Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est Complémentaire. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Complémentaire. Afficher tous les articles

mercredi 31 août 2022

Un nouvel allié des femmes pour un meilleur confort urinaire

nouveauté des Laboratoires CCD : Gyndelta® PC, complément alimentaire pour un meilleur confort urinaire, notamment après les rapports sexuels.
Le saviez-vous ?
Même si la période estivale est plus propice aux infections urinaires, type cystites, ce problème touche les femmes tout au long de l’année.

Demandez conseil à votre médecin traitant ou votre pharmacien.

vendredi 28 mars 2014

Le Best-of de la semaine


a franchi la barre des


207 065
visites aujourd'hui



 


HIT DES PAGES LES PLUS LUES DE LA SEMAINE:
 
 
 Abonnez-vous à Mine d'Infos sur twitter
Retrouverez au fil de l'eau les actualités Mgefi sur : http://pressentinelle2.blogspot.fr/


Rappel : Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR sont à disposition des journalistes pour livrer: regard, témoignage, ou expertise ... sur tous sujets liés à la santé ou la protection sociale.
 
La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 350 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
■ www.mgefi.fr


TRES BON WEEK-END A TOUS
Mardi prochain c'est le
 
 
 
Méfiez-vous!

mercredi 12 février 2014

Adhérer à la MGEFI simple comme un clic !

Adhérer


MGEFI, la mutuelle référencée des ministères économique et financier.

Une complémentaire santé et prévoyance adaptée à votre statut et à vos besoins, ainsi qu'à ceux de vos proches.
En savoir plus Demande de Devis

jeudi 28 novembre 2013

ASSUREURS: Vous avez dit activisme....

Dans le climat exacerbé actuel, il faut souligner que, pour les philosophes grecs, seule la discussion débouche sur la vérité. L’anathème est l’expression de l’ignorance.

Activisme des assureurs

On peut comprendre l’activisme des assureurs face à la généralisation de la couverture complémentaire de santé. Le marché est d’autant plus attractif que l’obligation d’assurance facilite la vente, ce qui mérite d’être mis en parallèle avec le peu d’intérêt manifesté jusqu’ici pour la commercialisation des contrats de prévoyance dans les TPE, sauf pour le dirigeant. Mais il ne faut pas se tromper sur l’avantage dont va bénéficier le salarié.



 Lire l'article :
http://www.miroirsocial.com/actualite/9448/les-acteurs-de-la-prevoyance-et-l-interet-economique-general

mercredi 20 novembre 2013

ALERTE INFO : 11ème colloque professionnel IPSE le 22 novembre 2013 dès 8h30 17-21, place Etienne Pernet, Paris 15ème


 

Généralisation de la complémentaire santé :

quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires ?

 

Vendredi 22 novembre 2013

de 8h30 à 13h00

 

accueilli par le groupe Macif: 17-21, place Etienne Pernet , Paris 15e

 

Compte-tenu des aléas législatifs et alors que le PLFSS 2014 est en cours d’adoption, les modalités de  la généralisation de la complémentaire santé  continuent de faire débat y compris chez les fonctionnaires. De nombreux défis demeurent. Ils tiennent à la place, au rôle des organismes complémentaires et à l’accès aux soins. Ils portent également sur l’articulation nécessaire avec l’assurance maladie obligatoire et la rénovation des contrats solidaires.

 

 

La généralisation représente un progrès puisqu’il va permettre d’augmenter la couverture de millions de salariés. Mais cette avancée pose incontestablement un certain nombre de questions.

 

En premier lieu, la généralisation de la complémentaire santé ne va-t-elle pas avoir pour effet d’augmenter des inégalités flagrantes et croissantes puisque les jeunes en situation précaire, les chômeurs de longue durée et les retraités, populations qui ont le plus besoin d’une complémentaire, ne sont pas visés par cette généralisation ? La complémentaire santé obligatoire ne va-t-elle pas par ailleurs encourager indirectement au désengagement de la Sécurité Sociale, clé de voûte d’une protection sociale solidaire, dans la prise en charge des soins ambulatoires ? Ne risque-t-on pas en outre de voir s’aligner les garanties de la complémentaire santé vers un minimum fixé par le panier de soins et se développer en sus un « marché » de la sur-complémentaire santé ?

 

La généralisation de la complémentaire santé appelle avant tout à couvrir et accompagner les personnes dans leur parcours de santé tout au long de la vie. Cela ne peut se faire qu’avec une coopération étroite entre le régime obligatoire et les régimes complémentaires, mais aussi avec les collectivités territoriales telles que les conseils généraux, les intercommunalités et les régions. La généralisation de la couverture santé ne pourra donc être réussie que si un certains nombres de défis sont relevés, comme la rénovation des contrats solidaires et responsables, une clarification de la participation des complémentaires à la gestion du risque ou encore une meilleure articulation avec l’assurance maladie de base.

