MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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lundi 7 septembre 2015
mardi 10 septembre 2013
Aides à la complémentaire santé : ce qu'en dit Etienne Caniard
Toutefois, prévient l'enjeu "n'est pas de diminuer les
aides à la complémentaire santé mais de les réorienter pour permettre l'accès à
une ... Etienne Caniard Pdt de la Mutualité Française,
jeudi 23 mai 2013
CMUC : Ce qu'il faut savoir...
EN PRIMEUR SUR COULEURS MGEFI DE MAI 2013
Cmuc : Le
saviez-vous ?
L’ACS : aide à la complémentaire
santé
Une aide financière pour
les assurés qui en ont vraiment besoin
L’aide à la complémentaire
santé concerne les assurés dont les ressources sont supérieures au plafond fixé
pour l’attribution de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMUC).
Délivrée sous la
forme d’une attestation “chèque”, l’ACS ouvre droit à une réduction sur la
cotisation auprès de l’organisme complémentaire.
Conditions pour en
bénéficier
• Résider en
France depuis plus de 3 mois
• Être en
situation régulière
• A voir les revenus
annuels qui ne dépassent pas les plafonds ci-dessous.
MÉTROPOLE DOM
7 934 € 8
831 €
11 902 € 13 246 €
14 282 € 15 896 €
16 662 € 18 545 €
Montants de l’aide
Le montant de l’accord varie en fonction
de l’âge du bénéficiaire.
ÂGE / MONTANT
De 16 ans/ 100 €
De 16 à 49 ans/ 200 €
De 50 à 59 ans /350 €
À partir de 60 ans/ 500 €
Comment l’obtenir ?
La demande doit être faite auprès
de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de votre domicile (imprimé disponible
sur www.ameli.fr) y compris pour les assurés affiliés à MFP Services.
NDLR : MGEFI
et CMUC
La MGEFI peut être désignée
comme organisme complémentaire pour la gestion de la couverture CMUC. Il suffi
t de le préciser lors de votre demande auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance
Maladie.
En savoir plus :
www.mgefi.fr
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www.mgefi.fr
vendredi 19 avril 2013
Stop Smocking, l'application Androïd qui aide à arrêter de fumer
Arrêter de fumer à l'aide de son smartphone Android
Stop Smoking est une application Android qui vous permet de vous assister tout au long de votre période de sevrage tabagique.
Simple d'utilisation pour configurer cette application, il n'y a qu'à renseigner sa date et son heure d'arrêt, le prix d'un paquet de cigarette et le nombre de cigarettes que vous fumiez. L'application fera ensuite le reste.
Découvrez de nombreuses statistiques
Depuis la date d'arrêt du tabac, voyez combien de cigarettes vous avez épargné, combien d'argent vous avez économisé, le temps de vie gagné...
Vous pouvez aussi voir des objectifs de santé que vous pouvez atteindre au fil des jours ainsi que des médailles que vous pouvez débloquer.
Un widget pour votre bureau vous rappellera certaines données afin d'avoir toujours un œil sur votre état de santé.
Une application qui évolue constamment, et ce, grâce à la start-up qui la développe
https://play.google.com/store/apps/details?id=stopSmoking.team.geny
Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.communique-de-presse-gratuit.com/stop-smocking-lapplication-android-qui-aide-a-arreter-de-fumer_123204.html
Stop Smoking est une application Android qui vous permet de vous assister tout au long de votre période de sevrage tabagique.
Simple d'utilisation pour configurer cette application, il n'y a qu'à renseigner sa date et son heure d'arrêt, le prix d'un paquet de cigarette et le nombre de cigarettes que vous fumiez. L'application fera ensuite le reste.
Découvrez de nombreuses statistiques
Depuis la date d'arrêt du tabac, voyez combien de cigarettes vous avez épargné, combien d'argent vous avez économisé, le temps de vie gagné...
Vous pouvez aussi voir des objectifs de santé que vous pouvez atteindre au fil des jours ainsi que des médailles que vous pouvez débloquer.
Un widget pour votre bureau vous rappellera certaines données afin d'avoir toujours un œil sur votre état de santé.
Une application qui évolue constamment, et ce, grâce à la start-up qui la développe
https://play.google.com/store/apps/details?id=stopSmoking.team.geny
Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.communique-de-presse-gratuit.com/stop-smocking-lapplication-android-qui-aide-a-arreter-de-fumer_123204.html
mercredi 20 mars 2013
Alimentation et état nutritionnel des bénéficiaires de l’aide alimentaire
Présentation des résultats de l’étude Abena 2011-2012 et
évolutions depuis 2004-2005
Les conditions de vie des
personnes ayant recours à l’aide alimentaire peuvent avoir un impact sur leur
santé, en particulier nutritionnelle. Ainsi, une première étude ABENA
réalisée en 2004-2005
avait montré la faible consommation par ces personnes de certains groupes
alimentaires (en particulier les fruits et légumes et le poisson) et leur
situation
défavorable au regard de
nombreux marqueurs de leur état nutritionnel (obésité, hypertension, déficits
vitaminiques et minéraux). Qu’en est-il aujourd’hui ? La deuxième édition de
l’étude ABENA donne un
nouvel état des lieux de la situation nutritionnelle des bénéficiaires de l’aide
alimentaire en France.
