Nora ANSELL-SALLES

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dimanche 4 juin 2023

Fête des mères : la maternité de l'IMM classée 2ème maternité de Paris

 
Sandro, né le 9 avril 2020 en plein confinement  à I'IMM. Sa maman & toute sa famille remercient les équipes  de la maternité. 
Âgé  de 3 ans aujourd'hui Sandro est un bel enfant  rieur en pleine forme qui fait le bonheur  de sa famille  et de sa maman  à  qui nous souhaitons  une belle fête  des mères. 

Maternité ouverte à tous sans dépassement d’honoraires

Bienvenue

La maternité de l’institut mutualiste Montsouris est une maternité de type 1B pouvant suivre les grossesses à faible niveau de risque tout en assurant une sécurité optimale grâce à un plateau technique de haut niveau  et la présence de lit de réanimation adulte permettant de prendre en charge toutes les complications maternelles potentielles de votre accouchement.

Nous avons depuis maintenant quelques années une unité  mère bébé nous permettant d’accueillir vos nouveaux nés dès 35 semaines, (7 mois ½)pour limiter le risque de séparation avec votre bébé.

La sécurité des soins est au cœur de nos préoccupations. Une prise en charge sécurisée et  personnalisée vous est proposée au plus près de votre demande  et de votre projet de naissance grâce à du personnel expérimenté, disponible et chaleureux.

L’équipe de la maternité

Inscription

Vous pouvez vous inscrire à la maternité :

☎  Soit par téléphone au 01 56 61 62 05
✎  Soit en remplissant le formulaire en ligne en cliquant ici
.

Avis

J’ai accouché le 27 mars 2023. J’ai perdu les eaux la veille au soir et je me suis rendue à la maternité peu de temps après. Les contractions de travail ont démarré le 27 mars à 06h du matin. Ce...

Actualités

Le classement des maternités

Sur les 69 maternités de la région Ile de France, la maternité de l’IMM a été classée 2eme maternité de Paris, et 9eme d’Ile de France par le journal Le Figaro, classement paru le 10 mai…

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Des chambres lumineuses et confortables

En 2021 toutes les chambres de la maternité ont été rénovées et réaménagées avec du nouveau mobilier. Toujours très lumineuses grâce aux grandes fenêtres, ces chambres…

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L’analgésie péridurale déambulatoire

Pour mieux répondre à la demande actuelle d’un accouchement plus naturel, moins « médical », les anesthésistes de l’IMM propose l’analgésie péridurale déambulatoire…

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La « Happy Césarienne »

Les accouchements par césariennes qu’ils soient programmés ou en urgence créent bien souvent une frustration chez les mamans. C’est pour cela que l’équipe de la maternité…

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LA MATERNITÉ DE L’IMM EN QUELQUES CHIFFRES

accouchements

%

de péridurales

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de césariennes

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d'allaitement maternel

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d'accouchements voie basse

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Infos pratiques

vendredi 11 septembre 2015

Acueil des migrants: un engagement sans précédent...



