Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 11 mars 2021

Quelles perspectives de recrutement pour 2021?




Rapport d’étude complet "The Future of Work"
par Monster

Malgré l’incertitude prolongée et la fluctuation du marché du travail, les perspectives de recrutement pour 2021 sont bonnes : 82% d’employeurs prévoient d’embaucher cette année et 9 recruteurs sur 10 sont confiants dans le fait de trouver les bons candidats.

Monster a interrogé plus de 3000 recruteurs et 5000 candidats dans le monde, dans le cadre de son étude globale annuelle « The Future of Work ». L’objectif : comprendre leur état d’esprit, leurs enjeux et leurs attentes pour l’année à venir.

Les thèmes abordés sont variés :
  • Les perspectives générales de recrutement pour 2021
  • L’impact de la pandémie sur le monde du travail
  • Le recrutement virtuel
  • Les notions d’adéquation et de transparence
  • L’écart de compétences
  • Les outils et ressources de recrutement plébiscités
  • La diversité et l’inclusion

Monster, en partenariat avec Parlons RH, vous propose de découvrir les résultats de l’étude et ses analyses dans son rapport complet pour nourrir vos stratégies de recrutement et de marque employeur.
Je télécharge le rapport

Thomas Chardin
09 83 40 04 98
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mardi 10 janvier 2017

Emploi à domicile : le saviez-vous ?

Sondage OpinionWay pour CFTC - Santé Sociaux

Emploi à domicile : la deuxième source d'emplois en France est mal valorisée

Les particuliers employeurs sont fiers de contribuer à l'emploi mais reconnaissent la précarité de leurs salariés
  • Près de la moitié des Français (45%) a déjà fait appel à des services à domicile,
  • Un tiers des particuliers employeurs revendique de soutenir la croissance en créant de l'emploi,
  • Les particuliers employeurs font face à la complexité de gérer des salariés : seuls 40% savent qu'ils sont responsables du suivi de leur santé,
  • Plus de huit sur dix sont conscients que les emplois à domiciles sont précaires… tout en contribuant à cette précarité, en favorisant souvent les arrangements sans contrat de travail.

Paris, le 9 janvier 2017 - CFTC Santé Sociaux, la fédération des métiers de la santé et des services à la personne, dévoile aujourd'hui les résultats de l'étude "Les Français et les particuliers employeurs", réalisée par OpinionWay.

Avec 1,5 million de salariés, l'emploi à domicile est le deuxième employeur de France derrière l'artisanat (2 millions de salariés). Ce secteur comporte de grands paradoxes. Alors que les Français confient leurs biens les plus précieux aux employés à domiciles (leurs enfants, leur maison…) ils n'ont pas une grande image de ces métiers et compétences, et contribuent à leur précarité.

Les Français, fiers d'être patrons
Près de la moitié des Français a déjà fait appel à des services à domicile (45%). Auprès de ces particuliers employeurs, les services de ménage et repassage sont les plus populaires : 23% des Français y ont déjà fait appel, devant l'aide à domicile (20%) les petits travaux de jardinage ou bricolage (19%). Les services destinés aux enfants sont également très populaires : 17% des Français ont eu recours à la garde d'enfant organisée. Pour chaque catégorie de services, les particuliers employeurs sont particulièrement satisfaits, avec un taux moyen de satisfaction de 80%.

Quelles sont les motivations ? Sans surprise, il s'agit en priorité de déléguer à un expert des tâches que l'on n'est pas en mesure d'effectuer soi-même (36%) et de se décharger des tâches qu'on n'aime pas faire (35%). Pour 24% des Français, les services à domicile sont une bonne façon de libérer du temps pour leur vie familiale et professionnelle. Mais près de 1/3 des particuliers employeurs expriment même une certaine fierté : ils revendiquent de soutenir la croissance en créant de l'emploi (31%). En revanche, le coût reste un obstacle majeur pour 52% des Français. Tous ne peuvent s'offrir des services à domicile.

Les services à domicile en mal de reconnaissance
Horaires variables, déplacements multiples, changement fréquent d'employeur, les métiers des services à domiciles ne sont pas sécurisants pour les professionnels. Les Français en sont conscients : ils estiment que les salariés à domicile occupent souvent des emplois précaires (84%, dont 25% tout à fait) et que ces personnes n'obtiennent souvent pas la reconnaissance qu'elles mériteraient pour leur travail (81%).

Mais si les Français conçoivent les difficultés que rencontrent les personnes salariées à domicile, ils remettent toutefois en cause leurs compétences et leur motivation. Ils déclarent en effet que ces personnes occupent ces emplois "faute de mieux" (77%) et qu'elles sont peu diplômées (72%). Seuls 29% des personnes interrogées estiment qu'elles occupent ce type d'emploi par vocation.

