Nora ANSELL-SALLES

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mardi 13 mai 2014

Hypertendus : prenez vos consultations en main !

A l'occasion de la Journée Mondiale Hypertension du mercredi 13 mai, vous trouverez ci-joint le communiqué de presse "Hypertendus: prenez vos consultations en main!".


Plus de 41 millions de consultations en médecine générale par an en France1

1 ABARTHE G., 2004, « Les consultations et visites des médecins généralistes, un essai de typologie », Études et Résultats, n° 315, juin, Drees.
2 FLAHS 2012 (French League Against Hypertension Survey) : baromètre de l’hypertension en France réalisé par Kantar Health à la demande du CFLHTA – échantillon de 3 462 personnes âgées de 35 ans et plus – mai à juin 2012.

3 Didier DUHOT, Luc MARTINEZ, Pierre FERRU, Olivier KANDEL, Bernard GAVID, « Prévalence de l’hypertension artérielle en médecine générale », La revue du praticien - médecine générale, tome 16, n° 562, février 2002.



4 www.comitehta.org
Journée Nationale de Lutte contre l’Hypertension Artérielle
Mardi 17 décembre 2013
A l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (HTA), le 17 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) et la Fondation de Recherche sur l’Hypertension Artérielle (FRHTA) lancent la campagne « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! », relayée sur le site www.comitehta.org. Cette campagne a pour objectif de sensibiliser les patients aux différents types de consultations qu’ils sont amenés à suivre tout au long de leur vie - consultations de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme… - et à l’importance de s’impliquer dans la prise en charge de leur maladie.

D’après la dernière étude FLAHS 2012 sur l’hypertension en France réalisée par Kantar Health à la demande du CFLHTA, 30 % de la population française âgée de plus de 35 ans, soit 11,4 millions, est traitée par un médicament antihypertenseur². Il y a 10 ans, ce nombre s’élevait à 8,2 millions². Pour autant, seulement 54% des hypertendus traités suivraient parfaitement leur traitement2. « Les instants de rencontre entre médecin et patient sont les éléments fondateurs de la réussite de la prise en charge d’une maladie chronique comme l’HTA. Malheureusement, ils sont encore trop souvent source de non-dits et d’incompréhension mutuelle » explique le Docteur Bernard Vaïsse, Président du CFLHTA, cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille.


L’hypertension artérielle : première maladie nécessitant une consultation en médecine générale3
L’hypertension artérielle (HTA) est une maladie chronique qui touche près de 12 millions de Français ; 3 millions ne seraient toujours pas diagnostiqués. « Elle est la maladie la plus fréquente en France » indique le Pr Xavier Girerd, Trésorier du CFLHTA et cardiologue au CHU de la Pitié-Salpêtrière, Paris. Chaque année, 120 000 infarctus du myocarde4 et 130 000 accidents vasculaires cérébraux (AVC)4 sont favorisés par l’HTA dans notre pays constituant une des premières causes de handicap.

La prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) est le premier motif de consultation en médecine générale³ et nécessite des visites régulières chez le médecin portant à plus de 41 millions le nombre de consultations annuelles concernées par l’HTA en France¹. « Une personne souffrant d’HTA consulte son médecin généraliste 6 à 10 fois par an, soit pour renouveler son ordonnance, soit pour soigner les maladies fréquemment associées à l’hypertension » précise le Pr Jean-Jacques Mourad, Past Président du CFLHTA, hypertensiologue à l'hôpital Avicenne, Bobigny.



Automesure, « la règle des 3 »
Dans la semaine qui précède une visite médicale pour le suivi de l’HTA, il est conseillé d’effectuer au calme, après un repos de quelques minutes, en position assise :

– 3 mesures avant le petit-déjeuner

– 3 mesures le soir avant le coucher

– 3 jours de suite.
Relation patient-médecin : vers une meilleure prise en charge de l’HTA
Automesure, suivi de règles d’hygiène de vie, traitement... En 2012, seulement 2% des hypertendus traités et possédant un appareil d’automesure ont pris leur pression artérielle convenablement avant une visite médicale² suivant ainsi les recommandations médicales se fondant notamment sur « la règle des 3 ».