L’engagement de Coallia en faveur des migrants est sans précédent

L’engagement de Coallia (ex-Aftam) pour accueillir les milliers de personnes qui arrivent en France via les côtes méditerranéennes est à l’image du plan « Migrants » : sans précédent.
En qualité de deuxième opérateur national de l’hébergement des demandeurs d’asile (Coallia gère ainsi 3781 places de centres d’accueil pour demandeurs d’asile dans 36 établissements*) , Coallia participe à l’effort consistant à créer 11 000 places d’hébergement supplémentaires en France, à l’horizon 2016, pour accueillir dignement « les personnes sous protection (réfugiés politiques et bénéficiaires de la protection subsidiaire), les demandeurs d’asile et toutes les personnes sans hébergement dont la situation et le projet migratoire doivent être évalués », détaille Djamel Cheridi, directeur du logement et de l’hébergement accompagnés chez Coallia.
Le calendrier du groupement associatif a donc été chargé, cet été, pour satisfaire aux exigences du plan « Répondre aux défis des migrations, respecter les droits, faire respecter le droit » présenté par Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur et Sylvia Pinel, ministre du logement, au Conseil des ministres, le 17 juin 2015. En juillet et août, Coallia a entrepris de :
·         Mobiliser les capacités vacantes de ses foyers et résidences, sans supprimer les places servant à accueillir des personnes en difficultés d’accès au logement. Suite aux évacuations de leurs camps, une vingtaine de personnes ont été accueillies dans le Val-d’Oise et 15 autres en Seine-et-Marne dans les logements Coallia en juillet.
·         Ouvrir 40 places d’hébergement d’urgence pour les demandeurs d’asile en Ile-de-France sans attendre la publication de la circulaire interministérielle relative à la mise en œuvre du plan « Migrants » le 22 juillet 2015.
·         Répondre aux appels à projets visant à créer 11 000 places d’hébergement supplémentaires pour les migrants en France, à l’horizon 2016.
L’effort sans précédent de Coallia ne s’arrête pas là. Cet automne, le groupement associatif sera à nouveau en capacité d’accueillir 200 réfugiés syriens dans le cadre du renouvellement de l’opération Syrie 500, qui fait suite à l’engagement de la France auprès du Haut-Commissariat aux Réfugiés de prendre part à son devoir de solidarité. Attendues de septembre à octobre 2015, ces familles bénéficieront d’un hébergement et d’un accompagnement d’un an avant de pouvoir reprendre le bail de leur logement à leur nom grâce à un système de baux glissants. A ce jour, COALLIA loge et offre un suivi social adapté à 60% des 500 réfugiés Syriens admis en France, dans le cadre de la campagne 2014.
Par ailleurs, Coallia va amplifier la mobilisation de ses équipes afin de concrétiser l’objectif annoncé par le Président de la République d’accueil de 24 000 réfugiés, dans les deux ans, en lien avec les services de l’Etat et les collectivités territoriales.
Acteur historique du logement social et de l’insertion, Coallia a été créée sous le nom d’Aftam (Association pour la Formation des Travailleurs Africains et Malgaches) en 1962 dans le sillage de la décolonisation. L’association, présidée à l’époque par Stéphane Hessel, dispose de plus de 50 ans d’expérience en matière d’accueil des migrants.
Coallia, un acteur majeur du logement social et de l’insertion
Travailleurs migrants et demandeurs d’asile, sans domicile fixe et sans-abri, jeunes actifs et « accidentés de la vie », personnes âgées et handicapés… Coallia (ex-Aftam) agit pour l'insertion des personnes les plus démunies à travers le logement, l'hébergement, l'accompagnement social, la formation et l’accueil en établissements médicalisés.
L’identité de l’association créée par Stéphane Hessel en 1962 est fondée sur des valeurs d’humanisme, d’ouverture et de solidarité. Ces valeurs sont au cœur des actions que le groupement associatif développe aux côtés des pouvoirs publics et des collectivités dans quatre secteurs d’activités :
·         logement accompagné (résidences sociales, foyers de travailleurs migrants, résidences pour jeunes actifs, pensions de famille…)
·         hébergement social (centres d’accueil pour demandeurs d’asile, centres d’hébergement et réinsertion sociale, accueil d’urgence, intermédiation locative…)
·         accueil médico-social (établissements personnes âgées et handicapés)
·         promotion sociale (accompagnement social et formation)

La force de Coallia repose sur l’engagement de ses 2 700* collaborateurs dans 12 régions de France. La qualité de leurs prestations est reconnue par la certification ISO 9001 et OHSAS (santé et sécurité au travail).

Chiffres-clés*

·         2 700 collaborateurs
·         287 établissements
·         4 métiers
·         28 789 places d’hébergement
·         226 M€ de produit d’activité en 2014
·         présence dans 12 régions et 30 départements
·         + de 50 ans d’expérience


Coallia en sept dates

1962. Naissance de l’Aftam dans le sillage de la décolonisation. Présidée par Stéphane Hessel, l’Association pour la Formation des Travailleurs Africains et Malgaches accueille et forme les travailleurs venus des anciennes colonies pour reconstruire la France.
1964. Les personnes qu’elle accueille résidant souvent dans des conditions insalubres, l’Aftam se met en quête de locaux. L’hébergement et l’accompagnement social deviennent une priorité.
1975. Après les chutes de Phnom Penh (Cambodge) et de Saïgon (Vietnam), l’Aftam ouvre ses premières unités d’accueil pour réfugiés sous protection internationale.
Années 80. Accueil des populations marginalisées, sans emploi, sans ressources ou sans logement.
1992. Naissance du pôle accueil médico-social.
2012. L’Aftam fête ses 50 ans et devient Coallia.


