Pour les personnes atteintes de maladies chroniques, l’impact sur le
quotidien est souvent double. Elles doivent non seulement faire face à la
gestion d’une maladie « à vie », mais également à l’isolement. En effet, les
symptômes dits « invisibles » comme la fatigue ou les douleurs sont souvent mal
compris par leur entourage. Pas étonnant que ces patients manifestent un besoin
particulier d’échanger et de partager leur expérience avec d’autres ! Ces
échanges que l’on retrouve sur les réseaux sociaux permettent de répondre à
leurs attentes et offrent de belles perspectives grâce à de nouveaux outils
dédiés. Premier réseau social dédié aux malades chroniques en France, Carenity
met à la disposition de ses membres une information médicale de qualité, des
espaces communautaires sécurisés et modérés et des applications personnalisées
de suivi de la maladie. Lire la
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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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mercredi 6 mars 2013
mardi 26 février 2013
Reconnu d’utilité publique le pilulier SIVAN de MedSecure vient d’obtenir un agrémentService à la personne
avec un abattement
fiscal de 50% accordé sur l’abonnement mensuel, qui revient à 19,5 euros au
lieu de 39 euros
Les nouvelles
technologies au service de la bonne observance des traitements Le 1er pilulier
intelligent arrive en pharmacie
37 milliards de
Dollars et 125 000 décès par an aux Etats-Unis, 2 milliards d’Euros et
8 000 à 12 000 décès par an en France. La mauvaise observance, qui concerne 30 % à 50 % des patients est
aujourd’hui un enjeu de santé publique planétaire aux répercussions d’ordre
médical et économique.
Près de 13 millions de
personnes en France seraient
polymédiquées, personnes âgées de plus de 60 ans et/ou atteintes de Maladies
Chroniques.
L'utilisation d'un
pilulier est aujourd'hui préconisée par les professionnels de santé comme une
aide majeure à l'observance. Un saut technologique de rupture
Avec SIVAN de MedSecure, qui est aujourd’hui le 1er pilulier doté d’un
réseau GSM avec une carte SIM intégrée et ainsi capable d’appeler le patient ou
son entourage mais aussi d’envoyer des SMS et E-mails de rappel en cas d’oubli.
http://pharamster.over-blog.com/article-un-meilleur-usage-du-medicament-entrainerait-378-milliards-d-euros-deconomies-
http://lemondedelaesante.wordpress.com/tag/igas/--‐
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vendredi 22 février 2013
Mine d'Infos : hit parade des brèves d'actu les plus lues cette semaine
24 oct.
2012
|
18 févr.
2013, 1 commentaire
|
19 févr.
2013
|
18 févr.
2013
|
21 févr.
2013
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21 févr.
2013
|
19 févr.
2013
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20 févr.
2013
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18 déc.
2012
|
21 févr.
2013
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mardi 19 février 2013
Horizon Prévention : coup de projecteur sur l’une des actions prévues en 2013
Le programme
Horizon Prévention mis en place avec les mutuelles de MFP Services a été lancé à
l’automne 2011. Ce projet a l’ambition d’aider les assurés mutualistes à
devenir acteur de leur santé en leur proposant des services adaptés. La
première étape s’est concrétisée par la parution du 1er Baromètre Santé des
Fonctionnaires, qui découlait d’une enquête réalisée auprès de plus de 15 000
agents de la Fonction publique sur la perception de leur état de santé.
Les choix des actions à venir repose sur les résultats de ce baromètre. En
effet, des besoins ont été exprimés. MFP Services et les mutuelles réaliseront
des actions de prévention et promotion de la santé en 2013 pour y répondre.
La 1ère action portera sur les maladies chroniques en partenariat avec la MGEFI
- Les maladies chroniques, avec
le lancement d’une démarche permettant de trouver des solutions d’accompagnement
pour aider à réinsérer les personnes atteintes d’une maladie telle que le diabète
ou l’asthme. Cette démarche est réalisée sous forme d’ateliers où seront invitées
des agents concernés ainsi que des spécialistes, afin de favoriser un échange
dans le but de les aider à reprendre le travail dans les meilleures conditions.
Cette action sera mise en place en mai prochain et ouvrira des actions concrètes
à expérimenter.
L’expérimentation
Les mutuelles membres de MFP Services ont lancé un ambitieux programme de
prévention à destination de leurs adhérents, intitulé Horizon Prévention. La
première étape de cette démarche s’est traduite par la réalisation d’une enquête
santé. Cette dernière a relevé que 37% des répondants déclaraient souffrir d’une
maladie chronique, un handicap ou un problème de santé préoccupant.
