Nora ANSELL-SALLES

vendredi 11 avril 2025

ALERTE INFO 🇨🇮 COMMUNIQUE DE PRESSE DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO : LE PPA-CI SUSPEND SA PARTICIPATION A LA CEI)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE :

Le PPA-CI suspend sa participation à la Commission Électorale Indépendante pour éviter un autre 11 avril à la Côte d'Ivoire

 Abidjan – 11 avril 2025 – Depuis plusieurs mois, j'observe avec gravité le fonctionnement de la Commission Électorale Indépendante (CEI). J'observe, je réfléchis, j'analyse. Mais aujourd'hui, je me dois de décider.

La CEI n'est plus ce qu'elle prétend être. Elle n'est plus une institution indépendante. Elle est devenue l'instrument docile d'un pouvoir qui refuse l'alternance, qui refuse la transparence, qui refuse l'inclusion. Un pouvoir qui a peur du verdict du peuple et qui tente, par tous les moyens, de le contourner.

Face à cette situation, j'ai pris la décision de suspendre la participation du Parti des Peuples Africains – Côte d'Ivoire (PPA-CI) à la Commission Électorale Indépendante .

Je le dis avec la plus grande responsabilité : je refuse de me rendre complice de ce qui est en train d'advenir à notre pays. Je refuse de prudence un processus électoral qui porte déjà les stigmates de l'exclusion, de la fraude et de la manipulation.

La CEI, aujourd'hui, viole ses propres textes pour satisfaire les intérêts du pouvoir. Elle tente d'écarter les dirigeants de l'opposition de la course présidentielle. Elle refuse d'auditer une liste électorale gangrenée par des irrégularités massives. Elle ne tient aucun compte des réclamations légitimes de l'opposition. Et elle tente d'imposer de nouvelles règles contraires au code électoral pour verrouiller davantage le contentieux.

En 2011, la Côte d'Ivoire est devenue le pire. Et cela à cause d'une CEI partielle, soumise, instrumentalisée par l'opposition d'alors, aujourd'hui au pouvoir.

En tant qu'ancien Président de la République, j'ai un devoir. Le devoir de dire non à la forfaiture. Le devoir de tirer la sonnette d'alarme. Le devoir de protéger la Côte d'Ivoire de l'abîme.

Je demande donc, solennellement, à notre représentant au sein de la CEI de suspendre immédiatement toute activité dans cette institution, jusqu'à nouvel ordre .

Cela est nécessaire, car nous ne voulons plus d'un autre 11 avril.

Tout le monde voit la crise monter. Tout le monde a envoyé la tension. Tout le monde, sauf ceux qui dirigent aujourd'hui, aveuglés par leur volonté de conserver le pouvoir, même au prix de la destruction du pays.

Nous n'en serons jamais complices.

Il est encore temps de sauver la Côte d’Ivoire.

Nous exigeons donc l'ouverture d'un dialogue politique sincère entre les principaux partis de l'opposition, la société civile et le pouvoir, pour remettre la Côte d'Ivoire sur le chemin d'élections crédibles, inclusives et apaisées .

Cette CEI ne rassure plus. Elle est discréditée. Elle est disqualifiée. Et il faut le dire. Avec fermé. Avec responsabilité. Avec foi en l'avenir.

La Côte d'Ivoire mérite mieux.

La démocratie mérite mieux.

Et le peuple ivoirien, lui, mérite de pouvoir choisir librement ses dirigeants.

 

 

 

Laurent GBAGBO

Ancien Président de la République de Côte d'Ivoire

Président du Parti des Peuples Africains – Côte d'Ivoire





 


🟥 Interview/portrait de Emmanuelle Hoffman députée de la 4e circonscription de Paris (16e et 17e arr.)



Si vous deviez résumer les principales étapes de votre parcours lesquelles retiendriez-vous ?