Les Français contribuent-ils à cette précarité ?
Très régulièrement, les parties se contentent de s'arranger à l'oral, sans signer de contrat de travail écrit : 29% des gardes d'enfant organisées et 40% des aides à domiciles se font sans contrat de travail.
L'étude met également en lumière un décalage sur la rémunération, entre ce que les particuliers employeurs perçoivent comme un salaire correct pour leurs salariés et ce qu'ils accepteraient réellement pour le même travail. Si 9 particuliers employeurs sur 10 (90%) ont le sentiment de bien rémunérer leurs salariés, seuls 80% accepteraient le même salaire pour réaliser ce travail.

Les particuliers face à leurs responsabilités de patron
Dans le cadre des relations entre particuliers et salariés, seuls 60% des employeurs estiment connaître leurs droits et devoirs. 40% d'entre eux ignorent même qu'ils sont responsables du suivi de la santé de leurs salariés.
Lorsqu'une décision difficile est nécessaire, les particuliers employeurs sont peu sûr d'eux : seuls 49% se sentent capable de négocier à l'amiable la fin du contrat. Ainsi, les particuliers employeurs semblent ne pas avoir conscience de leurs responsabilités vis-à-vis de la loi, à l'image de toute entreprise classique. Pourtant, les risques juridiques sont les mêmes.

"Les services à domicile sont un secteur majeur de l'emploi en France, avec 3,5 millions de particuliers employeurs, majoritairement satisfaits, qui sont fiers de contribuer à l'effort national de l'emploi (pour un tiers d'entre eux). A la CFTC Santé Sociaux, nous souhaitons mettre en lumière les vocations de ces métiers de services, qui facilitent la vie des Français au cœur de leur foyer." déclare Jean-Marie Faure, Président de la CFTC Santé Sociaux.


Pour télécharger les résultats complets de l'étude, cliquez ici

Méthodologie : L'étude "Les Français et les particuliers employeurs", réalisée par OpinionWay pour CFTC-Santé Sociaux, est destinée à comprendre et analyser l'attitude et les connaissances des Français sur l'emploi à domicile.

Cette étude a été réalisée auprès d'un échantillon de 1019 personnes, représentatif de la population française âgée. Les interviews ont été réalisées les 31 août et 1er septembre 2016.

Pour plus d'information sur la CFTC Santé Sociaux : visitez le site

lundi 18 janvier 2016

Compte pénibilité: le saviez-vous?

COMMUNIQUE DE PRESSE
Compte pénibilité :
Mise en place d’un suivi 

Le Mise en place d’un suivi de  de la pénibilité constitue une innovation sociale importante : il offre des droits nouveaux à des salariés qui, en raison des facteurs de pénibilité auxquels ils sont exposés dans leur activité professionnelle, peuvent avoir une espérance de vie et donc une retraite réduites. 

Il complète les dispositifs que le gouvernement a souhaité développer lors de la réforme des retraites de 2014, notamment les départs anticipés à la retraite pour celles et ceux qui ont eu une carrière particulièrement longue, ou la retraite progressive qui permet désormais aux salariés, dès 60 ans, de cumuler une fraction de leur retraite avec une rémunération à temps partiel. 

Les premières déclarations d’exposition à la pénibilité interviendront fin janvier : comme tout dispositif social innovant, le compte pénibilité doit être suivi et évalué. 

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, et Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, ont souhaité confier à Pierre-Louis Bras la présidence du futur Conseil d’administration du Fonds de financement du compte pénibilité. Il lui appartiendra d’installer ce conseil majoritairement composé de partenaires sociaux, chargé de veiller au bon fonctionnement comme à l’exact financement du compte pénibilité.

Parallèlement, sur proposition des ministres, le Premier ministre confie à Pierre-Louis Bras, à Jean-François Pilliard et à Gaby Bonnand une mission destinée à suivre et évaluer l’insertion du compte pénibilité dans notre système de protection sociale et plus particulièrement au sein des dispositifs de sortie précoce des seniors du marché du travail (qu’elle soit volontaire ou subie).

Cette mission d’évaluation, qui se nourrira d’échanges avec les employeurs et les représentants des salariés, permettra de mettre en place un dispositif de suivi à même d’évaluer, dans la durée, la pertinence du compte pénibilité introduit par la réforme des retraites portée par  à l’automne 2013.

lundi 3 novembre 2014

Le chiffre : 3682 c'est...


