Mars 2016
Baromètre de la
santé 2014 – INPES – UFSBD –
Santé
bucco-dentaire des adultes :
N°35 d’Evolutions : Evolutions
n° 35 – Mars 2016 – Santé bucco-dentaire des adultes – INPES-UFSBD
Quel est l’état de
santé bucco-dentaire des Français ? http://www.inpes.sante.fr/30000/actus2016/011-sante-bucco-dentaire.asp
Baromètre santé 2014 http://www.inpes.sante.fr/Barometres/barometre-sante-2014/index.asp
Mars 2016
Journée mondiale
pour la santé bucco-dentaire, le 20 mars 2016 : Une brosse à dents et du
dentifrice sont-ils vraiment indispensables pour les français en 2016 ?
Mars 2016
Lancement de la
chaîne Youtube UFSBD « La santé bucco-dentaire se vit au quotidien » : 5 vidéos
pour interpeller chaque français face à sa santé dentaire :
Le Communiqué de
Presse : La santé
bucco-dentaire se vit au quotidien – CPresse UFSBD
Et découvrez
individuellement chaque personnage :
VALERIE 42 ans qui
travaille en continu et STEPHANE 45 ans, papa diabétique :https://www.youtube.com/watch?v=vVu-DaPpS4I
Janvier 2016
Conférence de
presse le mardi 15 mars 2016 Salon Laperouse : Aujourd’hui plus que jamais les
enjeux et défis en matière de santé sont immenses et le domaine bucco-dentaire
ne fait pas exception !
L’invitation : CONFERENCE
DE PRESSE le 15 mars 2016 – INVITATION –
Le dossier de
presse : : Dossier de
Presse UFSBD – conf de presse mars 2016 –
L’infographie : La santé bucco-dentaire en
images : La santé
bucco-dentaire en image UFSBD – Infographies Mars 2016La Lettre ouverte de l’UFSBD : Lettre Ouverte de l’UFSBD – conf de presse mars 2016 – |
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
Affichage des articles dont le libellé est adultes. Afficher tous les articles
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vendredi 25 mars 2016
Lancement de la chaîne Youtube UFSBD « La santé bucco-dentaire se vit au quotidien »
jeudi 23 octobre 2014
Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...
Association FLORIAN FILLET Pour qu'existe enfin les soins palliatifs en pédiatrie
Florian Fillet est décédé d’un mal inconnu, dans des souffrances extrêmes, à l’âge de 15 ans et après 125 jours d’hôpital. De ces souffrances et du constat du manque de moyens des hopitaux pour accompagner
les enfants en soins palliatifs, ses parents ont créé l’association Florian Fillet.
Actuellement, il existe les soins palliatifs pour les adultes, mais force est de reconnaître que pour les enfants, nous en sommes aux balbutiements.Face à l’urgence et au besoin de sensibiliser le plus largement possible, l’action de l’association Flo- rian Fillet est de promouvoir les soins palliatifs, d’organiser et d’intervenir dans l’accompagnement des enfants en soins palliatifs et/ou des enfants dont le pronostic vital est en jeu ; principalement en pédiatrie dans les établissements médicalisés (hôpitaux, cliniques, maisons de santé...) et à domicile.
Son action s’étend à l’accompagnement des proches. L’association peut, en cas de nécessité et en collaboration avec d’autres associations, intervenir dans l’accompagnement de toute personne dont le besoin est identifié.
Le bénévolat de l’association Florian Fillet répond à des objectifs précis :
· Organiser, en concertation avec les professionnels de santé, dans le respect des lois en vigueur concernant les soins palliatifs et la fin de vie, l’accompagnement des malades atteints d’une patho- logie grave, curable ou incurable, connue ou inconnue, et pouvant entraîner la mort. Que ce soit en institut médicalisé ou à domicile.
· Sensibiliser l’opinion publique et favoriser l’évolution des mentalités face à la maladie grave, à la fin de vie et à l’isolement que cela engendre.
· Collaborer avec les équipes soignantes et le corps médical sans jamais tenter de se substituer à eux mais avec la volonté de fournir toute aide susceptible de faciliter leur mission.
· Participer en permanence à l’étude des besoins en matière d’accompagnement des malades en soins palliatifs et/ou en fin de vie.
· Recueillir et partager les informations dans l’intérêt des patients.
· contact mail www.idccommunication.com
vendredi 7 février 2014
« Un plan cancer ambitieux pour la prise en soins des adolescents et jeunes adultes »
Lire la réaction de l'association Jeunes Solidarité Cancer
vendredi 25 octobre 2013
Libres propos signés François Besnier Pdt de l'Association Prader Willi
Affaire Loquet :
Adultes sans solution à situations sans solutions ?
L’action en justice menée par l’UNAPEI pour faire appliquer
les droits d’une personne handicapée, porteuse du syndrome de Prader-Willi
(SPW), a été largement commentée dans les médias. La justice avait ordonné à
l’État de trouver une place à cette personne dans un centre spécialisé. Le
ministère de la santé interjette un appel de cette décision puis se rétracte en
fin de journée.