Siège social
16-18 cour Saint-Eloi
75592 Paris cedex 12
Tel. 01 53 46 38 38 - Fax. 01 53 46 39 00

 
vague-coallia2014. Franck Calderini succède à Jean-Marie Oudot au poste de directeur général.

*Coallia - Rapport d’activité 2014

mardi 21 mai 2013

Les Agences régionales de santé (ARS) d’Ile-de-France et de Rhône-Alpes consolident leur partenariat sur le champ des systèmes d’information santé


                                                                                                                    
   
Le 15 mars 2013, Claude Evin, directeur général de l’ARS Ile-de-France et Christophe Jacquinet, directeur général de l’ARS Rhône-Alpes ont renouvelé la convention de partenariat qui les engageaient à développer en commun des systèmes d’information en santé, médico-social, prévention et ambulatoire, depuis les études préalables jusqu’à la mise en œuvre opérationnelle des projets.

L’ouverture de l’hôpital vers la ville, l’accroissement de la diffusion des technologies de l’information et de la communication dans la santé et les contraintes budgétaires sont autant d’éléments conjoncturels qui conduisent les agences régionales de santé, dans le cadre des orientations nationales impulsées par la délégation à la stratégie des Systèmes d’Information de Santé du ministère, à promouvoir le développement rationnel et performant des systèmes d’information.

Parallèlement, la place des mutualisations intra et inter régionales s’étend à de nombreux champs de compétences des agences.

Les régions Ile-de-France et Rhône-Alpes présentent des caractéristiques communes comme la taille de la région et le nombre important d’opérateurs et de professionnels de santé y exerçant (420 établissements de santé et 47 000 professionnels de santé libéraux en Ile-de-France ; 340 établissements de santé et 32 700 professionnels de santé libéraux en Rhône-Alpes), qui rendent possible l’importation de méthodes et de solutions éprouvées par l’une ou l’autre des deux régions. Procéder par simple « copier / coller » à partir de solutions construites dans des régions de tailles trop différentes est souvent plus difficile.

En 2008, des premiers axes de mutualisation en matière de systèmes d’information de santé avaient été identifiés, notamment au travers d’outils destinés à faciliter la coordination des soins comme TRAJECTOIRE[1], conçu en Rhône-Alpes et aujourd’hui déployé dans 98% des établissements de santé franciliens.
D’autres travaux communs ont été menés, à partir du Répertoire des professionnels de santé d’Ile-de-France (REPSIF) et du portail télésanté de Rhône-Alpes. De nouveaux projets communs démarrent autour du Répertoire opérationnel des ressources (ROR) Ile-de-France et des échanges sécurisés entre professionnels et établissements de santé.
La nouvelle convention est aujourd’hui signée après cinq années de collaboration jugées fructueuses ; elle établit un comité stratégique composé paritairement de 2 représentants de chaque ARS et un programme de travail commun annualisé. Les groupements de coopération sanitaires régionaux, le GCS pour le Développement des Systèmes d’Information partagés en Santé en Ile-de-France - D-SISIF (www.gcsdsisif.fr) et le GCS Système d’information santé Rhône-Alpes - SISRA (www.sante-ra.fr) en assureront le secrétariat et animeront les comités projets.
Engagées l’une et l’autre dans l’amélioration des parcours des patients et le développement de l’efficience du système de santé, les deux régions partenaires accroissent ainsi leurs moyens et souhaitent limiter les redondances en matière de système d’information.   

mercredi 10 avril 2013

L’ARS Ile-de-France soutient le déploiement de la télémédecine

09/04/2013                                                                                                                            
 
Les solutions de télémédecine adaptées aux difficultés de la prise en charge des prématurés et des personnes âgées bénéficient d’une attention particulière de la part de l’Agence Régionale de Santé Ile-de-France. Les deux extrémités des âges de la vie concentrent en effet de nombreuses difficultés sanitaires et médico-sociales, avec des populations fragiles, peu mobiles et difficilement transportables, réclamant des soins fréquents et une vigilance de chaque instant.