De plus, parmi les patients traités, à savoir ceux qui prennent un ou plusieurs médicaments hypertenseurs, seulement 54% suivent bien leur traitement².

85% des hypertendus ont fait prendre leur dernière mesure de pression artérielle par le médecin généraliste².

« Les patients manquent d’informations et de conseils pour prendre en charge convenablement leur pathologie. Un travail d’éducation est à faire par le médecin. Les consultations sont les moments opportuns pour aborder les différentes étapes de la prise en charge de l’HTA ainsi que toutes les questions que se posent les patients » explique le Docteur Bernard Vaïsse.


6 mois pour contrôler5 efficacement l’HTA
5 La pression artérielle est inférieure à 135 mm de mercure pour la pression systolique et inférieure à 85 mm de mercure pour la pression diastolique dans les conditions d’une mesure en automesure.

Après la confirmation du diagnostic, le médecin généraliste dispose de 6 mois pour contrôler l’hypertension artérielle de son patient. Si des règles d’hygiène de vie (pratique d’une activité physique, arrêt du tabac et/ou de l’alcool…) et une alimentation équilibrée ne suffisent pas à régulariser la pression artérielle, un traitement médicamenteux est alors mis en place par le médecin. Ce dernier peut comporter un, deux, trois, ou plusieurs médicaments. En moyenne, en 2012², une monothérapie est prescrite chez 47 % des hypertendus, 35 % des patients reçoivent deux médicaments² et 18 %, trois et plus².

« Si le patient se trouve en échec thérapeutique au bout de 6 mois, le médecin généraliste doit l’orienter vers un spécialiste qui prendra le relai » indique le Dr Bernard Vaïsse. « Les médecins prescrivent à l’heure actuelle encore trop de monothérapies alors que les bi et trithérapies s’avèrent plus efficaces pour contrôler l’HTA qui est une maladie souvent multifactorielle » précise-t-il.



« Hypertendus : prenez vos consultations en main ! » : un nouveau livret d’information du CFLHTA
Consultations de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme… Les hypertendus vont suivre tout au long de leur prise en charge différents types de consultations à des fréquences variables. « Il ne faut pas que chaque consultation soit un éternel recommencement et le patient doit savoir au devant de quoi il va », explique le Pr Jean-Jacques Mourad.

La nouvelle brochure du CFLHTA téléchargeable gratuitement sur le site www.comitehta.org présente les types de consultations, leur fréquence ainsi que tous les conseils nécessaires pour qu’une consultation soit réussie. L’ambition de ce livret est de permettre aux patients de comprendre l’intérêt des consultations d’hypertension, de bien les préparer et de les appréhender sereinement. « Les patients doivent être acteurs de leur prise en charge pour que celle-ci soit efficace » affirme le Docteur Bernard Vaïsse.



Retrouvez le livret « Hypertendus : prenez vos consultations en main » téléchargeable gratuitement à partir du 17 décembre sur www.comitehta.org
A propos du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA)
Créé en 1972, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) est une association régie par la loi de 1901 dont les missions sont de :
mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et, plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique,

entreprendre toutes les actions de formation et d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées par le CFLHTA reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie, ainsi que sur les travaux de la Ligue Mondiale contre l’Hypertension.



www.comitehta.org
A propos de la Fondation de Recherche sur l’Hypertension Artérielle (FRHTA)
La fondation de recherche sur l’HTA (FRHTA) a pour vocation d’initier et de soutenir des programmes de recherche sur l’HTA en France. Reconnue d’utilité publique, la FRHTA fait appel à la générosité du public et est habilitée à recevoir les dons.

www.frhta.org
  

mercredi 6 novembre 2013

Hypertendus : prenez vos consultations en main !


Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle

Mercredi 18 décembre 2013

A l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension Artérielle (HTA), le 17 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) lance sa nouvelle campagne « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! ». Un livret d’information téléchargeable gratuitement sur le site www.comitehta.org révèle aux patients les différents types de consultations qu’ils sont amenés à suivre tout au long de leur vie : consultations de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme…

La prise en charge de l’hypertension artérielle (HTA) est le premier motif de consultation en médecine générale1 et nécessite des visites régulières chez le médecin portant à plus de 41 millions le nombre de consultations annuelles concernées par l’HTA en France2. « Une personne souffrant d’HTA consulte son médecin généraliste 6 à 10 fois par an, soit pour renouveler son ordonnance, soit pour soigner les maladies fréquemment associées à l’hypertension » précise le Pr Jean-Jacques Mourad, cardiologue à l'hôpital Avicenne (Bobigny). « Ces instants de rencontre entre médecin et patient sont les éléments fondateurs de la réussite de la prise en charge d’une maladie chronique comme l’HTA. Malheureusement, ils sont encore trop souvent source de non-dits et d’incompréhension mutuelle » explique le Docteur Bernard Vaïsse, Président du CFLHTA, cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille. Cette brochure a l’ambition de permettre aux patients de comprendre l’intérêt des consultations d’hypertension, de bien les préparer et de les appréhender sereinement pour une optimisation de leur prise en charge.

Aujourd’hui, « près de 12 millions de Français souffrent d’HTA ; près de 3 millions supplémentaires l’ignorent. Elle est la maladie la plus fréquente en France » indique le Pr Xavier Girerd, cardiologue (CHU Pitié-Salpêtrière, Paris). Pour 2015, le CFLHTA avec plusieurs sociétés savantes3 impliquées dans l’hypertension artérielle se sont fixés, avec la Direction Générale de la Santé (DGS), l’objectif de traiter et de contrôler 70 % des patients hypertendus.

 

 

 

Þ « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »

Rendez-vous à partir du 18 décembre sur le site www.comitehta.org

pour télécharger gratuitement le nouveau livret édité par le CFLHTA

 

 

 A propos du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA)

Créé en 1972, le CFLHTA est une association régie par la loi de 1901. Ses missions sont de :

mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et, plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique

entreprendre toutes les actions de formation et d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées parle CFLHTA reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie ainsi que sur les travaux de la Fondation pour la Recherche en HTA et de la Ligue Mondiale contre l’Hypertension.

www.comitehta.org

lundi 4 novembre 2013

A la UNE sur Mine d'Infos la semaine dernière

a franchi la barre des
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visites aujourd'hui

 

HIT DES PAGES LES PLUS LUES  LA SEMAINE DERNIERE:

 


 

Si vous aussi êtes sur twitter, je vous propose de rester en contact sur la toile : @pressentinelle2

 

En dehors des infos santé/ protection sociale/ RH/ Mutuelle etc... vous retrouverez au fil de l'eau les actualités de la  Mgefi également  sur le blog Mine d'Infos : http://pressentinelle2.blogspot.fr/


 

Rappel : Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, qui vient d'être certifiée ISO 9001 par l'AFNOR le mois dernier, sont à disposition des journalistes pour livrer leur regard, témoignage, ou expertise ... pour les sujets liés à la santé ou à la protection sociale.

 



La MGEFI en faits et chiffres

■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

■ Un réseau de 800 militants.

■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *

■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR

■ www.mgefi.fr

 

 
Très bon début de semaine à tous

 

mercredi 10 avril 2013

Ostéopathie et prévention santé avec l’ESO


A l’occasion de la « Semaine internationale de l’ostéopathie », l’ESO organise
des journées d’information et de consultations ouvertes à tous

 

L'Ecole Supérieure d'Ostéopathie  Paris-Marne La Vallée organise, du 15 au 18 avril 2013, des journées d’information sur le rôle préventif de l’ostéopathie pour préserver et améliorer l’état de santé. Les personnes qui souhaitent découvrir ce qu’est l’ostéopathie, quand faut-il consulter un ostéopathe et quel est le rôle des soins ostéopathiques dans la prévention santé, sont invitées à participer aux conférences «Ostéopathie et prévention » et « Ostéopathie pour qui, pour quoi ?».

Des consultations de bilan ostéopathique, assurées par les praticiens en formation à l’ESO, sont proposées sur rendez-vous à la clinique de l’école (tel. 01 64 73 54 47).

L’ESO organise ces événements dans le cadre de la « Semaine internationale de l’ostéopathie » promue par l’OIA (Osteopathic International Alliance).

