Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 18 octobre 2024

Quel est impact économique des formations de l’Afpa ?


🔷️Coûts évités grâce à l’accompagnement et à la formation des publics éloignés de l’emploi

🔹️Quel est impact économique des formations de l’Afpa ?

- Pascale d’ARTOIS, Directrice générale de l’Afpa

- Pascal KLINGER, Directeur du Centre Afpa de Stains



Présentation qui objective pour la première fois les coûts évités, l’efficience et les impacts économiques de l’accompagnement et de la formation des publics éloignés de l’emploi par l’Afpa.

👉Lundi 18 novembre 2024 de 11h00 à 13h30

Cette présentation réservée à  la presse
sera suivie d’une visite de deux plateaux de formation du centre Afpa de Stains et d’un déjeuner préparé par les stagiaires en restauration du centre.


👉Accréditation presse auprès de


mardi 21 janvier 2014

Vous avez dit mutuelle européenne...



Statut de mutuelle européenne



La Fédération des mutuelles de France se félicite de l'annonce à Strasbourg, par Antonio Tajani, vice Président de la commission européenne, du lancement d'une initiative législative en vue de l'adoption d'un statut de mutuelle européenne (SME).

Après plus de vingt ans d'attente, au cours desquels la Mutualité française, et singulièrement les Mutuelles de France ont oeuvré sans relâche pour obtenir ce statut, cette annonce mérite d'être saluée.

C'est un pas significatif et particulièrement important de reconnaissance du fait mutualiste, de ses valeurs, de son modèle démocratique, économique et social au niveau européen.

Il doit permettre d'ouvrir de nouvelles voies au mouvement mutualiste en France et en Europe.

Montreuil, le 20 janvier 2014

A propos des Mutuelles de France  La Fédération des mutuelles de France, présidée par Jean-Paul Benoit, regroupe près de 130 groupements mutualistes dont 88 mutuelles santé et 34 unions ou mutuelles gestionnaires de réalisations sanitaires et sociales qui gèrent près de 300 services de soins et d’accompagnement mutualistes (Ssam).

L’ensemble des mutuelles et unions de la FMF protègent 3 millions de personnes.

La FMF est membre de la Fédération nationale de la Mutualité française depuis l’unification du mouvement mutualiste en 2002.


mardi 22 octobre 2013

Article 39 du PLFSS 2014 et accès aux médicaments innovants


L’inégalité légale reste une inégalité? inacceptable

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale déposé devant l’Assemblée nationale par le gouvernement comporte un article 39 qui aboutit à priver certains malades de la prise en charge des médicaments innovants indispensables à leur traitement et à leur survie. L’article prévoit de restreindre l’acc?s à ces traitements aux seules situations d’urgence thérapeutique établies avant l’autorisation de mise sur le marché du médicament, tant que le prix final de remboursement n’est pas publié au Journal officiel. Cela va repousser d’un an en moyenne l’acc?s aux médicaments pour les patients correspondant à l’AMM du médicament, même s'ils sont sans alternative thérapeutique.
 

Ces patients risquent donc de voir leur santé se dégrader, et même de mourir. Nous l’avons déjà dit aux députés qui examineront à partir de ce mardi le projet de loi. Aucun n’a déposé d’amendement visant à établir l’égalité d’acc?s à l’innovation thérapeutique vitale. Dans quel pays vivons-nous ?

Seule réponse à nos interpellations : l’un d’entre eux dépose un amendement pour réclamer que le gouvernement établisse chaque année un rapport. Un rapport pour compter les morts ? C’est indécent.

 

Où sont les craintes ?

 

Que les laboratoires risqueraient d’abuser du dispositif de prise en charge dérogatoire de l’article 39. Mais, les pouvoirs publics, justement parce qu’ils sont les pouvoirs publics, disposent de prérogatives de puissance publique pour agir préventivement. Et la négociation contractuelle entre le CEPS et les laboratoires constituent un deuxi?me outil d’encadrement des risques de dérives.

 

Le gouvernement nous a opposé qu’inclure les patients sans alternative thérapeutique dans le dispositif aboutirait à aggraver le déficit de l’Assurance maladie de 3 millions d’euros par an. On sacrifie donc la santé de personnes sans alternative thérapeutique en leur refusant l’acc?s à des traitements pourtant validés par les agences de régulation du médicament.

