MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
vendredi 7 septembre 2012
Devenez bénévoles ! Des speed dating et des rencontres du bénévolat dans les forums associatifs de rentrée
Réforme de l’ISF PME : La CNCIF inquiète
L’incitation fiscale permettant aux particuliers assujettis à l’ISF de réduire l’imposition de leur patrimoine par l’investissement au capital des PME risque d’être sévèrement remise en cause par le gouvernement. Stéphane Fantuz, Président de la CNCIF réagit à ce projet qui pénaliserait le financement des entreprises et leur développement. Explications.
Alors qu’une réflexion est en cours sur une nouvelle réforme de l’ISF, la Chambre Nationale des Conseillers en Investissements Financiers réaffirme son attachement au dispositif ISF PME permettant aux particuliers de réduire son impôt à hauteur de 50 % et ce, actuellement, dans la limite de 45 000 € annuels. En effet, le gouvernement envisage de ramener la réduction d’impôt de 50 % à 25 % des sommes investies dans une PME. Cet avantage fiscal serait alors aligné sur celui en vigueur sur l’impôt sur le revenu que l’on appelle aussi dispositif Madelin.
Contre-sens économique
« A l’heure où la France manque d’entreprises de taille moyenne en raison de l’insuffisance des fonds propres permettant leur développement, que le financement des entreprises est grippée par le contexte économique, remettre en cause ce dispositif serait un contre- sens grave » explique Stéphane Fantuz pour qui la croissance doit passer par l’investissement.
L’organisation professionnelle rappelle à ce titre que l’ISF PME a permis de drainer plus de 1.1 milliard d’euros en faveur des fonds propres des PME en 2010. Elle réaffirme donc son attachement à ce dispositif et rappelle qu’il avait déjà fait l’objet d’un « coup de rabot » à l’automne dernier. En effet, la loi TEPA prévoyait un avantage fiscal de 75 % dans la limite de 50.000 euros.
Par ailleurs, la CNCIF regrette l’absence de concertation avec les acteurs de la gestion de patrimoine privé et professionnel qui sont les intervenants majeurs dans la collecte de cette épargne auprès des particuliers d’une part, et qui conseillent les chefs d’entreprises pour la recherche de leur financement, d’autre part.
Enfin, la CNCIF attire l’attention des pouvoirs publics et des parlementaires en faveur du maintien de ce dispositif qui vise à orienter l'épargne des ménages vers le financement des entreprises et qui minimise le coût de l’intermédiation.
Au sommaire de Couleurs MGEFI d'août 2012
ÉDITO / SOMMAIRE 3
Référence :
secteur 1
Va-t-on enfin sortir de l’anarchie qui règne dans les tarifs des praticiens ?
La question mérite d’être posée suite aux annonces faites par Marisol Touraine, ministre de la Santé, qui souhaite « encadrer les dépassements d’honoraires pour sécuriser l’accès aux soins ».
Ce n’est pas la première fois qu’une telle promesse est formulée – toujours en vain jusqu’à présent – mais la célérité avec laquelle le gouvernement s’est emparé de cette question est déjà un signe encourageant. La problématique n’est pas simple à régler tant les intérêts divergent, mais la négociation à laquelle sont invités Assurance maladie, complémentaires santé et syndicats médicaux est balisée.
À défaut d’accord, d’ici l’automne les contraintes seront fixées par la loi. Cette négociation est l’occasion pour la Mutualité Française de rappeler sa position : organiser une convergence vers les tarifs du secteur 1 pour permettre un retour à terme à des tarifs remboursés par la Sécurité sociale et les mutuelles et revaloriser les tarifs des médecins exerçant dans ce secteur. « C’est à cette condition que la Mutualité Française signera cet accord » indique Étienne Caniard son président, qui précise que les médecins du secteur 1 « ne doivent pas être pris en otage par une minorité qui abuse du système ».
