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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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jeudi 11 mars 2021
mardi 10 janvier 2017
Emploi à domicile : le saviez-vous ?
Sondage OpinionWay pour CFTC - Santé
Sociaux
Emploi à domicile : la deuxième source d'emplois en France
est mal valorisée
Les particuliers employeurs sont fiers de contribuer à l'emploi mais reconnaissent la précarité de leurs salariés
Les particuliers employeurs sont fiers de contribuer à l'emploi mais reconnaissent la précarité de leurs salariés
-
Près de la moitié des Français (45%) a déjà fait appel à des services à domicile,
-
Un tiers des particuliers employeurs revendique de soutenir la croissance en créant de l'emploi,
-
Les particuliers employeurs font face à la complexité de gérer des salariés : seuls 40% savent qu'ils sont responsables du suivi de leur santé,
-
Plus de huit sur dix sont conscients que les emplois à domiciles sont précaires… tout en contribuant à cette précarité, en favorisant souvent les arrangements sans contrat de travail.
Paris, le 9 janvier
2017 - CFTC Santé Sociaux, la fédération des métiers de la santé et des services
à la personne, dévoile aujourd'hui les résultats de l'étude "Les
Français et les particuliers employeurs", réalisée par OpinionWay.
Avec 1,5 million de salariés, l'emploi à domicile est le deuxième employeur de France derrière l'artisanat (2 millions de salariés). Ce secteur comporte de grands paradoxes. Alors que les Français confient leurs biens les plus précieux aux employés à domiciles (leurs enfants, leur maison…) ils n'ont pas une grande image de ces métiers et compétences, et contribuent à leur précarité.
Les Français, fiers d'être patrons
Près de la moitié des Français a déjà fait appel à des services à domicile (45%). Auprès de ces particuliers employeurs, les services de ménage et repassage sont les plus populaires : 23% des Français y ont déjà fait appel, devant l'aide à domicile (20%) les petits travaux de jardinage ou bricolage (19%). Les services destinés aux enfants sont également très populaires : 17% des Français ont eu recours à la garde d'enfant organisée. Pour chaque catégorie de services, les particuliers employeurs sont particulièrement satisfaits, avec un taux moyen de satisfaction de 80%.
Quelles sont les motivations ? Sans surprise, il s'agit en priorité de déléguer à un expert des tâches que l'on n'est pas en mesure d'effectuer soi-même (36%) et de se décharger des tâches qu'on n'aime pas faire (35%). Pour 24% des Français, les services à domicile sont une bonne façon de libérer du temps pour leur vie familiale et professionnelle. Mais près de 1/3 des particuliers employeurs expriment même une certaine fierté : ils revendiquent de soutenir la croissance en créant de l'emploi (31%). En revanche, le coût reste un obstacle majeur pour 52% des Français. Tous ne peuvent s'offrir des services à domicile.
Les services à domicile en mal de reconnaissance
Horaires variables, déplacements multiples, changement fréquent d'employeur, les métiers des services à domiciles ne sont pas sécurisants pour les professionnels. Les Français en sont conscients : ils estiment que les salariés à domicile occupent souvent des emplois précaires (84%, dont 25% tout à fait) et que ces personnes n'obtiennent souvent pas la reconnaissance qu'elles mériteraient pour leur travail (81%).
Mais si les Français conçoivent les difficultés que rencontrent les personnes salariées à domicile, ils remettent toutefois en cause leurs compétences et leur motivation. Ils déclarent en effet que ces personnes occupent ces emplois "faute de mieux" (77%) et qu'elles sont peu diplômées (72%). Seuls 29% des personnes interrogées estiment qu'elles occupent ce type d'emploi par vocation.
Les Français contribuent-ils à cette précarité ?
Très régulièrement, les parties se contentent de s'arranger à l'oral, sans signer de contrat de travail écrit : 29% des gardes d'enfant organisées et 40% des aides à domiciles se font sans contrat de travail.
L'étude met également en lumière un décalage sur la rémunération, entre ce que les particuliers employeurs perçoivent comme un salaire correct pour leurs salariés et ce qu'ils accepteraient réellement pour le même travail. Si 9 particuliers employeurs sur 10 (90%) ont le sentiment de bien rémunérer leurs salariés, seuls 80% accepteraient le même salaire pour réaliser ce travail.
Les particuliers face à leurs responsabilités de patron
Dans le cadre des relations entre particuliers et salariés, seuls 60% des employeurs estiment connaître leurs droits et devoirs. 40% d'entre eux ignorent même qu'ils sont responsables du suivi de la santé de leurs salariés.