Le numéro de téléphone unique destiné aux employeurs et aux  salariés pour s’informer sur les démarches et droits liés au compte personnel de prévention de la pénibilité.

Les ministères du Travail et des Affaires sociales vient d'ouvrir aujourd'hui, "une ligne téléphonique et un site internet consacrés à l’information et à l’accompagnement des salariés et des employeurs sur le compte prévention pénibilité.

Le site www.preventionpenibilite.fr, "présente le compte prévention pénibilité  (dispositif et modalités d’application ) du profil sélectionné : salarié, employeur ou partenaire. 4 rubriques sont disponibles pour les employeurs :

la pénibilité : qu’est-ce qui change ?

les droits des salariés ;    

la déclaration de la pénibilité ;

développer la prévention.

Pour joindre la plateforme téléphonique (du lundi au vendredi de 8 heures à 17 heures) composer le 3682, ou le 0033 97110 3682.
 
 
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lundi 9 décembre 2013

C'est à lire : sécu


L'ex-directeur de l'ASIP pourrait réintégrer le groupe Atos, dont la filiale Santeos héberge le DMP, selon le Canard Enchainé


L'Asip santé avait annoncé il y a une semaine le départ le 30 novembre de son directeur général, Jean-Yves Robin. A l'issue d'une assemblée générale extraordinaire, elle indiquait sur son site que le président de son conseil d'administration, Michel Gagneux, assurerait la direction de l'Asip santé "à titre intérimaire". Le Canard enchaîné du 4 décembre s'est intéressé au devenir de Jean-Yves Robin, qui avait quitté en 2008 ses fonctions de directeur général de Santeos, une filiale d'Atos, pour prendre la tête du GIP-DMP, devenu en 2009 l'Asip Santé après fusion avec le GIP-CPS et le département "interopérabilité" du groupement pour la modernisation du système d'information hospitalier (GMSIH). Le Canard affirme que "venu du privé, il va y retourner avec un chèque de 190 000 euros en poche, soit l'équivalent d'un an de salaire".

L'hebdomadaire satirique ajoute que Jean-Yves Robin serait actuellement "en pourparlers" pour rejoindre "Atos-Santeos". L'intéressé a démenti dans un message électronique adressé le 5 décembre à l'APM et à TICsanté qu'il pourrait rejoindre le groupe Atos. "Cette information inexacte est manifestement destinée à décrédibiliser la rigueur du travail réalisé par l'agence ainsi qu'à mettre en doute mon honnêteté personnelle", écrit-il.


Rappelons que la commission des marchés de l'Asip Santé avait retenu en février 2010 le consortium industriel constitué des sociétés Atos Worldline, Evalab, Extelia (filiale du groupe La Poste), HSC, Santeos (filiale d'Atos) et Softway Medical Services, pour l'hébergement du DMP. L'avis d'attribution du marché du DMP au consortium Atos Origin-La Poste (pour quatre ans et renouvelable un an), publié le 10 mars 2010, indiquait une "valeur totale finale du marché" de 50 millions d'euros hors TVA, pour 5 millions de dossiers hébergés (on en est à 412 000 presque vides), indique une dépêche TIC Santé. Le Canard s'est également intéressé aux clauses particulières du marché et note cette subtilité contractuelle : la SSII Atos resterait, à l'issue du contrat, propriétaire du logiciel de gestion de ce DMP bien qu'il ait été financé sur fonds publics. Scandale, gâchis monstrueux, dénonce inlassablement le député Gérard Bapt. En attendant, le contrat qui n'a pas été renégocié à temps par le ministère se prolonge encore pour 2014 avec 10 millions de plus pour les heureux bénéficiaires.
 L'ex-directeur général de l'Asip santé Jean-Yves Robin pourrait retourner chez Atos - Dépêche TIC Santé 5 décembre 2013
 Le dossier médical informatisé en coma dépassé - Le Canard Enchainé 4 décembre 2013
 Jean-Yves Robin, dément retourner dans le groupe Atos

 

Net-particulier.fr : le portail officiel de l'emploi à domicile

Le ministère des Affaires sociales annonce l'ouverture de ce nouveau portail conçu grâce à l'implication de l'ensemble des organismes de protection sociale et des partenaires sociaux (branches famille, vieillesse et recouvrement de la sécurité sociale, le Cesu et Pajemploi, Pôle Emploi, l'Ircem et la Fepem). Outil de simplification entre les particuliers-employeurs, leurs salariés et les organismes de protection sociale, ce portail de référence offre une vision globale des informations et des services disponibles dans le secteur de l'emploi à domicile qui concerne 5 millions de personnes (particuliers employeurs, salariés). Il répond à toutes les questions : Comment faire garder son enfant ? Comment trouver une aide à domicile ? Quels métiers exercer auprès d'un particulier ? Quelles sont les démarches ? Quelle est ma protection sociale en tant que salarié à domicile ?