Une réalité quand on sait que 75 % des médecins libéraux exercent en secteur 1 ! Le décor est planté et l’enjeu est de taille : celui d’un retour à une véritable opposabilité des tarifs, seule garante, d’un égal accès aux soins.
Le nouveau premier ministre ne dit pas autre chose quand il indique que l’encadrement des dépassements d’honoraires est un des éléments d’une « stratégie nationale de santé ».
A Paris, le 16 août 2012
Serge Brichet
Président de la MGEFI
DOSSIER SPÉCIAL ASSEMBLÉE GÉNÉRALE 2012
> Les temps forts de la 8e assemblée générale 9
S’INFORMER, SE PROTÉGER
> Bon à savoir
> Perchloroéthylène : ces pressings qui nous empoisonnent
17
4
MIEUX VIVRE VOTRE QUOTIDIEN
> Lire, écrire, compter : un savoir fondamental
> Être gaucher dans un monde de droitiers
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17
OBJECTIF SANTÉ
> Les huiles essentielles : naturelles mais pas sans danger
> 10 examens médicaux passés au crible
4
20
DOSSIER
9
MA MUTUELLE EN PRATIQUE
> Vos remboursements
> Changement de situation
> Votre réseau de conseillers mutualistes
jeudi 6 septembre 2012
Agenda
Le prochain cercle Droit et Mutualité se déroulera le 26 septembre prochain à partir de 14h00 à la Mutualité Française.
Il aura pour thème : Responsabilité Sociétale et environnementale, contrainte ou opportunité pour les mutuelles ? et le rapport de gestion social et environnemental .
Il aura pour thème : Responsabilité Sociétale et environnementale, contrainte ou opportunité pour les mutuelles ? et le rapport de gestion social et environnemental .
L'accès à la conférence est libre sous réserve d'inscription sur Mutweb en cliquant ici vous retrouverez également sur le site le détail des différentes interventions.
Le chiffre de la semaine
23, 7 C’est le pourcentage de Français qui déclarent consommer une fois par semaine des produits bio.
Source : enquête Bioalaune.com - 2012
Le bilan sévère de la Cour des comptes sur "le coût du dossier médical personnel (DMP) depuis sa mise en place"
Le Monde, Acteurs publics, ou encore Le Point, se sont procurés un rapport d'enquête encore confidentiel de la Cour des comptes sur le DMP, achevé en juillet, rapport qui avait été demandé par la commission des finances de l'Assemblée nationale.
Les magistrats de la rue Cambon dressent un constat sévère dans leur troisième enquête sur le sujet, qui doit faire l'objet d'une audition de Didier Migaud, président de la haute instance devant les députés le 12 septembre. Outre la défaillance de stratégie et de pilotage de la part de l'Etat, les critiques portent sur l'absence de méthode d'évaluation du retour sur investissement aussi bien financier que médical. La Cour évalue le coût du DMP à au moins 210 millions d'euros de 2005 à 2011 auxquels il faut ajouter le coût des dossiers informatisés des patients hospitaliers, soit un coût réel d'un demi-milliard d'euros, essentiellement à la charge de l'Assurance maladie. "Il est temps que l'Etat définisse enfin, dans une concertation étroite avec tous les acteurs, une stratégie d'ensemble pour intégrer le DMP dans une vision globale des systèmes d'information en santé", insiste le rapport, "de manière à assurer la cohérence et la convergence de dispositifs à certains égards foisonnants et à éviter une dérive des coûts à venir”. Comble de la désorganisation souligné par Acteurs publics qui propose en ligne le résumé du rapport : "deux normes d'interopérabilité des systèmes d'information de santé, distinctes quoique proches, au lieu d'une seule, ont été édictées à quelques mois d'intervalle par l'ASIP et par l'Assurance maladie". Les sages formulent 13 recommandations au ministère de la Santé. Ils souhaitent notamment que les dépenses effectuées pour la mise en place du DMP soient renseignées tous les ans et que soit promptement publié le décret définissant le contenu et le champ du DMP (voir les conclusions du rapport proposées par Le Point).
