Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est cause. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est cause. Afficher tous les articles

mardi 14 janvier 2014

C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et de l'adolescent






 
Sous la direction de D. Annequin, B. Tourniaire, R. Amouroux
Alors que 5 à 10 % des enfants sont migraineux, le diagnostic n’est posé que pour une petite partie d’entre eux. La migraine est pourtant la première cause de céphalées intenses récurrentes chez l’enfant, la plupart des professionnels cherchant vainement une cause, et évoquant « les yeux, une gastro, les sinus ou bien une origine psy… ».
Cet ouvrage a pour double objectif de présenter l’état de la science (épidémiologie, physiopathologie, génétique…) qui s’est largement enrichi ces dix dernières années et d’apporter aux professionnels des outils concrets pour identifier les céphalées et améliorer la prise en charge des enfants et des adolescents migraineux. Les céphalées de tension, les céphalées chroniques, les syndromes épisodiques associés à la migraine sont aussi détaillés.
Vient de paraître !



Illustré de nombreuses vignettes cliniques, cet ouvrage précise les critères diagnostiques, les pièges et les idées fausses ; il décrit comment rechercher les facteurs déclenchants et particulièrement ceux d’origine psychosociale, comment utiliser et combiner les traitements médicamenteux et non médicamenteux (notamment les approches psychothérapeutiques et psychocorporelles).
Ce traité est le fruit de l'expérience d'une équipe multidisciplinaire issue



du seul centre français de référence de la migraine

de l'enfant où plus de 8 000 enfants et adolescents ont été vus en 10 ans
De nombreux cas cliniques permettront d'illustrer la prise en charge quotidienne des ces patients



Telle est l’ambition de ce livre, destiné à tous les professionnels confrontés à des enfants et des adolescents migraineux, mais également accessible en grande partie aux familles.
2014. X, 242 p. Broché.
ISBN 978-2-8178-0234-3 50 €



À propos des auteurs
Le Dr Daniel Annequin est responsable du Centre de référence de la migraine de l’enfant et de l’adolescent de l’hôpital Trousseau à Paris (plus de 8 000 patients y ont été vus) ; il est reconnu comme étant en France l’expert de la douleur de l’enfant, tant au travers de ses multiples publications que de ses responsabilités dans le second « Plan Douleur ».

Le Dr Barbara Tourniaire est pédiatre dans le Centre de la migraine et de la douleur de l’enfant de l’hôpital Trousseau, et est responsable de la commission douleur de la Société française de pédiatrie et de la Société française d’étude et de traitement de la douleur.

Rémy Amouroux est professeur assistant de psychologie clinique à Lausanne, il a travaillé comme psychologue clinicien et comme chercheur auprès d’enfants et d’adolescents douloureux chroniques à Paris et à Brest.

vendredi 20 décembre 2013

Promotion de la santé : une cause publique !

La loi de santé publique du 9 août 2004 avait une échéance quinquennale, mais elle n’a pas été renouvelée. L’actuel gouvernement s’est, dans un premier temps, engagé à déposer en 2014 une nouvelle loi de santé publique, avant de se raviser et de ne parler que d’une loi de santé… Autre signe d’inquiétude : les crédits de prévention du ministère de la santé pour 2014 vont enregistrer une baisse inédite à ce jour : moins 14 %, passant de 140 à 120 millions d’euros. A comparer, comme vient de le souligner la Société française de santé publique, aux plus de 250 milliards d’euros consacrés aux soins... alors même que la Stratégie nationale de santé que le gouvernement vient d’adopter affirme solennellement « Faire le choix de la prévention et agir tôt et fortement sur tout ce qui a une influence sur notre santé » !

 

Changer d’ère

 

Le système de santé français est hospitalo-centré. Notre culture de la santé publique n’intègre pas la prévention dans toutes ses dimensions, même s’il a connu des succès dans la prévention vaccinale ou médicale. Il faut résolument changer ce prisme car la santé publique va bien au-delà : prévention générale, éducation à la santé, promotion de la santé. Si l’on comprend bien que dans une économie en tension, des efforts financiers supplémentaires ne peuvent être demandés, ce n’est pas une raison pour nous mettre à découvert sur la promotion de la santé. Alors que des études convergentes montrent que nous dépensons mal pour les soins : 30 % des actes seraint inutiles. Autant dire que nous avons de considérables réserves : au bas mot 50 milliards d’euros. Nous pouvons donc nous offrir une politique de promotion de la santé digne de ce nom. C’est une question de courage politique.