Avocate de formation, je me suis spécialisée en propriété intellectuelle, un domaine que je défends avec engagement depuis de nombreuses années. Très investie dans la vie du barreau, j’ai siégé au conseil de l'ordre et continue de transmettre mes connaissances aux élèves-avocats à l’École de formation du barreau (EFB).
En juin 2024, Astrid Panosyan-Bouvet m’a fait l’honneur de me choisir comme suppléante lors des élections législatives. Depuis sa nomination au gouvernement en
octobre dernier, j’ai la responsabilité et la fierté d’être députée de la 4e circonscription de Paris, de représenter les habitantes et les habitants des 16e et 17e arrondissements, en
restant fidèle à mes convictions de justice, de progrès et de défense des droits.


Si vous deviez faire votre autoportrait que diriez-vous de vous ?

Si je devais faire mon autoportrait, je dirais que je suis une militante avant tout. Mon
engagement est viscéral, profondément ancré dans les valeurs de notre République —
liberté, égalité, fraternité — que je défends avec conviction et constance. Je crois en une politique sincère, exigeante, à rebours des effets de manche et des discours démagogues.
Ce que je dis, je le pense, et ce que je pense, je m’efforce de le traduire en action. Oser et concrétiser...



Vous souvenez-vous de votre 1er engagement ?

Mon premier engagement politique, la première fois que j’ai adhéré à un parti, remonte à la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron de 2017. Ce moment a marqué un tournant pour moi : j’y ai vu l’opportunité de défendre un projet républicain, progressiste et profondément humaniste, dans lequel je me reconnaissais pleinement. En tant que
candidate, mon premier engagement remonte aux élections municipales de 2020,
lorsque j’ai rejoint la liste de Hanna Sebbah dans le 16e arrondissement de Paris poursoutenir la candidature d’Agnès Buzyn, tête de liste La République en Marche, à la mairie de Paris. Cette première campagne électorale sur le terrain a été une expérience
fondatrice, qui a confirmé ma volonté d’agir concrètement pour mes concitoyens.



Quand avez-vous décidé de devenir avocate ?

Mon père, lui-même avocat, a été un véritable modèle pour moi. Très tôt, j’ai su que je voulais, moi aussi, défendre des causes, des idées, des principes. Pour moi, être avocate n’est pas simplement un métier : c’est une manière d’agir, une déontologie 24h sur 24.
 

À quelle époque le monde de la politique a-t-il croisé votre route ?

Le monde de la politique a croisé ma route en 2017, lors de la campagne présidentielle
d'Emmanuel Macron. À ce moment-là, j'ai ressenti que quelque chose de nouveau était
possible : un projet profondément.républicain, humaniste, progressiste, qui refusait les clivages. Depuis, je n'ai jamais arrêter de m'engager, avec l'idée que la politique, ce n'est pas un monde à part, c'est une manière d'agir, de défendre, de réparer. Une prolongation naturelle de mon engagement en tant qu'avocate.


Par quel chemin détourné, ou pas, devient-on députée ?

Il n'y a pas de parcours type pour devenir député. Avocate de formation, je me suis d'abord battue sur le terrain du droit, puis dans celui de la politique, toujours guidé par la même envie : défendre, porter des causes. Agir, agir et agir !



Diriez-vous que les réseaux sociaux sont un atout ou plutôt une nécessité... ?

Je dirais que les réseaux sociaux sont une chance  à manier avec lucidité. Ils permettent de communiquer en temps réel sur ce que je fais, ce que je défend, ce que je vis en tant qu'élue. C'est aussi un espace d'échange direct avec les
citoyens, sans filtre, sans rendez-vous, sans intermédiaire. Mais les réseaux, c'est aussi
l'envers du décor : une violence constante, beaucoup de désinformation. Il faut
apprendre à naviguer dans ce bruit. Je pense que c'est un outil démocratique puissant...
à condition de ne jamais confondre viralité et vérité.


Gérez-vous  vous-même vos comptes ?

J'en gère certains moi-même ,  mais j'ai aussi la chance de pouvoir compter sur ma collaboratrice parlementaire, qui m'aide à structurer la communication, à valoriser le travail de terrain et à garder une cohérence dans ce que l'on partage. C'est un vrai travail d'équipe, au service d'une parole politique claire et accessible.


Il n'y a pas qu'une vie dans la vie... Pensez-vous déjà à la prochaine étape ?