 

Conférence « Santé, ostéopathie et prévention » : lundi 15 et mercredi 17 avril à 10h
à l’ESO - Cité Descartes – 8, rue Alfred Nobel, 77420 Champs sur Marne
Intervenants : Jean-Stéphane Beaurain (DFO) et Jennifer Lewin (DFO).

 

Le but principal d’un ostéopathe demeure le maintien de l’état de santé du patient, selon une approche globale du corps et de ses systèmes fonctionnels. Une fois la maladie acquise, l’ostéopathe aide, soulage et parfois guérit, mais son action majeure trouve tout son intérêt dans l’acte de prévention. Exclusivement manuelle, l’ostéopathie est une discipline précise, minutieuse et exacte. L’intervention de l’ostéopathe est toujours parfaitement dosée.

A titre préventif, il faut consulter un ostéopathe pour faire un bilan en cas de mal de dos, à la naissance, aux premiers pas de l’enfant et à chaque rentrée scolaire, avant de démarrer une activité sportive et pour améliorer ses performances, pour préparer une grossesse, pour prévenir une scoliose, pour éviter la rechute et la récidive après un traumatisme, pour retarder le vieillissement, diminuer l’invalidité et la dépendance, etc.

 

Conférence « Ostéopathie pour qui, pour quoi ? » : jeudi 18 avril à 16h
à l’ESO - Cité Descartes – 8, rue Alfred Nobel, 77420 Champs sur Marne
Intervenant : Kévin Furst (DFO).

 

L’ostéopathie s’adresse aussi bien aux adultes, hommes et femmes, qu'aux enfants de tous âges, aux personnes âgées, aux sportifs professionnels ou amateurs. Intervenant en complément de la médecine allopathique, l’ostéopathie connaît de vastes champs d'application et peut être efficace sur : les structures articulaires et musculaires (pied, cheville, genou, hanche, coude, épaule, dents, colonne vertébrale), les tissus vivants (sanguins, pulmonaires, nerveux, osseux, conjonctifs), les tissus de soutien des organes palpables. Cette discipline traite les dysfonctions des grands systèmes du corps et agit également aux plans nerveux et psychologique en recherchant ce qui a perturbé l'équilibre du patient à différents moments de sa vie. L’ostéopathie va au-delà du symptôme en décelant dans le corps les étapes décisives de l’histoire du patient et permet d’identifier des traumatismes même très anciens.

 

Consultations de bilan ostéopathique
Prises de rendez-vous au 01 64 73 54 47.
Ouverture de la Clinique Ostéopathique de l’ESO : du lundi au samedi, de 8h00 à 19h00
Adresse : 12, rue Galilée 77420 Champs-sur-Marne ; RER A - Station « Noisy-Champs »

 

L’ESO est membre de l’OIA (Osteopathic International Alliance), qui est l’initiateur de la « Semaine internationale de l’ostéopathie ». L’OIA est la principale organisation internationale chargée par la profession ostéopathique d’œuvrer pour une unité ostéopathique et de plaider pour des soins de santé ostéopathiques de haute qualité. Elle a pour objectif notamment de promouvoir l'excellence dans l'enseignement ostéopathique, la recherche et la prestation des soins de santé. Actuellement, à peu près 75,000 ostéopathes venant de 5 continents et de plus de 20 pays différents sont représentés par l’OIA.

 
 

A propos de l’ESO : L’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO) Paris-Marne la Vallée a été créée en avril 1990. Etablissement d’enseignement supérieur privé agréé par le Ministère de la Santé, l’ESO accueille de 700 à 800 étudiants par an, tous niveaux d’études confondus. L’enseignement est assuré par un corps professoral de plus de 190 enseignants: ostéopathes professionnels français et étrangers, spécialistes du corps médical, scientifiques, universitaires, chercheurs, assistants de cours. L’ESO dispense un enseignement supérieur long post-bac de 5000 heures minimum, dont 1000 heures de pratique, sur 6 ans minimum, répartis en 3 cycles universitaires, conformément aux normes européennes et aux recommandations de l’OMS. L’Ecole dispose d’une clinique intégrée avec 40 salles de consultation et d’une unité de recherche. Le troisième cycle de l’ESO est à la fois international et universitaire avec la possibilité d’obtention d’un Master universitaire de recherche (Msc) et de conclure par un doctorat Es-sciences en partenariat universitaire. Les Ostéopathes, diplômés de l’ESO et des universités partenaires, forment ainsi les cadres français de la recherche appliquée à l’ostéopathie. Des formations spécifiques et pointues aboutissant à des Certificats d’Etudes Spéciales (CES) permettent aux diplômés de devenir des spécialistes dans certains domaines de la santé. Le Titre National d’Ostéopathe délivré par l’ESO est enregistré au RNCP niveau 1.