 

Changer d’air

 

Le plus souvent notre pays fabrique de la santé publique avec des médecins. Avec raison. Mais nous avons aussi besoin de compétences non médicales, comme dans tous les autres pays du monde, où l’on mobilise des économistes, des géographes, des sociologues, des anthropologues, des élus locaux, des services publics, des entreprises. C’est ce que l’on appelle l’approche multisectorielle.

 

Mais il nous faut aussi conduire deux autres efforts. Pour impliquer les populations, sans quoi mettre plus d’argent ne servirait à rien : c’est la nouvelle logique, tant nécessaire, de la promotion de la santé. Et pour impliquer les groupes humains concernés par une vulnérabilité ou un déterminant de santé spécifiquement identifié : c’est la mobilisation communautaire bien connue des associations qui déploient leurs actions sur le terrain.

 

 

 

Nous n’attendons pas de reculades budgétaires dans la santé publique. Nous n’attendons pas non plus que l’on continue « comme d’habitude ». Nous attendons aussi des ruptures conceptuelles, méthodologiques et opérationnelles !

 Communiqué presse Le Ciss

____________________________________________________________________________________________________________________

ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR - APF - Autisme France

AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

lundi 2 décembre 2013

LE LABEL GRANDE CAUSE NATIONALE 2014


Un appel à candidature est lancé pour l’attribution, au titre de l’année 2014, du label « Grande cause nationale ».

 

Ce label, attribué par le Premier ministre, permet à des organismes à but non lucratif, qui souhaitent organiser des campagnes de communication faisant appel à la générosité publique, d’obtenir des diffusions gratuites auprès des sociétés publiques de radio et de télévision.

 

Les dossiers de demande d’attribution du label doivent parvenir par voie postale, sur support numérique en deux exemplaires, au plus tard le 8 janvier 2014, à l’adresse suivante :

 

Philippe GUIBERT
Directeur du Service d’Information du Gouvernement (SIG)
19 rue de Constantine
75340 PARIS CEDEX 07

 

Les dossiers devront nécessairement comporter les documents suivants pour être éligibles :

 

-          une présentation des enjeux autour du thème proposé ;

-          un descriptif de la campagne envisagée (thème, axe créatif, nature des actions,…) ;

-          la présentation d’un budget prévisionnel de la campagne publicitaire (coût et mode de financement de la production des spots de publicité envisagés et autres modes de communication prévus dans le cadre de la campagne) ;

-          les documents présentant les activités et statuts de l’association ou des différentes associations regroupées dans un collectif, ainsi que le dernier arrêté des comptes.

 

Toute l'information est en ligne sur : www.gouvernement.fr.

 

jeudi 17 octobre 2013

Résultats de l'enquête européenne : « Wake up bus » pour lutter contre la somnolence au volant


Le « Wake up bus » pour lutter contre la somnolence au volant :
une cause encore méconnue d’accidents de la route

 

La Société Européenne de Recherche sur le Sommeil (ESRS) lance une campagne européenne de sensibilisation et d’étude sur la somnolence au volant. Un bus événementiel, le « Wake up Bus » qui depuis le 3 octobre dernier a traversé une dizaine de pays européens pour achever son épopée hier à Bruxelles.
 

La somnolence est reconnue comme une cause importante mais encore méconnue d’accidents de la route aussi, l’ESRS a mis en place une enquête européenne afin d’estimer la prévalence de la somnolence au volant dans les 19 pays européens participants. Puis dans un second temps est arrivé le projet du « Wake up Bus » qui vient d’être présenté au Parlement Européen le 15 octobre 2013.


Les résultats  de l’enquête européenne

 

Traduites en différentes langues, cette enquête a permis de collecter plus de 12 400 réponses à travers les 19 pays participants. Ces réponses ne sont pas représentatives de l’ensemble de la population européenne mais révèlent néanmoins une forte prévalence de somnolence chez les répondants, plus particulièrement  chez les conducteurs de moins de 30 ans.
L’hypovigilance augmente également avec la distance parcourue, ainsi on remarque que les sondés parcourant plus de 20 000 km par an se sont majoritairement plaint de somnolence au volant (près de 30%).
Dans un dernier temps, cette enquête met en avant une étroite relation entre la prévalence de somnolence au volant ou d’accident dû à la somnolence et un risque accru de présenter un syndrome d’apnée du sommeil.
  

Pour télécharger l’enquête européenne en anglais, merci de vous connecter au site :
www.sfrms-sommeil.org

jeudi 10 octobre 2013

Le chiffre : 400


C'est le nombre de morts par jour du aux maladies cardiovasculaires, 1ère cause de mortalité chez la femme, 2ème chez l'homme juste après le cancer... pour autant  ces pathologies non pas la place qu'elle mérite dans le Plan santé publique. La FFC - Fédération Française de Cardiologie lance la 5ème édition du Donocoeur du samedi 26 octobre au dimanche 3 novembre 2013. Un livre blanc des Etats généraux devrait être remis au ministre de la Santé en octobre 2014.