Bien que le pilotage du projet soit largement critiqué, Jean-Yves Robin, directeur général de l'ASIP Santé, ne semble pas fâché par les conclusions de la Cour. Il indique : "Je souhaiterais que ce rapport soit rendu public. Il est nécessaire de donner du sens au projet". En clair, le DMP doit bénéficier d'une réelle impulsion politique, ce qui n'a jamais été le cas. Le député socialiste Gérard Bapt, qui ne cesse de critiquer les retards et gaspillages du dossier, a demandé à la ministre de la Santé de lancer une mission conjointe IGAS/IGF, qui avait déjà fait un audit sévère en 2007. Bref, un audit de plus. Il dénonce une nouvelle fois les modalités jugées "inquiétantes" du déploiement du dossier médical personnel. Pour l'élu, les questions de la sécurité des données personnelles de santé et de l'accès au DMP sont particulièrement préoccupantes, citant les déclarations récentes de responsables du DMP suggérant des dérogations au secret professionnel et un partage non contrôlé des informations de santé. Le député appelle de ses vœux un grand débat sur la protection des données personnelles de santé et du secret médical associant les ordres professionnels, les syndicats ou encore les représentants des usagers, rapporte le Quotidien du médecin.
En attendant, le business continue. Après avoir subventionné les établissements hospitaliers pour la création de DMP, l'ASIP apportera dès la rentrée un soutien financier à des programmes visant à inscrire le dossier médical personnel dans la formation médicale continue. L'appel à projets publié le 1er août sur le site internet de l'agence "s'adresse aux organismes de formation agréés" par l'organisme gestionnaire conventionnel (OGC) de la formation continue des médecins libéraux, souligne une dépêche TIC Santé le 27 août. L'objectif affiché est "d'expérimenter différents types et démarches de formation au DMP", afin de "disposer d'un premier socle de développement professionnel continu sur ce thème dès 2012", en vue d'une "inscription dans les orientations nationales de 2013".
Bien que le pilotage du projet soit largement critiqué, Jean-Yves Robin, directeur général de l'ASIP Santé, ne semble pas fâché par les conclusions de la Cour. Il indique : "Je souhaiterais que ce rapport soit rendu public. Il est nécessaire de donner du sens au projet". En clair, le DMP doit bénéficier d'une réelle impulsion politique, ce qui n'a jamais été le cas. Le député socialiste Gérard Bapt, qui ne cesse de critiquer les retards et gaspillages du dossier, a demandé à la ministre de la Santé de lancer une mission conjointe IGAS/IGF, qui avait déjà fait un audit sévère en 2007. Bref, un audit de plus. Il dénonce une nouvelle fois les modalités jugées "inquiétantes" du déploiement du dossier médical personnel. Pour l'élu, les questions de la sécurité des données personnelles de santé et de l'accès au DMP sont particulièrement préoccupantes, citant les déclarations récentes de responsables du DMP suggérant des dérogations au secret professionnel et un partage non contrôlé des informations de santé. Le député appelle de ses vœux un grand débat sur la protection des données personnelles de santé et du secret médical associant les ordres professionnels, les syndicats ou encore les représentants des usagers, rapporte le Quotidien du médecin.
En attendant, le business continue. Après avoir subventionné les établissements hospitaliers pour la création de DMP, l'ASIP apportera dès la rentrée un soutien financier à des programmes visant à inscrire le dossier médical personnel dans la formation médicale continue. L'appel à projets publié le 1er août sur le site internet de l'agence "s'adresse aux organismes de formation agréés" par l'organisme gestionnaire conventionnel (OGC) de la formation continue des médecins libéraux, souligne une dépêche TIC Santé le 27 août. L'objectif affiché est "d'expérimenter différents types et démarches de formation au DMP", afin de "disposer d'un premier socle de développement professionnel continu sur ce thème dès 2012", en vue d'une "inscription dans les orientations nationales de 2013".
