Le 31 janvier 2017
Le Leem dévoile les orientations prioritaires de son
contrat de mandature :
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jeudi 2 février 2017
Garantir aux patients un accès aux meilleurs soins, instaurer une régulation attractive et redonner au modèle français sa cohérence.
mercredi 27 avril 2016
Prix des médicaments innovants en cancérologie: Le Leem s’indigne des manipulations de la Ligue contre le Cancer
Paris, le 25 avril 2016
Le Leem, qui représente les 270 entreprises du médicament en France et leurs 100 000 salariés, dénonce la campagne d'affichage de la Ligue contre le Cancer sur le prix des anticancéreux qui démarre aujourd’hui.
Outre le ton de cette campagne qui instrumentalise les patients et leur entourage, la Ligue contre le Cancer pratique une désinformation flagrante en affirmant que les prix des médicaments innovants en cancérologie condamnent à une mort certaine de nombreux malades atteints du cancer.
Aucun patient en France n’a jamais été privé de traitement pour des raisons économiques !
Le Leem rappelle que :
la France est l’un des pays d’Europe qui assure le meilleur accès des patients aux médicaments innovants ;
depuis cinq ans, des maladies réputées jusque-là incurables bénéficient d’innovations majeures : traitements d’immunothérapie contre certains cancers (de la peau, du poumon…), chimiothérapies anticancéreuses administrables par voie orale, nouveaux traitements de l’hépatite C, ou encore premier médicament contre l’une des mutations génétiques de la mucoviscidose… ;
les Français ont pu bénéficier de ces innovations sans grever le budget médicament de l’Assurance maladie qui doit rester stable sur la période 2014-2017 ;
les prix français sont ainsi aujourd’hui, en moyenne, les plus bas de ceux des cinq grands pays européens (Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Espagne, France) ;
le médicament est le principal contributeur à la politique de maîtrise des dépenses de santé en France (il assure 50 % des mesures d’économie alors qu’il ne représente que 15 % des dépenses, et seulement 2% pour les anticancéreux) ;
ces quatre dernières années (2013-2016), la France a économisé 6 milliards d’euros sur le coût des médicaments du fait des baisses de prix régulières et de la maîtrise des volumes.
Le Leem partage les préoccupations des pouvoirs publics et a fait de nombreuses propositions de nature à permettre la soutenabilité économique du système de santé (développement de parcours de soins responsables, bon usage du médicament, prise en charge des patients en ambulatoire…). Il rappelle que la refondation de l’accord-cadre en janvier 2016 témoigne de l’engagement du Leem à chercher des solutions pragmatiques permettant de faciliter l’accès le plus large à l’innovation thérapeutique.
La problématique du prix de l’innovation ne peut être pensée indépendamment de l’organisation de l’offre de soins. En effet, ces innovations, dont les prix sont généralement élevés, seront à même de générer des gains de productivité dans le système de soins, et donc des possibilités d’économies pour le système.
La Ligue contre le Cancer se trompe de combat ! Plutôt que de s’inscrire dans le dénigrement d’un secteur dont la vocation est de sauver des vies aux côtés des professionnels de santé, la Ligue gagnerait à contribuer de manière constructive à la réflexion de tous les acteurs sur la nécessaire réforme structurelle du système de soins.
Retrouvez toutes les dernières informations sur : www.leem.org/espace-presse
Le Leem, qui représente les 270 entreprises du médicament en France et leurs 100 000 salariés, dénonce la campagne d'affichage de la Ligue contre le Cancer sur le prix des anticancéreux qui démarre aujourd’hui.
Outre le ton de cette campagne qui instrumentalise les patients et leur entourage, la Ligue contre le Cancer pratique une désinformation flagrante en affirmant que les prix des médicaments innovants en cancérologie condamnent à une mort certaine de nombreux malades atteints du cancer.
Aucun patient en France n’a jamais été privé de traitement pour des raisons économiques !