Fort de ce constat, le programme
Horizon Prévention propose d’agir afin d’aider les personnes atteintes d’une
maladie chronique et en arrêt de travail, dans leur démarche de retour à l’emploi.
L’objectif est d’améliorer la qualité de vie de ces personnes.
Afin d’identifier les problèmes rencontrés et proposer des solutions adaptées,
une expérimentation sera ainsi menée à Carcans en Gironde du 27 au 31 mai 2013,
autour d’ateliers thématiques animés par des professionnels de santé. Elle réunira
un groupe volontaire de 15 personnes. L’opération sera menée en partenariat
avec la MGEFI.
En savoir plus sur
Horizon Prévention
Contact MFP Services
Anthony Landreau
NDRLR : MGEFI
et Baromètre santé des fonctionnaires
1. MINE D'INFOS: Baromètre santé des fonctionnaires: L'analyse des ...
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21 nov. 2012 – Baromètre santé des
fonctionnaires: L'analyse des réponses des adhérents de la MGEFI. Dans le but de
prévenir et de gérer de manière...
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lundi 18 février 2013
« Maladies chroniques, maladies invisibles :
quel soutien le web social
apporte-t-il au patient ?
Comment contribue-t-il à l’avancée des connaissances médicales ? »
Comment contribue-t-il à l’avancée des connaissances médicales ? »
Pour les personnes atteintes de
maladies chroniques, l’impact sur le quotidien est souvent double. Elles
doivent non seulement faire face à la gestion d’une maladie « à vie », mais également
à l’isolement. En effet, les symptômes dits « invisibles » comme la fatigue ou
les douleurs sont souvent mal compris par leur entourage. Le web social leur
permet d'échanger avec une communauté de personnes qui vivent la même chose
qu'eux. Premier réseau social dédié aux patients et à leurs proches, Carenity
met à la disposition de ses membres une information médicale de qualité, des
espaces communautaires sécurisés et modérés et des applications personnalisées
de suivi de leur état de santé.
Maladies chroniques : de plus en
plus de patients en France…
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé
(OMS), la maladie chronique est « un problème de santé qui nécessite une prise
en charge sur une période de plusieurs années ou plusieurs décennies ». Les
maladies chroniques touchent près de 15 millions de personnes en France et
constituent un enjeu majeur de santé publique.
Pour répondre aux besoins spécifiques des
personnes concernées par les maladies chroniques que le réseau social Carenity
a été fondé en 2011 par Michael Chekroun. Il s’adresse aux patients et à leurs
proches pour leur permettre de suivre l’évolution de la maladie et des
traitements, d’échanger au sein d’espaces sécurisés grâce à des applications
personnalisées, et de faire progresser les connaissances médicales en participant
à des enquêtes en ligne. Carenity regroupe en février 2013 plus de 12 000
membres au sein de 41 communautés de patients, un chiffre qui a triplé en 1 an.
A terme, plus de 1 000 pathologies, y compris de nombreuses maladies rares,
seront proposées afin de donner à un maximum de patients, ainsi qu’à leurs
proches, la possibilité de se retrouver entre eux et d’échanger.
Des maladies souvent invisibles et
silencieuses
Certaines maladies chroniques sont dites «
invisibles », explique le Professeur Jean-Marie
Le Parc, rhumatologue à l'hôpital Ambroise Paré (Boulogne-Billancourt)
Le Parc, rhumatologue à l'hôpital Ambroise Paré (Boulogne-Billancourt)
Certaines maladies sont en outre «
silencieuses », c’est-à-dire qu’elles sont présentes sans que les symptômes ne
soient perceptibles. Le Docteur Corinne Antoine, néphrologue à l’Hôpital Saint
Louis (Paris), mentionne le cas de l’insuffisance rénale.
Quant à la maladie de Crohn, maladie
inflammatoire des intestins. « Elle évolue de façon imprévisible par poussées
successives », explique le Professeur Yoram Bouhnik, gastroentérologue à
l'hôpital Beaujon (Paris).
La « double peine » de la maladie
chronique invisible : résultats de l’enquête menée auprès des patients
Les malades chroniques dont la pathologie n’est
pas reconnue par l’entourage proche ou professionnel subissent une forme de «
double peine ». Une enquête a été menée par Carenity auprès de 279 patients
inscrits sur le site, souffrant de spondylarthrite ankylosante, de la maladie
de Crohn ou d’insuffisance rénale.
