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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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mardi 5 janvier 2016
Le 1er Etablissement de santé mutualiste de la zone UEMOA à obtenir la certification ISO 9001:2008, célébré le 23 Décembre 2015 à Abidjan
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lundi 16 février 2015
La Mutualité française de Guadeloupe évoque l'avenir des mutuelles et leur rôle dans le système de santé
Lu pour vous |
A l'occasion de son assemblée générale, la Mutualité française de Guadeloupe a évoqué l'avenir des mutuelles et leur rôle dans le système de santé. Roland Berthilier et Philippe Braghini, directeur des entreprises et organismes mutualistes de la FNMF, étaient présents. La Française mutuelle de Guadeloupe présidée par Nestor Bajot fédère 27 mutuelles et protège 250 000 personnes.
En quoi consistait cette rencontre ?
Nous organisons onze rencontres interrégionales sur le territoire pour préparer le congrès du mois de juin. Il a lieu tous les trois ans en présence de 3 000 mutualistes. C'est l'occasion d'accueillir le président de la République et le ministre de la Santé. On trace les grandes lignes de la mutualité et de la protection sociale. C'est un pré-rapport qui sert de base de discussions.
Que trouve-t-on dans ce rapport ?
On a fait un constat : depuis la création de la Sécurité sociale, on a laissé une place à la mutualité mais jamais un rôle. Les décisions se prennent sans nous. Nous aimerions faire partie des acteurs qui construisent les réponses. Par exemple en dentaire, la Sécu ne rembourse pas assez les couronnes. Les mutuelles compensent. Pour les lunettes ou la médecine de ville, c'est pareil. Je ne parle pas des dépassements d'honoraires. Au coeur des débats, le sujet est de rendre possible l'accès aux soins pour tous.
Est-ce que tout le monde possède une complémentaire ?
Il faudrait. Ce n'est pas le cas aujourd'hui. Beaucoup de gens renoncent à contracter une mutuelle pour des raisons financières ou prennent le plus petit forfait pour payer moins cher. C'est dangereux. Pour les mutuelles d'entreprise, ça va, mais le constat est fait parmi les jeunes ou les retraités. Il manque cet aspect de solidarité. Les réseaux de soins mutualistes permettent de diminuer les coûts (dentaire, radiologie, etc.) et appliquent le tiers payant. Mais ils ne fleurissent pas partout. Ils font défaut dans les zones peu peuplées.
Qu'en est-il des dépassements d'honoraires ?
Là aussi, nous aimerions participer aux discussions sur les tarifs. Les médecins disent qu'ils exercent une profession libérale. Ils ne veulent pas être contrôlés par des entreprises privées. L'ensemble des complémentaires a décidé d'une réponse commune qui devrait prendre effet à partir de janvier 2017. Un système avec une carte spéciale contenant les informations d'assuré et d'adhérent de mutuelle du patient. Une solution pour tendre vers un accès aux soins pour tous.
Comment se porte une mutuelle ?
C'est forcément une entreprise équilibrée. L'État l'impose. Mais actuellement, elle a de moins en moins de marge de manœuvre.
Heureusement, les mutuelles ont eu une gestion saine à leur création et existent pour la plupart depuis de nombreuses années. La population est vieillissante et la mutuelle doit faire face à des dépenses nouvelles. Grâce aux produits financiers, elle s'en sort. Si elle a des bénéfices, elle réinvestit pour les adhérents.
Qu'en est-il des taxes ?
Elles sont passées de 1,75% à 13,27% pour financer la (couverture médicale universelle). La cotisation de l'adhérent perçue du 1er janvier au 15 février part en taxes. Aucun secteur n'a connu une telle augmentation.
Les mutuelles sont les seules financeurs. Il faudrait que cette taxe soit répartie sur l'ensemble des revenus.
La loi de santé va bientôt être en discussion...