Lorsqu'une décision difficile est nécessaire, les particuliers employeurs sont peu sûr d'eux : seuls 49% se sentent capable de négocier à l'amiable la fin du contrat. Ainsi, les particuliers employeurs semblent ne pas avoir conscience de leurs responsabilités vis-à-vis de la loi, à l'image de toute entreprise classique. Pourtant, les risques juridiques sont les mêmes.
"Les services à domicile sont un secteur majeur de l'emploi en France, avec 3,5 millions de particuliers employeurs, majoritairement satisfaits, qui sont fiers de contribuer à l'effort national de l'emploi (pour un tiers d'entre eux). A la CFTC Santé Sociaux, nous souhaitons mettre en lumière les vocations de ces métiers de services, qui facilitent la vie des Français au cœur de leur foyer." déclare Jean-Marie Faure, Président de la CFTC Santé Sociaux.
Pour télécharger les résultats complets de l'étude, cliquez ici
Méthodologie : L'étude "Les Français et les
particuliers employeurs", réalisée par OpinionWay pour CFTC-Santé Sociaux, est
destinée à comprendre et analyser l'attitude et les connaissances des Français
sur l'emploi à domicile.
Cette étude a été réalisée auprès d'un échantillon de 1019 personnes, représentatif de la population française âgée. Les interviews ont été réalisées les 31 août et 1er septembre 2016.
lundi 18 janvier 2016
Compte pénibilité: le saviez-vous?
COMMUNIQUE
DE PRESSE
Compte
pénibilité :
Mise en place d’un suivi
Mise en place d’un suivi
Le Mise en place d’un suivi de de la pénibilité constitue une innovation sociale
importante : il offre des droits nouveaux à des salariés qui, en raison des
facteurs de pénibilité auxquels ils sont exposés dans leur activité
professionnelle, peuvent avoir une espérance de vie et donc une retraite
réduites.
Il
complète les dispositifs que le gouvernement a souhaité développer lors de la
réforme des retraites de 2014, notamment les départs anticipés à la retraite
pour celles et ceux qui ont eu une carrière particulièrement longue, ou la
retraite progressive qui permet désormais aux salariés, dès 60 ans, de cumuler
une fraction de leur retraite avec une rémunération à temps partiel.
Les
premières déclarations d’exposition à la pénibilité interviendront fin janvier :
comme tout dispositif social innovant, le compte pénibilité doit être suivi et
évalué.
Marisol
Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes,
et Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation
professionnelle et du Dialogue social, ont souhaité confier à Pierre-Louis Bras
la présidence du futur Conseil d’administration du Fonds de financement du
compte pénibilité. Il lui appartiendra d’installer ce conseil majoritairement
composé de partenaires sociaux, chargé de veiller au bon fonctionnement comme à
l’exact financement du compte pénibilité.
Parallèlement,
sur proposition des ministres, le Premier ministre confie à Pierre-Louis Bras, à
Jean-François Pilliard et à Gaby Bonnand une mission destinée à suivre et
évaluer l’insertion du compte pénibilité dans notre système de protection
sociale et plus particulièrement au sein des dispositifs de sortie précoce des
seniors du marché du travail (qu’elle soit volontaire ou
subie).
Cette
mission d’évaluation, qui se nourrira d’échanges avec les employeurs et les
représentants des salariés, permettra de mettre en place un dispositif de suivi
à même d’évaluer, dans la durée, la pertinence du compte pénibilité introduit
par la réforme des retraites portée par à l’automne
2013.
lundi 3 novembre 2014
Le chiffre : 3682 c'est...
Le numéro de téléphone unique destiné aux employeurs et aux salariés pour s’informer sur les démarches et
droits liés au compte personnel de prévention de la pénibilité.
Les
ministères du Travail et des Affaires sociales vient d'ouvrir aujourd'hui,
"une ligne téléphonique et un site internet consacrés à l’information et à
l’accompagnement des salariés et des employeurs sur le compte prévention pénibilité.
Le site
www.preventionpenibilite.fr,
"présente le compte prévention pénibilité (dispositif et modalités d’application ) du profil
sélectionné : salarié, employeur ou partenaire. 4 rubriques sont disponibles
pour les employeurs :
la pénibilité : qu’est-ce qui change ?
les droits des salariés ;
la déclaration de la pénibilité ;
développer la prévention.
Pour joindre la plateforme téléphonique (du lundi au vendredi de 8 heures à 17 heures) composer le 3682, ou le 0033 97110 3682.