La combativité caractérise le
mieux l’état d’esprit du patient, même s’il est confronté à l’incompréhension
des autres.
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Le réseau social comme espace d’échange
libre
« Dans une maladie
inflammatoire chronique des intestins (MICI), les contraintes et les difficultés
sont grandes par rapport à l’image de soi, la vie sociale, la vie
professionnelle, etc. », souligne Corinne Devos,
patiente experte et bénévole de l’Association François Aupetit (AFA). Et
pourtant, « c’est invisible », poursuit-elle. « Sur un réseau social,
on peut sortir de l’isolement, s’exprimer sans tabou, et se nourrir de l’expérience
des autres. Au-delà du partage d’expérience, on arrive dans le partage des
solutions et des ressources, et cela devient un élément moteur, positif, comme
un véritable interlocuteur. »
Le « carnet de bord » de Carenity « permet de suivre l’évolution de sa maladie », explique Corinne Devos. « Ainsi, on ne retient pas uniquement les mauvais moments comme on a tendance à le faire avec sa seule mémoire. C’est une fonction intéressante au niveau de l’historique des événements. »
Le « carnet de bord » de Carenity « permet de suivre l’évolution de sa maladie », explique Corinne Devos. « Ainsi, on ne retient pas uniquement les mauvais moments comme on a tendance à le faire avec sa seule mémoire. C’est une fonction intéressante au niveau de l’historique des événements. »
L’expertise du patient appelée à
devenir un service professionnel ?
Corinne Devos a suivi 40h de formation, en
compagnie de professionnels de santé, pour intervenir comme patiente experte
dans des programmes d’éducation thérapeutique du patient (ETP). Elle réalise également
du « coaching santé » pour l’AFA et s’interroge sur des formules qui permettraient
à terme « de valoriser cette expertise ». « Un patient ne pose pas
les mêmes questions à un autre patient qu’au médecin », souligne-t-elle. « Il
interroge sur le quotidien de la maladie, les difficultés au travail, dans le
couple, en famille, etc., c’est-à-dire l’expérience et le vécu du patient
expert. Il est important d’être formé pour ne pas simplement inciter les autres
à faire comme soi. Chacun doit aller vers des solutions adaptées à sa
situation. »
« Le patient expert qui devient éducateur thérapeutique diplômé comme un infirmier devrait pouvoir être rémunéré pour ses services à terme », conclut-elle. « On pourrait sinon penser que l’un est moins compétent, moins professionnel que l’autre. »
« Le patient expert qui devient éducateur thérapeutique diplômé comme un infirmier devrait pouvoir être rémunéré pour ses services à terme », conclut-elle. « On pourrait sinon penser que l’un est moins compétent, moins professionnel que l’autre. »
Carenity en pratique
Carenity met gratuitement à la disposition
de ses membres une information médicale de qualité, des espaces communautaires
sécurisés et des applications personnalisées de suivi de santé. Construit sur
le principe d’une plateforme collaborative de patient à patient, Carenity
facilite le partage d’informations de santé entre membres de façon anonyme et sécurisée.
Le contenu médical a été élaboré en collaboration avec des professionnels de
santé et les espaces de discussion font l’objet d’une modération quotidienne
par des community managers salariés de Carenity.
L'apport de Carenity dans la vie
du malade chronique selon l'enquête
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Le modèle
Carenity : une philosophie ?
Carenity repose sur une « conviction profonde », explique Michael Chekroun. « Longtemps on a écouté la seule parole du médecin pour comprendre les besoins des malades. Nous sommes en train de changer de paradigme : le web collaboratif, ou web 2.0, permet aujourd’hui de recueillir des informations pertinentes issues de la « vraie vie » du patient ». Ainsi, à la connaissance scientifique du médecin s’ajoute « la connaissance profane du patient », note Michael Chekroun. Ces informations, anonymes et agrégées, constituent de précieuses « données en vie réelle » que les industries de santé peuvent prendre en compte dans la mise au point de nouveaux traitements ou services médicaux. « La grande majorité de nos utilisateurs reconnaît que ces données anonymes permettent de créer une intelligence collective contribuant au progrès des connaissances médicales, et que cela constitue par ailleurs un outil puissant pour faire entendre la voix des patients », relève Michael Chekroun.
