MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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vendredi 8 juillet 2016
mardi 12 janvier 2016
CHIFFRE: comparatif entre secteur privé et public...
PARLONS CHIFFRE |
151 euros par an et
par salarié d'aides publiques pour l'accès à la complémentaire santé pour les
salariés du secteur privé contre moins de 6 euros par an et par agent d'aides
publiques pour l'accès à la complémentaire santé pour la moitié des agents
publics.
LE SAVIEZ-VOUS ?
SECTEUR PRIVE
50% de la complémentaire santé au minimum sont pris en
charge par l'employeur privé
8,4% des agents du secteur privé effectuent des astreintes
14,9% des agents du secteur privé travaillent la nuit entre
minuit et 5h (même occasionnellement)
25,8% des agents du secteur privé travaillent (même
occasionnellement)
SECTEUR PUBLIC
3% de la complémentaire santé sont pris en charge par
l'employeur public
16,1% des agents de la fonction publique effectuent des
astreintes
17,5% des agents de la fonction publique travaillent la nuit
(entre minuit et 5h même occasionnellement)
36,7% des agents de la fonction publique travaillent le
dimanche (même occasionnellement)
Source: INDISPENSABLES magazine de la Mutualité Fonction
publique N°4
vendredi 19 octobre 2012
Bronchiolite : l'INPES rappelle les conseils indispensables pour protéger votre bébé.
Le
froid arrive, la bronchiolite revient ! Les conseils indispensables pour
protéger bébé
La bronchiolite
est une infection qui inquiète les nouveaux parents à l’approche de l’hiver. La
difficulté d’un bébé pour respirer est toujours éprouvante pour la famille.
Mais en adoptant quelques gestes simples de prévention, les parents minimisent
les risques de bronchiolite pour leur bébé. Car la bronchiolite est une
infection saisonnière du petit enfant due à un virus très contagieux. Elle
affecte les petites bronches du nourrisson et si elle est la plupart du temps
bénigne, elle est parfois responsable de complications graves nécessitant l’hospitalisation. Elle touche
chaque année, entre fin septembre et février, près de 30 % des enfants âgés de moins
de deux ans1. A l’approche de la période d’épidémie, l’Inpes rappelle les
conseils indispensables pour préserver les bébés de ce virus dans le livret «
la bronchiolite » téléchargeable sur www.inpes.sante.fr.
On ne partage pas
ses microbes !
La bronchiolite
est une infection virale respiratoire très contagieuse. Le virus se transmet
essentiellement par voie aérienne (éternuement, toux), mais aussi par les mains
ou les objets souillés par une personne infectée. Grands et petits, nous sommes
ainsi tous des porteurs potentiels. Un rhume qui nous paraît tout à fait bénin
peut être responsable d’une bronchiolite chez les petits. Donc premier mot d’ordre
: gardons nos microbes. Pour cela :
Se laver les mains régulièrement et particulièrement après
s’être mouché.
Porter un masque chirurgical (en vente en pharmacie) pour s’occuper
d’un bébé lorsqu’on est malade ; un Français sur deux considère encore que c’est
un geste pas vraiment indispensable voire tout à fait inutile2.
En cas de rhume et de toux, ne pas embrasser un bébé sur le
visage ou sur les mains.
Eternuer et tousser en se couvrant la bouche soit avec le
coude, le bras/la manche, un mouchoir jetable.
Eviter les visites de personnes malades (enrhumées,
notamment) ou éviter de leur rendre visite avec le bébé.
Ne pas emmener le nourrisson dans des lieux publics où il
risquerait d’être en contact avec des personnes enrhumées (centres commerciaux,
transports en commun…), surtout s’il a moins de 6 mois!
Les Français sont
plutôt conscients des risques de transmission du virus responsable de la
bronchiolite2 : ils sont ainsi 70% à mentionner le risque qui existe
lorsqu’on embrasse un bébé en étant enrhumé. Pour autant, ils sous-estiment le risque
de transmission dans les lieux publics, où un enfant peut être en contact avec
des personnes enrhumées ou grippées : à peine plus de la moitié d’entre eux
considèrent en 2010 que le risque de contamination y est très important.
