Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 1 juin 2016

Coup de projecteur sur : Eg’art



Donnez un "coup de pouce" à l'association en relayant largement l'information dans vos réseaux. Merci d'avance pour eux.

Le 6 juin prochain, 
les artistes de l'association seront les invités d'honneur
 de la 9è édition du Prix Ocirp Handicap à la Maison de la Radio à Paris, 
A cette occasion  ils exposeront leurs œuvres
 et distribueront le catalogue réalisé.

  
COUP DE PROJECTEUR SUR :
 Eg’art

Eg’art - pour un égal accès à l'art a pour objet de permettre aux personnes isolées ou dans une situation porteuse d’exclusion (en situation de handicap mental ou psychique, enfermement, maladie…) ayant un talent avéré dans le domaine des arts visuels, d’exposer et de vendre leurs œuvres (peinture, dessin, sculpture, installation, photographie, vidéo…).

Aujourd'hui Eg'art représente : 
Eszter FORRAI, Gaël DUFRENE, Luca BLOOD, François PEETERS, Yaniv JANSON, Emmanuel MAROE, Nicolas SIMON, Philippe DELAGE, Jérôme TURPIN, Yvo KONINGS, Sébastien PROUST,  Louis-François TONNELLE, Julien DEMERVAL, Stéphane LEDROIT et Grégoire KOUTSANDREOU.

Premier portrait réalisé en partenariat avec Lindependante Productions " Gaël Dufrene, le dessinateur de machines".

Extrait du journal de Gaël Dufrene daté du 18 juillet 2015:
"CHERS TOUS, CHERE MATHOUZE, CHERES FRANGINES,
Branle bas de combat...tout le monde sur le pont!
La semaine dernière Bernadette me gâte en m'annonçant par courriel que j'aurai le droit à un article de 8 pages sur mes activités dessinatrices dans le magazine Artension, rubrique HEROS! N° 133, de Septembre/Octobre 2015.
Une revue qui je crois est publiée a quelques 50 000 exemplaires.
Puis mercredi, Eg'art m'a demande pour le lendemain après-midi si j'étais libre pour photographier une douzaine de dessins de locomotives et d'autres machines par un professionnel Monsieur Erwan Caté - pour ledit article dans Artension...On ne demande plus 12 mais 50 pour faire aussi un catalogue!
Mille millards de mille bises habituellles,  
LE GALOUP"

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Mais aussi....Sébastien Proust qui a vendu sa première œuvre, en Juin 2015.

"Sébastien est très heureux et fier. C'est vraiment revalorisant pour lui. Merci encore de votre dévouement auprès de tous ces artistes en quête de reconnaissance afin de pouvoir s’apprécier en tant qu'individu à part entière. Merci mille fois pour eux."
Madame Laborrier Proust Lydie, sa maman.






Grégoire Koutsandréou vend sa première oeuvre avec Eg'art dès son entrée dans l'association, lors de l'exposition "Sans Exclusion" organisée dans une galerie d'art contemporain à Paris en décembre 2015.



L’association joue le rôle d’agents d’artistes. A ce titre, elle fait connaitre et reconnaître par les milieux artistiques et culturels des artistes à part entière ; dont la situation particulière rend difficile l’accès aux circuits culturels et artistiques.
Nous conseillons les artistes afin que soit protégée leur propriété artistique;nous organisons des expositions et nous vendons leurs œuvres de façon à ce que les artistes soient rétribués équitablement.


Bernadette Grosyeux (à g.), Gaël Dufrene et sa maman, à l'esposition "Sans Exclusion", organisée en partenariat avec la galerie Celal à Paris, du 15 au 23 décembre 2015.





A quoi va servir le financement ?



Ne bénéficiant d'aucun soutien public pour notre action, nous faisons aujourd'hui appel à vos dons pour réaliser le premier catalogue des artistes de l'Association Eg’art.
Les catalogues seront mis à disposition des artistes afin qu'ils présentent leur travail. Les catalogues seront aussi diffusés auprès des annonceurs, des collectionneurs, des amateurs d'art afin qu'ils découvrent nos artistes et leurs œuvres.

A propos du porteur de projet



Eg’Art propose à ceux qui le souhaitent et qui sont sélectionnés (nda : l’association s’est dotée d’un comité de sélection artistique composé par des acteurs du milieu de l’art), une aide pour entrer sur le marché de l’Art puisque le contexte de création des ateliers dédiés à l’expression plastique n’est pas neutre et ne répond pas à l’environnement artistique.
Eg’Art part du principe que chacun, selon son talent, devrait pouvoir prétendre à une reconnaissance artistique basée exclusivement sur l’œuvre d’art créée, qu’il n’est pas normal d’être marginalisé, catégorisé ou cantonné à une activité artistique dans le cadre du médico-social.
Eg'art représente des personnes désireuses d’accéder à la reconnaissance du milieu artistique et culturel, de communiquer sur leurs œuvres en somme d’acquérir une identité professionnelle, un statut celui d’artiste à part entière.
               