Parmi les 14 projets actuellement soutenus par l’ARS Ile-de-France, un projet concerne la néo-natalité et trois projets concernent les personnes âgées résidant en EHPAD :

Le projet DITE-ROP permet de dépister par téléexpertise la rétinopathie des prématurés. Cette anomalie de la vascularisation de la rétine est une complication majeure de la prématurité. Elle est responsable de 6 à 20 % des malvoyances chez l’enfant. L’ARS soutient la mise en œuvre d’un dispositif pilote de dépistage par caméra de rétine grand champ, qui permet au service de médecine néonatale du Centre Hospitalier Sud Francilien (Corbeil) de bénéficier à distance du diagnostic des ophtalmologistes experts de la Fondation Adolphe de Rothschild (Paris).

« Ce système, qui est confortable pour l’enfant et électroniquement sécurisé, permet d’assurer un dépistage précoce conforme aux recommandations internationales. Si l’évaluation commandée par l’ARS s’avère positive, le dispositif pourrait s’étendre à toutes les unités de néonatologie d’Ile-de-France ne disposant pas d’ophtalmologiste sur place, afin d’assurer à l’ensemble des prématurés les mêmes chances de dépistage et de traitement » précise le Dr Michèle Granier, chef du service de néonatologie du Centre Hospitalier Sud Francilien.

Les projets Télégéria, TMG 91 et e-Vline ont pour objectif commun d’améliorer le parcours de soin des résidents des EHPAD, en mettant en relation une cinquantaine d’EHPAD et cinq établissements de santé au plan régional. Les projets financés et évalués par l’ARS portent sur le déploiement d’activités de téléconsultation et téléexpertise dans des spécialités particulièrement adaptées aux pathologies du grand âge (cardiologie, médecine vasculaire, neurologie, psychiatrie, dermatologie, etc.) et sur la mise en place des solutions alternatives au transfert systématique aux urgences, afin de le limiter aux seules situations le nécessitant. L’hospitalisation en urgence s’avère en effet très dommageable pour les personnes âgées et extrêmement coûteuse pour la collectivité.

Selon Marc Bourquin, directeur du pôle médico-social de l’ARS, « il y a 120 000 personnes âgées dépendantes en Ile-de-France et ce nombre augmente d’environ 3 000 chaque année. En parallèle, le nombre de médecins spécialistes tend à diminuer. Des solutions doivent être rapidement trouvées. En soutenant ces trois projets de télémédecine, nous nous inscrivons dans une logique de généralisation des pratiques innovantes en terme de parcours de santé de la personne âgée. L’objectif est qu’à l’horizon 2017 les 650 EHPAD de la région déploient les solutions qui auront été validées par l’évaluation médico-économique. Nous envisageons également des déclinaisons dans le champ du handicap. »

Consultez le dossier de presse Le développement de la télémédecine au service des patients aux deux extrémités des âges de la vie réalisé à l’occasion du Café Presse du 9 avril 2013.

La télémédecine permet de pratiquer la médecine à distance en s’appuyant sur les technologies de l’information et de la communication. Elle donne aux professionnels et aux patients les moyens d’accéder à de nouveaux services, simplifie l’accès aux soins et améliore le partage de l’information entre les acteurs de la prise en charge, dans et hors l’hôpital.

La télémédecine est considérée comme un levier de l’amélioration de notre système de santé et fait l’objet d’un plan national dédié, permettant de coordonner son déploiement en France. Le Programme régional de télémédecine d’Ile-de-France, qui constitue l’un des volets du Projet Régional de Santé Ile-de-France définit les orientations du développement de la télémédecine au regard des axes retenus par l’ARS et en fonction des besoins des territoires. 

mardi 6 novembre 2012

L’Institut de cancérologie Gustave Roussy reçoit le label


 « Culture et Santé en Ile-de-France »

 

 

Villejuif, mercredi 31 octobre 2012 – L’Institut Gustave Roussy a reçu, mercredi 24 octobre, le label « Culture et Santé en Ile-de-France » pour ses actions à destination des patients et de leurs proches dans le domaine culturel.