 

Pourtant il s’agit de permettre l’acc?s à des traitements innovants essentiels, alors qu’on continue dans le même temps à financer des soins non pertinents comme le rév?lent les travaux scientifiques et les rapports des inspections et corps de contr?le.

Or des solutions existent. On pourrait par exemple choisir d’inclure cette somme dans le dispositif de droit commun qui prévoit le remboursement à l’euro pr?s par l’industrie pharmaceutique des surcoûts liés à la prise en charge dérogatoire avant la fixation du prix du nouveau traitement par le CEPS, objet initial de cet article 39.

 

C’est ce que nos associations recommandent en se tenant à disposition de ceux, parlementaires ou gouvernement, qui souhaiteraient répondre honorablement à cet épisode de la bataille permanente pour l’acc?s à l’innovation thérapeutique.

 

Les associations toujours  absentes du Comité économique des produits de santé

 

Nous rappelons que malgré la loi du 4 mars 2002, les associations d’usagers sont toujours tenues aussi éloignées du cœur de la décision dans les prises en charge qui les concernent. Elles n’ont toujours pas de représentants ni au Coll?ge, ni à la Commission de la transparence, ni à la Commission d’évaluation des dispositifs médicaux de la Haute Autorité de Santé, et pas non plus en l’occurrence au Comité économique des produits de santé.

 

mardi 8 octobre 2013

LIBRES PROPOS signés Guillaume CAIROU à propos de :

L’interdiction de l’ouverture dominicale est un poison économique et social.

Comment espérer que les étrangers comprennent la France ?

5 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté.
5 millions de demandeurs d'emploi.
1 jeune sur quatre au chômage.
Pourtant le travail le dimanche est interdit. Les salariés sont empêchés. L’économie est arrêtée.

Qui peut encore sincèrement croire pertinente une loi instaurant le principe du repos dominical remontant au 13 juillet 1906 ?

Comment se priver de l’outil précieux qu’est l’ouverture dominicale pour lutter contre la concurrence de certains modes de commerce comme le commerce en ligne sur Internet qui fonctionne en continu ?

Qui peut contester qu’ouvrir le dimanche est d’une plus grande équité dans la concurrence avec les magasins automatiques et le commerce électronique qui eux restent ouverts 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 ?

Qui peut accepter qu’une loi de 1906 continue encore longtemps de paralyser la vie économique et sociale de notre pays ?

Comment attendre pour modifier une législation datant d'une autre époque ?

Comment peut-on stigmatiser sérieusement ces employés modestes sont désireux d'améliorer par le travail leur niveau de vie dans un pays où les salaires réels sont bas ?

Remettons au cœur de notre société le dialogue social. Mettons fin à une hypocrisie insoutenable.

Qui peut douter que l’ouverture dominicale est de l'intérêt de toutes les parties : salariés, chômeurs, consommateurs et actionnaires ?

Comment accepter qu’une minorité agissante prive une majorité de salariés sincères d’avoir le droit de choisir ses moments de travail et ses moments de liberté ?

Va-t-on sincèrement priver près d'un tiers des salariés français (29 %) qui travaillent le dimanche, «occasionnellement » ou « habituellement » de leur emploi ?

Peut-on se priver des 500 postes menacés chez Bricorama ? Peut-on se priver des 15 à 20 % de son chiffre d'affaires réalisé ce jour-là par Leroy-Merlin ?

Peut-on accepter de laisser des salariés, des étudiants en situation de précarité en les privant de leurs emplois ?

Quand le travail du dimanche est payé 150 à 200% plus cher, l'attrait salarial n’est-il pas évident ?

L’intérêt économique n’est-il pas également évident pour l'entreprise alors que certaines enseignes y réalise un quart du chiffre d'affaires de la semaine qui est réalisé le dimanche matin ?

Peut-on se priver de 10 000 emplois de plus à Paris ? De 20 000 emplois supplémentaires à temps plein si l'on autorise l'ouverture 10 à 12 dimanches par an ? (Conseil du commerce de France)

Peut-on se priver des 100000 qui pourraient être créés dans celui du commerce de détail d'après une étude du Conseil d'analyse économique de 2007 ?

Comment dès lors interdire à de grandes enseignes de faire travailler des salariés qui le souhaitent le dimanche ou tard le soir alors que la rémunération horaire qui leur est offerte est supérieure de 50 % à 150 % ?