 

PROGRAMME

 

08h30 Accueil des participants

 

09h00 Allocutions de bienvenue

 

Gérard Andreck, Président du groupe Macif

 

Alain Chenot, Président de l’Ipse

 

Animation de la matinée : Jean-Marie Spaeth, Président du GIP Santé et protection sociale internationale

 

 

09h20 Mise en perspectives des enjeux de la généralisation de la complémentaire santé et du rôle des acteurs de la protection sociale

 

Jean-François Chadelat, Président d’honneur du Fonds CMU

 

09h40 Table ronde 1 : Le point de vue des opérateurs

Michel Régereau, Président du conseil de la CnamTS

• Paul Grasset, Directeur général de ProBTP

• Joseph Deniaud, Président d’Harmonie Mutuelle

• Serge Brichet, Président de la MGEFI, Vice président MFP, membre du groupe Istya

 

10h30 Débats avec les participants

 

11h00 Pause

 

11h15 Table ronde 2 : Le point de vue des décideurs

Véronique Descacq, CFDT

Geneviève Roy, CGPME

Philippe Thouron, UPA

Michel Dieu, FO

 

12h15 Débats avec les participants

 

12h45 Conclusions

Valérie Devillechabrolle, Rédactrice en chef, Protection sociale Informations

 

13h00 Cocktail déjeunatoire

 

Renseignement et Inscription : Ipse - 92, boulevard de Magenta - F 75010 Paris
Tél. 33 1 40 37 13 88 - Fax : 33 1 40 36 07 65 - europesociale@euroipse.org

 

 

Coup de projecteur
 
MGEFI ET IPSE
09h40 Table ronde 1 : Le point de vue des opérateurs
 
Michel Régereau, Président du conseil de la CnamTS
• Paul Grasset, Directeur général de ProBTP
• Joseph Deniaud, Président d’Harmonie Mutuelle
• Serge Brichet, Président de la MGEFI, Vice président MFP, membre du groupe Istya

 



 


Contact presse MGEFI

Nora Ansell-Salles




Vous n’avez pu assister au colloque
mais souhaitez recevoir le Cpte rendu
Merci d’adresser votre demande par mail :

 

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

■ Un réseau de 800 militants.

■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR

jeudi 7 novembre 2013

Le groupe MGEN fait évoluer son pilotage exécutif

Depuis la rentrée 2013, le groupe MGEN a mis en place une nouvelle organisation des responsabilités au sein de son Bureau national et structuré les directions opérationnelles en 4 grands pôles.

 
Les fonctions dirigeantes assumées par des élus mutualistes sont dorénavant structurées selon les livres du Code de la mutualité : mouvement mutualiste, offre d’assurance maladie et mutualiste, offre sanitaire, médico-sociale et sociale.

Les directions opérationnelles sont réparties entre 4 Directions Groupe Adjointes (DGA) : « Assurance obligatoire et complémentaire », « Santé, sanitaire et social », « Finances » et « Affaires générales ».

       


 

En savoir plus :
Benoît Coquille
Direction de la Communication – Relations presse
01 40 47 23 92/ BCOQUILLE@mgen.fr
3, square Max Hymans - 75748 PARIS cedex 15
Retrouvez les communiqués sur la page presse de mgen.fr
Twitter : @groupe_mgen
 

NDLR : MGEFI et Groupe MGEN  Istya
Istya en campagne : le film !                               
  • La MGEFI et son environnement                               
  • Des faits et des chiffres                               
  • Liens                      

  • vendredi 19 juillet 2013

    La Mutualité Française salue le travail accompli par le Haut Conseil pour de l’Assurance Maladie (HCAAM) sur la généralisation de la complémentaire santé


    La Mutualité Française appelle depuis longtemps à l’ouverture d’un débat national sur la place de la mutualité et des complémentaires santé dans l’organisation de la protection sociale afin d’inscrire leur intervention dans une double logique de défense de l’accès aux soins et de recherche d’efficience de la dépense.

     

     Elle se félicite que la Ministre des Affaires sociales et de la Santé ait saisi le HCAAM de ce sujet et se félicite également de l’avis adopté aujourd’hui, qui ouvre des pistes importantes pour définir les principes de la généralisation de la complémentaire santé en rénovant les contrats responsables et solidaires et en adaptant leur fiscalité.


    Au-delà de ce constat, la Mutualité Française estime cependant que l’avis du HCAAM doit être complété sur plusieurs points et réellement traduit dans les faits:

     

    - Les contrats solidaires et responsables doivent être à la fois suffisants pour un réel accès aux soins, nécessaires et limités pour mettre fin aux effets inflationnistes responsables de l’augmentation des restes à charge tout en restant accessibles à l’ensemble de la population. Le risque, faute d’ambition et de sélectivité dans les critères des contrats responsables, est celui d’un développement massif des « sur-complémentaires » qui réduirait la généralisation de l’accès aux complémentaires à une illusion.