Sources : FFC

 

En savoir plus
www.federationcardio.org / www.plan-coeur.com

mardi 26 février 2013

FEDERATION POUR LA RECHERCHE SUR LE CERVEAU



 




« Touchant  directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être « cause d’intérêt national ». Il relève plus que jamais de la vocation de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ».


Arnaud Brunel, Président de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemble 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau**.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau a pour vocation de :

Permettre au public de mieux comprendre le rôle du cerveau, son fonctionnement et ses maladies et informer des dernières avancées de la recherche en neurosciences.

Aider les chercheurs à mieux connaître le cerveau, son fonctionnement et ses maladies en contribuant financièrement à leurs travaux.

Militer pour la mise en place d’une vraie politique de santé centrée sur les maladies du cerveau.

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteur intellectuel et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…

parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau alerte l’opinion à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 sur le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ! ».

« Pour que les chercheurs travaillent et trouvent, il leur faut des moyens. C’est pour cela que la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau collecte tout au long de l’année et pendant la Semaine du cerveau sous le label « Neurodon ». Elle finance, en complément des associations membres, la recherche sur le cerveau. Celle-ci devrait être aujourd’hui la priorité pour préserver la santé de tous les citoyens ».

Professeur André Nieoullon, Président du conseil scientifique de

la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

*La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union Nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC (accidents vasculaires cérébraux) / Huntington France / La Fondation Motrice (paralysie cérébrale)).

**La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau se bat pour vaincre les maladies du cerveau. Toutes sans exception, de la plus répandue à la plus rare.

Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, l’épilepsie, la Sclérose en plaques, l’AVC, l’Atrophie multisystématisée, la dystonie, la Chorée de Huntington, les tumeurs cérébrales, la paralysie cérébrale, la Sclérose Latérale Amyotrophique) et les maladies psychiques et psychiatriques (anxiété, dépression, addictions, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs… et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives). Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.



Alerte de la Fédération pour la Recherche sur le Cerveau

La décennie à venir doit être celle du cerveau !

1/ Les maladies du cerveau sont en augmentation constante…

Plus d’1 Français sur 10

souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler

entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050*.

2/ Les maladies du cerveau sont des maladies violentes et dramatiques…

Le cerveau est l’organe clé de notre corps. Il nous permet de penser, de bouger, d’avoir des émotions…

Tout le reste de notre corps dépend de lui.

3/ Les maladies du cerveau sont un fléau social …

Bombes à retardement, les maladies du cerveau, sont pour la plupart des maladies chroniques, les patients doivent être soignés pendant 20 à 30 ans… leur coût est considérable pour la société.

Les
enjeux économiques sont à la mesure de la fréquence de ces maladies, du handicap associé et des dépenses hospitalières engendrées.


4/ La recherche sur les maladies du cerveau ne bénéficie pas

des fonds publics qu’elle mérite…

Les fonds publics alloués à la recherche sur le cancer sont deux fois plus importants que ceux attribués à la recherche sur les maladies du cerveau, alors que ces dernières coûtent à la société environ deux fois plus !**

5/ Comprendre les maladies du cerveau est un défi majeur.

Perte progressive et insidieuse de la conscience, perte de motricité, état de dépendance physique et morale, autonomie ébranlée…es maladies du cerveau sont des maladies pour lesquelles seule la recherche peut prévenir, freiner et enfin stopper l’évolution.

La recherche sur les maladies du cerveau est un enjeu à l’échelle mondiale pour le XXI
ème siècle. Les traitements qui, jusqu’à présent, n’étaient que symptomatiques et palliatifs devront être plus efficaces, préventifs et curatifs. Pour cela, il faut percer à jour le cerveau et son « code neural » !


Parce que la recherche sur le cerveau est la clé de notre futur, parce qu’il est impératif de s’organiser pour assurer un mieux-être aux patients et familles concernés.