·
lundi 9 décembre 2013
C'est à lire : sécu
L'ex-directeur de
l'ASIP pourrait réintégrer le groupe Atos, dont la filiale Santeos héberge le
DMP, selon le Canard Enchainé
L'Asip santé avait annoncé il y a une semaine le départ le 30 novembre de son directeur général, Jean-Yves Robin. A l'issue d'une assemblée générale extraordinaire, elle indiquait sur son site que le président de son conseil d'administration, Michel Gagneux, assurerait la direction de l'Asip santé "à titre intérimaire". Le Canard enchaîné du 4 décembre s'est intéressé au devenir de Jean-Yves Robin, qui avait quitté en 2008 ses fonctions de directeur général de Santeos, une filiale d'Atos, pour prendre la tête du GIP-DMP, devenu en 2009 l'Asip Santé après fusion avec le GIP-CPS et le département "interopérabilité" du groupement pour la modernisation du système d'information hospitalier (GMSIH). Le Canard affirme que "venu du privé, il va y retourner avec un chèque de 190 000 euros en poche, soit l'équivalent d'un an de salaire".
L'hebdomadaire satirique ajoute
que Jean-Yves Robin serait actuellement "en pourparlers" pour
rejoindre "Atos-Santeos". L'intéressé a démenti dans un message électronique
adressé le 5 décembre à l'APM et à TICsanté qu'il pourrait rejoindre le groupe
Atos. "Cette information inexacte est manifestement destinée à décrédibiliser
la rigueur du travail réalisé par l'agence ainsi qu'à mettre en doute mon honnêteté
personnelle", écrit-il.
Rappelons que la commission des marchés de l'Asip Santé avait retenu en février 2010 le consortium industriel constitué des sociétés Atos Worldline, Evalab, Extelia (filiale du groupe La Poste), HSC, Santeos (filiale d'Atos) et Softway Medical Services, pour l'hébergement du DMP. L'avis d'attribution du marché du DMP au consortium Atos Origin-La Poste (pour quatre ans et renouvelable un an), publié le 10 mars 2010, indiquait une "valeur totale finale du marché" de 50 millions d'euros hors TVA, pour 5 millions de dossiers hébergés (on en est à 412 000 presque vides), indique une dépêche TIC Santé. Le Canard s'est également intéressé aux clauses particulières du marché et note cette subtilité contractuelle : la SSII Atos resterait, à l'issue du contrat, propriétaire du logiciel de gestion de ce DMP bien qu'il ait été financé sur fonds publics. Scandale, gâchis monstrueux, dénonce inlassablement le député Gérard Bapt. En attendant, le contrat qui n'a pas été renégocié à temps par le ministère se prolonge encore pour 2014 avec 10 millions de plus pour les heureux bénéficiaires.
L'ex-directeur général de l'Asip santé Jean-Yves Robin pourrait retourner chez Atos - Dépêche TIC Santé 5 décembre 2013
Le dossier médical informatisé en coma dépassé - Le Canard Enchainé 4 décembre 2013
Jean-Yves Robin, dément retourner dans le groupe Atos
Net-particulier.fr : le portail officiel de l'emploi à
domicile
Le ministère des
Affaires sociales annonce l'ouverture de ce nouveau portail conçu grâce à
l'implication de l'ensemble des organismes de protection sociale et des
partenaires sociaux (branches famille, vieillesse et recouvrement de la sécurité
sociale, le Cesu et Pajemploi, Pôle Emploi, l'Ircem et la Fepem). Outil de
simplification entre les particuliers-employeurs, leurs salariés et les
organismes de protection sociale, ce portail de référence offre une vision
globale des informations et des services disponibles dans le secteur de
l'emploi à domicile qui concerne 5 millions de personnes (particuliers
employeurs, salariés). Il répond à toutes les questions : Comment faire garder
son enfant ? Comment trouver une aide à domicile ? Quels métiers exercer auprès
d'un particulier ? Quelles sont les démarches ? Quelle est ma protection
sociale en tant que salarié à domicile ?
Le site accompagne les internautes à chaque étape clé de la relation de travail. S'informer, devenir employeur ou salarié, rémunérer et déclarer, gérer la relation, deviennent des étapes simples et accessibles. De nouvelles fonctionnalités en ligne seront régulièrement proposées pour rester en phase avec les attentes des particuliers employeurs et des salariés.
