Nora ANSELL-SALLES

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samedi 29 mai 2021

Le Pr Axel Khan mis en examen pour diffamation

Dans Egora.fr :
Le cancérologue a annoncé sur Twitter avoir été mis en examen pour diffamation suite à une plainte de la généticienne Alexandra Henrion-Caude, dont il a dénoncé les dérives complotistes.

 

"A ce propos, j'ai reçu ma mise en examen pour diffamation d'Alexandra Henrion-Caude", annonce, sur un ton léger, le Pr Axel Kahn sur Twitter samedi 22 mai. La raison ? Le cancérologue explique "avoir tenté d'expliquer l'incroyable dérive d'une chercheuse jadis de qualité par une logique intégriste puis sectaire". Le Pr Axel Kahn avait notamment été interviewé par LCI en octobre dernier sur celle qui a été sa thésarde. Il avait déploré "l'évolution" d'une "chercheuse de grande qualité, très travailleuse", qui s'est illustrée depuis le début de la crise du Covid par ses déclarations "pas tellement différentes des pires positions complotistes".

Ancienne chercheuse à l'Inserm, Alexandra Henrion-Caude est désormais une figure des anti-masque et anti-vaccin. Elle est intervenue dans le documentaire complotiste Hold up et les vidéos de certaines de ses interventions sur les réseaux sociaux et sur Youtube cumulent des milliers, voire des millions de vues. La chercheuse s'est notamment étonnée de la longueur des écouvillons utilisés pour les tests PCR, pensée selon elle pour atteindre "la plaque cribiforme", "un lieu qui permettrait de passer des nanoparticules, des nouveaux modes de thérapie directement au niveau du cerveau".

Malade, le Pr Axel Kahn se met en retrait de la Ligue contre le cancer

Quelques jours après s'être retiré de la présidence de la Ligue contre le cancer, le Pr Axel Kahn, atteint d'un cancer en phase terminale, a accueilli cette poursuite judiciaire avec humour. "Chouette, une ultime bonne action avant de mourir. Gratuite, en plus", a-t-il déclaré sur Twitter.

Un aurevoir où la sagesse d'un homme croise l'élégance d'un prince.


Axel Kahn en phase terminale de son cancer : il raconte sa fin de vie sur les réseaux sociaux

Témoignage de Jean-François Kahn


mardi 22 septembre 2015

Et si - enfin - on supprimait le Sénat ?

 
Infolettre n° 224
mardi 22 septembre 2015
Bien Sûr Santé Le magazine gratuit de la prévention. Tous les deux mois sur papier
dans les salles d'attente des cabinets médicaux et tous les jours sur le Net.

Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Publicité : Laurence LANSAC laurence@biensur-sante.com

EDITO
Et si - enfin - on supprimait le Sénat ?
La question de l'utilité du Sénat se posant depuis sa création en 1875, personne – hormis les 348 locataires du Palais du Luxembourg – ne s'offusquera que nous l'évoquions au moment où la haute chambre achève de tailler en pièces la loi Santé de Marisol Touraine.
Parmi les quelque 50 articles supprimés en commission, ce sont les points majeurs du texte déjà voté en 1ère lecture par l'Assemblée Nationale qui ont purement et simplement été passés à la trappe. Un exemple du genre.
Bye-bye le tiers payant généralisé : les médecins ont su convaincre les élus que la volonté déclarée d'assurer un meilleur accès aux soins des patients était en fait une remise en cause de la pratique libérale de la médecine.
Bye-bye aussi le paquet de tabac « neutre » : les buralistes ont sans doute trouvé les mots justes pour exposer leur originale vision de la prévention et stigmatiser l'encouragement à la contrebande et la contrefaçon.
 Les Sénateurs vont donc voter une loi Santé, mais une loi qui n'aura plus grand chose à voir avec celle qui avait été soumise aux députés. La suite des événements est déjà écrite dans l'histoire parlementaire : une ou deux navettes entre les chambres pour donner l'illusion de la négociation, puis une commission mixte paritaire pour acter les divergences et enfin un vote de l’Assemblée Nationale pour adopter définitivement le texte sur lequel elle s'était prononcée initialement…
Au-delà même de l'opinion qu'on peut avoir du texte gouvernemental, ces simagrées ne servent guère les partisans du bicamérisme. Aux amoureux de la démocratie chambre à part, on voudrait rappeler de temps en temps que les 335 millions d'euros qui constituent le budget annuel de leurs accès de mauvaise humeur commencent à peser sur la nôtre.
Pour redonner un peu de hauteur à ce point de vue incontestablement emprunt d'une certaine beaufitude, il suffit de rappeler respectueusement que Charles de Gaulle  avait tenté de l'imposer par referendum en avril 1969. Il est vrai que ses responsabilités publiques en avaient été un peu affectées par la suite.
Jacques DRAUSSIN

ACTUEXPRESS
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mardi 15 septembre 2015

Les parangons de vertu scientifique

 
Bien Sûr Santé Le magazine gratuit de la prévention. Tous les deux mois sur papier
dans les salles d'attente des cabinets médicaux et tous les jours sur le Net.

Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Publicité : Laurence LANSAC laurence@biensur-sante.com

EDITO
Les parangons de vertu scientifique
Le professeur Philippe Even souffre, à 83 ans, d'un trouble obsessionnel profond, absolument pas lié à son âge car cela fait au moins 30 ans qu'il tente de s'en libérer par une sorte de catharsis blockbusterisée par les Editions du Cherche-Midi.
La haine irrépressible qu'il exprime à l'encontre de l'industrie pharmaceutique constitue désormais le moteur exclusif de son importante production littéraire dont le dernier témoignage [« Corruption et crédulité en médecine »] vient de paraître sous les hourras habituels de la foule grandissante des adeptes de la théorie du complot.
Pourquoi le professeur Philippe Even a-t-il développé ce syndrome ? Difficile à dire car bon nombre de ses confrères en sont également atteints. Even le pneumologue s'est un peu spécialisé… dans la cardiologie et la lutte contre les statines, et Henri Joyeux, autre professeur de médecine, semble avoir consacré une bonne partie de ses forces à combattre la vaccination contre le cancer du col de l'utérus.
Que l'industrie pharmaceutique ne soit pas blanc-bleu dans ses « stratégies de conquête » est une évidence : même avec une finalité de santé, c'est une industrie. Mais que les médecins prescripteurs appartiennent tous, soit à la caste des bisounours, soit à celle des vendus relève au minimum d'un défaut d'analyse…
Philippe Even vient d'ailleurs d'apporter la preuve éclatante de ses propres turpitudes. La veille de la sortie de son livre, il a dû démissionner de la présidence de l'Institut Necker. Le parangon de vertu scientifique ne déclarait aucun lien avec l'industrie pharmaceutique alors que l'Institut qu'il dirigeait jusqu'à la semaine dernière bénéficiait de plusieurs dizaines de contrats signés avec de grands laboratoires.
Des contrats qui, aux dernières nouvelles, ne semblent heureusement pas avoir affecté l'extraordinaire travail de recherche produit par l'Institut Necker. Entre « corruption et crédulité en médecine », Philippe Even pourrait peut-être maintenant envisager qu'existe une troisième voie. Et donner l'exemple plutôt que des leçons.
Jacques DRAUSSIN

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Hypnose: ça marche et l'le prouve
Un intérêt thérapeutique et des risques limités
Des chercheurs de l'Inserm ont évalué l'efficacité de l'hypnose dans le traitement de plusieurs pathologies >>
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80% mettent en cause des facteurs extérieurs
La 5ème édition du baromètre BVA/APRIL montre que les messages de prévention n'ont pas encore porté leurs fruits >>


Rédaction: Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Publicité : Laurence LANSAC laurence@biensur-sante.com

lundi 3 août 2015

Comment compenser la chute de cheveux saisonnière de rentrée ?

Communiqué de presse
Comment compenser la chute de cheveux saisonnière de rentrée ?



Spécialiste de la chute du cheveu depuis 1968, le Centre Clauderer apporte
quelques solutions pour mieux faire face à la chute saisonnière des cheveux et ainsi, entamer l’automne avec plus de sérénité.

Paris, le 16 juillet 2015 – En été, les rayons solaires augmentent la sécrétion des hormones responsables de la croissance des cheveux et permettent ainsi une accélération de la pousse. Cependant, dès la fin du mois d’août, les cheveux commencent à tomber comme des feuilles mortes. Cette chute saisonnière d’entrée de saison correspond au retentissement hormonal des variations de luminosité et ne dure pas plus de six semaines. Si pour certains, ce phénomène passe totalement inaperçu, pour d’autres il peut
être singulier et être une source d’angoisse. Pour anticiper cette chute de cheveux, voici quelques conseils du Centre Clauderer à appliquer dès aujourd’hui !


Chute d'automne : un contrecoup de la saison estivale
Chaque année en automne, les cheveux se mettent à tomber brutalement, représentant parfois une perte de cheveux deux à quatre fois plus importante que durant le reste de l'année. S’ils sont plus nombreux à tomber, c’est parce que les cheveux arrivent plus nombreux en fin de cycle de vie. Rien de bien grave, pour autant : après quelques semaines, la chute diminuant progressivement, tout doit rentrer dans l'ordre pour revenir à la normale.


