MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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mercredi 22 avril 2015
mercredi 28 août 2013
Coup de projecteur sur la Prévoyance MGEFI
La couverture MGEFI
comprend la santé, la prévoyance, les pertes de salaire, des services et
l'accès à l'action sociale de la mutuelle de rattachement.
Perte de salaire
Fonctionnaire :
Incluse dans les 3 couvertures
santé proposées par la MGEFI, cette garantie permet de répondre à la
spécificité du régime de la Fonction publique.
Conjoint :
En tant que conjoint de fonctionnaire, vous pouvez
également être couverts par la MGEFI face à la perte de revenus en cas d'arrêt
maladie.
NDLR : MGEFI et PREVOYANCE
Le saviez-vous ?
Coup de projecteurs sur 9 exemples sur
79…
Rendez-vous sur mgefi.fr pour découvrir
les autres
Restons en
contact durant l’été
samedi 24 août 2013
Prévoyance des fonctionnaires : le saviez-vous ?
La couverture MGEFI comprend la santé, la prévoyance, les pertes de salaire, des services et l'accès à l'action sociale de la mutuelle de rattachement.
Perte de salaire
Fonctionnaire :
Incluse dans les 3 couvertures santé proposées par la MGEFI, cette garantie permet
de répondre à la spécificité du régime de la Fonction publique.
Conjoint :
En tant que conjoint de fonctionnaire, vous
pouvez également être couverts par la MGEFI face à la perte de revenus en cas
d'arrêt maladie.
NDLR : MGEFI et PREVOYANCE
Le saviez-vous ?
Coup de projecteurs sur 9 exemples sur 79…
Rendez-vous sur mgefi.fr pour découvrir les autres
jeudi 14 février 2013
«Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien »
Ce lundi, une femme de 76 ans, malade d'Alzheimer, a été retrouvée morte à 2 km de l'hôpital où elle résidait dans le Maine-et-Loire (49) après avoir trompé la vigilance du personnel. Un nouveau drame symptomatique des dangereuses errances des malades d'Alzheimer qui préoccupent les pouvoirs publics. Plus d'une dizaine de malades errent chaque jour en France, selon l'association France Alzheimer. Ainsi, Michèle Delaunay, la ministre en charge des personnes âgées vient de lancer une réflexion sur les dispositifs de géolocalisation.
«
Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien des personnes dépendantes, comme une chute, un robinet laissé ouvert ou une prise de médicaments oubliée,... », explique Alexandre Chaverot, Président d'Avidsen, spécialiste des objets connectés pour l'habitat.
«
Les progrès de la domotique et des objets connectés, enfin accessibles au plus grand nombre, ouvrent des perspectives bien plus innovantes et intéressantes qu'un simple « mouchard » pour prévenir dès aujourd'hui ce genre de drame en particulier, et permettre, en général, à toute personne en perte d'autonomie de continuer à vivre dans son cadre habituel, en toute sécurité. », ajoute-t-il.
Le vieillissement de la population française conduira dans les années à venir à une augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes : 1 200 000 personnes seront dépendantes en 2040, contre 800 000 actuellement (source : INSEE). Mais, d'une part, personne ne peut prédire quelle sera l'évolution de la prise en charge de la dépendance à l'avenir par les pouvoirs publics. D'autre part, la solidarité familiale pourrait diminuer du fait de la baisse du nombre d'enfants par famille et de l'éclatement géographique des familles. Or, de nombreuses études, notamment l'enquête HID (Handicaps-Incapacités-Dépendance), montrent bien que le rôle du conjoint, des enfants et même des petits enfants, est primordial dans la réussite du maintien à domicile des personnes âgées dépendantes.
La maison connectée, une vraie solution pour "bien vieillir"
Ainsi, la maison connectée avec ses objets intelligents, capteurs, outils de contrôle et de communication à distance apparaît désormais comme une solution incontournable pour bien vieillir.
« Avec une box domotique et des objets connectés appropriés, c'est l'habitat qui s'adapte à chacun et non plus l'inverse. Vous créez ainsi, très simplement, selon des scénarios de vie sur mesure, les conditions indispensables pour faciliter, dans la maison et à distance, le quotidien des personnes en perte d'autonomie et leur maintien à domicile en toute sécurité. », explique Alexandre Chaverot.
Par exemple, pour les malades d'Alzheimer, une sortie inopinée, une absence prolongée ou l'absence d'ouverture de l'armoire à pharmacie, sont automatiquement détectées et signalées par SMS. Il est possible aussi d'installer des détecteurs de gaz ou de fuite d'eau qui alertent l'occupant, ou son entourage à distance.
Pour les personnes à mobilité réduite, des commandes centralisées pour la fermeture de volets, de portes... peuvent être mises en place afin de limiter les déplacements.
Pour éviter les risques de chutes, des chemins lumineux peuvent s'activer avec un seul et même interrupteur.
Une box domotique permet en effet de commander tous les équipements de la maison (éclairages, motorisations...) via des interfaces simples et intuitives, à partir d'un ordinateur, un smartphone ou une tablette tactile, où que l'on soit géographiquement, via Internet.