 

Il s’agit de la première campagne de labellisation de l’Agence Régionale de Santé (ARS) et de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) d’Ile-de-France. Cette distinction a pour objectif d’inciter les établissements hospitaliers à promouvoir les pratiques artistiques à destination des patients et à les valoriser par des évènements dans ou hors de l’hôpital. Le label a été décerné à 9 candidats sur 21 postulants,  pour une durée de 3 ans (2013-2015).

 

 

Des actions culturelles variées pour « Mieux Vivre » à l’hôpital

 

L'Institut Gustave Roussy est impliqué de longue date dans le développement d'activités hors soins, notamment artistiques et culturelles, qui contribuent à l'amélioration du bien-être des patients hospitalisés en favorisant l'expression et en offrant un temps de répit hors de la maladie.

 

Ces actions sont regroupées depuis 2012 au sein du pôle « L'Art à l'hôpital » du programme « Mieux Vivre le Cancer » et concernent :

 

·         un atelier d'écriture et de poésie : initié en pédiatrie puis élargi à différents services adultes, il a donné lieu, en juin dernier, à un spectacle « Les mots impatients hors les murs », organisé en partenariat avec le Conservatoire de Villejuif ;

·         un atelier de théâtre proposé depuis octobre 2012 aux patients en collaboration avec l’association Eklosion ;

·         le programme « Un piano à l'hôpital » : il consiste à offrir aux patients en attente de consultation, des temps musicaux grâce à des pianistes extérieurs ou des patients mélomanes. Quelques concerts exceptionnels ont été organisés avec des professionnels de renom : les pianistes Anne Queffelec en 2011 et Brigitte Engerer en 2012 ;

·         un atelier d'arts plastiques en pédiatrie, ouvert depuis 1994 ;

·         des ateliers et moments musicaux avec l'association Musique et Santé en pédiatrie.

 

S'y ajouteront prochainement :

 

·         un atelier de création musicale assistée par ordinateur pour les patients adolescents et jeunes adultes, en partenariat avec le Conservatoire de Villejuif ;

·         la reconduction du spectacle « Les mots impatients hors les murs » en 2013 ;

·         des rencontres littéraires à destination des patients hospitalisés.

 

 

Le programme « Mieux Vivre le Cancer », rattaché aux soins de support

 

Au-delà des soins de support fondamentaux (lutte contre la douleur, prise en charge nutritionnelle, prise en charge psychologique, soins palliatifs, service social, masso-kinésithérapie,...), le Département des Soins de Support de Gustave Roussy propose de nombreuses actions de soutien et d’accompagnement des patients hors du parcours de soin traditionnel qui contribuent autrement à l'amélioration du bien-être des patients hospitalisés. Ceux-ci font partie du programme « Mieux Vivre le Cancer » mis en place avec la collaboration de diverses associations. Il regroupe quatre pôles :

 

·         « Bien-être, esthétique et image de soi », permettant la prise en compte des répercussions esthétiques et corporelles de la maladie et des traitements (socio-esthétiques, techniques complémentaires de lutte contre le stress, relaxation…) ;

·         « L’Art à l’hôpital », qui a pour objectif de favoriser l’expression et de contribuer à la réhabilitation de l’individu ;

·         « Accompagnement », qui soutient l’accompagnement sous toutes ses formes, notamment tel qu'il peut être apporté aux patients via les associations de bénévoles ;

·         « Innovation », pôle destiné à soutenir l’émergence de nouvelles pratiques avant leur intégration parmi les fondamentaux des soins de support (activité physique par exemple, avec la Fédération Nationale CAMI Sport et Cancer).

 

 

Ces soins non conventionnels contribuent à améliorer la qualité de vie des patients pendant l’hospitalisation, à offrir des occasions d'échanges et à humaniser la perception de l'hôpital. L’art et la culture sont utilisés dans ce contexte comme source possible d'émotion, d'évasion, d’apaisement, de réconfort et de partage, dégagée de toute visée thérapeutique et d’ouverture de l’hôpital vers la ville.