En ces temps de crise, l'emploi ne doit-il pas être la priorité du gouvernement ?

Quand va-t-on enfin ouvrir les yeux et comprendre que la durée du travail doit être conventionnelle ? Est-il si compliqué de comprendre que la durée du travail chez Sephora sur les Champs-Elysées ne peut pas être la même que dans une petite entreprise individuelle en région ?

Est-ce socialement juste de retirer les 400 € de plus sur sa fiche de paie à une jeune mère de famille ? Que vont faire les 75% de caissiers étudiants ? En effet, que faire d’eux alors que les emplois créés profitent surtout aux jeunes, qui ont des difficultés d’insertion sur le marché du travail particulièrement importantes en France.

Est-ce socialement pertinent d’interdire à chaque salarié d'améliorer son pouvoir d'achat ?

Est-ce socialement efficace de priver les étudiants d'un emploi compatible et indispensable à leur situation ?

N’est-il pas temps pour la France, qui est une des premières destinations touristiques, de permettre à la distribution française d'ouvrir le dimanche ?

Le travail du dimanche, ce sont des emplois et de la croissance ! Comment renoncer à l’ouverture dominicale alors que cette mesure est parmi celles qui vont être le plus rapidement efficaces et qui seront des accélérateurs de croissance, de création d'emplois et des développeurs de pouvoirs d'achat ?

Le principe de la liberté du commerce est-il à ce point méprisable en France ?

Comment accepter que l’on prive les consommateurs de l’extension des horaires d’ouverture ? Est-ce en effet normal de trouver logique de fermer les commerces au moment où les salariés disposent de temps pour faire tranquillement leurs achats ?

Alors que les études empiriques disponibles montrent que les expériences passées dans ce domaine ont induit des créations d’emploi, comprises entre 3 et 10 % de l’emploi du secteur, va t on persister à l’interdire au nom de principes désuets ?

Et puis, au fond, qui peut, en 2013, considérer que travailler c’est s’aliéner au point où la loi doit nécessairement l’interdire ?





A propos du Club des Entrepreneurs
:
Il compte aujourd'hui plus de 18 500 membres.
Le Club des Entrepreneurs est un réseau de créateurs et dirigeants d'entreprises qui ont tous, dans des secteurs d'activité différents, leur propre expertise, mais qui partagent une ambition commune : promouvoir l'esprit d'entreprise et le partage des bonnes pratiques entrepreneuriales.

http://www.clubdesentrepreneurs.org
@CdEntrepreneurs

A propos de Guillaume CAIROU
:
Président du Club des Entrepreneurs
PDG Fondateur du Groupe Didaxis, leader du portage salarial en France,
Mentor à la CCIP au sein de l'Institut du Mentorat Entrepreneurial de Paris (IME),
Membre de CroissancePlus,
Auteur du livre « Créer son entreprise » aux éditions Jacob-Duvernet.

mardi 24 septembre 2013

La MGEFI dans la presse...


Titre : Guillaume Gastine (Jones Lang LaSalle) : “le nord et l’est, des marchés qui restent dynamiques”...

www.immoweek.fr du 20 septembre 2013

Titre : La semaine économique, sociale et financière en France

BILANS HEBDOMADAIRES du 15 SEPT 13

mercredi 24 juillet 2013

La MGEFI invitée du café nile le 4 septembre prochain





Titre : Réseaux de professionnels de santé et assureurs complémentaires, dans l’environnement du projet de Loi Le Roux : Objectif qualité ou Objectif économique ?

 

www.miroirsocial.com du 22 juillet 2013
 

jeudi 18 avril 2013

LIBRES PROPOS : signés Jacky Lesueur

 


 

 
 
Dans un contexte économique et social qui reste hautement préoccupant, les questions relatives à la protection sociale prennent légitimement une place majeure dans les débats d’actualité, et, sur bon nombre de dossiers, tels que ceux sur le financement de la sécurité sociale, les retraites, la dépendance, les chantiers sont ouverts pour dégager des orientations et des décisions pour les mois à venir, voire la fin d’année. A l’évidence il conviendra d’y être attentifs au regard des préoccupations que peuvent susciter les  pistes qui se profilent.
 
Devant le développement des restes à charge de plus en plus importants et le creusement des inégalités face à la maladie ou aux accidents de la vie, la question de l’accès à des soins de qualité et de la réelle généralisation d’une couverture santé pour tous, reste posée avec acuité.
 
