes dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1200 €) et résignation (56% la citent parmi les deux principaux sentiments qui leur viennent spontanément à l’esprit, en particulier dans les catégories les plus favorisées).

Les mesures sont très diversement appréciées :

Ø Sont approuvés :

 

- la création du compte pénibilité est saluée par 91% des Français dont 56% « tout à fait » (et même 67% des ouvriers).

- Le maintien de l’âge légal de départ en retraite à 62 ans est maintenant acquis, approuvé par 56% des Français, actifs comme inactifs.

Ø Sont désapprouvés :

 

- L’allongement progressif de la durée de cotisation de 41,5 à 43 ans est désapprouvé par 55% des français et même 63% des actifs,

- Le report de la revalorisation des retraites du 1er avril au 1er octobre est désapprouvé par 54% des Français et 65% des retraités

- La hausse des cotisations sociales payées par les employeurs et les salariés est rejetée par 66% des Français et 71% des actifs.

 

La réforme en discussion jugée insuffisante ne permet pas de sauver le système

Pour une large majorité de Français, la réforme actuellement en discussion n’est donc ni suffisante (78% dont 41% qui considèrent même qu’elle ne l’est « pas du tout »), ni même ambitieuse (70% dont 41% « pas du tout ») ou juste (69% dont 40% « pas du tout »). Elle ne permet pas non plus d’assurer la sauvegarde du système des retraites (69% dont 38% « pas du tout »).

Ils n’ont pas changé d’opinion par rapport à avril dernier, où une large majorité (63 %) des interviewés plébiscitait la mise en oeuvre d’une réforme « en profondeur » du système de retraite en France, qui traiterait de l’ensemble des sujets, y compris les plus délicats (mode de calcul des pensions, harmonisation entre secteur public et secteur privé, nouveaux prélèvements sur les retraités).

 

La proportion de Français qui a épargné en vue de sa retraite a décliné

Pour une majorité de Français, cette réforme n’a pas d’impact sur les intentions d’épargne en préparation de la retraite.

Probablement d’autres facteurs, notamment les difficultés économiques croissantes de nombre de ménages, contribuent à expliquer le lent déclin de la part de Français ayant épargné d’une manière ou d’une autre en vue de leur retraite : 53% en 2009, 49% jusqu’en avril dernier et désormais 47%.

 

Les Français qui ont le plus tendance aujourd’hui à abandonner l’idée d’épargner en vue de leur retraite sont les Français les plus modestes : aujourd’hui, 22% des ouvriers ou encore 20% des Français dont le revenu mensuel net du foyer est inférieur à 1200 € ont abandonné l’idée de pouvoir compléter leur retraite par leur épargne.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

L’Observatoire Français des retraites UMR /Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI, créé en 2006, interroge deux fois par an, depuis 2009, les Français sur toutes les questions touchant à la retraite, avec des focus par thèmes : épargne, santé et dépendance, réformes…

 

NDLR : MGEFI ET COREM
 
Corem                               
  • Nos partenaires Page de texte
  •