La prochaine étape se joue maintenant. C'est d'être députée reconnue pour son travail en circonscription comme à l'Assemblée. Présente, utile, engagée. Agir concrètement pour celles et ceux que je représente.


La personne que vous êtes aujourd'hui a-t-elle réalisée une partie de ses rêves d'enfant ?

Toute petite, je rêvais de devenir ambassadrice. Avec le recul, je pense que je le suis d’une certaine manière : ambassadrice des valeurs républicaines, de la justice, de ceux qu’on entend trop peu. Je suis ambassadrice des citoyens de la circonscription à
l’Assemblée, et je porte leurs voix avec la même fierté.


Si vous aviez la possibilité de faire vous-même les questions/réponses laquelle vous seriez-vous posée et quelle réponse y auriez-vous apportée ?

🤔 MA QUESTION :

🫠 MA RÉPONSE : 
Oui. Mille fois oui. Parce que s’engager, c’est refuser le fatalisme, c’est choisir l’action plutôt que l’indifférence. On est tous un maillon d’une chaîne collective : chacun peut, à son échelle, faire bouger les lignes. Mot d’ordre : je critique, je propose.



 « Les habitants des 16e et 17e arrondissements de Paris ont la chance d'avoir pour députée Emmanuelle, une femme brillante, courageuse et déterminée. Elle saura défendre les intérêts de la circonscription en alliant finesse et fermeté. Sa sagesse et sa détermination seront essentielles dans le contexte politique actuel. ».

Propos recueillis  par Nora  Ansell-Salles Legrand 

mercredi 9 avril 2025

C'est à lire 📚 Tout est dit – recueil de chroniques de Gil Taïeb rassemblées par son épouse Karen publié aux éditions David Reinharc

#VendrediLecture:

✍️ Je vous recommande  ce recueil fort [de Karen Taieb*] de prises de parole de son époux.Un grand  merci pour ce partage  chère Karen. 

Nora Ansell-Salles 


Gil Taieb, militant et vice-président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), est décédé en avril 2024 à l’âge de 66 ans. 

Son épouse, Karen Taieb, adjointe (apparentée PS) au patrimoine à la mairie de Paris, a rassemblé dans cet ouvrage ses prises de parole, prononcées entre 2011 et 2024.



Le livre Tout est dit – Chroniques d’un Français, Juif et sioniste,  publié le 3 avril 2025 aux Éditions David Reinharc, est  préfacé par le ministre Manuel Valls. Dans son texte, il écrit notamment que l’homme « avait encore beaucoup à dire ». « En tout cas, ce qu’il nous a laissé, son legs, est en mesure de nourrir nos réflexions et nos actions. Mais il me manque, il nous manque chaque jour, ce grand frère, cet ami. »

« C’est le regard lucide d’un homme clairvoyant qui a toujours préféré l’action à l’incantation, le courage au repli, la vérité aux paroles vaines », écrit Karen Taieb. « C’est le témoignage d’un Juif de France, en ce début de siècle tourmenté, que l’on pourra lire demain… Des paroles de lumière dans un monde si sombre, qui nous invitent à garder les yeux bien ouverts, sans jamais avoir peur. Une promesse que l’on pourra faire, en parcourant ces lignes, à celui qui a, toute sa vie, défendu, aimé, protégé et si bien représenté le peuple juif. Tant qu’il a pu. »



(*) Né en Tunisie en 1957, docteur en chirurgie dentaire, Gil Taieb avait fondé en 1990 l’Association de soutien à Israël (ASI France). L’homme était chevalier de la Légion d’honneur et était une figure incontournable de la communauté juive en France.

A l'annonce de son décès, à l'instar de l’Elysée, la classe politique lui avait rendu hommage appuyé sur les réseaux sociaux.

En décembre dernier, une épicerie du cœur « Gil Taieb »a été inaugurée dans le11ème arrondissement de Paris pour.