Toutefois, pendant les vacances d’été, les cheveux subissent de nombreuses agressions qui peuvent aggraver ce phénomène. Le chlore, le sel, le soleil … et les mauvaises habitudes sont autant de facteurs qui dégradent l’état des cheveux sans le savoir. En effet, l’action du soleil sur la peau et ses méfaits sont bien connus aujourd’hui, mais il ne faut pas oublier la peau dont le cuir chevelu est fait.


Si les cheveux ont déjà tendance à s’affiner ou à trop tomber, il faut se méfier du soleil, tout en sachant que les chutes de cheveux d’automne peuvent être quintuplées par les imprudences de l’été. Faire attention à l’hygiène de vie et à l’équilibre alimentaire est également indispensable pour regagner en vitalité et bien aborder le changement de saison.


Les bons gestes à adopter pour préparer la relève !
On peut anticiper cette chute d’automne grâce à des cures de compléments alimentaires par voie orale à commencer deux à trois mois en amont et à continuer jusqu'au bout. Pour lutter contre les facteurs responsables de la chute des cheveux et hâter leur repousse, ils doivent contenir les nutriments adéquats tels que les vitamines B, le zinc et les acides aminés soufrés (cystéine et méthionine). De plus, ils doivent être bien dosés et naturels.


Quand la densité de vos cheveux a déjà tendance à diminuer, en plus des cures, un traitement anti chute local s’impose. Mieux vaut d'ailleurs entreprendre ce traitement, avant même que la chute ne s'installe. Un traitement, quel qu’il soit, n’empêche pas la chute mais il agit sur les repousses, afin de les rendre aussi nombreuses, aussi fortes (voire plus fortes) et surtout plus durables que les cheveux précédents.


Passer le cap grâce à un traitement adapté
Il arrive, en effet, que ces chutes banales d'automne ne soient pas parfaitement innocentes. Lorsqu’elles persistent, c’est que d’autres facteurs sont en jeu et qu’il s’agit de troubles plus profonds. Si en glissant les doigts dans les cheveux, non lavés depuis au moins 3 jours, en partant de la racine jusqu’aux pointes, au bout de cinq reprises, plus de 15 cheveux sont récoltés, c’est que la chute est accrue et qu’il est essentiel de suivre un traitement local.
Dans ce cas, il est vivement recommandé de prendre le temps de se tourner vers des professionnels. 


En cas de doute, le Centre Clauderer - spécialiste du cheveu – prodigue, outre ses astuces et conseils, un diagnostic approfondi des cheveux accompagné d’un traitement ciblé. En effet, certains cheveux, s’ils ne sont pas aidés par un sérieux coup de pouce extérieur, peuvent repousser plus fins ou ne pas repousser du tout, rendant la chevelure, d’année en année, plus clairsemée et difficile à coiffer.


Demande de diagnostics : http://www.centre-clauderer.com/



La saga Furterer :
Le Centre Clauderer : pionnier français du traitement de la chute du cheveu depuis ½ siècle ! « La santé des cheveux pour métier, l’innovation pour tradition » Paris, le 14 avril 2015 – Fondé en 1968 par Hélène Clauderer, - fille de René Furterer - le Centre Clauderer est pionnier dans les soins naturels de pointe permettant de neutraliser les chutes de cheveux. Spécialiste reconnu des traitements à base de plantes, le Centre mène d’importants programmes de recherche en partenariat avec des instituts technologiques de premier ordre, tels que le CNRS ou encore l’INSERM. 

Ainsi, avec en 2014 un taux de satisfaction de 98,8 % de ses clients, le Centre est depuis près de 50 ans l’acteur français incontournable pour son expertise sur la santé du cheveu (casse, cheveu affiné, etc.) et le traitement de la chute.

Un savoir-faire cultivé depuis trois générations !

Le Centre Clauderer est l’aboutissement de la passion pour le cheveu d’une famille depuis trois générations. Dès sa création en 1968 par Hélène Clauderer, la fille de René Furterer, la marque Clauderer se spécialise dans la repousse des cheveux.


Elle se donne pour mission d'aider chaque homme et femme à lutter contre la perte des cheveux, souvent ressentie comme un handicap. La marque devient alors pionnière dans ce domaine. 

Ainsi, depuis près d’un demi-siècle, le Centre Clauderer est spécialisé dans le traitement de
l’alopécie, via un diagnostic capillaire et des protocoles de soins inédits. Au fil des années, le Centre, avec son équipe d’experts, est devenu une référence sur les mécanismes du cheveu et des soins associés.