                                                                                     - - -

• Vous voulez connaître le travail des artistes accompagnés par l’association, exposer,  vendre ou acheter leurs œuvres,
• Vous connaissez une personne dans une des situations évoquées qui peint, dessine, photographie, sculpte, réalise des vidéos ou des installations ou crée régulièrement,
• Vous êtes dans une de ces situations de création,
• Vous voulez des informations sur l’association ou nous proposer un partenariat,
• Vous voulez vous faire connaître ou faire connaître le travail de votre établissement (dans le domaine culturel, artistique, social, médico-social, sanitaire, psychiatrique…) ou intégrer notre réseau,
• Vous souhaitez obtenir, de manière individuelle ou collective, des informations juridiques (droits d’auteurs, statuts d’artistes, contrat…) ou concernant le fonctionnement des milieux artistiques et culturels.

Contact :
Association Eg'Art - Pour un égal accès à l'Art
6 rue de La Gabrielle 77 411 Claye-Souilly cedex
http://www.egart.fr/

lundi 17 mars 2014

Inflib.com : site d’accompagnement à l’installation des infirmiers libéraux


Inflib.com : site d’accompagnement à l’installation des infirmiers libéraux

Le site Inflib.com, dédié aux infirmiers libéraux, développe un service innovant, unique en France : l’accompagnement des infirmiers désireux de se lancer dans le secteur libéral. Des premières démarches administratives au développement de l’activité, les consultants d’Inflib.com accompagnent les infirmiers dans l’aventure libérale pendant leur première année d’installation.
Un secteur en plein essor

Les services de soins à domicile sont en plein essor. Ce secteur d’activité est en développement constant et créateur d’emplois depuis une dizaine d’années. Pourtant, nombreux sont les infirmiers qui hésitent à se lancer dans une carrière libérale. "A cause notamment de la complexité des démarches et des informations contradictoires véhiculées sur le net", explique Abdel Iazza, infirmier libéral depuis 9 ans, webmaster et consultant du site Inflib.com. "C’est pourquoi notre site propose un accompagnement des infirmiers libéraux, des démarches administratives à l’installation, et jusqu’au développement de l’activité sur un an".



Plus de 200 infirmiers se sont lancés dans l’aventure libérale


Le site Inflib.com apporte d’abord aux infirmiers des réponses claires concernant les premières démarches à suivre pour une installation en libéral. Puis organise des réunions d’informations tous les mois à Paris. "Des séances en petit comité durant lesquelles nos intervenants indépendants et expérimentés - infirmiers libéraux, experts-comptables et experts en protection sociale - apportent des réponses précises aux infirmiers tentés par l’activité libérale. Depuis 2011, plus de 200 infirmiers se sont lancés dans l’aventure libérale après avoir suivi nos réunions d’informations", commente Abdel Iazza.



Un accompagnement personnalisé, étape par étape


Le site propose ensuite un accompagnement personnalisé dans toutes les étapes d’installation en activité libérale : d’abord un examen du projet du candidat, expertise du secteur géographique de la future installation, potentialité de la patientèle, estimation de revenu, aides possibles… L’infirmier bénéficie d’un suivi dans ses démarches administratives, reçoit des conseils lors de son implantation, pour ses équipements matériel et informatique, rachat ou cession de patientèle, gestion administrative et comptable de son cabinet, fiscalité... Les consultants et intervenants d’Inflib.com apportent un accompagnement personnalisé tout au long de la première année d’installation afin de développer l’activité. "Notre but est d’aider à l’installation d’infirmiers libéraux qui font appel à nos services et de pérenniser leur activité", conclut Abdel Iazza.



A propos de Inflib.com :


Le site Inflib.com fait appel à des consultants métier qui conseillent et soutiennent les infirmiers libéraux sur des problématiques liées à l’installation et à leur pratique. Les intervenants d’Inflib.com sont des infirmiers libéraux expérimentés, des experts-comptables, des consultants en protection sociale et des experts juridiques. Abdel Iazza, infirmier libéral, a notamment participé à la création des sites spécialisés Espaceinfirmier.com, Soignants.com et Actusoins.com.