Cette action a attiré l’attention du grand public sur un problème
réel. De trop nombreux adultes, porteurs de handicaps complexes avec, en
particulier, des troubles du comportement, ne trouvent pas de structures
médico-sociales pour les accueillir. Ils vivent chez leurs parents, dans des
situations souvent dramatiques. C’est le cas d’Amélie et son cas n’est pas
isolé. Une enquête menée en 2011 par l’association Prader-Willi France (PWF) montrait
que 60% des adultes étaient hébergés dans leurs familles et souvent sans
activité journalière extérieure.
Un secteur médico-social souvent inadapté
Pourquoi ces situations sont-elles si
nombreuses ? Il n’y a pas assez de places proposées, c’est vrai, mais il
manque surtout des solutions adaptées à ces cas complexes. Celles proposées par
le secteur médico-social sont encore trop rigides, manquent de la souplesse
nécessaire et de moyens pour s’adapter aux personnes. Dans la situation
économique actuelle de notre pays, on ne peut espérer la création d’un grand
nombre de nouvelles places. Il faut donc faire mieux, à partir des moyens
existants.
Dans le cas du SPW, les refus ou les échecs de
prise en charge sont très souvent liés à une méconnaissance des spécificités du
syndrome. Celui-ci met en échec les réponses éducatives ou organisationnelles
habituelles. Les situations de crise conduisant à des hospitalisations provoquent
des ruptures souvent irréversibles des parcours de vie.
Le risque de la judiciarisation : l’exclusion des personnes malades
Les recours en justice, s’ils devaient se
multiplier ne feront pas progresser vers des solutions durables. Ils risquent
d’induire une judiciarisation néfaste à la construction de vraies solutions.
Celle-ci a un effet pervers : les structures, déjà peu nombreuses,
risquent par peur de la sanction judiciaire, de fermer la porte à la prise en
charge de nos enfants. Une stigmatisation de plus, en réaction à la peur.
Le cas d’Amélie illustre parfaitement la
spirale perverse de la judiciarisation. L’État interjetant appel aurait laissé
la famille dans le désarroi et entraîné une procédure juridique, bataille
longue et coûteuse.
La lenteur des réponses aux demandes des
familles n’est pas acceptable, tout comme l’absence de réponse coordonnée des
acteurs concernés, pour proposer des aides et accompagner la famille dans la
recherche de solutions pérennes. On ne peut se contenter de l’affirmation des
droits des personnes handicapées sans que soient mises en place les solutions
permettant de les respecter.
Pour sortir de cette spirale, l’association
Prader-Willi France a donc décidé de saisir le Défenseur des Droits.
La co-construction est la solution
Les solutions seront issues d’une collaboration
des établissements médico-sociaux et du secteur médical. La création des
centres de référence (dans le cadre du Plan « Maladies Rares ») a
permis des avancées remarquables dans le parcours de soins. Mais il manque aux
sites du Centre de référence des professionnels de coordination sur l’aspect
psychiatrique et social permettant de faire le lien avec les établissements de
soins psychiatriques et le monde médicosocial. Le réseau de centres de
compétences associés, couvrant l’ensemble du territoire, doit constituer un
élément essentiel d’un accompagnement adapté. Il faut mettre en place les solutions
d’accueil temporaire (les séjours de
répits) essentielles pour construire ou revoir les projets de vie et permettre
aux personnes concernées et à leurs familles de souffler un peu (des
initiatives de ce type vont se concrétiser dans le cadre du plan obésité). Il
faut également s’appuyer en particulier sur l’expérience acquise par des
établissements sanitaires comme l’hôpital Marin de Hendaye, qui accueille
depuis plus de 13 ans des adultes pour des séjours temporaires. Des demandes
ont été faites pour augmenter le nombre de places offertes par cet
établissement, demandes sans réponse à ce jour.
Il convient de s’appuyer sur les établissements
médico-sociaux (IME, ESAT, foyers d’hébergements, foyers de vie, etc.) qui
accueillent nos enfants et s’efforcent de construire des solutions adaptées.
Ils disposent d’une réelle expertise qu’il faut faire connaître et partager. Encore
faudrait-il qu’ils aient tous un minimum de moyens pour accomplir cette tâche.
Associer tous les acteurs à la prise en charge
Les associations de familles enfin, par leur
connaissance acquise quotidiennement sont aussi des acteurs essentiels dans ce
travail. Les ARS (Agences Régionales de Santé) et les MDPH (Maisons
Départementales des Personnes Handicapées) doivent s’impliquer fortement dans
cette démarche et impulser le travail commun, la mise en place de solutions
cohérentes dans les régions et sur l’ensemble du territoire. Elles doivent aider
à diffuser l’information et à former les intervenants.