Le dossier médical personnel, très mal ficelé - Le Monde 27 août 2012
L'Asip santé lance un appel à projets pour former les médecins à l'usage du DMP - Dépêche TIC Santé du 27 août 2012
DMP : Gérard Bapt redoute un « Big Brother » - lequotidiendumedecin.fr 27/08/2012
http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualite/exercice/dmp-gerard-bapt-redoute-un-big-brother
DMP : 71 millions d'euros pour les prestataires privés - Acteurspublics.com avec accès au résumé du rapport de la Cour (3 pages)
A découvrir également avec Le Point les conclusions du rapport de la Cour des comptes
Le communiqué de l'ASIP Santé du 30 août 2012
http://www.lequotidiendumedecin.fr/actualite/exercice/dmp-gerard-bapt-redoute-un-big-brother
DMP : 71 millions d'euros pour les prestataires privés - Acteurspublics.com avec accès au résumé du rapport de la Cour (3 pages)
A découvrir également avec Le Point les conclusions du rapport de la Cour des comptes
Le communiqué de l'ASIP Santé du 30 août 2012
Lire l'article : https://www.box.com/s/b1c6d24e4cecc3c495d2
Lettre, archives et formulaire d'abonnement en ligne sur le site
L'ANAP finance à prix d'or des « études cyniques »
Dans le sillage des déconvenues de l'ASIP et de son DMP soulignées cette semaine par la presse le Canard Enchaîné (22-08) assène quelques coups de becs acérés à l'agence d'appui à la performance (ANAP) et ses 98 collaborateurs, dotée d'un budget de 52 millions d'euros.
A lire cet article, il semble que la performance de l'opérateur public s'exerce prioritairement pour financer les grands cabinets de conseil privés. L'article rappelle d'abord, à la lumière du rapport d'activité 2011, que plus des deux-tiers (35ME) de ces fonds publics ont directement atterri dans les poches de Cap Gemini, General Electric ou McKinsey. Ironisant sur l'objet de l'ANAP, qui vise entre autres l'efficacité économique des établissements que l'agence conseille, l'auteur observe "Question ‘efficacité économique la réussite est éblouissante". Egrenant quelques exemples édifiants. de projets financés dont l'intitulé prête à sourire, le rédacteur observe qu'en matière de montants dépensés "le jus de crâne se fourgue au prix du caviar".
Ainsi les conseils facturés près de 300 000 euros au centre hospitalier de Versailles, 400 000 à Saint Etienne, 5500 00 à Périgueux, 750 000 à Lens, ou plus de 1,6 million aux HCL. A noter la position médiane du CHU de Grenoble (300 000), quatrième établissement le plus endetté de France, dont le directeur est pressenti pour succéder à l'actuel responsable de la DGOS. Qualifiée par l'un des responsables de l'assistance publique de "foutage de gueule intégral", l'évaporation budgétaire de ces "études cyniques" conduit l'hebdomadaire à conclure par une suggestion : "Vite, une étude (d'un cabinet privé) sur l'utilité de l'ANAP". A moins que la Cour des comptes s'en charge.
Lire l'article : https://www.box.com/s/b1c6d24e4cecc3c495d2
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LIBRE PROPOS de Guillaume Duval Rédacteur en chef d’Alternatives Economiques
« Vous trouvez ci-joint pour information un papier paru également dans le quotidien Libération la semaine dernière qui cherche à expliquer pourquoi, dans le contexte de la récession européenne, il faudrait absolument se libérer de la contrainte des 3 % de déficit public l’an prochain et comment on pourrait argumenter cette position auprès de nos voisins et des institutions européennes en s’appuyant en particulier sur la référence aux déficits structurels, centrale tant dans le 6 pack que dans le TSCG.