🔊KarenTaëb le 30 mars 2025 à l'occasion de la sortie du livre à Radio J


À LIRE SUR "Mine d'Infos"

mardi 8 avril 2025

Fin de vie et guerre des lobbies : acteurs et enjeux dans une société fracturée (Fin de vie et guerre des lobbies : acteurs et enjeux dans une société fracturée)


Si vous avez des difficultés pour visualiser ce message, consultez le en ligne


Ce que je crois

Olivier Mariotte
Dans le contexte privilégié qui donne à la mort une étrange fascination, j'ai voulu faire partie du Collectif Démocratie, Ethique et Solidarité afin de m'exprimer sur ce sujet crucial. Je m'exprime ici à titre strictement personnel, bien conscient que cette prise de poste ne doit pas engager mon entreprise ni aucun de ses membres.

Si je le fais, c'est parce que j'estime que le texte actuel porte une triple forfaiture :

■ Celle de la confusion des concepts : parle-t-on de suicide assisté ? d'aide à l'euthanasie ? d'aide active pour mourir ?
■ Celle de la confusion des solutions proposées : quelle est la place des familles ? des professionnels ? des aidants familiaux ? va-t-on créer de nouveaux métiers ? de nouvelles responsabilités ?
■ Celle de la confusion des objectifs finaux : ce texte est-il destiné aux seuls malades ? va-t-on vers une légalisation beaucoup plus large pour tous les citoyens de ce pays ? N'y at-il aucun objectif économique derrière cette loi ?

Devant autant de questions conservées sans réponse et devant une stratégie qui me semble peu démocratique, il me semblait malhonnête de ne pas faire partie de mes convictions.

Vous pouvez également lire ma contribution à l'avis n°1 du collectif DES : "Fin de vie et guerre des lobbies : acteurs et enjeux dans une société fracturée" .


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Nil - 65 rue Galande - 75005 Paris


📢RDV IMM [Conférence] Commotions cérébrales et douleurs chroniques chez les sportifs

📢 [Conférence] Commotions cérébrales et douleurs chroniques chez les sportifs 

🤯 Les commotions cérébrales dans le sport ne sont pas à prendre à la légère. Leurs conséquences peuvent être graves et durables, telles que des douleurs chroniques, et affectent la qualité de vie des sportifs de tous niveaux. 

Face à ce constat, une équipe de médecins de l’IMM organise une conférence dédiée à ce sujet crucial, en partenariat avec France Judo , HYROX France, le comité médical de France Rugby et ALERTE COMMOTIONS.

🎯 L'objectif ? Réunir professionnels de santé, sportifs, entraîneurs, arbitres et toute personne concernée pour :

✔️ Discuter des aspects scientifiques autour du lien entre commotions cérébrales et douleur chroniques.
✔️ Sensibiliser et libérer la parole 
✔️ Présenter un parcours de prise en charge clair 
✔️ Discuter d’un protocole de traitement efficace 
✔️ Favoriser les échanges et le partage d'expérience 

Infos pratiques :
📅 Vendredi 13 juin 2025
🕰️ De 18h à 21h
📍 Institut Mutualiste Montsouris – 42 bd Jourdan – 75014 Paris
🆓 Gratuit et ouvert à tous sur inscription

👉 Vous êtes professionnel.le de santé, sportif.ve, entraineur, éducateur sportif, arbitre, ou tout simplement intéressé par le sujet ? Inscrivez-vous dès à présent : https://www.eventbrite.fr/e/billets-commotions-cerebrales-et-douleurs-chroniques-chez-les-sportifs-1280914362339?aff=Reseauxsociaux

dimanche 6 avril 2025

"L’offre exceptionnelle de la maternité de l'Institut Mutualiste Montsouris (IMM) doit être préservée" Dr Christine Louis-Sylvestre

« L’offre exceptionnelle de la maternité de l'Institut Mutualiste Montsouris (IMM) doit être préservée » - par Christine Louis Sylvestre, chirurgien gynécologique, responsable du département mère-enfant.

À la tête du service de gynécologie et obstétrique de l’Institut Mutualiste Montsouris, le docteur Christine Louis-Sylvestre plaide en faveur du maintien de l’organisation existante de l’hôpital, dont la pluridisciplinarité permet une prise en charge adaptée aux besoins de toutes les femmes. Une offre qui se démarque dans le paysage...