Elle est indispensable mais elle ne s'attaque pas à l'organisation des soins. On a trop recourt aux urgences. Il faut créer des maisons pluridisciplinaires de santé. La tradition du médecin de famille ne va plus exister, trop cher! Le gouvernement doit favoriser l'installation de réseaux. La mutualité est prête à aider, à réfléchir avec les autres acteurs qui prennent les décisions. Il faut des incitations.
mardi 21 octobre 2014
Observatoire CISS droits des malades
7ème édition de l’Observatoire du CISS sur les droits
des malades
Rapport annuel de notre ligne Santé Info
Droits
Avec des sollicitations en hausse de plus de 10%
pour atteindre près de 8.500 appels et courriels traités en 2013, Santé Info Droits confirme sa position
de plateforme associative de référence pour informer et orienter les usagers
confrontés à des questionnements d’ordre juridique ou social liées à la
santé.
Cela
vient aussi illustrer les interrogations nombreuses que posent le fonctionnement
de notre système de santé, les modalités de prise en charge des soins, les
répercussions de la maladie dans la vie sociale et
professionnelle.
Le rapport d’observation sur les droits des malades, que constitue
l’analyse de ces 8.375 sollicitations, croise présentation statistique de la
répartition des thématiques d’appel avec recueil de témoignages pour apporter
une lecture à la fois qualitative et quantitative des situations dans lesquelles
nos concitoyens font face à des difficultés en raison de leur état de santé ou
de celui de leur entourage.
5
principales thématiques réunissent plus de 80% des
sollicitations :
En savoir plus : www.leciss.org/sante-info-droits.
1/ droits des usagers du système de santé (consentement aux soins,
accès aux informations médicales, refus de soins, fin de vie, accidents
médicaux, démographie médicale, secret professionnel,…) ;
2/ accès et prise en charge des soins (affiliation aux régimes de
sécurité sociale, carte vitale, frais de transports médicaux, CMU, forfait
hospitalier, ALD…) ;
3/ accès à l’emprunt et assurance ;
4/ revenus de remplacement (arrêt de travail et
invalidité) ;
5/ santé et droit du travail.
vendredi 23 mai 2014
L'arrêté CMU est paru : pour les 2 oreilles, 700€ par appareil, appareils de classe C minimum, garantie 4 ans, renouvellement tous les 4 ans.
L'arrêté CMU est paru au
Journal Officiel d'aujourd'hui
La révision du panier de soins pour l’audioprothèse était urgente. En effet, les tarifs CMU pour l'audioprothèse avaient été fixés par
l’arrêté du 31 décembre 1999 et il n’y a pas eu de modification depuis.
Pour l’audioprothèse, le changement consiste à intégrer, en adéquation
avec la LPP, la prise en charge d’un équipement stéréophonique complet
(les enfants et les personnes atteintes de cécité étant prises en charge
sur la base du tarif de remboursement de la sécurité sociale).
Les principales propositions de l'Unsaf ont été retenues : pour les 2
oreilles, prise en charge totale à 700 € par appareil (AMO, CMU-C et
forfait CMU-C), pour des appareils de catégorie C minimum, avec une
garantie de 4 ans assurée par les distributeurs, et un renouvellement
autorisé tous les 4 ans.
Luis Godinho Président
Syndicat National des Audioprothésistes -
19 rue d'Odessa
75014 PARIS
Tél. : 01.43.22.38.40
Mail :l.godinho@unsaf.org
Twitter : @Luis__Godinho
jeudi 14 novembre 2013
Libres propos : Audioprothèse : le problème est le reste à charge pour les patients
L’audioprothèse : un
reste à charge plus élevé pour les patients
Si le coût moyen d’une
audioprothèse est de 1535€ selon la CNAMTS, celui-ci comprend l’appareil lui-même,
la prestation initiale (analyse, adaptation de l’appareil et réglages) et le
suivi prothétique étalé sur 4 à 6 ans. L’audioprothésiste est en effet un
professionnel de santé prescrit, dont les prestations s'appuient sur le
matériel qu'il choisit, adapte et délivre1. Le
véritable problème réside davantage dans le reste à charge, bien trop élevé,
que dans les prix des audioprothèses, les tarifs deremboursement n’ayant pas
évolué depuis les années 1970. Sur les 822 millions que représente le marché de
l’audioprothèse, 114 M€ (14%) sont pris en charge par l’Assurance Maladie
Obligatoire(AMO), 246 M€ (30%) par l’Assurance Maladie Complémentaire (AMC) et
462 M€ (56%) par les ménages. A titre de comparaison, les remboursements
publics dans les pays limitrophes (Allemagne, Suisse, Italie) sont supérieurs à
la somme moyenne de l’AMO et l’AMC en France pour les adultes.Enfin, les prix
des audioprothèses ont moins évolué que l'inflation pendant les 17 dernières
années2.