Le site accompagne les internautes à chaque étape clé de la relation de travail. S'informer, devenir employeur ou salarié, rémunérer et déclarer, gérer la relation, deviennent des étapes simples et accessibles. De nouvelles fonctionnalités en ligne seront régulièrement proposées pour rester en phase avec les attentes des particuliers employeurs et des salariés.
 Accès au site

mardi 26 novembre 2013

Les métiers de la Mutualité


L'Union des Groupements Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de partenariat avec l'Académie de Paris

Près de 1 000 lycéens étaient réunis vendredi 22 novembre 2013 à la Maison de la Mutualité à Paris pour une matinée de présentation des métiers de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président de l’Union des Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier, Secrétaire Général de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur de l’Académie de Paris, chancelier des universités, ont signé un accord de partenariat.

 

Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens, leurs familles, les chefs d’établissement et les personnels enseignants sur les quatre familles de métiers proposés par la Mutualité : 

 

-  la prévention et la promotion de la santé : animateur de prévention,

 

- la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère), conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d’études techniques,

 

-  les soins et l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,

 

-  les métiers supports : contrôleur(euse) interne, juriste.

 

La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont 15 000 professionnels de santé, prévoit en effet d’embaucher environs 10 000 collaborateurs d’ici 2018*.

 

L’accord de partenariat signé ce jour décline au niveau académique l’accord-cadre national signé le 25 juillet 2008 entre le Ministre de l’Education nationale et le Président de l’UGEM qui prévoyait notamment :

 

Ø L’orientation des élèves tout au long de leur cursus secondaire,

 

Ø un accompagnement à la formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème et de 3ème lors de leurs parcours découverte de l’entreprise,

 

Ø une participation à la formation des personnels de l’éducation nationale par le biais de stages dans les entreprises mutualistes,

 

Ø une réflexion portant sur l’articulation entre les diplômes de l’enseignement technologique et professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.

 

Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un site internet dédié www.metiers-mutualite.com présentent les différents métiers de la Mutualité.

 

* Sources DADS 2010 et bilan social de branche sur les données 2011 réalisée par l’Observatoire de l’emploi et des métiers en mutualité.

 

lundi 25 novembre 2013

Les métiers de la Mutualité L'Union des Groupements Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de partenariat avec l'Académie de Paris

Près de 1 000 lycéens étaient réunis ce matin à la Maison de la Mutualité à Paris pour une présentation des métiers de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président de l'Union des Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier, Secrétaire Général de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur de l'Académie de Paris, chancelier des universités, ont signé un accord de partenariat.

 
Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens, leurs familles, les chefs d'établissement et les personnels enseignants sur les quatre familles de métiers proposés par la Mutualité :

- la prévention et la promotion de la santé : animateur de prévention,

- la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère), conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d'études techniques,
- les soins et l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,

- les métiers supports : contrôleur(euse) interne, juriste.

 
La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont 15 000 professionnels de santé, prévoit en effet d'embaucher environs 10 000 collaborateurs d'ici 2018*.

 
L'accord de partenariat signé ce jour décline au niveau académique l'accord-cadre national signé le 25 juillet 2008 entre le Ministre de l'Education nationale et le Président de l'UGEM qui prévoyait notamment :

- l'orientation des élèves tout au long de leur cursus secondaire,

- un accompagnement à la formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème et de 3ème lors de leurs parcours découverte de l'entreprise,

- une participation à la formation des personnels de l'éducation nationale par le biais de stages dans les entreprises mutualistes,

- une réflexion portant sur l'articulation entre les diplômes de l'enseignement technologique et professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.
 

Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un site internet dédié www.metiers-mutualite.com présentent les différents métiers de la Mutualité.

 
* Sources DADS 2010 et bilan social de branche sur les données 2011 réalisée par l'Observatoire de l'emploi et des métiers en mutualité.

lundi 12 novembre 2012

Emplois d'avenir : un site Internet pour tout savoir du dispositif


05/11/12 - Alors que les décrets et arrêté concernant les emplois d'avenir ont été publiés au Journal officiel du 1er novembre 2012, permettant à ces emplois de devenir opérationnels, le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Formation professionnelle vient d'ouvrir un site Internet spécialisé destiné aux candidats et aux employeurs.
> http://travail-emploi.gouv.fr/emplois-d-avenir,2189/

 

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