Françoise Weber Nathalie
Sénécal Thanh Le Luong Sabine Fourcade
Directrice générale de l’InVS
Directrice de l’ORS Île-de-France Directrice générale de l’Inpes Directrice
générale de la cohésion sociale
Conférence de presse
Vendredi 22 mars 2013 à 09h15
Au CAPE Grand Palais,
Cours de la Reine, Perron Alexandre
III, 75008 Paris
Métros : Champs-Elysées Clémenceau (L1
ou 13) ou Franklin D. Roosevelt (L1 ou 9)
Parking : Rond-Point des
Champs Elysées (30 av des Champs-Elysées) ou Vinci (3 av. Matignon)
InVS – Katel Le Floc’h : 01 41 79 57 54 – k.lefloch@invs.sante.fr
- Inpes – Vanessa Lemoine : 01 49 33 22 42 – vanessa.lemoine@inpes.sante.fr
ORS – Christine Canet : 01 77 49 77 46 – c.canet@ors-idf.org - DGCS
– Chimène Mandrin : 01.40.56.82.03 – chimene.mandrin@social.gouv.fr
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Françoise Weber,
Nathalie Sénécal,
nutritionnel,
Sabine Fourcade,
Thanh Le Luong
lundi 28 janvier 2013
Addiction aux jeux : Joueurs Info Service, une aide personnalisée et interactive
Quand le jeu n’est plus un jeu : vers qui se tourner si un de ses
proches est accro aux jeux ? A quel moment,
peut-on se considérer comme un joueur à risque ? Pour le joueur
occasionnel ou le joueur excessif1, pour
l’entourage ou pour soi-même, les jeux de hasard suscitent de nombreuses
questions. Si en France, un peu plus
d’une personne sur cinq joue régulièrement dans l’année, plus de 48 %
des Français entre 18 et 75 ans déclarent
avoir joué de l’argent selon le Baromètre santé Inpes 20102. Impact financier, isolement, tendances suicidaires…
les conséquences d’une pratique excessive du jeu peuvent être graves, et
parfois accentuées par la présence
d’autres addictions. C’est un sujet de préoccupation des pouvoirs
publics. Aussi, ADALIS (Addictions Drogues
Alcool Info Service) et l’Inpes lancent un nouveau portail interactif d’information
et d’aide personnalisée sur les
jeux liés à l’argent.
Addiction aux jeux : les hommes plus concernés que les femmes
Jouer est en général un loisir, une passion, une source d’excitation ou
de détente. Mais avec les jeux d’argent et de
hasard, quand le rythme s’accélère, quand on commence à perdre des
sommes importantes, on peut se demander si le
jeu reste un loisir ou s’il devient un problème voire une dépendance. En
France, selon les résultats du Baromètre santé
Inpes 2010, on peut estimer que 0,9 % des individus (400 000 personnes)
présentent un risque modéré et que 0,4 % sont
des joueurs excessifs (200 000 personnes), soit 1,3 % de joueurs dits
problématiques.
Le jeu excessif se retrouve plus souvent chez les moins de 34 ans et les
personnes ayant de faibles revenus. En France,
76 % des joueurs excessifs sont des hommes, 84 % ont entre 25 et 54 ans,
58 % déclarent un revenu mensuel
inférieur à 1 100 euros et la grande majorité vit en ville. Les montants
joués augmentent fortement avec le niveau de
risque du joueur. La part de joueurs misant plus de 1500 euros par an
concerne 3 % des joueurs sans problème, 10% des
joueurs à risque faible3, 23 %
des joueurs à risque modéré pour atteindre 48 % des joueurs excessifs.
Internet change la donne pour les joueurs
En France, la loi du 12 mai 2010 a ouvert et organisé le jeu d’argent et
de hasard sur Internet. Neuf mois après, l’offre
légale de jeu sur Internet a généré 2,6 millions de comptes de joueurs
actifs4 et 595 millions d’euros de mises (ARJEL
2011). Selon le Baromètre santé Inpes 2010, réalisé juste avant la
légalisation des jeux sur Internet, un peu moins d’un
joueur actif sur dix (9,1 %) déclarait s’y être adonné. Ces joueurs
actifs en ligne au moment de l’enquête étaient âgés de
moins de 35 ans (45,1 %) pour près de la moitié d’entre eux, et étaient
huit fois sur 10 des hommes (81,6 %). L’étude
constate que les jeux sur Internet sont plus fréquemment pratiqués par
les joueurs excessifs. Ainsi, ces derniers
déclarent y jouer en moyenne 179 fois par an contre 90 pour les joueurs
à faibles risques ou 70 pour les joueurs à
risques modérés.