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jeudi 7 février 2013
LIBRES PROPOS : Signés Le Ciss
Après de longs mois d’attente, la stratégie nationale de santé annoncée par le Premier ministre dans son discours de politique générale en juillet 2012 semble se dessiner. On comprend qu’elle sera centrée sur une approche rénovée du parcours de soins des patients aujourd’hui exposés à l’absence de coordination entre les acteurs d’un système de santé éclaté, pensé pour les cas aigus, alors que nous vivons au temps des maladies chroniques. Nous savons tous que ces prises en charge rénovées ne seront possibles que si la fongibilité des enveloppes de financement est au rendez-vous. Cela semble enfin à l’ordre du jour.
Pour autant, si rien n’est fait pour renforcer la participation des citoyens aux décisions de santé qui les concernent, nous aurons une réforme tout aussi technique que les précédentes. Il ne s’agit donc pas de promettre un parcours de soins mieux adapté aux attentes des patients et de leurs proches s’il reste toujours aussi illisible dans ses modalités ou dans sa tarification. Il ne s’agit donc pas non plus de continuer à tenir à l’écart des décisions les associations dont se sont dotés les usagers.
Information de l’usager et parcours de soins
Nous ne pouvons nous satisfaire de la faiblesse actuelle de l’information de l’usager. Chaque jour qui passe amène son lot d’exemples où nos concitoyens n’ont pas choisi leur traitement, et plus généralement leurs soins, en toute connaissance de cause. Et cela fait maintenant une bonne décennie que l’on nous promet un portail d’information grand public censé répondre à cette attente. Rien n’est plus urgent. A condition qu’il ne s’agisse pas d’un porte-voix entaché du soupçon. Or, après tant de scandales sanitaires, l’information publique en santé ne peut être que le fait d’une autorité indépendante. La réorganisation annoncée des différentes agences de santé, toutes émettrices publiques d’information, devrait être l’occasion d’un changement d’échelle dans l’information des usagers. Il en va de la citoyenneté comme du parcours de soins, qui commence d’ailleurs par de l’information.
L’open data en santé, au bénéfice de tous
Les organisations non gouvernementales n’ont pas d’accès effectif aux données de santé anonymisées. Alors que l’Open Data progresse dans l’environnement, les transports et dans les collectivités locales, nous restons à la traîne dans le domaine de la santé alors que les enjeux sont colossaux : sécurité des soins, qualité des soins, prix de référence. Il nous arrive de voir nos propositions écartées, quand ce n’est pas moquées, au motif qu’elles ne s’appuient que sur des témoignages, même s’ils sont nombreux. Les pouvoirs publics doivent nous assurer les moyens d’une utilisation de ces données, pour mettre fin à cet entre-soi institutionnel de l’accès aux données publiques qui joue contre les citoyens et, plus globalement, contre l’organisation éclairée de notre système de santé.
Mobilisation citoyenne et démocratie sanitaire
Si l’information et l’accès aux connaissances sont décisifs, le soutien à la mobilisation citoyenne est tout aussi essentiel. Or, depuis l’avènement de la loi du 4 mars 2002, nous assistons à un lent délitement des ambitions portées à l’époque. Si le modèle de la représentation des usagers est perfectible, il ne mérite pas d’être étouffé comme cela semble en mauvaise voie. Il s’agit d’un service public : celui de l’expression des attentes collectives en santé. À service public, financement public, d’autant qu’aucune association d’usagers ne dispose des ressources pour répondre à cet objectif. Il s’agit aussi d’une exigence démocratique au moment où tout montre, scandale sanitaire après scandale sanitaire, que le renforcement de la place des usagers dans les instances de santé est la seule voie pour changer d’ère. A charge pour le parlement de dessiner les contours de ce service public, tant dans son organisation que dans les formes qu’il convient de lui déléguer : représentation, participation, interpellation…
Place et rôle des associations dans l’accompagnement
Enfin, les associations de patients, notamment, attendent toujours la reconnaissance de leur rôle dans l’accompagnement des patients et des proches. D’autant par exemple que le modèle français de l’éducation thérapeutique, contre toute attente, n’a pas décollé ; ou que les aidants ne bénéficient toujours pas du légitime soutien de leur intervention pourtant essentielle. C’est donc une autre voie qu’il convient d’emprunter. Des organisations locales, avec les associations de patients, voire conduites par elles, sont à concevoir pour accompagner les patients dans les parcours de santé et de soins qui sont au centre de la réforme promise.
La stratégie nationale de santé doit aussi être l’occasion d’un changement de méthode dans l’implication des usagers dans les décisions, individuelles ou collectives, qui les concernent : ouvrir ce chantier sans les associer à tous les niveaux serait mal commencer !
Le Ciss
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