Pour plus d’informations : www.inflib.com

mercredi 9 janvier 2013

A propos de la proposition de loi relative à la régulation de l’installation des antennes relais de téléphonie mobile


L’Académie nationale de médecine a pris connaissance de la proposition de loi N° 531 relative à la régulation de l’installation des antennes relais de téléphonie mobile déposée à l'Assemblée nationale, le 1er octobre dernier, par Jean-David Ciot, député d'Aix-en-Provence.1

Tout en adhérant à la demande de nos concitoyens en faveur de davantage de débat public et de transparence dans la décision en santé publique élargie aux questions environnementales, l'Académie regrette une initiative fondée sur un flou scientifique et réglementaire qui, ne pouvant se prévaloir en dernier recours que du principe de précaution, est de nature à renforcer artificiellement chez nos concitoyens un sentiment de peur et de défiance injustifié, mais préjudiciable en termes de santé publique.

Dans la perspective d'un débat parlementaire sur le sujet, l'Académie souhaite que les arguments scientifiques ne soient pas encore une fois occultés ou déformés. C'est pourquoi elle tient à rappeler ses précédentes mises au point 2 et à rectifier, références à l'appui, les erreurs et imprécisions contenues dans cette proposition de loi.


1. Le classement en « possiblement cancérigène » (2B) par le Centre International de Recherche sur le

Cancer (CIRC) ne concerne pas les antennes relais mais les portables, dont les niveaux d’émission sont

très différents. En effet, les antennes de téléphonie mobile entraînent une exposition aux champs

électromagnétiques 100 à 100.000 fois plus faible que les téléphones portables : être exposé pendant 24

heures à une antenne à 1 volt par mètre donne la même exposition de la tête que de téléphoner avec un

portable pendant 30 secondes.

On ne connaît aucun mécanisme par lequel les champs électromagnétiques dans cette gamme d’énergie et de

fréquence pourraient avoir un effet négatif sur la santé. Le rapport scientifique de l’Agence Française de

Sécurité Sanitaire Environnementale et au Travail (Afsset) sur les radiofréquences, d’octobre 20093, a

montré que les hypothèses concernant les mécanismes biologiques qui auraient pu être à l’origine d’un effet

sanitaire des radiofréquences n’ont pas été confirmées :

! les champs électromagnétiques utilisés en téléphonie mobile ne génèrent pas de radicaux libres de

l’oxygène et ne potentialisent pas le stress oxydant (p 152) ;

! ils ne sont ni génotoxiques, ni co-génotoxiques, ni mutagènes (p 165) ;

! il ne semble pas exister d’effet inducteur non thermique des radiofréquences sur l’apoptose

cellulaire, en particulier pour les cellules d’origine cérébrale (p 170) ;

! ils n’ont pas d’effet cancérogène ou co-cancérogène (p 174) ;

! ils n’ont pas d’effet délétère sur les cellules du système immunitaire (p 177) ;

! les travaux conduits depuis 2005 convergent vers une absence d’effet sur la barrière hématoencéphalique

pour des niveaux d’exposition (DAS) allant jusqu’à 6 W/kg (p 183) ;

! ils ne modifient pas la sécrétion de mélatonine (p 215) ;

! ils ne provoquent pas d’augmentation d’incidence ou l’aggravation de cancers expérimentaux dans

les conditions testées (p 401) ;

! à ce jour, aucun mécanisme d’interaction onde-cellule n’a été identifié (p 25) ;

! aucune preuve n'existe à ce jour que l’utilisation régulière de téléphone mobile augmente le

développement de cellules cancéreuses ou pré-cancéreuses et n'augmente ainsi, du fait de ce

mécanisme de « promotion », le risque de tumeur intracrânienne (p 249)

! les antennes-relais n’émettent pas de basses fréquences (p 96) ;

Ce rapport conclut : « Au vu de l’analyse détaillée et critique des travaux effectuée par le groupe de travail,

et compte tenu par ailleurs de l’état antérieur des connaissances, aucune preuve convaincante d’un effet

biologique particulier des radiofréquences n’est apportée pour des niveaux d’exposition non thermiques,

dans les conditions expérimentales testées. « (p 400). Ces conclusions rejoignent l’avis unanime d’autres

expertises collectives (OMS4, Scenihr5, rapport Zmirou6,, OPECST7 ou ICNIRP8) qui confirment l’absence

de risque des antennes-relais.

Comme le Health Council des Pays Bas9, qui lui dénie toute valeur scientifique, le rapport Affset 2009 récuse

les conclusions du rapport Bioinitiative 2007 : « Le rapport BioInitiative doit donc être lu avec prudence : il

revêt des conflits d’intérêts dans plusieurs chapitres10, ne correspond pas à une expertise collective, est de

qualité inégale selon les chapitres et est écrit sur un registre militant » (page 324).

