Nora ANSELL-SALLES

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vendredi 25 mars 2016

Lancement de la chaîne Youtube UFSBD « La santé bucco-dentaire se vit au quotidien »



Mars 2016
Baromètre de la santé 2014 – INPES – UFSBD –
Santé bucco-dentaire des adultes :
Quel est l’état de santé bucco-dentaire des Français ? http://www.inpes.sante.fr/30000/actus2016/011-sante-bucco-dentaire.asp

Mars 2016
Journée mondiale pour la santé bucco-dentaire, le 20 mars 2016 : Une brosse à dents et du dentifrice sont-ils vraiment indispensables pour les français en 2016 ?

Mars 2016
Lancement de la chaîne Youtube UFSBD « La santé bucco-dentaire se vit au quotidien » : 5 vidéos pour interpeller chaque français face à sa santé dentaire :

Et découvrez individuellement chaque personnage :

LEA, 26 ans, jeune femme enceinte : https://www.youtube.com/watch?v=XJZoFFoBR0c
VALERIE 42 ans qui travaille en continu et STEPHANE 45 ans, papa diabétique :https://www.youtube.com/watch?v=vVu-DaPpS4I
LUCAS, l’adolescent de 15 ans : https://www.youtube.com/watch?v=mruMhiiC6qQ

Janvier 2016
Conférence de presse le mardi 15 mars 2016 Salon Laperouse : Aujourd’hui plus que jamais les enjeux et défis en matière de santé sont immenses et le domaine bucco-dentaire ne fait pas exception !

L’infographie : La santé bucco-dentaire en images : La santé bucco-dentaire en image UFSBD – Infographies Mars 2016
 

jeudi 23 octobre 2014

Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...

Association FLORIAN FILLET Pour qu'existe enfin les soins palliatifs en pédiatrie


Florian Fillet est décédé d’un mal inconnu, dans des souffrances extrêmes, à l’âge de 15 ans et après 125 jours d’hôpital. De ces souffrances et du constat du manque de moyens des hopitaux pour accompagner les enfants en soins palliatifs, ses parents ont créé l’association Florian Fillet.



Actuellement, il existe les soins palliatifs pour les adultes, mais force est de reconnaître que pour les enfants, nous en sommes aux balbutiements.Face à l’urgence et au besoin de sensibiliser le plus largement possible, l’action de l’association Flo- rian Fillet est de promouvoir les soins palliatifs, d’organiser et d’intervenir dans l’accompagnement des enfants en soins palliatifs et/ou des enfants dont le pronostic vital est en jeu ; principalement en pédiatrie dans les établissements médicalisés (hôpitaux, cliniques, maisons de santé...) et à domicile.




Son action s’étend à l’accompagnement des proches. L’association peut, en cas de nécessité et en collaboration avec d’autres associations, intervenir dans l’accompagnement de toute personne dont le besoin est identifié.


Le bénévolat de l’association Florian Fillet répond à des objectifs précis :

 



· Organiser, en concertation avec les professionnels de santé, dans le respect des lois en vigueur concernant les soins palliatifs et la fin de vie, l’accompagnement des malades atteints d’une patho- logie grave, curable ou incurable, connue ou inconnue, et pouvant entraîner la mort. Que ce soit en institut médicalisé ou à domicile.

· Sensibiliser l’opinion publique et favoriser l’évolution des mentalités face à la maladie grave, à la fin de vie et à l’isolement que cela engendre.

· Collaborer avec les équipes soignantes et le corps médical sans jamais tenter de se substituer à eux mais avec la volonté de fournir toute aide susceptible de faciliter leur mission.

· Participer en permanence à l’étude des besoins en matière d’accompagnement des malades en soins palliatifs et/ou en fin de vie.

· Recueillir et partager les informations dans l’intérêt des patients.

· contact mail www.idccommunication.com

vendredi 25 octobre 2013

Libres propos signés François Besnier Pdt de l'Association Prader Willi


Affaire Loquet :

Adultes sans solution à situations sans solutions ?

 

L’action en justice menée par l’UNAPEI pour faire appliquer les droits d’une personne handicapée, porteuse du syndrome de Prader-Willi (SPW), a été largement commentée dans les médias. La justice avait ordonné à l’État de trouver une place à cette personne dans un centre spécialisé. Le ministère de la santé interjette un appel de cette décision puis se rétracte en fin de journée.