Le constat d’un réel besoin d’information et de conseils pour les
joueurs et l’entourage
Jouer, s’isoler des autres, rejouer en pensant récupérer sa mise… Plus
la dépendance aux jeux s’installe, plus elle a
d’impact sur la vie des joueurs et celle de leur entourage. Les
conséquences sont diverses et les solutions pas toujours
évidentes. Vers qui se tourner ? La ligne d’écoute téléphonique «
Joueurs Info Service » (09 74 75 13 13, appel non
surtaxé) a été créée dans le but d’apporter une aide à ces personnes.
Depuis sa création en juin 2010, elle a déjà
traité plus de 32 000 appels.
En 2011, 69 % des joueurs et près de la moitié de l’entourage appelant
étaient âgés entre 20 et 49 ans. La majorité
des appels des proches provient du conjoint(e) (38 %) et des parents (26
%).
Le motif des appels est varié : 43 % des joueurs abordent leur pratique
de jeux, 36 % questionnent sur les modalités de
l’arrêt. Les aspects sociaux, essentiellement liés aux problèmes
financiers viennent en 3ème position avec 20 % des
appels. Pour l’entourage le premier besoin est celui de parler de la
pratique du jeu de leur proche, savoir quelle
attitude adopter, comment faire face au déni éventuel, agir avant le
pire. Ces problématiques représentent 71 %
des appels. Les aspects relationnels sont aussi une thématique beaucoup
plus exprimée par l’entourage que par les
joueurs avec 51 % des appels contre 14% pour les joueurs.
1 Joueur excessif : joueur répondant à des critères
indiquant qu’il est en grande difficulté par rapport à sa conduite de jeu.
2 Source Baromètre santé Inpes 2010
3 Joueur à risque faible : joueur ayant peu de chance de
se trouver en difficulté par rapport à sa conduite de jeu
4 Joueur actif : a joué au moins 52 fois et/ ou a misé
au moins 500 euros au cours des 12 derniers mois.
Joueurs Info Service : une aide personnalisée et une entraide
interactives pour les joueurs et l’entourage
L’Inpes et ADALIS lancent un nouveau site à destination des joueurs et
de leur entourage, en complément de la ligne
d’écoute Joueurs Info Service. Car avec l’autorisation des jeux en ligne
sur Internet, il est aussi important de pouvoir être
au plus proche des joueurs en ligne. « Aujourd’hui, un dispositif d’aide
à distance ne peut en effet se concevoir sans son
volet internet. Il nous faut diffuser de l’information et proposer notre
aide via ce média prédominant, et ainsi toucher un
public qui ne téléphone pas facilement et se sent plus à l’aise avec l’échange
en ligne » explique Véronique Bony,
directrice
générale d’ADALIS.
Le contenu du site a été rédigé dans le but de répondre aux
questions que se posent les joueurs et leur entourage.
Comment limiter ma pratique de jeu ? Comment gérer mes
problèmes d’argent ? Comment préserver mes finances ?
Que faire pour l’aider ? Le site délivre des conseils pratiques
et juridiques, et oriente les internautes vers des
professionnels à l’aide d’un annuaire de 3 000 structures
spécialisées en addictologie. « Les jeux de hasard peuvent
donner lieu à une vraie addiction et nécessitent à ce titre un
dispositif de soutien tout comme les autres drogues. Les
joueurs sont nombreux à se poser des questions, sur leur
pratique du jeu, certains sont dans des situations
économiques ou sociales critiques : ils ont vidé leur compte
en banque, hypothéqué leur maison… » commente le Dr
Thanh
Le Luong, directrice générale de l’Inpes.
Un site dédié à tous
Le site s’adresse aux joueurs, à l’entourage et à toute personne ayant
des questions sur l’addiction aux jeux. A travers ses
différentes rubriques, le site aide à comprendre l’univers du jeu, sa
définition, ses mécanismes. Il apporte un éclairage sur
l’attraction qu’exerce les jeux d’argent et de hasard. Pour les joueurs
et l’entourage, le site aborde les problématiques
qu’ils peuvent rencontrer et propose un moteur de recherche permettant
de trouver la structure adaptée à leur besoin
dans leur département : suivi individuel, groupe de paroles, soutien de
l’entourage sont ainsi proposés dans certains
Centres de Soins d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie
(CSAPA) formés à la prise en charge de la
dépendance au jeu.