L’UNSAF et le CNA
: pour un partenariat pérenne avec les pouvoirs publics
Conscients de l’enjeu en termes
de santé publique de l’accès à une audioprothèse de qualité, l’UNSAF et le CNA
proposent aux pouvoirs publics de mettre en place des tarifs négociés
accessibles au plus grand nombre. Ce projet fait d’ailleurs écho aux
recommandations de l’IGAS3. Force de proposition, l’UNSAF
et le CNA promeuvent un tarif « social » pour les bénéficiaires de la CMU-C,
qui comprendrait une revalorisation à 850€ par appareil (pour les deux
oreilles) et une augmentation du délai entre deux prises en charge, de 2 à 4
ans. Partenaire de longue date avec les pouvoirs publics, l’UNSAF propose
également que les bénéficiaires de l’ACS puissent prétendre à ces tarifs.
Actuellement en cours de
négociation, ce tarif CMU, s’il est déterminé avec la profession, pourrait être
immédiatement opposable pour les ACS. Il pourrait également devenir le prix
plancher pour les contrats responsables.
La perte de l’audition
: une priorité de santé publique
Reconnue comme une priorité de
santé publique par la Cour des Comptes4, la perte
de l’audition ne peut que s’accentuer avec le vieillissement annoncée de la
population. Aujourd’hui, environ 10% de la population française est atteinte d’une
déficience auditive et 5 à 6% devrait être équipée (2,5%
1 D’après le Code de Santé Publique (Article L 4361-1), l’audioprothésiste
procède à l’appareillage des déficients de l’ouïe, ce qui comprend le choix, l’adaptation,
la délivrance, le contrôle
d’efficacité
immédiat et permanent et également l’éducation prothétique.
2 Le Monde du 16 mai 1996, “Douze mille francs l'unité”
3 IGAS, rapport « Evaluation de la prise en charge des aides
techniques pour les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées »
établi par Philippe Blanchard, Hélène Strohl
-
Maffesoli, Bruno Vincent- Avril 2013 ; recommandation n° 49 (Fixer un tarif de
responsabilité pour la prise en charge à 100% des audioprothèses des titulaires
de la CMU équivalent au
prix d’entrée
de gamme de deux prothèses après négociation avec la profession, et augmenter
la périodicité de renouvellement à 5-6 ans sauf dégradation exceptionnelle de l’audition
)
4 Rapport sur l’Application des Lois de Financement de la
Sécurité Sociale de la Cour des Comptes, Septembre 2013, p 594
l’est effectivement). D’après le
Professeur Bruno Frachet, Hôpital Rothschild, le maintien des capacités
auditives permet pourtant de limiter le déclin cognitif et les risques de
dépendance, qui coûtent beaucoup plus cher à la Sécurité sociale que
l'appareillage5. Toutefois, malgré le fort
reste à charge le taux d’appareillage n’est inférieur que de 20% à celui de l’Allemagne
et de 50% à celui du Royaume-Uni (plus de 500 000 appareils délivrés chaque
année en France, contre un million par le NHS, avec un reste à charge nul). Les
enquêtes internationales montrent d’ailleurs que le taux de satisfaction des
malentendants français est bien supérieur qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni6, ce que l’IGAS a noté7.
