Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 24 juin 2015

Le site www.mfp.fr revient sur l’Assemblée Générale et les 70 ans de la MFP

Retour sur l'Assemblée des 70 ans








Le site www.mfp.fr revient sur l’Assemblée Générale et les 70 ans de la MFP du 4 juin dernier. Vous y retrouverez :

La vidéo «70 ans d’engagement»

  • Un échantillon de photos de la journée du 4 juin
  • Le discours de la ministre de la Fonction publique et de la Décentralisation, Marylise LEBRANCHU
  • Un échantillon des dessins de Jul



Ce site sera prochainement complété des interventions effectuées et notamment celle de M. LE GOFF, au nom du Premier Ministre M. VALLS, et celle du Président de la Mutualité Française Etienne CANIARD.




La MFP est une union à caractère politique relevant du Livre 1 du Code de la Mutualité, destinée à promouvoir, défendre et coordonner les intérêts communs des mutuelles des 3 fonctions publiques (Etat, territoriale, hospitalière), notamment :

• Via la consolidation de la gestion mutualiste du régime obligatoire d’Assurance Maladie
• Via la mise en place de conventions avec les professionnels et établissements de santé,
• Via sa mobilisation, auprès des employeurs publics, pour améliorer les droits sociaux complémentaires des fonctionnaires, en relation avec les organisations syndicales.
Cette union est composée des 23 mutuelles ou unions de mutuelles professionnelles, relevant des Livres II et III du Code de la Mutualité, et ayant signé sa charte de principes et de valeurs.

Souvenir d'une bien agréable collaboration


NDLR: MGEFI ET MFP ont en commun un président Serge BRICHET

lundi 24 juin 2013

Liste des administrateurs, élus ou réélus, lors de l' Assemblée génrale MGEFI - REIMS 2013

Pierre ALIXANT
 
Alain ARNAUD
 
Nathalie ARNOUX
 
Valérie AUDRY ADARDOUR
 
Nestor BAJOT
 
Patrick BOSC
 
Elisabeth CHAMBARETAUD
 
Dominique COMBE
Thierry FARDEAU
Dominique JOSEPH
Pascal MAGINOT
Michel MEDIONI
Nadine MORINEAU
Jean-Luc NODENOT
Pierre TABUTEAU

lundi 22 avril 2013

Environnement chimique, obésité, diabète :


Un constat pour une meilleure prévention

 

« Environnement chimique, obésité, diabète : un constat pour une meilleure prévention », c’est le thème du colloque, organisé à Paris le 4 avril dernier par la Mutualité Française et le Réseau Environnement Santé, qui a rassemblé 300 personnes à l’Assemblée Nationale.

 

«  Nous sommes aujourd’hui face à une épidémie de maladies chroniques et c’est à cet enjeu que nous devons répondre dès à présent » ont rappelé Etienne Caniard, président de la Mutualité Française et André Cicolella, président du Réseau Environnement Santé, en introduction de ce colloque.

 

Ce colloque s’est articulé autour de deux temps forts. La matinée a été consacrée aux travaux de recherche sur les maladies métaboliques et les perturbateurs endocriniens pour dresser un premier constat. En effet, sans remettre en cause les rôles de l’excès énergétique et de la sédentarité dans la progression de l’obésité par exemple, d’autres facteurs comme diverses molécules de synthèse présentes dans notre environnement interviennent dans l’évolution de ce type de maladie métabolique. La compréhension des mécanismes d'action de ces substances chimiques, dit perturbateurs endocriniens, est aujourd'hui décisive pour agir en matière de santé publique. Pour en parler : le Pr Arnaud Basdevant, Responsable du pôle « Endocrinologie-Diabétologie-Nutrition-Prévention » à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière, le Pr Anne Dutour-Meyer, chef de service « Endocrinologie, nutrition et maladies métaboliques » à l’hôpital Nord de Marseille, le Pr Serge Hercberg, directeur de recherche Inserm, président du comité de pilotage permanent du programme national « Nutrition santé », le Dr Gilles Nalbone, directeur de recherche émérite Inserm, le Pr Claudine Junien, professeur de génétique à l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines, le Pr Robert Barouki, directeur de recherche Inserm et le Dr Rémy Slama, président du conseil scientifique du Programme National de Recherche sur les Perturbateurs Endocriniens (PNRPE).

 

L’après-midi a tout d’abord été axée sur les aspects réglementaires et économiques avec les interventions du Dr Jean-Martin Cohen Solal, directeur général de la Mutualité Française, du Dr Pierre Mignen, chef du département d’information médicale au Clinipôle de Montpellier et de Yannick Vicaire, chargé de mission au Réseau Environnement Santé. Une table ronde a ensuite suivi, dédiée aux nombreuses actions de promotion de la santé environnementale déjà menées par des acteurs de la société civile pour sensibiliser le grand public et former les professionnels des secteurs sanitaire et médico-social à la réduction des risques environnementaux. Elle a réuni : Monique Augé, présidente de la Mutualité Française Bourgogne, le Dr Olivier Toma, président du Comité pour le Développement Durable en Santé, Claire Escriva, directrice de l’Atelier méditerranéen de l’environnement, Philippe Perrin, éco-infirmier, le Dr Philippe Richard, pneumologue et président de l’Association Protection Santé des Habitants de Saint-Omer, le Dr Laurent Chevallier, médecin nutritionniste au CHU de Montpellier et Camille Geay, chargée de prévention à la Mutualité Française Nord-Pas de Calais. Cette table ronde a aussi mis en lumière différentes actions mises en place pour protéger la santé des plus fragiles.

 

La conclusion de cette journée a porté sur la place des maladies métaboliques dans la stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Catherine Mir, adjointe au chef de service de la prévention des nuisances et de la qualité de l’environnement au sein de la Direction générale de la prévention des risques du Ministère de l’écologie ainsi que Gérard Bapt, député de Haute-Garonne et Jean-Louis Roumégas, député de l’Hérault, respectivement ancien et nouveau président du groupe santé environnement à l’Assemblée nationale, sont intervenus dans le débat.

 

Catherine Mir a évoqué les enjeux autour de la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Puis Jean-Louis Roumegas a rappelé qu’ « une stratégie globale en matière de perturbateurs endocriniens est nécessaire si l’on veut répondre à l’enjeu de santé publique ». Gérard Bapt a précisé qu’  « il y a nécessité d’une prévention primaire, c’est une bataille nationale et européenne à mener ».

 

Au-delà de la réglementation, André Cicolella a invité la Haute Autorité de Santé à se saisir de la question et à formuler au plus vite des recommandations pour réduire l’exposition aux substances diabétogènes et obésogènes. Il n’est plus possible de se contenter de la médecine curative. La prévention et la protection des malades doivent venir compléter le processus de prise en charge.

 

« Il faut que les plans et stratégies se croisent» a rappelé Serge Hercberg insistant sur la nécessité d’examiner de façon commune la pollution chimique par les perturbateurs endocriniens dans les différents plans nationaux PNSE, PNNS, Plan Obésité et Plan Alimentation.

 

Rémy Slama et Robert Barouki ont quant à eux souligné les besoins de recherche sur cette thématique ajoutant qu’il n’est pas nécessaire de connaitre toutes les réponses pour commencer dès à présent à agir. Robert Barouki a rappelé que « La recherche d’aujourd’hui va aider la prévention et les décisions de demain ».

 

Après cette journée d’échanges et de discussions, André Cicolella a conclu : « l’impact des perturbateurs endocriniens dans l’épidémie de maladies chroniques ne peut plus être ignoré. Les maladies métaboliques comme le diabète et l’obésité doivent ainsi être prises en compte dans la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. La France et l’Europe doivent se doter de stratégies ambitieuses pour répondre à cet enjeu ».

 

 

 

A propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.

 

 

 

 

A propos du RES

 

Présidé par André Cicolella, le Réseau Environnement Santé (association loi 1901) a été créé en 2009 pour mettre les questions d’environnement et de santé au cœur des politiques publiques. Il regroupe 4 groupes d’associations : ONG, scientifiques, professionnels de santé et malades.

 

Nous agissons pour une meilleure prise en compte du principe de précaution sur une base scientifique solide, qui s’appuie sur des études validées et indépendantes des intérêts privés.

 

La 1ère campagne lancée par le RES a abouti, tout d’abord à l’interdiction dans les biberons puis dans tous les contenants alimentaires du Bisphénol A, une molécule employée par l’industrie chimique malgré les nombreux risques sanitaires associés : cancer, diabète, obésité, troubles de la reproduction et du système nerveux.

 

Comme l’illustre cette campagne, le RES cherche à mettre dans le débat public les connaissances scientifiques disponibles et faire en sorte que les acteurs institutionnels et économiques mettent en œuvre le principe de précaution pour établir les réglementations et transformer les procédés industriels.

 

A propos du partenariat entre la Mutualité Française et le RES

 

Partenaires depuis 2010, la Mutualité Française et le RES agissent pour le développement d’une culture et d’une approche commune sur la santé environnementale et le renforcement d’actions d’information, de sensibilisation, de prévention et de promotion de la santé. Cette volonté partagée se décline autour de 4 axes de coopération :

 

-       construire des actions d’information, de sensibilisation et de formation à destination des mutualistes sur la santé environnementale,

-       développer des actions d’information et de sensibilisation à destination du grand public,

-       réaliser des états des lieux de publications sur des thèmes pour lesquels il est important de faire avancer la connaissance,

-       contribuer à des projets de recherche sur les risques émergents.

 

NDLR : MGEFI et Pr Robert Barouki,

Le professeur Barouki sera l’un des intervenants de la table ronde « SANTE ET ENVIROMENT » qui clôturera les travaux de l’assemblée MGEFI de Paris le 4 juin prochain de 11h30 à 13h à l’Espace Charenton.

Cette table ronde fera l’objet d’une couverture presse

Pour en savoir plus contacter :

nansellsalles@mgefi.fr

 

lundi 11 février 2013

Mission d’information sur les immigrés âgés


Auditions ouvertes à la presse

Jeudi 14 février 2013


La mission d’information sur les immigrés âgés, présidée par M. Denis Jacquat (UMP, Moselle), et dont le rapporteur est M. Alexis Bachelay (SRC, Hauts-de-Seine), procédera aux auditions suivantes, ouvertes à la presse :


À 14 heures

MM. Pierre Mayeur, directeur de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), de David Clair, directeur juridique et règlementation nationale, et de Rémy Gallou, chargé de recherche à l’Unité de recherche sur le vieillissement

À 15 heures

MM. Jean-Michel Bacquer, directeur de l’établissement des retraites et de la solidarité de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), et de Daniel Rau, directeur de la solidarité et des risques professionnels

À 16 heures

M. Omar Samaoli, gérontologue



Jeudi 14 février 2013
À 14 heures


Salle 6351
Palais Bourbon – 1er étage
(Entrée des journalistes munis de leur carte de presse :
33 Quai d’Orsay,
75007 Paris)



Retransmission en direct sur le site de l’Assemblée nationale :


http://www.assemblee-nationale.tv/direct.html

lundi 10 décembre 2012

CREDIT D’IMPOT COMPETITIVITE ET EMPLOI


 
La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

 

Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

 

Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

 

Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

 

Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.

 

 

 

 

La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

 

Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

 

Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

 

Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

 

Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.