2. L’électrohypersensibilité. A ce jour, aucun système sensoriel humain permettant de percevoir les champs

électromagnétiques utilisés par la téléphonie mobile n’a été identifié. Des dizaines d'études ont été

effectuées ; elles ont montré à la quasi-unanimité que les sujets se disant électrohypersensibles, bien que

manifestant des troubles variés en présence de dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques, sont

incapables de reconnaître si ces dispositifs sont actifs ou non. Les études suggèrent un effet nocebo (inverse

de l’effet placebo : troubles relatés résultant d’un mécanisme psychologique) et des facteurs neuropsychiques

individuels11. L’angoisse et des perceptions somatiques très variées en présence d’émetteurs de

champs électromagnétiques peuvent justifier une prise en charge adaptée. L’Académie déplore d'autant plus

que ces troubles, pouvant entraîner de graves handicaps sociaux, soient utilisés à des fins contestables au

détriment des intéressés.

3. 0,6 V/m ; La demande d’abaisser les valeurs limites à ce niveau n’a aucune justification

scientifique12. Ce dogme est fondé sur la recherche d’une protection (avec un facteur de sécurité de 500)

contre un effet qui en réalité n’existe pas13. De plus, paradoxalement, dans certains cas, au contraire, en

multipliant les antennes-relais (ce qui réduit leur zone de couverture), la puissance d'émission du portable

augmente chaque fois que l’on passe d’une zone de couverture à une autre. L’exposition au téléphone

portable étant 100 à 100.000 fois plus élevée que celle aux antennes, on risque donc d’augmenter, sans

justification, l’exposition des quelques 90% des français qui utilisent un portable, ce que précise clairement

le rapport Afsset 2009 : « le groupe de travail recommande de peser avec soin les conséquences d’une telle

réduction, notamment : 1) en terme de multiplication du nombre des antennes ; 2) et en terme

d’augmentation possible de l’exposition de la tête aux radiofréquences émises par les téléphones mobiles14.

L’Académie nationale de médecine met en garde contre une instrumentalisation systématique des

inquiétudes de l'opinion par la réduction de la complexité de la science et de la technologie à des

amalgames associant des données erronées ou imprécises. Une telle instrumentalisation aboutit à une

information biaisée par des a priori sans fondement scientifique et à invoquer le principe de précaution

de manière abusive et trompeuse.

Références

[1] http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/propositions/pion0531.pdf.

[2] Académie nationale de Médecine. Les risques des téléphones portables :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1412

Académie nationale de Médecine. Les risques des antennes de téléphonie mobile :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1542

Académie nationale de Médecine, Académie des Sciences, Académie des Technologies. Réduire l’exposition aux

ondes des antennes-relais n’est pas justifié scientifiquement :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1891

[3 ] http://www.afsset.fr/upload/bibliotheque/964737982279214719846901993881/Rapport_RF_20_151009_l.pdf

[4] Organisation Mondiale de la Santé. http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs193/fr/

[5] Commission européenne. Scientific Committee on Emerging and Newly Identified Health Risks :

Health Effects of Exposure to EMF. 19 janvier 2009.

[6] http://ebookbrowse.com/rapport-zmirou-2001-pdf-d73347810

[7] http://www.senat.fr/rap/r09-084-1/r09-084-1.html

[8] http://www.icnirp.de/documents/RFReview.pdf

[9] « le Comité conclut que le rapport BioInitiative n’est pas un reflet objectif et équilibré des connaissances

scientifiques disponibles » . The Minister of Housing, Spatial Planning and the Environment. Publication

2008/17E du 2/9/2008.

[10] Site du principal auteur de Bioinitiative 2007 : http://www.silcom.com/~sage/emf/cindysage.html

[11] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 308.

[12] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 340.

[13] La demande d’abaisser le seuil d’émission à 0,6 V/m a pour origine une proposition du Dr G. Oberfeld de

Salzbourg, fondée sur une publication de 1996* qui faisait état d’altérations de l’électroencéphalogramme de rats

soumis à un champ électromagnétique de 500 mW/m2. Pour se prémunir contre un tel effet il a préconisé de

limiter l’émission des antennes à une puissance 500 fois plus faible, aboutissant à la valeur de 0,6 V/m. En 1996,

ce seuil avait donc une réelle base scientifique. Mais en 1998** puis en 2000***, les mêmes auteurs ont montré

que l’effet qu’ils avaient décrit en 1996 n’existait pas en réalité, même pour des puissances allant jusqu’à 50 000

mW/m2.

* Mann K., Roschke J. (1996). Effects of pulsed high-frequency electromagnetic fields on human sleep.

Neuropsychobiology ; 33(1):41-7

** Mann K., Roschke J., Connemann B. et al. (1998). No effects of pulsed high-frequency electromagnetic fields

on heart rate variability during human sleep. Neuropsychobiology ; 38(4):251-6

*** Wagner P., Roschke J., Mann K. et al. (2000). Human sleep EEG under the influence of pulsed radio

frequency electromagnetic fields. Results from polysomnographies using submaximal high power flux densities.

Neuropsychobiology ; 42(4):207-12.

[14] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 406.