Le docteur Christine Louis-Sylvestre dirige le service de gynécologie et obstétrique de l’Institut Mutualiste Montsouris.

À la tête du service de gynécologie et obstétrique de l’Institut Mutualiste Montsouris, le docteur Christine Louis-Sylvestre plaide en faveur du maintien de l’organisation existante de l’hôpital, dont la pluridisciplinarité permet une prise en charge adaptée aux besoins de toutes les femmes. Une offre qui se démarque dans le paysage hospitalier français, que ne doivent pas compromettre les difficultés financières de l’établissement. 
👉Lire  et partager la suite de la tribune :

  
Équipe de la maternité    de l'IMM

EN SAVOIR  PLUS SUR L'INSTITUT MUTUALISTE
MONTSOURIS 

🔎ZOOM SUR LE MAGAZINE  ENTREPRENDRE :

🗞 À  LIRE SUR LE MÊME  SUJET 

🇨🇮 "Rendre à César, ce qui est à César" n'en déplaise à Alpha Blondy

Rendre à  César  ce qui  est à  César,  et à Laurent ce qui est  à Gbagbo et non à  Alassane  Ouattara  n'en déplaise à  Alpha  Blondy...

COMMUNIQUE DE PRESSE :

REACTION AUX PROPOS DE M. ALPHA BLONDY RELATIFS AU PRESIDENT LAURENT GBAGBO

Abidjan – 5 avril 2025 – Nous avons pris connaissance des propos tenus par l’artiste Alpha Blondy, sur la radio RFI dans l’émission 
« Couleurs Tropicales », dans lesquels il affirme
notamment que le Chef de l’État ivoirien,  Alassane Ouattara aurait œuvré pour le retour du
Président Lauren Gbagbo en Côte d’Ivoire.
Si nous respectons la liberté d’expression de chacun, il nous semble néanmoins nécessaire de rétablir la vérité face à une tentative manifeste de réécriture de l’histoire.
Non, le Chef de l’État, Alassane Ouattara n’a jamais favorisé le retour du Président Laurent
Gbagbo en Côte d’Ivoire. Bien au contraire, tout a été fait pour l’empêcher. Qu’on se souvienne :
👉 Lorsque le Président Gbagbo a perdu sa mère, les autorités ivoiriennes lui ont refusé l’entrée sur le territoire pour assister aux obsèques.
👉 Pendant toutes les années de procédure devant la Cour Pénale Internationale (CPI),
l’État ivoirien a activement participé à son maintien en détention en envoyant ses avocats, Jean-Paul Benoit, Jean-Pierre Mignard et Pierre-Emmanuel Blard, pour
s’opposer à toute forme de libération. Malgré cela, le Président Laurent Gbagbo a été acquitté de façon définitive.
👉 C’est encore l’État ivoirien, anticipant son acquittement, qui a violé toutes les règles élémentaires de procédure pour le faire condamner à 20 ans d’emprisonnement dans
l’affaire dite du 
« casse de la BCEAO » — une accusation farfelue, manifestement
politique, et dont l’objectif unique était d’empêcher sa participation à la vie politique nationale.
👉 Aujourd’hui encore, cette condamnation irrégulière est utilisée par les autorités pour faire obstacle à sa candidature à l’élection présidentielle de 2025, en violation flagrante de la décision rendue le 20 septembre 2020 par la Cour Africaine des Droits
de l’Homme, qui ordonne explicitement à l’État ivoirien d’inscrire le Président Laurent
Gbagbo sur la liste électorale et de garantir sa pleine participation à la vie politique.
👉 Le 28 juillet 2020, c’est le Président Laurent Gbagbo lui-même qui a dû se rendre l’ambassade de Côte d’Ivoire à Bruxelles pour solliciter un simple passeport ordinaire,
en sa qualité de citoyen ivoirien.