Cette action a attiré l’attention du grand public sur un problème réel. De trop nombreux adultes, porteurs de handicaps complexes avec, en particulier, des troubles du comportement, ne trouvent pas de structures médico-sociales pour les accueillir. Ils vivent chez leurs parents, dans des situations souvent dramatiques. C’est le cas d’Amélie et son cas n’est pas isolé. Une enquête menée en 2011 par l’association Prader-Willi France (PWF) montrait que 60% des adultes étaient hébergés dans leurs familles et souvent sans activité journalière extérieure.

 

Un secteur médico-social souvent inadapté

Pourquoi ces situations sont-elles si nombreuses ? Il n’y a pas assez de places proposées, c’est vrai, mais il manque surtout des solutions adaptées à ces cas complexes. Celles proposées par le secteur médico-social sont encore trop rigides, manquent de la souplesse nécessaire et de moyens pour s’adapter aux personnes. Dans la situation économique actuelle de notre pays, on ne peut espérer la création d’un grand nombre de nouvelles places. Il faut donc faire mieux, à partir des moyens existants.

Dans le cas du SPW, les refus ou les échecs de prise en charge sont très souvent liés à une méconnaissance des spécificités du syndrome. Celui-ci met en échec les réponses éducatives ou organisationnelles habituelles. Les situations de crise conduisant à des hospitalisations provoquent des ruptures souvent irréversibles des parcours de vie.

 

Le risque de la judiciarisation : l’exclusion des personnes malades

Les recours en justice, s’ils devaient se multiplier ne feront pas progresser vers des solutions durables. Ils risquent d’induire une judiciarisation néfaste à la construction de vraies solutions. Celle-ci a un effet pervers : les structures, déjà peu nombreuses, risquent par peur de la sanction judiciaire, de fermer la porte à la prise en charge de nos enfants. Une stigmatisation de plus, en réaction à la peur.

Le cas d’Amélie illustre parfaitement la spirale perverse de la judiciarisation. L’État interjetant appel aurait laissé la famille dans le désarroi et entraîné une procédure juridique, bataille longue et coûteuse.

La lenteur des réponses aux demandes des familles n’est pas acceptable, tout comme l’absence de réponse coordonnée des acteurs concernés, pour proposer des aides et accompagner la famille dans la recherche de solutions pérennes. On ne peut se contenter de l’affirmation des droits des personnes handicapées sans que soient mises en place les solutions permettant de les respecter.

Pour sortir de cette spirale, l’association Prader-Willi France a donc décidé de saisir le Défenseur des Droits.

 

La co-construction est la solution

Les solutions seront issues d’une collaboration des établissements médico-sociaux et du secteur médical. La création des centres de référence (dans le cadre du Plan « Maladies Rares ») a permis des avancées remarquables dans le parcours de soins. Mais il manque aux sites du Centre de référence des professionnels de coordination sur l’aspect psychiatrique et social permettant de faire le lien avec les établissements de soins psychiatriques et le monde médicosocial. Le réseau de centres de compétences associés, couvrant l’ensemble du territoire, doit constituer un élément essentiel d’un accompagnement adapté. Il faut mettre en place les solutions d’accueil  temporaire (les séjours de répits) essentielles pour construire ou revoir les projets de vie et permettre aux personnes concernées et à leurs familles de souffler un peu (des initiatives de ce type vont se concrétiser dans le cadre du plan obésité). Il faut également s’appuyer en particulier sur l’expérience acquise par des établissements sanitaires comme l’hôpital Marin de Hendaye, qui accueille depuis plus de 13 ans des adultes pour des séjours temporaires. Des demandes ont été faites pour augmenter le nombre de places offertes par cet établissement, demandes sans réponse à ce jour.

Il convient de s’appuyer sur les établissements médico-sociaux (IME, ESAT, foyers d’hébergements, foyers de vie, etc.) qui accueillent nos enfants et s’efforcent de construire des solutions adaptées. Ils disposent d’une réelle expertise qu’il faut faire connaître et partager. Encore faudrait-il qu’ils aient tous un minimum de moyens pour accomplir cette tâche.

 

Associer tous les acteurs à la prise en charge

Les associations de familles enfin, par leur connaissance acquise quotidiennement sont aussi des acteurs essentiels dans ce travail. Les ARS (Agences Régionales de Santé) et les MDPH (Maisons Départementales des Personnes Handicapées) doivent s’impliquer fortement dans cette démarche et impulser le travail commun, la mise en place de solutions cohérentes dans les régions et sur l’ensemble du territoire. Elles doivent aider à diffuser l’information et à former les intervenants.

Le problème est complexe et il n’existe pas de solution miracle. Les différents acteurs impliqués doivent travailler ensemble. Oui, il faut donner plus de moyens aux structures qui proposent déjà des solutions, oui, il faut assouplir les réglementations, s’inscrire dans une logique de continuité des parcours de soin et de vie.