Le Leem rappelle que :
la France est l’un des pays d’Europe qui assure le meilleur accès des patients aux médicaments innovants ;
depuis cinq ans, des maladies réputées jusque-là incurables bénéficient d’innovations majeures : traitements d’immunothérapie contre certains cancers (de la peau, du poumon…), chimiothérapies anticancéreuses administrables par voie orale, nouveaux traitements de l’hépatite C, ou encore premier médicament contre l’une des mutations génétiques de la mucoviscidose… ;
les Français ont pu bénéficier de ces innovations sans grever le budget médicament de l’Assurance maladie qui doit rester stable sur la période 2014-2017 ;
les prix français sont ainsi aujourd’hui, en moyenne, les plus bas de ceux des cinq grands pays européens (Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Espagne, France) ;
le médicament est le principal contributeur à la politique de maîtrise des dépenses de santé en France (il assure 50 % des mesures d’économie alors qu’il ne représente que 15 % des dépenses, et seulement 2% pour les anticancéreux) ;
ces quatre dernières années (2013-2016), la France a économisé 6 milliards d’euros sur le coût des médicaments du fait des baisses de prix régulières et de la maîtrise des volumes.
Le Leem partage les préoccupations des pouvoirs publics et a fait de nombreuses propositions de nature à permettre la soutenabilité économique du système de santé (développement de parcours de soins responsables, bon usage du médicament, prise en charge des patients en ambulatoire…). Il rappelle que la refondation de l’accord-cadre en janvier 2016 témoigne de l’engagement du Leem à chercher des solutions pragmatiques permettant de faciliter l’accès le plus large à l’innovation thérapeutique.
La problématique du prix de l’innovation ne peut être pensée indépendamment de l’organisation de l’offre de soins. En effet, ces innovations, dont les prix sont généralement élevés, seront à même de générer des gains de productivité dans le système de soins, et donc des possibilités d’économies pour le système.
La Ligue contre le Cancer se trompe de combat ! Plutôt que de s’inscrire dans le dénigrement d’un secteur dont la vocation est de sauver des vies aux côtés des professionnels de santé, la Ligue gagnerait à contribuer de manière constructive à la réflexion de tous les acteurs sur la nécessaire réforme structurelle du système de soins.
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jeudi 21 janvier 2016
Entretien avec Didier Charlanne, directeur de l'Anesm
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mercredi 13 janvier 2016
Le Leem et le Comité économique des produits de santé signent un accord
Patrick Errard, Président du Leem, et Maurice-Pierre Planel, Président du Comité
économique des produits de santé (CEPS) ont signé aujourd’hui un nouvel
accord-cadre. Conclu pour une durée de trois ans, ce texte constitue le cadre
de référence de la régulation conventionnelle du médicament, élément essentiel
de la lisibilité de la politique du médicament en France
Fruit d’un long travail de refondation et de négociation, qui s’est déroulé
toute l’année 2015, le texte signé aujourd’hui entre le CEPS et le Leem est un
élément pivot du principe de régulation conventionnelle entre l’Etat et les
entreprises du médicament.
«Ce nouvel accord-cadre est à la fois moderne et équilibré, estime Patrick Errard, Président du Leem. Moderne, car il offre un cadre de régulation mieux
adapté aux enjeux des innovations. Equilibré, car il prend en compte à la fois les impératifs de maîtrise budgétaire de
l’Etat et la nécessité pour la France de se doter d’un cadre attractif en
Europe pour les investissements en santé. Il convient de saluer la qualité du
travail réalisé avec les pouvoirs publics, souligne le Président du
Leem, qui permet aujourd’hui à la France de disposer d’un instrument
lisible de régulation et de gouvernance de la politique conventionnelle».
ZOOM SUR LES VŒUX A LA PRESSE DU 13/01/2016
Lors de ses vœux à la
presse, le président du Leem a présenté les grandes priorités d’action de
l’organisation professionnelle pour 2016. Un programme centré sur l’accueil de
l’innovation thérapeutique, l’attractivité industrielle, l’éthique et la réputation
du secteur, ainsi que sur les principes de la régulation du système de santé.
Réélu fin 2015 pour un mandat de deux
ans, le président du Leem a insisté, lors de la présentation de ses vœux à la
presse, sur le tournant majeur que connait aujourd’hui le système de soins : « Tandis que l’introduction de grandes innovations thérapeutiques et
technologiques modifie en profondeur les perspectives médicales, les conditions
d’exercice des soins et la prise en charge des patients, tous les acteurs de la
santé sont aujourd’hui fragilisés par la survivance d’un modèle de régulation
budgétaire qui compromet la capacité du système à engager sa mutation », a déclaré Patrick
Errard.
Pour le président du Leem, l’élection
présidentielle de 2017 « constitue une opportunité unique
d’imposer dans le débat politique une réflexion de fond sur notre système de
santé ». Pour cela, il entend « proposer à l’ensemble des acteurs de
santé – patients, professionnels de santé, établissements de soins, payeurs et
industriels – le principe d’une réflexion commune pour changer en profondeur
notre système de soins, afin que l’excellence de la médecine française puisse,
demain, continuer de bénéficier à tous ».
L’ACCUEIL DE L’INNOVATION
ET SON FINANCEMENT AU CENTRE DES PREOCCUPATIONS
Présents à la tribune aux côtés de
Patrick Errard, deux membres du conseil d’administration du Leem ont mis
l’accent sur deux sujets au cœur de la feuille de route fixée par
l’organisation professionnelle.
Philippe Barrois, président de Novartis
Pharma France, a ainsi présenté les nouveaux enjeux de l’innovation
thérapeutique et la nécessité de moderniser le système français d’évaluation,
tandis que Philippe Tcheng, vice-président Affaires publiques et
gouvernementales France de Sanofi et président de la Commission des Affaires
économiques du Leem, a détaillé le contenu du nouvel accord-cadre signé le 11
janvier entre le Leem et le Comité économique des produits de santé (CEPS).
Ces deux sujets s’inscrivent dans la
ligne stratégique dévoilée par Patrick Errard, qui entend promouvoir
l’innovation autour de l’accès au patient, de l’évaluation et de son
financement, tout en défendant le principe d’une politique industrielle et de
recherche fondée sur une régulation équitable et une fiscalité incitative sur
le plan international.
« Je souhaite, a souligné le
président du Leem, que soient posées dans un même chapitre
la question des moyens nécessaires à la compétitivité de notre recherche sur
les nouvelles thérapies, la question de l’évaluation et de la place de ces
nouveaux médicaments dans le système de soins, et la question sensible du prix
de l’innovation ».
Au-delà du sujet de l’innovation, le
maintien en France d’un outil de production et de recherche performant demeure
une préoccupation majeure, appréhendée notamment au travers du Conseil
stratégique des industries de santé (CSIS) et du Comité stratégique de filière
(CSF).
MOBILISATION AUTOUR DES
ENJEUX D’ETHIQUE ET DE REPUTATION
Enfin, le Leem entend rester mobilisé
sur les enjeux de responsabilité sociétale et environnementale (RSE) et axer sa
communication « sur les sujets qui portent le vrai
visage du secteur », à l’exemple de son apport en termes d’innovation, d’amélioration du
système de soins et d’attractivité économique.
L’accent sera également mis sur l’accompagnement
des entreprises dans l’anticipation des attentes de la société en matière
d’éthique et de déontologie, avec le concours du Comité de déontovigilance des
entreprises du médicament (Codeem), auquel a été confiée une réflexion sur le
sujet de la réputation du secteur. Piloté par son président Grégoire Moutel, ce
travail « sera collectivement très utile pour
construire la confiance, l’engagement et la motivation au service des patients
», estime Patrick Errard.
« Il y a, selon le président du Leem, la nécessité impérative d’une
cohérence entre la valeur de ce que nous produisons et l’image de notre
industrie, et ce pour légitimer pleinement notre
place en tant qu’acteurs de santé ».
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