Elle permet également de contrôler les accès au domicile (interphones) et de tout visualiser à distance où que l'on soit (caméras de vidéosurveillance) et même d'enregistrer ces séquences vidéo.
La box domotique permet, en outre, grâce à des systèmes d'alarme, des caméras, des détecteurs d'incidents domestiques ou médaillon pour appel d'urgence, d'être informé en temps réel de l'état de la maison (incendie, inondation, fuites...) et de la santé des proches (inactivité, malaise, chute...) qui y résident en recevant une alerte SMS, un appel vocal ou un e-mail. Un système qui permet également de visualiser la personne et de rentrer en communication avec elle.
Les nouvelles technologies de la communication et de la domotique se révèlent ainsi une chance, aujourd'hui, pour soulager les aidants des malades d'Alzheimer et permettre, d'une manière générale, aux seniors en situation de perte d'autonomie, demain, de conserver dignité et qualité de vie en toute sécurité.
A propos d'Avidsen :
PME française basée à Chambray-Lès-Tours (37), Avidsen conçoit, développe et commercialise des systèmes électroniques et numériques innovants, simples d'utilisation pour la maison connectée.
Après avoir été pionnière, depuis sa création en 1998, dans le domaine de la motorisation pour portails, Avidsen, présidée par Alexandre Chaverot, est devenue aujourd'hui une valeur de référence dans le secteur de la domotique et des objets connectés en Europe, en fournissant ses propres produits, ainsi que ceux des marques distributeurs de la GSB (Grande Surface de Bricolage). Avidsen détient également la licence de la marque Thomson en Europe pour l'ensemble des gammes sécurité (alarme, vidéosurveillance et interphonie) et domotique proposées sous la marque Thomson.
mercredi 23 janvier 2013
Communiqué de presse conjoint Ministère de l'Intérieur, Ministère des Affaires Sociales et de la Santé et Ministère de l'Ecologie, du Développement Durable et de l'Energie
Le Premier Ministre a confié au
ministère de l’Intérieur le soin d’activer la cellule interministérielle opérationnelle
afin de coordonner l’action des différents ministères impliqués dans le suivi
de la situation de la société « Lubrizol » implantée à Rouen. Sont notamment
concernés, les ministères de l’Intérieur, des Affaires sociales et de la Santé
et de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie.
Un point de situation a été fait en liaison avec l’exploitant
et les services déconcentrés de l’Etat en Haute-Normandie.
Il est confirmé que, depuis l’arrêt de l’exploitation
industrielle lundi soir, les émanations entraînent des nuisances olfactives qui
ne présentent pas de risque pour la santé.
Conformément à ses obligations, l’exploitant a présenté aux
services de l’Etat un processus technique pour rendre complètement inertes les
produits industriels, et ainsi, mettre un terme aux émanations et aux désagréments
qu’elles entraînent.
Le processus technique proposé
par l’exploitant est en cours d’examen. Après cet examen et prise en compte des
modalités techniques nécessaires, il sera mis en œuvre par la société, sous
contrôle des services de l’Etat. Les opérations pourraient dans ce cas
commencer en début de soirée.
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sociales
mercredi 16 janvier 2013
L'INED présente le 24 janvier deux études récentes
LE POINT PRESSE DE
L'INED
Jeudi 24 janvier 2013 à 09H30 salle Sauvy à l'Ined
133, boulevard Davout 75020 PARIS
(Métro Porte de Bagnolet ou Porte de Montreuil, tramway : arrêt Marie de Miribel)
Jeudi 24 janvier 2013 à 09H30 salle Sauvy à l'Ined
133, boulevard Davout 75020 PARIS
(Métro Porte de Bagnolet ou Porte de Montreuil, tramway : arrêt Marie de Miribel)
L'Institut national d'études démographiques présentera,
dans un point presse le jeudi 24 janvier à 9h30, deux études récemment
parues.
I. Depuis plus de 50 ans, des enquêtes menées en France
montrent que l'on ne rencontre pas son conjoint n'importe où. Entre les années
1960 (moment où paraît Le Choix du Conjoint d'Alain Girard, récemment réédité
chez Armand Colin) et les années 2000-2010, beaucoup de choses ont changé. Le
conjoint n'est plus le premier partenaire sexuel. L'union libre puis le Pacs se
sont installés dans le paysage, de même que de nouveaux modes de communication.
L'enquête Contexte de la sexualité en France, réalisée par l'Ined et l'Inserm
pour aborder les transformations de la sexualité, permet aussi de décrire la
formation des couples. Les lieux où les jeunes rencontrent leur premier
partenaire sexuel et leur premier conjoint ont-ils changé depuis les années
1960 ? Y a-t-il toujours des différences entre les milieux sociaux ? Les femmes
et les hommes connaissent-ils les mêmes expériences ? L'étude présentée par
Michel Bozon et Wilfried Rault (Ined) aborde toutes ces questions.
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