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mercredi 13 février 2013

Si l'info sécu vous intéresse...


Dossier pharmaceutique : deux millions de consultations par semaine et un nouvel hébergeur


05/02/13 - Lors d'une conférence de presse le 31 janvier 2013, relayée par une dépêche TIC Santé, la présidente de l'Ordre national des pharmaciens a tiré un bilan positif du dossier pharmaceutique (DP), notant que 97 % des officines y sont maintenant raccordées et ont créé, au 28 janvier, plus de 24 millions de dossiers.

 Mieux, le DP est consulté en moyenne deux millions de fois par semaine. 663 établissements de santé se sont portés volontaires pour mettre en place le système au sein de leur pharmacie à usage intérieur (PUI), sur 2 600 au total en France. 29 conventions ont été signées et quatre établissements sont déjà installés. Le DP va changer d'hébergeur en 2013. Avant l'été, Docapost (filiale de La Poste) remplacera Santeos. Concernant les fonctionnalités, une étude pilote débutera en janvier sur la mise en place d'un système "d'information remontante", pendant de "l'information descendante" déjà en place et qui permet à l'Ordre de communiquer rapidement auprès des pharmaciens toute information sur des alertes sanitaires (dernièrement utilisée pour Diane 35 et de ses génériques). Le DP va se tourner vers l'évaluation avec, à la mi-mars, un appel à candidatures lancé par l'Ordre pour faire des études selon trois axes : les pratiques professionnelles des pharmaciens, ce qui a changé socialement entre professionnels de santé et l'impact médico-économique sur l'organisation des soins. Enfin, la présidente de l'Ordre a souligné l'intérêt des données anonymes relatives au médicament issues du DP dans un contexte de suivi sanitaire. La loi permet à trois acteurs, le ministère de la Santé, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et l'Institut national de veille sanitaire (InVs) d'y accéder. Elle a indiqué à ce titre que l'Ordre avait transmis des données sur les pilules sans vouloir préciser lesquelles.
> Dépêche TIC Santé

Transparence, transparence, transparence !


08/02/13 - Décidément, la transparence dans le domaine de la santé et de ses technologies semble devenu un concept très en vogue. Rappelons d'abord l'appel à la transparence sur les données de santé au service de la santé publique (voir ma Lettre n° 538), dont le site dédié vient d'être mis à jour avec entre autres une intervention de la ministre Fleur Pellerin.

 N'oublions pas les déclarations du LEEM, qui dans le cadre de la loi Bertrand (le "Sunshine Act" à la française) se déclare désormais favorable à la transparence des pratiques. La fédération LESSIS n'est pas en reste, avec la poursuite de son "opération transparence" sur les pratiques dans le domaine des systèmes d'information hospitaliers. Mais c'est une autre transparence que viennent de pointer plusieurs média, à commencer par le site Actusoins qui a mis en lumière les fuites de dossiers nominatifs des patients de plusieurs hôpitaux français, ouverts à tous les vents et disponibles par une simple requête avec Google. Cet épisode éclaire le fossé croissant qui se creuse entre des mesures de sécurité toujours plus lourdes er contraignantes imposées par les services de l'Etat dans le domaine des données de santé et la pratique des utilisateurs, notamment hospitaliers, qui ridiculisent l'arsenal technique et réglementaire.
> Le site sur la transparence des données de santé
> "2013, An I de la transparence"
> "Les données médicales confidentielles accessibles sur le web" - ActuSoins 8 février 2013
> Blog du Monde Big Browser 5 février 2013

 

Les sites français de vente en ligne de médicaments sans ordonnance fleurissent dans la confusion


06/02/13 - Depuis le 31 décembre dernier, la vente en ligne de médicaments sans ordonnance est possible en France, depuis la publication du décret d'application de l'ordonnance du 19 décembre qui transposait les dispositions européennes.