Pour garder les
microbes éloignés : le lavage de main et quelques bons réflexes !
Si une personne
enrhumée doit clairement faire attention avec un bébé, les virus peuvent aussi
être véhiculés par les personnes sans symptôme de rhume. Il est donc important
de garder de bonnes habitudes dont la principale est le
lavage de mains. Pour minimiser les risques de transmission au bébé, il
est conseillé de :
Se laver systématiquement les mains à l'eau et au savon
pendant au moins trente secondes avant de s’occuper d’un bébé.
Ne pas échanger les
effets personnels des différents enfants de la famille (biberons, couverts,
etc.) et les laver soigneusement.
Laver régulièrement le nez de l’enfant avec du sérum
physiologique.
1
1 Source
: Institut de Veille Sanitaire - InVS.
2 Source
: Enquête BVA 2010 menée pour l’Inpes « Attitudes et comportements en matière
de prévention de la transmission des virus respiratoires »
On préserve l’environnement
de bébé !
S’il est
indispensable d’adopter quelques gestes pour se préserver des virus, il est
aussi important de laisser son bébé dans un environnement approprié :
Ne pas exposer un enfant à un environnement enfumé, car le tabagisme
passif implique un risque accru de formes graves de bronchiolite.
Aérer quotidiennement au moins 10 minutes la chambre de l’enfant
et maintenir une température à 19°C.
Que faire si un
bébé est malade : les bons réflexes
Assez souvent
impressionnante par la gêne respiratoire qu’elle provoque, cette maladie
hivernale est le plus fréquemment bénigne. Elle peut, néanmoins, être
responsable de complications graves, en particulier chez les plus fragiles :
enfants de moins de 3 mois, bébés prématurés ou ayant des affections cardiaques
ou respiratoires. En 2009, 29 784 nourrissons de moins de 1 an ont été hospitalisés
pour une bronchiolite aiguë.3
La bronchiolite
débute généralement par un simple rhume et une toux, puis l’enfant est gêné
pour respirer et il peut présenter des difficultés pour boire et manger. Les
quintes de toux, très fréquentes, peuvent s’accompagner de sifflements. Si le
nourrisson présente des signes simples de bronchiolite, il est déconseillé de
se rendre aux urgences de l’hôpital. Il faut en revanche prendre rendez-vous
rapidement chez son médecin, qui pourra confirmer le diagnostic de bronchiolite
et prescrire des conseils et un traitement adapté.
Lorsque l’enfant a
une bronchiolite, il est important de :
Continuer à le coucher sur le dos, tout en mettant un
coussin sous son matelas pour surélever sa tête.
Lui donner à boire régulièrement.
Ne pas trop le couvrir.
Désencombrer régulièrement son nez à l’aide d’un sérum
physiologique.
« La bronchiolite », le livret à télécharger
pour tout savoir sur la bronchiolite
Comment limiter
les risques de transmission ? Que faire si bébé est malade ? Dois-je aller aux urgences
? … autant de questions que les parents peuvent se poser en période hivernale.
C’est pourquoi l’Inpes a rédigé un livret d’information à destination des
parents. Le livret « La bronchiolite » permet de faire le point sur la maladie et de répondre à
l’ensemble de ces questions. Elle est téléchargeable sur le site www.inpes.sante.fr
et est mise gratuitement à disposition du grand public chez les médecins,
pédiatres, kinésithérapeutes, dans les crèches et à la CAF.
NDLR : Chaque année la mutuelle MGEFI reconduit une Campagne d’informations à destination des adhérents
parents d’un enfant de moins de deux ans concernés par la bronchiolite. Elle
met à leur disposition un réseau de kinésithérapeutes se déplaçant à domicile
le week-end. Un numéro de téléphone leur est également dédié Pour en savoir plus rendez-vous sur le site www.mgefi.fr ou contactez votre conseiller
mutualiste
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