La vérité est claire, les faits sont têtus : le Président Laurent Gbagbo est revenu dans son pays par sa propre volonté et grâce à son combat, à celui de ses avocats, de ses sympathisants,
militants, de ses soutiens et de tous ceux qui croient encore en la justice et en la démocratie.
Il est candidat à l’élection présidentielle de 2025. Il serait sage que les autorités ivoiriennes
respectent les lois et cessent de multiplier des obstacles artificiels et juridiquement infondés
à sa candidature.
La Côte d’Ivoire ne peut avancer en paix et en dignité que dans la vérité. Toute réécriture de l’histoire est vaine.

Me Habiba TOURÉ
Porte-Parole du Président Laurent GBAGBO

samedi 5 avril 2025

Matinée Adom

🔷️ Sécurisation du parcours client : de la souscription au versement des prestations 

🔹️Rappel du programme 
9h00 - Accueil des participants et petit-déjeuner
9h30 - Message de bienvenue
Bruno Huss, Représentant de l'ADOM 
9h40 - Introduction
Valérie Beziade, Directrice Solutions Client ITESOFT
9h50 - Sécurisation de la souscription et de l'onboarding avec Streamline Business 
Anne-Sophie Racine, Responsable Solutions Relation Client ITESOFT
Jean-Pierre Maillet, Consultant avant-vente Streamline Business 
10h50 - Les enjeux de la lutte contre la fraude
Frédéric Nguyen Kim, Consultant Expert Lutte Contre la Fraude
11h00 - Sécurisation d'une demande de prestation avec Streamline Fraud
Pierre Vanhoutte, Directeur Solution Fraude ITESOFT
Nicolas Picavet, Consultant Fraude ITESOFT 
Arnaud Tuffery, Directeur Technique Streamline Fraud 
12h00 - Questions / Réponses
12h15 - Cocktail déjeunatoire et croisière sur la Seine
14h00 - Fin de l'événement

vendredi 4 avril 2025

NOUVEAU Haus Labs Bio-Radiant Glassy Highlighter Balm






Le Bio-Radiant Glassy Highlighter Balm de Haus Labs est désormais disponible chez Sephora France ! 🎉


Ce stick illuminateur révolutionnaire, inspiré des soins pour la peau, associe hydratation intense et éclat précis pour un fini velours et glass skin immédiat. Avec 64 % d'actifs soin , dont de l'acide hyaluronique, du squalane et des extraits d'algues marines, il booste instantanément l'hydratation (+59 %), la barrière cutanée (+18 %) et la brillance (+130 %). 

Disponible en six teintes lumineuses , il s'adapte à toutes les œillets pour un éclat naturel et sur-mesure. 


En exclusivité chez Sephora (34 € - www.sephora.fr ).

Le sort de l'Institut Mutualiste Montsouris, ne laisse personne indifférent...