Il ne m’a pas échappé que telle n’était pas le chemin que souhaitaient prendre pour l’instant Jean-Marc Ayrault et François Hollande mais, bien qu’absolument convaincu qu’il faille stopper rapidement la dérive de l’endettement public, j’ai aussi l’intime conviction que si la France retombe en récession en 2013 et compte l’an prochain au bas mot 300 000 chômeurs de plus à cause de cette politique budgétaire, la gauche sera profondément et durablement disqualifiée dans l’opinion et le projet européen encore plus menacé qu’aujourd’hui. Sans compter que l’objectif des 3 % ne sera au final pas atteint non plus à cause de la récession et de la baisse des recettes publiques qu’elle occasionnera. Il ne fait pas de doutes à mes yeux que tenir ses engagements constitue en soi plutôt une bonne chose mais il faut savoir aussi ne pas s’y accrocher à tout prix lorsque les circonstances ont changé. Et qu’il apparaît clairement que leur tenue aggraverait au contraire la situation déjà difficile des Français et représenterait un danger supplémentaire pour l’avenir de la gauche et de l’Europe… »
mercredi 5 septembre 2012
A vos agendas !
12 octobre 2012 de 9h à 12h - Matinée-Débats PLFSS 2013 ESE-OCIRP
Ese et l'Ocirp, avec le soutien de Mondial-Assistance, organisent, à l'Assemblée nationale (6e une matinée dédiée au PLFSS 2013.
Participeront au débat les députés Gérard Bapt, rapporteur général PS, Jean-Pierre Door (UMP), Catherine Lemorton et Gilles Carrez, respectivement présidente de la Commission des affaires sociales et président de la Commission des finances, Christian Paul et Bérangère Poletti.
Les débats seront animés par Pascal Beau (directeur d’Espace Social Européen) et Jean-Manuel Kupiec (directeur général adjoint de l’Ocirp) Contact : Carine Koépé 01 53 24 13 00 / c.koepe@espace-social.com
La Santé des adolescents à la loupe
L'Inpes publie les données françaises de l’enquête HBSC.
L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) et la Direction générale de l’enseignement scolaire (Dgesco) ont présenté ce matin, lors d'une conférence de presse, les données françaises de l’enquête internationale Health Behaviour in School-aged Children (HBSC).
L'enquête HBSC est la seule étude existante qui se penche sur les comportements et perceptions de santé et de bien-être des élèves de 11 à 15 ans. Réalisée tous les quatre ans dans près de 40 pays à partir du même questionnaire, cette enquête analyse l’évolution de la santé des jeunes Français depuis 1993 et permet d’effectuer des comparaisons internationales.
Outre l'ouvrage de l'Inpes édité et diffusé gratuitement par l'Inpes ou ses partenaires, une version abrégée de l'étude 2010 est disponible sur demande justifiée auprès de Vanessa Lemoine vanessa.lemoine@inpes.sante.fr, www.inpes.sante.fr
C'est à lire !
« Audit de sécurité des soins en médecine de ville » de René Amalberti et Jean Brami - Edition Springer
La gestion des risques liés aux soins fait l’objet d’une pression croissante des tutelles et des patients. On ne peut plus rester dans un exercice de ville sans y prêter une attention particulière.
Cet ouvrage est une réponse pratique à cette pression. Faisant suite au premier livre publié par les mêmes auteurs, il permet d’actualiser ses connaissances et de réaliser un audit très complet de ses pratiques au cabinet.
En effet, le lecteur achète plus qu’un livre, il achète aussi un audit et une formation continue. Le livre papier résume toutes les connaissances utiles, techniques, organisationnelles, juridiques pour réduire les risques dans la prise en charge. Il est complété par un site web sécurisé et anonyme où le lecteur peut faire un audit à partir de 120 questions sur ses pratiques. Le programme propose alors un diagnostic personnalisé, incluant une comparaison par rapport aux autres médecins ayant un exercice proche, ainsi qu’un programme d’amélioration des pratiques sur six mois suivi d’un deuxième audit de contrôle.