La Fédération pour la Recherche sur le Cerveau fait front commun et revendique la mise en place d’une vraie politique de santé sur les maladies du cerveau

Maladies du cerveau : donnez avant qu’elles ne vous rattrapent !

www.frc.asso.fr

Pour donner cliquer neurodon

mercredi 23 janvier 2013

Méningite



Novartis obtient pour Bexsero®, son autorisation de mise sur le marché  Européenne, le premier vaccin européen à protéger contre la principale cause de la méningite en Europe et ses conséquences potentiellement fatales.
www.novartis.fr

PS : Un point presse sera organisé le lundi 18 février de 11h à 13h  pour présenter ce nouveau vaccin en présence d'experts.


vendredi 19 octobre 2012

Monoxyde de carbone (CO) : l'hiver de tous les dangers


Avec la chute des températures, les chauffages sont remis en route à la va-vite. Au risque de faire des victimes, comme chaque hiver. Car, hélas, l'arrivée du froid est aussi synonyme de drames domestiques. Le coupable : le monoxyde de carbone (CO). Solution : installer un détecteur de monoxyde de carbone permet d'être averti de la présence de ce gaz et ainsi limiter les conséquences dramatiques de l'intoxication.

 

1ère cause de mortalité par intoxication

Saviez-vous que le monoxyde de carbone est, en effet, la première cause de mortalité par intoxication en France. Ce gaz incolore et inodore est responsable d'une centaine de décès par an en France ainsi que de plusieurs milliers d'intoxications entraînant arrêts de travail, hospitalisations et dans un certains nombre de cas, séquelles irréversibles.

D'ailleurs, insérée dans la loi de santé publique du 9 août 2004 (objectif n° 23), la lutte contre la mortalité liée au monoxyde de carbone est devenue une des priorités nationales en santé environnementale (source INVS). Un risque domestique d'autant plus tragique que dans le cadre de son propre logement, on a tendance à se sentir protégé.

Or le monoxyde de carbone (CO) est un gaz indétectable : invisible, inodore, asphyxiant. Il se diffuse très vite dans l'environnement, provoque une « asphyxie » des cellules du sang, en prenant la place de l'oxygène et peut s'avérer mortel en moins d'1 heure (source : INPES).

Les symptômes sont toujours les mêmes : maux de tête, nausées, vomissements, fatigue, confusion, battements rapides du cœur, jusqu'à un état inconscient, des convulsions et une défaillance cardiorespiratoire conduisant au décès en cas de forte exposition.

 

Appareils à combustion ou chauffages d'appoint en cause

L'émanation de monoxyde de carbone (CO) est très souvent lié à un mauvais entretien des installations domestiques ou à des négligences. Il est produit par des appareils ou des véhicules qui brûlent des combustibles tels que du charbon, de l'huile, du gaz naturel/en bonbonne, de la paraffine, du bois, de l'essence, du diesel, etc... Les principaux responsables sont les appareils à combustion ou les chauffages d'appoint mal installés ou fonctionnant dans des pièces qui ne sont pas correctement aérées. Ainsi, ils deviennent très dangereux, surtout l'hiver, du fait que l'on pousse leur fonctionnement en continu.

Par exemple, lorsque le détecteur de monoxyde de carbone (CO) d'Avidsen détecte des niveaux anormaux de monoxyde de carbone (CO) (supérieurs à 50 ppm de CO) le témoin rouge clignote immédiatement avant le retentissement d'une puissante alarme sonore. Car de nombreux cas d'intoxication au monoxyde de carbone signalés indiquent que même si les victimes sont conscientes qu'elles ne se sentent pas bien, elles sont tellement désorientées qu'elles sont incapables de réagir d'elles-mêmes en quittant l'habitation ou en appelant à l'aide. Les petits enfants et les animaux domestiques sont d'ailleurs les premiers touchés.

 

Un détecteur de monoxyde de carbone (CO) se révèle donc indispensable pour les maisons mais aussi les garages où, une tondeuse ou une voiture, qui tourne dans un espace confiné, peut engendrer également des niveaux dangereux de monoxyde de carbone (CO). Or la détection précoce des expositions au monoxyde de carbone est capitale. En Amérique du Nord (Canada, États-Unis), par exemple, l'installation des détecteurs de monoxyde de carbone (CO) dans les logements est fréquente et les épidémiologistes ont mesuré que la généralisation de ce type d'équipement a permis de sauver des vies.

Alors pourquoi continuer à courir un tel risque en France ?

 

A propos d'Avidsen

PME française basée à Chambray-Lès-Tours (37), Avidsen conçoit, développe et commercialise des systèmes électroniques et numériques innovants,  simples d'utilisation pour la maison connectée. Après avoir été pionnière, depuis sa création en 1998, dans le domaine de la motorisation pour portails, Avidsen, présidée par Alexandre Chaverot, est devenue aujourd'hui une valeur de référence dans le  secteur de la domotique et de la confortique en Europe, en fournissant ses propres produits, ainsi que ceux des marques distributeurs de la GSB (Grande Surface de Bricolage). Avidsen détient également la licence de la marque Thomson en Europe pour l'ensemble des gammes sécurité (alarme, vidéosurveillance et interphonie) et domotique proposées sous la marque Thomson.