📰SANTÉ
REVUE DE PRESSE ET D'ACTUALITÉ
N°40 - FÉVRIER/MARS 2025
🔺️EXTRAITS  CONCERNANT L'IMM 

👉Service public de soins, Hôpital,
système de santé
Institut Mutualiste Montsouris : hôpital renommé, participant au Service Public, menacé !
Après Bichat (18e
) et Beaujon (Clichy) deux grands hôpitaux publics renommés dont nous avons déjà parlé, 
et de nombreux autres dans diverses régions (près de 2000 personnes en défilé récent à Guingamp pour la 
défense de leur hôpital public; voir aussi chaque 
semaine le site de la Coordination nationale des comités de défense), un nouvel hôpital parisien, beaucoup plus 
récent et tout autant renommé et d’utilité publique, est à son tour menacé de fermeture. L’Institut mutualiste 
Montsouris (IMM) est né en 1999 du regroupement d’un 
établissement hospitalier mutualiste du 13e et de l’ancien Hôpital International de l’Université de Paris, Bld 
Jourdan en face de la Cité universitaire qui en était gestionnaire, sur le même emplacement. De très importants travaux ont abouti à un cadre architectural et 
environnemental adapté à la fois à la qualité d’accueil recherché et au projet médical très élaboré par les 
personnels des deux équipes pour un fonctionnement 
innovant en grands départements médico-chirurgicaux complémentaires, sous la responsabilité de la Mutualité fonction publique (Union des mutuelles de différentes 
composantes de la Fonction publique, dont MGEN, MGEFI et une quinzaine d’autres). 
Etablissement participant au service public hospitalier 
(PSPH), rebaptisé ESPIC (« privé d’intérêt collectif ») par la loi dite HPST de Bachelot-Sarkozy, ayant supprimée toute trace des termes mêmes de «service public », dont
la LDH a dénoncé les dangers dès le projet en 2010 avant de contribuer à une pétition nationale, puis d’appeler avec une centaine d’autres organisations à 
une journée d’action le 2/4/2011, déclarant déjà 
« Notre santé en danger »… l’IMM est resté fidèle à ses valeurs d’origine, à l’accueil de tout public 
(mutualiste ou non), à l’absence de tout dépassement d’honoraire, à la qualité de la relation patient, aux innovations (plusieurs fois salué nationalement, en particulier pour interventions chirurgicales mini
invasives privilégiées depuis sa création), à la 
participation aux recherches (nombreux colloques accueillis) et à l’enseignement (centre de formation en partenariat avec l’Université de Créteil, le Lycée Jaurès de Châtenay-Malabry pour élèves-ergothérapeutes 
notamment… remplacé en 2010 par transformation des 
locaux du sous-sol pour accroître l'activité de soins, dans une démarche productiviste dans la ligne des 
orientations ministérielles). Considéré comme un 
fleuron de la Mutualité française, il l’est aussi pour l’hospitalisation en Ile-de-France... particulièrement 
pour le sud de Paris et les banlieues avoisinantes, 
renommé dans de nombreux domaines, en cardiologie, gastro-entérologie, urologie, depuis peu en cancérologie et pneumo + département mère-enfant important... Enfin, un suivi psy, notamment des adolescents, bénéficie d'un bâtiment spécifique…

👉GROUPE DE TRAVAIL SANTÉ-BIOÉTHIQUE N° 40/ JANVIER FÉVRIER MARS 2025
Victime à la fois de la T2A (tarification « à l’activité » qui perdure bien que plusieurs ministres en aient promis
l’abandon, et qui n’avantage que le secteur privé lucratif spécialisé en « actes à la chaîne ») et de la non prise en
charge des travaux et investissements, la dette (et ses intérêts) s’est alourdie comme pour la plupart des CHU.
La compensation par les mutuelles historiques rendue impossible avec l'obligation de réduire ce qui relève de la solidarité sanitaire et sociale (modifications du Code de la Mutualité isolant les établissements de soins en « livre 3
»…) a été perceptible avec l’entrée de la Matmut dans la
présidence du CA de l’IMM. Nouveau signe de difficulté lors du projet de fusion avec l’hôpital St-Joseph dont la
direction d’alors incitait les médecins à quitter leur statut
de PU-PH pour gagner plus en intervenant en tant que
libéraux contractuels de secteur 2 ! (= dépassements
d’honoraires) et qui était hostile à l'IVG (pratiquée à
l'IMM)... Cela avait été évité grâce à une forte
mobilisation des soignants et syndicats de l’IMM.
Dette, inflation, absence d’aide de l’Etat (avec un
budget rabougri déjà pour les CHU)… font que l’IMM
vient d’être placé en redressement judiciaire. Un an de
sursis et un énorme risque d’absorption par l’un des
groupes financiers multinationaux qui rachètent de
nombreux établissements, lorsque l’ARS parle de
« repreneurs potentiels ».
Après interpellation pertinente de la ministre par le
député de la circonscription, M. Rodrigo Arenas (NFP
LFI, JO du 10/12/204), des mobilisations s’organisent
avec une pétition à signer massivement.

✉️ LETTRE D'ALERTE
de la LDH sur les problèmes de l'UIMM

Service public de soins, Hôpital, système de santé
Institut Mutualiste Montsouris : hôpital renommé -participant au Service Public- menacé !