Le problème est complexe et il n’existe pas de
solution miracle. Les différents acteurs impliqués doivent travailler ensemble.
Oui, il faut donner plus de moyens aux structures qui proposent déjà des
solutions, oui, il faut assouplir les réglementations, s’inscrire dans une
logique de continuité des parcours de soin et de vie.
La co-construction des solutions ne doit pas
être simplement un slogan, un affichage, mais une réelle pratique de terrain. C’est
ce à quoi nous travaillons depuis des années, pour des solutions durables,
duplicables et consensuelles.
Un groupe de travail avec tous les acteurs
C’est pourquoi nous demandons au Ministère de la Santé la
création urgente d’un groupe de travail comportant les représentants de l’État,
des acteurs du secteur médico-social et des représentants des familles. Il
aurait pour mission de proposer, dans un délai assez court, des recommandations
portant sur l’évolution des procédures d’examen des dossiers et de la
réglementation, l’extension des solutions de répit et la coordination des
parcours.
François Besnier Président de l’association Prader Willi France
En savoir plus : leplus.nouvelobs.com/contribution/960686-.html …
vendredi 6 septembre 2013
Semaine de mobilisation des chiropracteurs en France du 14 au 19 octobre !
La semaine de mobilisation des chiropracteurs, qui ouvriront leur porte au public, à l’occasion de la deuxième journée mondiale de la colonne vertébrale du 16 octobre 2013
· La chiropraxie en France : le point sur ce qui a changé pour les patients depuis les récentes publications des décrets encadrant l'exercice de la chiropraxie et son enseignement
L’Association française de chiropraxie (AFC), unique
instance nationale de représentation des chiropracteurs français, mobilisera la
profession du 14 au 19 octobre, en vue de procéder au dépistage gratuit des
dysfonctions de la colonne vertébrale et des troubles de l’appareil locomoteur
au sein de leur cabinet.
Sensibiliser les adultes et les enfants aux maux de dos souvent ignorés et sous-estimés et à l’importance d’une bonne hygiène vertébrale, tels sont les principaux objectifs de ces professionnels de santé experts en soin de la colonne vertébrale.
Peu connue en France, la chiropraxie est la médecine manuelle de référence
pour les soins du dos et des articulations. Elle a pour objet le diagnostic, le
traitement et la prévention des dysfonctionnements de l'appareil locomoteur (ou
troubles musculo-squelettiques) et de leurs conséquences, notamment au niveau
de la colonne vertébrale et des membres. Reconnue, au niveau international, par
l’Organisation mondiale de la santé, et en France, par le code de la santé
publique, la chiropraxie est remboursée par la plupart des complémentaires santé.
NDLR : CHIROPRACTIE et MGEFI
Rechercher un professionnel de santé
mardi 29 janvier 2013
Nomination à l'AFPA
Un nouveau comité de direction exécutif pour
l’Afpa
Depuis le 1er janvier 2013, l’Afpa (Association nationale
pour la formation professionnelle des adultes) dispose d’une nouvelle équipe de
direction réunie autour d’Yves Barou, président et d’Hervé Estampes, directeur
général.
« L’Afpa refondée est à présent en ordre de
marche, dotée d’une feuille de route claire, d’une équipe de direction
renouvelée et de véritables perspectives d’avenir. » déclare Yves BAROU son
président.
Placé sous la direction générale d’Hervé
Estampes, le comité de direction exécutif1 est constitué de la façon suivante, par ordre alphabétique :
Anne-Marie
Bjornson-Langen, directrice d’Afpa Transitions
Rémi Bordet,
directeur du développement service public
Dominique
Costiou, directeur des services et moyens généraux
Juliette des
Garest, directrice de l’ingénierie et de l’innovation pédagogique
Christophe
Donon, directeur de la stratégie
Hervé Dufoix,
directeur des relations humaines et du dialogue social
Jean-Luc
Le-Clech, directeur régional PACA
Fabienne
Maubert-Le Dren, directrice des formations
Anne Morrier,
directrice de la communication
Christophe
Ribon, directeur financier
Lionel
Rouillon, directeur du développement entreprises et international
Dominique Schwach, directeur régional
Ile de France
A propos de l’Afpa
Avec plus de 160 000 personnes
formées chaque année, l’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle
des adultes) est depuis plus de 60 ans, le 1er organisme de
formation des actifs (salariés et demandeurs d’emploi) et, avec Afpa
Transitions, le 4ème cabinet d’accompagnement des transitions professionnelles
en France. Entreprise de l’économie
sociale et solidaire, elle propose une large gamme de formations adaptées aux
besoins de tous les actifs, des entreprises et des acteurs institutionnels des
territoires. Acteur majeur de l’alternance, l’Afpa accompagne de la
formation à l’emploi : insertion, reconversion, professionnalisation. L’Afpa
est également le 1ER organisme de formation des personnes en situation de
handicap. Plus d’informations sur www.afpa.fr
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