Ce livre est écrit à quatre mains plus quatre, dans un style direct mais complet sur le fond, et avec une volonté d’être un livre de référence, qu’on garde, qu’on consulte selon les besoins : facile à lire, avec des exemples, des cas cliniques, des encarts juridiques, des lectures à différents niveaux et des repères rapides.
Alors, à vos lunettes (pour lire) et votre plume (pour vous évaluer) !
Rapport du CNLE sur « le reste pour vivre » :
Etienne Pinte, Président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE) a remis ce jour un rapport sur le « reste pour vivre » à Marisol
Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, ainsi qu’à Marie-Arlette Carlotti,
Ministre déléguée chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion.
Les Ministres se félicitent de la publication de ce rapport, qui rappelle l’importance d’améliorer la situation des ménages les plus modestes, trop souvent stigmatisés ces dernières années.
Le document montre en effet la difficulté croissante qu'ont les plus fragiles de nos concitoyens à faire face à leurs dépenses incompressibles (logement, énergie, santé) et les privations intolérables que cette situation peut engendrer.
Face à l’urgence de la situation, le gouvernement a engagé des mesures en faveur du pouvoir d’achat des ménages les plus modestes (notamment augmentation de 25% de l'allocation de rentrée scolaire, lancement des négociations sur les dépassements d'honoraires et l'accès aux soins pour tous, augmentation du SMIC, encadrement des loyers, réforme des tarifs de l’énergie).
Marisol Touraine et Marie-Arlette Carlotti sont pleinement mobilisées contre la pauvreté et les exclusions en France, et rappellent la tenue d’une conférence annoncée par François Hollande les 12 et 13 novembre au Palais d’Iena, qui permettra l’élaboration d’un plan quinquennal de lutte contre la pauvreté et les exclusions.
Commmuniqué de la BMF vers les adhérents MGEFI
C’est la rentrée !
Lancement de la Campagne Jeunes 2012, qui se déroule cette année du 1er septembre au 31 octobre 2012.
Le guide jeunes actifs BFM est désormais disponible sur le site internet BFM. L’internaute peut désormais :
Consulter, imprimer ou commander un exemplaire papier de ce document
Accéder au simulateur de prêt ou contacter la BFM
Rappel
Depuis le 16 juillet 2012 :
- Le Prêt Spécial Démarrage (réservé aux moins de 35 ans) devient le Prêt BFM Energie.
- Le Prêt Mutualité (adossé au Livret BFM Avenir) devient le Prêt BFM Avenir.
- Le Prêt Spécial Démarrage (réservé aux moins de 35 ans) devient le Prêt BFM Energie.
- Le Prêt Mutualité (adossé au Livret BFM Avenir) devient le Prêt BFM Avenir.
Découvrez l’offre et les services de la Banque Fédérale Mutualiste sur le site www.bfm.fr
mardi 4 septembre 2012
La Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) organise du lundi 1er au dimanche 7 octobre 2012, ses Journées nationales
La Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) organise du lundi 1er au dimanche 7 octobre 2012, ses Journées nationales pour sensibiliser le public à la nécessité de soutenir la recherche médicale, afin qu’elle bénéficie à tous les malades. Cette semaine de mobilisation et d’appel aux dons permettra aux donateurs d’être solidaires envers tous ceux qui souffrent, quelle que soit leur maladie. Les sommes collectées seront attribuées aux recherches les plus innovantes et les plus prometteuses. Et cela dans tous les domaines de la santé.
Des Journées qui répondent aux attentes des donateurs :
Les donateurs sont nombreux à exprimer leur difficulté à choisir, considérant que toutes les maladies doivent être combattues. Même s’ils ont eux-mêmes été touchés de près par une maladie, ils savent combien il est important que chacun puisse profiter des progrès de la médecine.
De plus, les donateurs ne connaissent ni les besoins réels des chercheurs ni les urgences auxquelles il faut faire face.