Les assistants d’écoute
: la législation doit être respectée
Vendu par la société Sonalto
sans prescription médicale préalable au prix de 299€ l’unité, l’assistant d’écoute
Octave® est présenté comme (sic) « conçu par un médecin ORL »,
« prêt à l’emploi », préréglé avec deux niveaux d’amplification de 11 et 20
décibels, amplifiant « intelligemment les sons », « pour les gênes auditives
légères » et est distribué en pharmacie et par des opticiens.
Toutefois, Octave® est un
dispositif médical implantable actif et doit à ce titre être délivré exclusivement
par un audioprothésiste.
Dans son point d’information du
29 Janvier 2013, intitulé « déficit auditif : statut des appareils correctifs »8 l’ANSM rappelle d’ailleurs que «
la correction d’une déficience auditive est une finalité médicale. Les
appareils ayant ce type de finalité (…) sont donc classés dans la catégorie des
dispositifs médicaux et nécessitent par conséquent d’être marqués CE (…). En
France, leur délivrance est réglementée ». En février 2013, l’Académie
Nationale de Médecine9 rappelle les risques médicaux attachés
à l’utilisation des « assistants d’écoute » encore appelés « assistants
auditifs pré-réglés ».
En 2011, l’Unsaf et le Syndicat
National des Entreprises de l'Audition (SYNEA) ont lancé une procédure en
justice contre Sonalto afin de contraindre cette société à vendre son produit conformément
aux dispositions du Code de la Santé Publique, à savoir une prescription
médicale préalable et une délivrance par un audioprothésiste. Les pouvoirs
publics doivent faire respecter la législation applicable.
Le CNA et l’UNSAF
: des acteurs au service des malentendants
Le Collège National d’Audioprothèse
veille à la qualité technique, scientifique et pédagogique de l'enseignement de
la profession d'audioprothésiste et assure la représentation et la défense des intérêts
déontologiques et moraux des audioprothésistes. Dans ses formations, le CNA
organise un enseignement post-universitaire auquel participent plus de 900 professionnels.
L’UNSAF représente la profession
auprès des instances nationales en charge de la santé et siège notamment au
sein de l’Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et du Haut conseil
des professions paramédicales (HCPP). Il est présidé depuis Juin 2012 par Luis
Godinho.
Contacts : Eric Bizaguet, Président du
CNA / College.Nat.Audio@orange.fr
Luis
Godinho, Président de l’UNSAF / l.godinho@unsaf.org
Libellés :
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vendredi 3 mai 2013
En primeur le sommaire du N° 12 de MAI 2013 de Couleurs MGEFI
Cette information est la
2 000èmemise en ligne sur le Blog MINE D’INFOS ouvert en septembre
dernier. MERCI aux lecteurs réguliers du blog !
MUTUELLE GÉNÉRALE DE L’ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE | MAI 2013
Dans la boîte aux lettres des adhérents MGEFI dernière semaine
de mai
PROTECTION SOCIALE
>
Santé et environnement
>
7 % d’augmentation du
plafond de la CMU
9
S’INFORMER, SE PROTÉGER
>
Gros plan sur la pilule
contraceptive à savoir 16
4
MIEUX VIVRE VOTRE QUOTIDIEN
>
Vous reprendrez bien un
peu de fibres ?
>
Taï chi : gymnastique du
corps et de l’esprit
18
14
OBJECTIF SANTÉ
>
L’anxiété pour la santé
: ça se soigne
>
Tremblements : une
maladie à part entière
4
18
DOSSIER9
MA MUTUELLE EN PRATIQUE
>
Un nouveau site pour
faciliter vos démarches santé
>
Vos remboursements
>
Questions fréquentes
>
Changement de situation
>
Votre réseau de
conseillers mutualistes
23
Votre Mutuelle agit pour la gestion des
ressources forestières en imprimant cette revue
sur du papier certifié é PEFC, fabriqué
à partir de fibres issues de forêts gérées durablement
et de sources contrôlées.
Sommaire
Un encart “Couleurs MGEFI – Spécial AG “ folioté de 1 à 6 est
jeté au dos de cette brochure.
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