Les Echos font un point de situation sur le Web. "Un peu plus d'un mois plus tard, un certain désordre règne dans le paysage de la vente en ligne". Ainsi, "la création de nouveaux sites n'est en principe pas autorisée avant le mois d'avril afin de laisser aux ARS et au Conseil de l'Ordre chargés de les homologuer le temps de s'organiser", rappelle le responsable de LaSante.net, l'un des deux sites d'officines qui avaient devancé le décret. Mais voilà, "de nombreux sites ont fleuri depuis le début de l'année, sans la moindre autorisation", ne respectant pas la réglementation. Les infractions constatées "ne sont d'ailleurs pas toujours délibérées car les textes ne brillent pas par leur simplicité", constate le quotidien qui souligne que "la France est le seul pays européen à limiter le commerce en ligne aux seuls médicaments en accès direct (situés devant le comptoir) et non à l'ensemble des produits sans prescription. Avec de surcroît des critères incompréhensibles".
De son côté, Michel-Edouard Leclerc regarde de près la vente en ligne de médicaments. Le distributeur estime que "la vente sur Internet se soldera par une baisse moyenne de 20 à 30 % à terme. Le problème, avec le système actuel, c'est que les pharmacies qui vont se lancer sur le Web n'auront pas les moyens logistiques d'une livraison nationale"...
> L'article des Echos du 5 février 2013

Sources :

Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

mardi 15 janvier 2013

Complémentaire santé pour tous les salariés :


une déception programmée ?

 A la grande surprise des acteurs de santé, et en particulier de ceux représentant les usagers qui n’ont à aucun moment été associés à la proposition, l’accord sur la sécurisation de l’emploi débouche notamment sur la création d’une obligation de complémentaire santé pour tous les salariés en France.

 
Le principe d’une telle disposition pourrait présager d’une meilleure couverture santé pour un nombre important de salariés, en particulier au sein des petites et très petites entreprises, qui ne pouvaient jusqu’à présent bénéficier de contrats collectifs dont on sait pourtant qu’ils sont en général plus protecteurs que les contrats individuels.
 

Toutefois, nous craignons que cette avancée pour l’accès aux soins se révèle, en l’état, illusoire :

 

-       D’abord parce que le fait de rendre les complémentaires systématiques pour tous les salariés pourra servir de prétexte à entériner le retrait de l’Assurance maladie, en permettant d’accentuer plus encore les transferts de charges du régime obligatoire vers celui des complémentaires.

 

-       Cela alors que, contrairement à ce qui est laissé entendre par le qualificatif de « complémentaire santé généralisée », une partie de nos concitoyens n’y aura toujours pas accès puisqu’elle ne concernera que les salariés. Nombre d’étudiants, de retraités, de professions indépendantes, de personnes sans emploi…, resteront confrontés aux difficultés d’accès aux contrats individuels de complémentaires santé, difficultés encore augmentées du fait que les contrats collectifs seront par ailleurs plus courants : ceux qui ne pourront toujours pas y avoir accès se verront donc d’autant plus discriminés.

 
-       Ensuite, y compris pour ceux qui pourront en bénéficier, la couverture proposée est insuffisante pour permettre un réel accès aux soins, en particulier à ceux faisant l’objet d’un renoncement pour raison financière à savoir le dentaire, l’optique et les actes ou consultations avec dépassements d’honoraires. En effet, la protection proposée est annoncée comme étant bien inférieure à celle de la CMU-C, ce qui n’est pas acceptable pour assurer un accès satisfaisant aux soins requis par la population.

 
Pour les représentants des usagers, une complémentaire santé généralisée ne peut s’entendre que comme réellement universelle, c’est-à-dire accessible à l’ensemble de nos concitoyens dans des conditions encadrées qui assurent à la fois un tarif juste et équilibré pour chacun des souscripteurs, ainsi qu’un panier de soins garanti. Deux conditions indissociables pour dépasser les inégalités connues entre les niveaux de prise en charge proposés par les complémentaires santé suivant qu’elles sont souscrites dans un cadre individuel ou collectif.

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