C’est pourquoi l’action sociale et solidaire que nous menons et qui se trouvera encore renforcée dans le cadre de la fusion qui se prépare avec nos amis de la MASFIP-MAI demeure essentielle, et jamais la « signature » de notre mutuelle «  Prévoir et agir ensemble » n’aura eu autant de sens.
 
Aussi importe-il de préserver et de réaffirmer avec force les principes et valeurs mutualistes que nous portons en impliquant véritablement nos adhérents au fonctionnement de notre mutuelle.
 
Les assemblées départementales en sont un moment privilégié, permettant d’échanger directement avec vos responsables locaux et nationaux, et rencontrer nos différents partenaires. Nous souhaitons vivement que cette année encore, vous soyez toujours plus nombreux à partager ce moment d’importance.
 
 
Avec nos meilleurs sentiments mutualistes
 
Jacky Lesueur




 

Mardi 4 juin 2013 : Bloquez  la journée  sur vos agendas !
 
Les Assemblées départementales MT et MGEFI se tiendront, comme l’an dernier, Salle de réunions du Conseil Général à Evreux, en présence de M.Gloux et des principaux responsables de l’équipe de Direction de la DDFIP.
 
Des convocations personnelles vous seront adressées directement et seront à joindre à vos  demandes d’autorisations d’absences.

jeudi 6 décembre 2012

Inauguration d’un nouveau centre d’insertion par l’activité économique « Bric à Brac »


sur le marché Riquet (19è) par François Hollande, Président de la République et Bertrand Delanoë, Maire de Paris
 
François Hollande, Président de la République et Bertrand Delanoë, Maire de Paris, inaugureront ce soir, jeudi 6 décembre, le nouveau centre d’insertion par l’activité économique « Bric à Brac » installé dans le marché Riquet (19è)  géré par l’association Emmaüs Défi.
La Ville de Paris et Emmaüs Défi s’engagent depuis plus de 2 ans à permettre aux personnes sans abri ou qui résident dans des centres d’hébergement à retrouver une activité professionnelle, une dignité par le travail et une dynamique globale d’insertion grâce à l’emploi. En conciliant recyclage de produits récupérés, consommation solidaire et retour à l’emploi de personnes très désocialisées,                     le « Bric à Brac » illustre l’action et la volonté de la Ville de Paris de poursuivre ses efforts et ses investissements en matière de solidarités et de développement durable. Situé à Riquet (19è), et répondant à un besoin de cohésion territoriale et sociale, le « Bric à Brac » a pu voir le jour après la rénovation de l’ancien marché couvert réalisée par la Ville de Paris  grâce à un investissement de 1.6M€.
Le concept des « bric-à-brac » repose sur l’idée qu’aucune personne n’est inemployable, dès lors qu’un accompagnement social et professionnel adapté leur est proposé. Orientées par les travailleurs sociaux des centres d’hébergement d’urgence, les personnes sont embauchées sans sélection. Emmaüs Défi s’occupe de l’accompagnement socio-professionnel des personnes embauchées tandis que les travailleurs sociaux des centres d’hébergement assurent le suivi social global de la personne : accès au logement, accès aux soins, aide à la régularisation de la situation administrative. Le projet fonctionne à partir d’un partenariat entre Emmaüs Défi et les centres d’hébergement associatifs ou ceux gérés par le Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris, pour permettre aux résidents de sortir de la grande exclusion en accédant au statut de salarié et aux droits sociaux fondamentaux. Ce dispositif, appelé « Premières Heures » et mis en œuvre au « bric à brac » Riquet, a déjà permis à 23 personnes de retrouver un emploi.
 
Accréditations auprès du service de presse de l’Elysee: organisationpresse@elysee.fr

mardi 27 novembre 2012

Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et crise économique


L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et  l’Institut Curie organisent, dans le cadre de Paris Sciences et Lettres, un séminaire.


Mercredi 5 décembre 2012


Santé, Crise économique
 Quel est l’impact de la crise sur le système de santé, son financement et la qualité des soins ?
La santé, facteur de surendettement ? Ou facteur de croissance ?