Un contrat de confiance plébiscité par près de 99% des clients !

Le protocole de soins du Centre Clauderer s’appuie sur un véritable programme d’accompagnement particulier. Les spécialistes capillaires du Centre aident les clients à trouver LA solution adaptée à leur cas. Pour guider au mieux chaque personne, le Centre Clauderer propose des soins spécifiques grâce à un diagnostic complet sur mesure et un suivi personnalisé.

Suite à l’analyse des cheveux, un traitement anti-chute et un contrat personnalisés sont établis et permettent au Centre de s’engager sur des résultats précis. Aucun traitement n'est prescrit sans un diagnostic préalable des cheveux. Après 4 mois – période nécessaire au cheveu pour ingérer en profondeur les actifs présents dans les soins Clauderer –
une nouvelle visite permet de valider les améliorations et les résultats
obtenus.



Des produits naturels adaptés à chaque cas !
 Qu’il s’agisse d’une perte de cheveux ponctuelle, d’une calvitie naissante, d’une alopécie
androgénétique, masculine ou féminine, le Centre dispose de solutions innovantes pour trouver l’origine du trouble et les soins adaptés. Le Centre Clauderer est l’un des rares à proposer une gamme complète de produits naturels anti chute pour les différents types de cheveux (lisses, crépus, frisés, etc.) à la fois pour les hommes et les femmes.


Le Centre Clauderer se distingue notamment par ses produits et leurs actifs 100 % végétaux de grande qualité avec une efficacité prouvée ainsi que des résultats garantis.
La plupart des ingrédients ajoutés (adjuvants) aux produits Clauderer est d’ailleurs certifiée par ECOCERT*.




CNRS, INSERM … des partenariats de R&D pour rester à la pointe de l’innovation !  … des partenariats de R&D pour rester à la pointe de l’innovation !
 
La stratégie d'innovation du Centre Clauderer est le secret de sa performance !
 

L’excellence de sa Recherche et Développement s’appuie sur des contrats de recherche conclus avec des laboratoires internationaux comme le CNRS, l’INSERM, l’APEX Biosolutions, etc. mais aussi des facultés de médecine telles que l’Université Pierre et Marie Curie UPMC et le CHRU Besançon. Ces collaborations avec des instituts de renommée internationale, permettent au Centre la mise au point et l’élaboration de ses traitements naturels novateurs.

En effet, grâce à sa connaissance des dernières avancées mondiales, le Centre – qui grâce à sa taille humaine est resté flexible et réactif - peut proposer en avant-première des soins qui répondent parfaitement aux récentes découvertes.


Ces dernières années, les connaissances en biologie moléculaire ont par exemple permis la mise au point de la nouvelle génération de soins Clauderer, dont les sérums 6R et 7R aux complexes brevetés ont vu leur efficacité largement démontrée.


* Organisme privé de contrôle et de certification, reconnu par les pouvoirs publics. Un label remis aux producteurs respectant un cahier des charges précis en matière d’agriculture biologique et de développement durable.


Pour toutes demandes d’interviews ou d’information complémentaire contacter :
Amel TRAIKIA

Tél. : 01 48 05 09 52
Port : 06 21 36 18 40
E-mail : amelrp@live.fr

A propos du Centre Clauderer
Le Centre Clauderer est spécialisé dans la résolution des problèmes de cheveux : diagnostic poussé, traitements naturels à la pointe de l’innovation, et prise en charge des clients jusqu’à l’obtention des résultats prévus. Situé dans le 1er arrondissement de Paris, il s’agit du seul Centre capillaire à savoir s’engager sur des résultats précis.


Il propose une prise en charge directement dans ses locaux ou bien à distance.
Le Centre Clauderer est partenaire des meilleurs laboratoires de recherche en biologie (le CNRS, l’Université Pierre et Marie Curie ou l’INSERM) afin de mettre au point ses actifs brevetés 100% naturels dont l’efficacité démontrée n’a pas d’équivalent sur le marché.
Créé en 1968 par Hélène Furterer (fille de René Furterer), le Centre Clauderer est avant tout l’histoire d’une famille de passionnés du cheveu, des pionniers voulant toujours le meilleur pour leurs clients, intransigeants sur la qualité de leurs produits : naturels et fabriqués en France.


Le Centre Clauderer présente 2 innovations issues des formidables avancées dans la compréhension des mécanismes du cycle de vie du cheveu permises par l’essor de la biologie moléculaire : les Sérums 6R et 7R dont l’efficacité a été démontrée par a Faculté de Médecine de Besançon.


Pour plus d’informations sur le Centre Clauderer : www.Centre-clauderer.com