     

    - L’objectif de proportionnalité entre les aides et incitations fiscales et le degré de contraintes qui pèsent sur les contrats responsables pour concourir à l’intérêt général doit être clairement affirmé. Ce principe de proportionnalité doit guider la convergence des aides existantes vers un système équitable, cohérent et responsabilisant pour les acteurs de la complémentaire. Il doit également accompagner la diminution de la TSCA pour favoriser l accès à des complémentaires solidaires et responsables

     

    Par ailleurs, la Mutualité Française note avec satisfaction que le HCAAM souligne l’intérêt des réseaux pour modérer les tarifs et améliorer la qualité des prestations.

     

    Il est à cet égard paradoxal, qu’au moment même où cette orientation est adoptée par le Haut Conseil, qui regroupe l’ensemble des acteurs du système de santé, la Commission des affaires sociales du Senat propose de limiter les possibilités des mutuelles de conventionner, par des amendements à la PPL Le Roux. Elle prend ainsi le risque de favoriser les excès tarifaires plutôt que de privilégier l’accès à des soins de qualité et l’accompagnement de dispositifs conventionnels tels que le contrat d’accès aux soins pour les médecins libéraux.

     

    La Mutualité Française attend du Gouvernement, sur tous ces sujets, des décisions courageuses et rapides, conformes à ses engagements.

     

    À propos de la Mutualité Française

     

    Présidée par  la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

     

    Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

     

    Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

     

    La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


     

    LIBRES PROPOS signés LECISS à propos de la complémentaire pour tous


    Sur saisine de la ministre des affaires sociales et de la santé, le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie a reçu pour mission de prendre position sur les solutions à mettre en œuvre pour parvenir à l’objectif de généralisation de la complémentaire évoqué par le Président de la République, le 20 octobre 2012, à Nice, dans son discours de clôture du 40ème congrès de la Mutualité Française.

    De fait, nous avançons, notamment parce que l’Accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, transcrit dans la loi du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi, va permettre à 400 000 personnes environ d’accéder à une complémentaire dans le cadre de leur entreprise. Pour autant, il reste, selon l’avis que le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie a adopté ce jeudi 18 juillet 2013, environ 1 000 000 de personnes qui attendent encore de pouvoir « s’offrir » une complémentaire.

    L’avis dégage deux voies pour permettre une véritable généralisation

    D’une part, des mesures autour de l’aide à la complémentaire santé (ACS) : en augmentant son montant pour les plus âgés qui sont confrontés aux contrats les plus onéreux, et en offrant aux salariés les plus pauvres la possibilité de payer leur couverture complémentaire collective au moyen de cette ACS.

    D’autre part, renforcer la couverture des personnes modestes non couvertes par un contrat collectif (notamment les retraités, les jeunes sans emploi, les chômeurs…) et éligibles à l’aide à la complémentaire santé : soit en créant une nouvelle catégorie de contrat de groupe à adhésion individuelle, soit en leur étendant le bénéfice de la CMU-C.

    Un nécessaire effort d’information et d’accompagnement

    Cependant, malgré leur intérêt, ces possibilités supplémentaires d'accès à une complémentaire restent surtout complexes et peu lisibles, voire contre productives dans la perspective d'une généralisation. Nous le regrettons et continuons à penser qu’il aurait été plus simple de se centrer sur la création d'une CMU-C contributive sous un plafond à déterminer. Néanmoins, dans ce contexte, le Collectif interrassociatif appelle à ce que les conclusions de l’avis soient prises en compte :

    -      pour garantir la plus parfaite information des consommateurs sur les solutions nouvelles offertes au titre de la généralisation de la complémentaire ;

    -      pour renforcer la lisibilité des contrats, qui n’a guère été améliorée par la Charte adoptée par l’Unocam en octobre 2010 ;

    -      pour une régulation renforcée des contrats solidaires et responsables, en prévoyant notamment un « contrat socle » comportant des garanties minimales par rapport à un prix de référence ;

    -      pour que des réseaux de soins puissent proposer aux adhérents des complémentaires des tarifs plus accessibles dans les domaines de l’optique, du dentaire, et de l’appareillage auditif, pour lesquels la prise en charge par l’assurance maladie obligatoire est depuis maintenant longtemps largement minoritaire.

     

    Compte tenu des engagements financiers consentis par l’Etat, le Collectif interassociatif sur la santé estime :

    - qu’au préalable à la généralisation de la complémentaire santé, une réflexion collective doit être menée pour définir de façon pérenne ce qui doit entrer dans le cadre de la prise en charge solidaire dont l’assurance maladie obligatoire reste dépositaire, ainsi que ce qui doit être intégré dans un contrat socle complémentaire généralisé ;

    - que le prochain PLFSS devra prévoir des dispositions obligeant l’UNOCAM à remettre chaque année au Parlement un bilan du coût de la généralisation de la complémentaire santé et de ses effets sur l’accès aux soins.

     

    ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

    APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

    France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

    SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH