Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 15 octobre 2015

AVC: Intervention du Dr Antoine CARMI le 5octobre au ministère de Bercy


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Nota:
Autre lien vers l'intervention du Dr Carmi: http://www.calameo.com/read/0045250819c3e32ba20c7
Si vous n'arrivez pas à lire passez par le site Calaméo inscription gratuite


En savoir plus sur cette conférence :
 http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/09/agenda-dgfip-5-octobre-2015-le-point.html
http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/10/avc-retour-sur-la-conference-debat-du.html











mardi 6 octobre 2015

AVC : Retour sur la conférence-débat du Dr Antoine CARMI au ministère de Bercy


 Texte  de l'intervention du Dr AntoineCarmi


Carton plein pour la conférence AVC du 5 octobre au CASC de Bercy.
Le docteur CARMI a été très apprécié des participants. 
 Un grand bravo  aux organisateurs à l'intervenant et à l’interprète.



Le Dr CARMI est intervenu devant une salle pleine. Antoine BONNET, interprète en LFS, (a permis à 5 personnes mal-entendantes de suivre la conférence).


A l'issue de la conférence le Dr Antoine CARMI a été littéralement  assailli de questions personnelles des participants auxquels il a répondu avec bienveillance.


Les personnes présentes, particulièrement intéressées, sont descendues dans la salle pour continuer d'échange avec le Dr CARMI à l'issue de la conférence.


En savoir plus sur cette conférence : http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/09/agenda-dgfip-5-octobre-2015-le-point.html
Crédit photo : Jacqueline Pédori

lundi 14 avril 2014

Les Français face a leurs maux de bouche


Nouveaux comportements, nouveaux traitements

 

- L' étude portant sur les affections buccales, réalisée auprès de 4 682 individus souffrant de maux de bouche, issus d'un échantillon représentatif de la population française

+ Infographie de l’étude en pièce jointe

 

- L'enquête  -sur la  place des dispositifs médicaux à base d'acide hyaluronique dans les maux de bouche- auprès des professionnels de santé  

 

- L’interview du Dr Vianney Descroix, Docteur en chirurgie dentaire, service d’odontologie, Groupe Hospitalier, Pitié-Salpêtrière, Paris

 

- Présentation de la  gamme à base d’acide hyaluronique, disponible en pharmacies :

 


En savoir plus :
http://fr.calameo.com/read/00315262452ea1b178c93 / http://fr.calameo.com/read/0031526247b62e95fae9f


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    mercredi 12 juin 2013

    C'EST A LIRE : "Psychogirurgie" de Marc LEVEQUE


    « Psychochirurgie» de Marc Lévêque -  Editions Springer

     

     Avant-propos d’Emmanuel Hirsch, Professeur d’éthique médicale, Université Paris Sud, Directeur de l’Espace éthique/AP-HP

     

    Préface de Philippe Cornu, Chef du service de neurochirurgie de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière

    Postface de Laurent Alexandre

     


     Cet ouvrage comble un vide au sein de la littérature francophone en abordant le thème de la psychochirurgie, soit le traitement chirurgical des pathologies mentales. Jadis très controversée, cette spécialité connaît un spectaculaire renouveau par l'avènement, depuis une dizaine d'années de nouvelles techniques de stimulation cérébrale.

     

    La neurostimulation ouvre de nouvelles perspectives thérapeutiques dans le traitement des pathologies psychiatriques, qu’il s’agisse de la dépression, des troubles obsessionnels compulsifs, des addictions ou des troubles du comportement alimentaire. L'histoire de cette spécialité singulière, les techniques actuellement mises en œuvre et les problèmes éthiques que cela soulève sont également mis en perspective.

     

    Ce livre, écrit par un neurochirurgien, s’adresse à tous ceux, psychiatres, neurologues, médecins, psychologues ou simples citoyens, qui se passionnent ou s’inquiètent du renouveau de cette spécialité.

    Marc Lévêque est neurochirurgien à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Il a débuté l’Internat de psychiatrie, avant d’être médecin de l Ambassade de rance en Chine puis s’est orienté vers la neurochirurgie. Formé à l’Université de Louvain puis de Montréal, il est ancien chef de clinique du service de neurochirurgie fonctionnelle de la Timone à Marseille. Il a contribué à plusieurs protocoles de recherche clinique en psychochirurgie.

     

     

     « Cet ouvrage réalise une remarquable synthèse de l’avancée de ces technologies capitales pour l’avenir de nos sociétés. ll devrait être lu non seulement par nos confrères, mais également par le grand public et les hommes politiques, tant les enjeux de le la psychochirurgie dépassent le cadre médical. La neuromodulation – innocent terme utilisé pour qualifier la fusion de la psychiatrie et des composants électroniques – est l’enjeu numéro un du 21ème siècle. … »

    Extrait de la postface du Dr L. Alexandre

    jeudi 7 février 2013

    Communiqué du Mouvement de défense de l’hôpital public du 7 février 2013


    Le MDHP a été reçu le 5 février 2013 par monsieur Denis Morin, directeur de cabinet de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, qui était accompagné du directeur adjoint, monsieur Bruno Maquart, ancien inspecteur général des affaires sociales. La délégation du MDHP était composée de René Adam (Paul Brousse), Anne Gervais (Bichat), Bernard Granger (Cochin), André Grimaldi (Pitié-Salpêtrière) et Julie Peltier (Tenon).

     

    Nous avons été écoutés très courtoisement pendant plus d’une heure. Nous ne sommes pas sûrs d’avoir été entendus.

     

    La demande d’une mission spécifique sur l’avenir de l’APHP, son organisation hospitalo-universitaire et son fonctionnement n’a pas reçu de réponse. De même, il n’a pas été possible de discuter du plan d’économie de 150 millions qui est à nouveau demandé à l’APHP (soit 500 millions en 5 ans). Le directeur de cabinet n’était pas informé des baisses de recettes (notamment des MIG) de l’APHP, sans baisse d’activité. C’est « l’affaire de la direction générale de l’Assistance publique », a-t-il estimé. Quant au fait que les trois groupes hospitaliers ayant le déficit le plus lourd soient ceux prenant en charge les populations les plus défavorisées (Seine-Saint-Denis, Nord et Est de Paris), cela n’a suscité aucun commentaire particulier de la part de nos interlocuteurs. L’évocation des conséquences de cette politique sur la réduction des emplois, la dégradation de la qualité des soins et la diminution de la sécurité des patients, sur la démotivation des soignants dont témoignent le taux d’absentéisme et les départs de l’institution, a été écoutée avec la bienveillance d’usage. Toutefois monsieur Morin a souligné, avec une indéniable empathie, que la dette de l’APHP était relativement moins importante que celle des hôpitaux civils de Lyon, qu’il connaît mieux en tant qu’ancien directeur de l’ARS Rhône-Alpes.

     

    Nos propositions de modifications des modes de financement des hôpitaux, voire de simple ajustement de la T2A (notamment pour permettre la prise en charge ambulatoire de patients atteints de maladies chroniques), ont suscité un rappel des défauts historiques incontestables du « budget global » et des mérites de la T2A favorisant la redistribution et stimulant la production, expliquant son adoption internationale (bien qu’elle soit aujourd’hui largement critiquée).

     

    Monsieur Morin a cependant reconnu que la T2A n’est pas faite pour assurer le financement des investissements lourds. Il a convenu que la réduction des investissements telle que la connaît l’APHP ne devrait pas être un moyen utilisé durablement pour maintenir l’équilibre financier, au risque de ne pas pouvoir suivre les progrès techniques ni même assurer le renouvellement des appareils (radiographie, endoscopie...), sans parler des conditions d’accueil des patients dans des locaux vétustes, parfois indignes.

     

    On nous a rappelé que de nombreux hôpitaux vivent heureux et équilibrés comme « l’hôpital de Chambéry, qui a gagné des parts de marché ».

     

    Pour conclure, le directeur de cabinet a insisté sur l’importance pour les « managers » de ne pas changer en permanence les règles. Ce souci de stabilité ne lui a cependant pas paru contradictoire avec la baisse nationale automatique des tarifs quand l’augmentation d’activité entraîne un dépassement de l’ONDAM. Le fait que cette baisse appliquée nationalement pénalise non seulement ceux qui ont des coûts trop élevés, mais aussi les praticiens vertueux appliquant le juste soin et ne pratiquant pas l’ « up-coding », ne serait en somme qu’un dégât collatéral regrettable. Quant à notre proposition d’une régulation des tarifs par établissement avec une baisse au-delà d’un quota fixé chaque année contractuellement avec les ARS (comme cela se fait dans d’autres pays), elle a semblé quasi surréaliste.

     

    Nous avons donc eu le sentiment insolite de rencontrer non pas des responsables politiques ouverts aux changements mais des gestionnaires décidés à garder le même logiciel. Après cette entrevue, nous ne pouvons que faire part de notre inquiétude sur le sort qui sera réservé au rapport d’Edouard Couty (le pré-rapport oral laissant espérer une nouvelle approche avait suscité notre approbation).

     

    Le MDHP a décidé de demander à rencontrer officiellement les élus des assemblées en charge de la Santé, ceux de la majorité comme ceux de l’opposition, ainsi que la FHF et les grandes organisations syndicales, pour leur faire part de ses propositions.

     

    Nous appelons les collègues de l’ensemble des hôpitaux publics à se préparer à agir dans l’unité.

     

    René Adam, Anne Gervais, Bernard Granger, André Grimaldi et Julie Peltier.