Les Journées de la Fondation pour la Recherche Médicale leur permettront d’exprimer leur volonté de soutenir la lutte contre toutes les maladies - cancers, maladies du cerveau, maladies cardiovasculaires, maladies infectieuses, maladies rares…- en ayant la certitude que leur don sera efficacement utilisé.
Des dons attribués aux meilleurs projets de recherche :
Les dons collectés seront attribués, après appels à projets auprès de l’ensemble des chercheurs français, tous domaines médicaux confondus, par le Conseil scientifique de la Fondation. Ce dernier sélectionnera les chercheurs bénéficiaires en tenant compte du caractère innovant de leurs recherches, de leur capacité à apporter des progrès médicaux majeurs et de la qualité de l’équipe impliquée dans la recherche.
Le relais des médias :
La Fondation sollicite toutes les rédactions et les émissions TV et radios, pour qu’elles relaient l’opération, notamment en invitant les chercheurs, Thierry Lhermitte et Virginie Efira, parrain et marraine de la FRM. La Fondation sera présente sur RTL pour une Journée Spéciale le lundi 1er octobre, sur M6, sur France Inter, le réseau France Bleu…
Pour Thierry Lhermitte et Virginie Efira, toutes les maladies doivent bénéficier de la recherche. « Il n’y a pas de petites ou de grandes souffrances, mais il y a des malades qui méritent l’attention de tous. »
Une campagne publicitaire du 26 septembre au 10 octobre :
Conçue par l’agence de communication Cheil France, cette campagne vise à souligner qu’il est impossible d’établir une hiérarchie entre les malades et de déterminer ceux qui ont le plus besoin de la recherche. La campagne sera diffusée gracieusement en presse, affichage, TV et radio. Elle sera relayée sur le site www.frm.org à partir du 24 septembre.
Une campagne de collecte sur internet :
Chaque Internaute pourra créer – à partir du site www.frm.org – sa page personnelle de collecte et mobiliser ses amis, ses collègues, sa famille très simplement pour faire un don grâce à des moyens de paiement sécurisés.
La FRM, une position unique au cœur de la recherche :
La Fondation pour la Recherche Médicale est la seule organisation caritative engagée dans tous les secteurs de la recherche médicale : maladies neurologiques, maladies infectieuses, maladies cardiovasculaires, les cancers… Elle a pour ambition de développer une recherche de pointe au service de la santé de tous. Chaque année, plus de 750 équipes de recherche bénéficient du soutien de la Fondation. La FRM est reconnue d’utilité publique et membre du Comité de la Charte du don en confiance. Elle agit en toute indépendance grâce au soutien régulier de près de 450 000 donateurs. Pour faire un don : www.frm.org
Art et Saveurs Nature : Des ateliers "Plaisir" pour réveiller l'imaginaire
2012 est l'année européenne du vieillissement actif. Les personnes âgées seront dans les prochaines décennies de plus en plus nombreuses et de plus en plus âgées. Vieillir en bonne santé est un défi que notre société doit aujourd'hui relever. Comment ? En maintenant les capacités physiques et cognitives des personnes âgées le plus longtemps possible, notamment grâce à une alimentation adaptée et de qualité. C'est dans ce contexte que la Fondation Louis-Bonduelle développe des actions de terrain auprès de ces publics au travers d'un partenariat avec la Fédération Nationale des Maisons d'Accueil Rurales pour Personnes Agées.
Au sein de l'Union européenne, on recensait, en 2011, 96 millions de personnes âgées de 50 à 64 ans (soit 19,1%), entre 64 millions âgées de 65 et 79 ans (soit 12,7 % de la population totale) et 24 millions de plus de 80 ans (soit 4,7 %)1. Selon différentes prévisions, le vieillissement de la population va se poursuivre dans les décennies à venir. Stimuler les capacités physiques et cognitives des personnes âgées dans un objectif de prévention de la dépendance et de recul de certaines pathologies est un défi de grande ampleur pour la société.