Après Bichat (18 e ) et Beaujon (Clichy) deux grands hôpitaux publics renommés dont nous avons déjà parlé, et de nombreux autres dans diverses régions (près de 2000 personnes en défilé récent à Guingamp pour la défense de leur hôpital public (1)), un nouvel hôpital parisien, beaucoup plus récent et tout autant renommé et d'utilité publique, est à son tour menacé de fermeture. L' Institut Mutualiste Montsouris (IMM(2)) est né en 1999 du regroupement d'un établissement hospitalier mutualiste du 13 e et de l'ancien Hôpital International de l'Université de Paris, Bld Jourdan en face de la Cité Universitaire qui était gestionnaire, sur le même emplacement. A la place de la vétusté, de très importants travaux ont abouti à un cadre architectural et environnemental adapté à la fois à la qualité d'accueil recherché et au projet médical très élaboré des personnels des 2 équipes pour un fonctionnement innovant en grands départements médico-chirurgicaux complémentaires, sous la responsabilité de la Mutualité Fonction Publique (Union des Mutuelles de différentes composantes de la Fonction Publique, dont MGEN, MGEFI et une quinzaine d'autres). Etablissement Participant au Service Public Hospitalier (PSPH), rebaptisé ESPIC (« privé d'intérêt collectif ») par la loi dite HPST de Bachelot-Sarkozy, ayant supprimé toute trace des mêmes termes de « service public », dont la LDH a énoncé les dangers dès sa conception en 2010 (3) avant de contribuer à une pétition nationale (4), puis d'appeler avec une précision d'autres organisations à une journée d'action le 2/4/2011, déclaré déjà ''Notre santé en danger''(5)… l'IMM est resté fidèle à ses valeurs d'origine, à l'accueil de tout public (mutualiste ou non), à l'absence de tout dépassement d'honoraire, à la qualité de la relation patient, aux innovations (plusieurs fois salués nationalement, en particulier pour interventions chirurgicales moins invasives), à la participation aux recherches (nombreux colloques accueillis) et à l'enseignement (centre de formation en partenariat avec l'Université de Créteil, le Lycée Jaurès de Châtenay-Malabry pour ergothérapeutes notamment… remplacé en 2010 par transformation des locaux du sous-sol pour extension du traitement des cancers, dans une démarche de productivité accumulée dans la ligne des orientations ministérielles). Considéré comme un fleuron de la Mutualité française, il l'est aussi pour l'hospitalisation en Ile-de-France... particulièrement pour le sud de Paris et les banlieues avoisinantes, renommée dans presque tous les domaines, en gastro-entérologie, en urologie, en néo-nat et pédiatrie, depuis peu en cancérologie et pneumo + bâtiment spécifique de suivi psy, notamment des adolescents… Victime à la fois de la T2A (tarification ''à l'activité'' dont plusieurs ministres ont promis l'abandon, qui n'avantage que le secteur privé lucratif spécialisé en ''actes à la chaîne'') et de la non prise en charge des travaux et investissements (6), la dette (et ses intérêts) s'est alourdie comme pour la plupart des CHU (7). L'impossibilité pour les mutuelles historiques de constituer avec obligation de réduire ce qui relève de la solidarité sanitaire et sociale (modifications du Code de la Mutualité isolant les établissements de soins en ''livre3''…) s'est manifestée avec l'entrée de la Matmut dans la présidence du CA de l'IMM. Nouveau signe de dégradation lors d'un projet de fusion avec l'hôpital St Joseph dont la direction d'alors encourageait les médecins à quitter leur statut de PU-PH pour gagner plus en intervenant en libéraux contractuels de secteur 2 !!! (= dépassements d'honoraires). Cela avait été évité grâce à une forte mobilisation des soignants et syndicats de l'IMM. Dette, inflation, absence d'aide de l'Etat (avec un budget rabougri déjà pour les CHU)… font que l'IMM vient d'être placé en redressement judiciaire (8). 1 et de sursis et un énorme risque d'absorption par l'un des groupes financiers multinationaux(9) qui rachètent de nombreux établissements, lorsque l'ARS parle de ''repreneurs potentiels'' (10). Après interpellation pertinente du ministre par le député de la circonscription, M. Rodrigo Arenas (NFF LFI, JO du 10/12/204 (11)), des mobilisations s'organisent avec une pétition à signer massivement (12).