Un site à vocation interactive centré sur l’aide
Au-delà de sa vocation informative, Joueurs Info Service propose une
véritable aide personnalisée aux Internautes.
A travers la rubrique « vos questions, nos réponses », le module de chat
individuel et le service de rappel via Internet,
chaque internaute peut obtenir une réponse personnalisée à ses questions
et échanger en privé avec un écoutant de la
ligne Joueurs info service.
La mise à disposition d’espaces publics de discussion tels que les
forums ou les chats collectifs et la possibilité de
déposer un témoignage ou de contribuer aux contenus du site en proposant
un article, un thème de chat collectif, un fil de
discussion ou en réagissant aux contributions des autres internautes
valorisent l’expérience, les connaissances et les
savoirs faire des internautes.
Si le site est avant tout centré sur l’aide, il permet aussi à l’internaute
d’être acteur et de favoriser l’entraide.
Pour voir le site : www.joueurs-info-service.fr
vendredi 21 décembre 2012
On n’en a pas fini avec le sida :
Mardi 18 décembre, à l’issue de son conseil
d’administration, Sidaction a voté ses premiers engagements financiers pour
2013. Ces fonds seront versés en début d’année 2013, ce qui permettra aux
structures et aux chercheurs soutenus, par Sidaction de se consacrer à leur
mission principale et non à la recherche de financements.
Les engagements financiers sont proposés par
des comités d’experts indépendants, afin de répondre au mieux aux besoins des
personnes vivant avec le VIH/sida et à ceux de la recherche.
2,6 M€ pour la prévention et l’aide aux malades
en France
Sidaction soutient financièrement des
associations qui oeuvrent au plus près des besoins des personnes vivant avec le
VIH en France. Nous soutenons chaque année environ 130 associations en
France. En parallèle de notre appel d’offres généraliste, nous consacrerons
284 K€ pour la prévention envers les hommes ayant des relations
sexuelles avec des hommes, 251 K€ pour lutter en milieu carcéral contre
le sida, 196 K€ pour les populations vivant dans les Départements
français d’Amérique (Guyane, Guadeloupe, Martinique) et 192 K€ pour
soutenir des programmes liés au maintien ou au retour dans l’emploi des
personnes vivant avec le VIH.
2 € pour soutenir la recherche et la qualité
des soins
Sidaction est la seule association de lutte
contre le sida en France à soutenir la recherche. Pour assurer la relève,
chaque année nous soutenons une centaine de jeunes chercheurs. Grâce aux
engagements d’aujourd’hui, nous allons apporter aux chercheurs un soutien
supplémentaire de 976 K€ et soutenir des programmes de qualité de vie et
de qualité des soins à hauteur de 283 K€. Le Fonds de dotation Pierre
Bergé financera trois nouveaux projets pour un montant de 686 K€.
1,7 M€ pour la lutte contre le sida dans les
pays en développement
Sidaction soutient 80 structures dans 30
pays en développement.La prise en charge globale des personnes vivant avec
le VIH/sida bénéficiera de notre soutien à hauteur de 696 K€. Nous
financerons à hauteur de 560 K€ des programmes en direction des enfants
et des orphelins du sida, dont le programme Paris sida sud soutenu par la
Mairie de Paris et le programme Grandir soutenu par l’Agence Française de
Développement.
De plus, Sidaction est engagée également auprès
des populations les plus vulnérables vis-à-vis de l’épidémie et financera à
hauteur de 270 K€ des programmes ciblant les travailleuses/eurs du sexe,
usagers de drogues, détenus, ainsi que des actions auprès des hommes ayant
des relations sexuelles avec des hommes à hauteur de 127 K€. Efnin 107
K€ seront consacrés à des programmes de sensibilisation, de plaidoyer et
de défense des droits des personnes vivant avec le VIH/sida avec le soutien
de la mairie de Paris.
On n’en a pas fini avec les sida : des chiffres
qui parlent d’eux-mêmes
Il y a 34 millions de personnes vivant avec le
VIH dans le monde. Il y a chaque année, 2,5 millions de nouvelles infections et
330 000 enfants infectés. Il y a 1,7 million de décès par an, soit 3 personnes
par minute.
En France 150 000 personnes vivent avec le VIH
et il y a chaque année entre 6 000 et 7 000 nouvelles découvertes de
séropositivité. On estime que 30 000 personnes ignorent leur séropositivité ou
qui ne sont pas suivies.
On n’en a pas fin avec le sida : rendez-vous
les 5, 6 et 7 avril 2013.
Sidaction
vous donne rendez-vous les 5, 6 et 7 avril 2013 pour la 10e édition du Sidaction. 20 médias partenaires relaieront les
messages de prévention, de solidarité et d’appel à la générosité.
Libellés :
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malades,
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