 

 

Institut Curie, Accueil 8h45 - 9h-12h30 Amphi Constant Burg
12 rue Lhomond, Paris 5e

 

 

 

Inscription obligatoire par mail : christine.roulliere@wanadoo.fr

 

 

 

 

En partenariat avec :
La Fédération Hospitalière de France, La Fédération de l’Hospitalisation  Privée, La  Fédération des  Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne, privés  non lucratifs, Le Collège des Economistes de la Santé, le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé

lundi 19 novembre 2012

22 novembre 2012 : Colloque HAS



L'évaluation économique en santé' organisé par la Haute Autorité de Santé

Programme

 

Économie, éthique et choix en santé : pour nourrir ce débat, seront présentées des expériences européennes et des exemples tirés d’autres secteurs d’activité. Les regards croisés de l’économie etde la justice sociale seront mobilisés pour analyser la relation entre préférences individuelles et préférences collectives et la place des choix en santé. Enfin, seront présentées les méthodes et techniques récentes développées en économie pour éclairer les choix publics dans ce secteur.

 

13h - 14h Accueil

 

14h - 14h30 Allocution d’ouverture

Jean-Paul Delevoye, président, Conseil économique, social et environnemental

 

Introduction

Jean-Luc Harousseau, président, Haute Autorité de Santé

 

14h30 - 16h Les choix en santé : qui choisit, pour qui ?

Alain Cordier, membre du Collège, Haute Autorité de Santé

Les apports de la justice sociale

Erik Schokkaert, professeur d’économie publique, Ku Leuven (Belgique)

 

 

Table ronde

Yves Daudigny, rapporteur général, commission des affaires sociales, Sénat

 

Alexander Eggermont, directeur, Institut Gustave Roussy

 

Hervé Gisserot, président, LIR

 

Christian Saout, président, Collectif Interassociatif Sur la Santé

 

Discussion générale – Questions/réponses avec la salle

 

Modérateur

 

Conclusion

 

Jean-Luc Harousseau, président, Haute Autorité de Santé

 

16h - 16h15

16h15 - 17h45

 

17h45 - 18h

 

Pause

 

Comment choisir ? La place de l’évaluation économique.

 

Lise Rochaix, membre du Collège, Haute Autorité de Santé

Principes économiques pour l’élaboration des choix en santé

 

Peter Smith, professeur de politiques de la santé, Imperial College London (UK)

Méthodes d’évaluation : enjeux de la médecine personnalisée

 

Mark Sculpher, professeur au centre d’économie de la santé, Université de York (UK)

Calcul économique et décisions d’investissement public

 

Luc Baumstark, conseiller scientifique, Commission QUINET,

Centre d’analyse stratégique – économiste, Université de Lyon

Choix en santé : exemples dans les systèmes de santé européens

 

Josep Figueras, coordinateur, Observatoire européen des systèmes

et des politiques de santé, OMS

 

Table ronde

Gilles Johanet, procureur général, Cour des comptes

Catherine Lemorton, présidente de la commission des affaires sociales, Assemblée nationale

 

Jérôme Wittwer, professeur, Laboratoire d’Économie de Dauphine – Laboratoire d’Économie et de Gestion des Organisations de Santé

Discussion générale – Questions/réponses avec la salle

 

Modérateur

 

Programme (suite)

 

Palais d’Iéna, siège du Conseil économique, social et environnemental 9 place d’Iéna, 75016 Paris

 

Merci de vous munir d’une pièce d’identité

 

Accès pour les personnes à mobilité réduite :

 

1, avenue d’Iéna, 75016 Paris

 

En transport en commun :

Métro :

Ligne 9 - Station Iéna

Ligne 6 - Station Trocadéro

Bus :

Lignes n°32, 63, 82 (arrêt Iéna)

 

Parking public payant :

Urbis Park Parc de stationnement Kléber-Longchamp,

265 places.

Accès : 65 Avenue Kléber, 4 minutes à pied du Palais d’Iéna

(P1)

SAEMES – Parking Quai Branly-Tour Eiffel, 508 places.

Accès : 25 quai Branly, 6 minutes à pied du Palais d’Iéna (P2)

 

Taxis :

Taxis G7 – tél : +33 1 47 39 47 39 (ou 3607)

Taxis Bleu – tél : +33 8 91 16 36 09 (ou 3609)

Pour vous rendre au Colloque

Palais d’Iéna, siège du Conseil économique, social et environnemental 9 place d’Iéna, 75016 Paris

 

Ce  munir d’une pièce d’identité

 

Accès pour les personnes à mobilité réduite :

 

1, avenue d’Iéna, 75016 Paris