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samedi 9 septembre 2023
lundi 20 février 2023
Le 2ème Tournoi douanier de football SAID BELQOLA se tiendra à Genève du 6 au 8 septembre 2023
dimanche 22 janvier 2023
RENCONTRE avec l'écrivain✒️ Éric Bohème
En bon bohémien, Éric Bohème partage son temps entre le Berry, la Côte d’Ivoire et… bien d’autres lieux et pays.
Son premier roman Zone 4, a rencontré un vive succès auprès du public.
Revisitant ses racines berrichonnes, ses textes ultérieurs renvoient à un univers provincial qu'il décrit avec originalité et sensibilité. A l'occasion de la sortie de son dernier roman " le café du Centre" Mine d'Infos lève un coin du voile du parcours d'un écrivain atypique.
https://pressentinelle2.blogspot.com/2023/01/cest-lire-le-cafe-du-centre-de-eric_16.html
- Quel est le fil conducteur de votre parcours d'écrivain ?
Raconter des histoires sans manichéisme, dans lesquelles je n’oppose pas un « bon » et des « méchants » : mes personnages ont leurs défauts, leurs faiblesses et en ce sens, ils sont profondément humains.
- De quel livre avez-vous eu le plus de mal à accoucher ?
Aucun ! J’ai plus d’idées de livres à écrire que de temps à leur consacrer.
- Comment choisissez-vous le thème de vos livres ?
Je ne choisis pas, il vient à moi. Dernier exemple : je séjournais en Thaïlande cet hiver et une trame romanesque m’est apparue. Peut-être verrez-vous un jour publié : « Le mirage thaï »
Idem pour les personnages : ils se mettent très vite à vivre dans l’histoire « sans mon autorisation ».
- Comment organisez-vous vos journées pendant l'écriture d'un livre ?
Je ne les organise nullement. Quand j’ai de la disponibilité, j’écris, à n’importe quel moment. Simplement, quand j’écris un roman je me coupe des réseaux sociaux qui sont chronophages.
- Quelle est votre plus beau souvenir d'écrivain ?
Lorsque des hôtesses de bars de la Zone 4, à Abidjan, m’ont remercié d’avoir témoigné avec justesse de leur environnement et de leur vie.
- Avez-vous des regrets sur un projet qui n'a pas vu le jour ?
Non
- Vous partagez votre temps entre le Berry, la Côte d’Ivoire et bien d’autres pays. Comment vous organisez vous ?
Je planifie trois voyages à l’étranger par an, très variés : la Pologne, le Sénégal, la Thaïlande, Oman, la Norvège… Et j’ai parfois des « crises » qui me font soudainement partir en France, à l’aventure ; par exemple à la recherche de toutes les gares d’une voie de chemin de fer.
- Quand est née votre passion pour la Côte d’Ivoire ?
En 2002. Le lendemain de mon arrivée s’y déclenchait un coup d’Etat : ambiance !
- Pourquoi avoir choisi de vous installer dans le Berry ?
Mes parents y habitaient, j’y ai passé, enfant, mes vacances ; et j’étais las des contraintes de la vie parisienne.
- Quelles sont vos activités en Berry ?
Je suis correspondant local d’informations pour le quotidien régional et pour des municipalités.
- Quel regard portez-vous sur le métier d’auteur aujourd'hui ?
Il donne l’impression d’une course d’obstacles dont on semble ne pas voir la fin : convaincre un éditeur de vous publier, faire en sorte que le livre soit distribué partout, qu’il soit présent sur les tables des libraires, obtenir des « papiers » dans la presse, participer à des Salons du livre…
- Pour conclure : et si c'était à refaire, que changeriez-vous dans votre vie ?
J’aurais aimé commencer à écrire plus tôt : j’ai encore tant de livres dans la tête !
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles auprès de Éric Bohème
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Côte d'Ivoire : ALERTE INFO
COMMUNIQUE DE PRESSE
https://vm.tiktok.com/ZMLu1Q6vt/
Abidjan – 23 mars 2022 – A la suite de son discours à Songon, le 19 mars 2022, des adversaires politiques, aidés en cela par une certaine presse telle que Jeune Afrique, ont grossièrement tenté de faire passer les propos du Président Laurent GBAGBO
comme étant « éthnicistes » et visant à une « manipulation des masses » pour « un repli identitaire ».
Ces allégations prêteraient à sourire si l’histoire récente de la Côte d’Ivoire n’avait pas été aussi dramatique.
L’urbanisation sauvage de la ville d’Abidjan a eu des conséquences sociales et environnementales graves. Cela est un fait que le Président Laurent GBAGBO a tenté d’expliquer sous un angle historique.
Qui peut sérieusement feindre d’ignorer la surpopulation à Abidjan, la paupérisation des habitants, et l’explosion de la délinquance ?
L’enjeu est de savoir quelle solution y apporter et non pas de s’enfermer dans un « tout va très bien » appuyé par
une « émergence » illusoire pour la plupart des ivoiriens.
Le Président Laurent GBAGBO a donc invité le PPA-CI à faire un travail en profondeur d’analyse sur le développement de la ville d’Abidjan, pour ne plus reproduire les mêmes erreurs dans les autres villes du pays, et d’y apporter des solutions concrètes.
Cette préoccupation n’est pas ethnique mais environnementale et sociale.
Le développement du pays ne peut se faire sans ses populations. Tenter de le faire et poursuivre cela est dangereux. Tel est le message que le Président Laurent GBAGBO a lancé lors de son discours.
L’environnement doit être une préoccupation nationale et non une question ethnique.
Ces préoccupations environnementales ne se limitent pas à la ville d’Abidjan. En effet, il est regrettable que l’industrie mondiale du chocolat, par exemple, soit le premier facteur de déforestation en Côte d’Ivoire.
Il est regrettable qu’un grand nombre de parcs nationaux et d’aires protégées de Côte d’Ivoire aient été entièrement ou presque défrichés, et remplacés par des exploitations de cacao.
Il est dramatique que l’éléphant, symbole de notre pays, ait vu son espèce ainsi que d’autres, décimés, en raison de la conversion des forêts à d’autres fins.
Aujourd’hui, la couverture forestière est presque inexistante.
Parmi les causes de la déforestation, il est dénoncé « l’application insuffisante des lois ».
L’incapacité du gouvernement ivoirien à lutter efficacement contre cette déforestation aurait même été fortement critiquée, dans une lettre adressée au Premier Ministre de la Côte d’Ivoire, par notamment l’Union Européenne et la France.
Compte tenu de cette situation, le Président Laurent GBAGBO a nommé Monsieur LOKROU Vincent-Pierre, au sein du Conseil Stratégique et Politique, avec une mission particulière sur les questions environnementales.
Les effets d’annonce et les nouvelles politiques qui n’existent que sur papier ne permettront
pas la reforestation de nos forêts, la hausse du pouvoir d’achat, et la lutte contre la précarisation de nos populations.
Il est vraiment temps de cesser ces vaines manipulations journalistiques et politiciennes.
La Côte d’Ivoire mérite mieux, et ne saurait se voir privée du vrai débat sur les questions notamment sociales et environnementales par une loi de Godwin tropicalisée.
Me Habiba TOURE
Porte-Parole du Président du PPA-CI
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