Accès au site
Libellés :
ASIP,
C'est à lire,
Cesu et Pajemploi,
employeurs,
Fepem,
groupe Atos,
Ircem,
Jean-Yves Robin,
Michel Gagneux,
Net-particulier.fr,
particuliers,
Pôle emploi,
Santeos,
Sécu
mardi 26 novembre 2013
Les métiers de la Mutualité
L'Union des Groupements
Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de
partenariat avec l'Académie de Paris
Près de 1 000 lycéens étaient réunis vendredi 22 novembre
2013 à la Maison de la Mutualité à Paris pour une matinée de présentation des métiers
de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président de l’Union des
Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier, Secrétaire Général
de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur de l’Académie de Paris,
chancelier des universités, ont signé un accord de partenariat.
Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens,
leurs familles, les chefs d’établissement et les personnels enseignants sur les
quatre familles de métiers proposés par la Mutualité :
- la prévention et
la promotion de la santé : animateur de prévention,
- la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère),
conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d’études
techniques,
- les soins et
l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,
- les métiers
supports : contrôleur(euse) interne, juriste.
La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont
15 000 professionnels de santé, prévoit en effet d’embaucher environs 10 000
collaborateurs d’ici 2018*.
L’accord de partenariat signé ce jour décline au niveau
académique l’accord-cadre national signé le 25 juillet 2008 entre le Ministre
de l’Education nationale et le Président de l’UGEM qui prévoyait notamment :
Ø L’orientation des élèves
tout au long de leur cursus secondaire,
Ø un accompagnement à
la formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème
et de 3ème lors de leurs parcours découverte de l’entreprise,
Ø une participation à
la formation des personnels de l’éducation nationale par le biais de stages
dans les entreprises mutualistes,
Ø une réflexion
portant sur l’articulation entre les diplômes de l’enseignement technologique
et professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.
Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un
site internet dédié www.metiers-mutualite.com
présentent les différents métiers de la Mutualité.
*
Sources DADS 2010 et bilan social de branche sur les données 2011 réalisée par
l’Observatoire de l’emploi et des métiers en mutualité.
Libellés :
Académie,
DADS,
Education Nationale,
employeurs,
Groupements,
métiers,
mutualistes,
Mutualité,
Mutualité Française,
Paris,
partenariat,
UGEM,
Union,
www.metiers-mutualite.com
lundi 25 novembre 2013
Les métiers de la Mutualité L'Union des Groupements Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de partenariat avec l'Académie de Paris
Près de 1 000 lycéens
étaient réunis ce matin à la Maison de la Mutualité à Paris pour une présentation
des métiers de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président
de l'Union des Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier,
Secrétaire Général de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur
de l'Académie de Paris, chancelier des universités, ont signé un accord de
partenariat.
Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens,
leurs familles, les chefs d'établissement et les personnels enseignants sur les
quatre familles de métiers proposés par la Mutualité :
- la prévention et la promotion de la santé : animateur de
prévention,
- la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère),
conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d'études
techniques,
- les soins et l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,
- les soins et l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,
- les métiers supports : contrôleur(euse) interne, juriste.
La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont 15
000 professionnels de santé, prévoit en effet d'embaucher environs 10 000
collaborateurs d'ici 2018*.
L'accord de partenariat signé ce
jour décline au niveau académique l'accord-cadre national signé le 25 juillet
2008 entre le Ministre de l'Education nationale et le Président de l'UGEM qui
prévoyait notamment :
- l'orientation des élèves tout
au long de leur cursus secondaire,
- un accompagnement à la
formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème et de 3ème
lors de leurs parcours découverte de l'entreprise,
- une participation à la
formation des personnels de l'éducation nationale par le biais de stages dans
les entreprises mutualistes,
- une réflexion portant sur
l'articulation entre les diplômes de l'enseignement technologique et
professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.
Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un site internet dédié
www.metiers-mutualite.com présentent les différents métiers de la Mutualité.
Libellés :
Académie,
accord,
Alain Hernandez,
employeurs,
Française,
François Weil,
Groupements,
métiers,
Mutualité,
Paris,
partenariat,
Roland Berthilier,
signent,
Union,
www.metiers-mutualite.com
lundi 12 novembre 2012
Emplois d'avenir : un site Internet pour tout savoir du dispositif
05/11/12 - Alors
que les décrets et arrêté concernant les emplois d'avenir ont été publiés au
Journal officiel du 1er novembre 2012, permettant à ces emplois de devenir opérationnels,
le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle vient
d'ouvrir un site Internet spécialisé destiné aux candidats et aux employeurs.
> http://travail-emploi.gouv.fr/emplois-d-avenir,2189/
> http://travail-emploi.gouv.fr/emplois-d-avenir,2189/
Newsletter réalisée par Gérard Bieth - ©
www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité
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dispositif,
Emploi,
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