La co-construction des solutions ne doit pas être simplement un slogan, un affichage, mais une réelle pratique de terrain. C’est ce à quoi nous travaillons depuis des années, pour des solutions durables, duplicables et consensuelles.

 

Un groupe de travail avec tous les acteurs

C’est pourquoi nous demandons au Ministère de la Santé la création urgente d’un groupe de travail comportant les représentants de l’État, des acteurs du secteur médico-social et des représentants des familles. Il aurait pour mission de proposer, dans un délai assez court, des recommandations portant sur l’évolution des procédures d’examen des dossiers et de la réglementation, l’extension des solutions de répit et la coordination des parcours.

François Besnier Président de l’association Prader Willi France

En savoir plus : leplus.nouvelobs.com/contribution/9

vendredi 6 septembre 2013

Semaine de mobilisation des chiropracteurs en France du 14 au 19 octobre !


La semaine de mobilisation des chiropracteurs, qui ouvriront leur porte au public, à l’occasion de la deuxième journée mondiale de la colonne vertébrale du 16 octobre 2013


·       La chiropraxie en France : le point sur ce qui a changé pour les patients depuis les récentes publications des décrets encadrant l'exercice de la chiropraxie et son enseignement

 

L’Association française de chiropraxie (AFC), unique instance nationale de représentation des chiropracteurs français, mobilisera la profession du 14 au 19 octobre, en vue de procéder au dépistage gratuit des dysfonctions de la colonne vertébrale et des troubles de l’appareil locomoteur au sein de leur cabinet.

Sensibiliser les adultes et les enfants aux maux de dos souvent ignorés et sous-estimés et à l’importance d’une bonne hygiène vertébrale, tels sont les principaux objectifs de ces professionnels de santé experts en soin de la colonne vertébrale.

 

Peu connue en France, la chiropraxie est la médecine manuelle de référence pour les soins du dos et des articulations. Elle a pour objet le diagnostic, le traitement et la prévention des dysfonctionnements de l'appareil locomoteur (ou troubles musculo-squelettiques) et de leurs conséquences, notamment au niveau de la colonne vertébrale et des membres. Reconnue, au niveau international, par l’Organisation mondiale de la santé, et en France, par le code de la santé publique, la chiropraxie est remboursée par la plupart des complémentaires santé.

 

NDLR : CHIROPRACTIE et MGEFI

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    mardi 29 janvier 2013

    Nomination à l'AFPA


     

     

    Un nouveau comité de direction exécutif pour l’Afpa

    Depuis le 1er janvier 2013, l’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) dispose d’une nouvelle équipe de direction réunie autour d’Yves Barou, président et d’Hervé Estampes, directeur général.

    « L’Afpa refondée est à présent en ordre de marche, dotée d’une feuille de route claire, d’une équipe de direction renouvelée et de véritables perspectives d’avenir. » déclare Yves BAROU son président.

    Placé sous la direction générale d’Hervé Estampes, le comité de direction exécutif1 est constitué de la façon suivante, par ordre alphabétique :

    Anne-Marie Bjornson-Langen, directrice d’Afpa Transitions

    Rémi Bordet, directeur du développement service public

    Dominique Costiou, directeur des services et moyens généraux

    Juliette des Garest, directrice de l’ingénierie et de l’innovation pédagogique

    Christophe Donon, directeur de la stratégie

    Hervé Dufoix, directeur des relations humaines et du dialogue social

    Jean-Luc Le-Clech, directeur régional PACA

    Fabienne Maubert-Le Dren, directrice des formations

    Anne Morrier, directrice de la communication

    Christophe Ribon, directeur financier

    Lionel Rouillon, directeur du développement entreprises et international

    Dominique Schwach, directeur régional Ile de France

     

    A propos de l’Afpa

    Avec plus de 160 000 personnes formées chaque année, l’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) est depuis plus de 60 ans, le 1er organisme de formation des actifs (salariés et demandeurs d’emploi) et, avec Afpa Transitions, le 4ème cabinet d’accompagnement des transitions professionnelles en France. Entreprise de l’économie sociale et solidaire, elle propose une large gamme de formations adaptées aux besoins de tous les actifs, des entreprises et des acteurs institutionnels des territoires. Acteur majeur de l’alternance, l’Afpa accompagne de la formation à l’emploi : insertion, reconversion, professionnalisation. L’Afpa est également le 1ER organisme de formation des personnes en situation de handicap. Plus d’informations sur www.afpa.fr