Paradoxalement, on observe chez les personnes âgées une diminution des prises alimentaires alors même que leurs besoins nutritionnels sont équivalents, voir supérieurs avec l’âge. Comment expliquer ces comportements alimentaires et cette diminution de la densité nutritionnelle ? Plusieurs facteurs sont en cause : réduction des ressources financières, isolement et solitude, difficultés techniques pour s’alimenter seul, altération de la dentition et des capacités sensorielles… Or ces facteurs concourent à une diminution du plaisir de manger, et peuvent avoir pour conséquence un déséquilibre nutritionnel, voir une dénutrition protéino-énergétique. 5 à 10% des personnes âgées vivant à domicile et 30% de ceux en institution seraient touchés ainsi par la dénutrition2.
Face à ce constat, la Fondation Louis-Bonduelle*, qui a acquis depuis sa création en 2004 une expertise dans les actions de terrain dans le domaine de la nutrition et des comportements alimentaires, s'est associée à la Fédération Nationale des Maisons d'Accueil Rurales pour Personnes Agées**.
Une grande attention est en effet portée dans les Marpa à l’équilibre alimentaire et au plaisir des résidents lors de la conception des repas, à laquelle ils sont associés. L’agencement architectural et l’organisation favorisent la convivialité et la socialisation. Tous les repas sont confectionnés à la Marpa et servis sur place. Le personnel polyvalent prend ses repas avec les résidents, ce qui leur permet d’être attentif aux souhaits des personnes et de les stimuler si nécessaire.
Une opération innovante destinée aux résidents des MARPA et d'envergure nationale est née de ce partenariat. Elle a pour objectif de développer l'expression, la socialisation et le plaisir autour des légumes. A partir du mois de juin, les MARPA de tout le territoire pourront commencer à réaliser des animations autour du monde végétal.
* www.fondation-louisbonduelle.org
** www.marpa.fr
1Eurostat statistic Focus 23/2011
2Programme National pour l’Alimentation. Programme interministériel piloté par le Ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité. Février 2011
Le partenariat entre la Fondation Louis-Bonduelle et La FNMARPA
En quoi consiste cette opération ?
Une alimentation de bonne qualité nutritionnelle, où fruits, légumes et protéines ont une place privilégiée dans le menu, contribue au bien vieillir. Mais manger est également un acte social et les conditions dans lesquelles se déroulent les repas sont essentielles. La Fondation Louis-Bonduelle a déjà mis en évidence cet aspect de l'alimentation dans ses études sur les comportements alimentaires. Elle a élaboré des outils de sensibilisation et des actions de terrains innovants pour répondre à ces problématiques. Des problématiques que vivent au quotidien les professionnels des Maisons d'Accueil Rurale pour Personnes Agées (MARPA).
C'est ainsi qu'un partenariat a été noué entre la Fondation Louis-Bonduelle et la Fédération Nationale des MARPA. Partenariat qui a donné naissance à un programme destiné aux résidents des MARPA. Valoriser la personne âgée, éveiller la curiosité, ouvrir l’imaginaire, stimuler le goût et l’odorat, partager un moment convivial, communiquer ses connaissances culinaires, favoriser le sentiment de bien-être, maintenir ou créer des liens sociaux et intergénérationnels… sont les objectifs ambitieux de ce programme inédit.
Testé en 2011 et au printemps 2012 dans trois MARPA pilotes, le projet s’étendra en France à partir du mois de juin grâce à l'envoi de kits dans toutes les Marpa du réseau national. Développés par la Fondation Louis-Bonduelle avec l'aide de la spécialiste en jeux ludo-éducatifs Brigitte Cicchini, ces kits contiennent à la fois des outils pratiques et théoriques. Les outils pratiques, comme le matériel de cuisine ou de petits ustensiles spécifiques à l'animation tel un bandeau pour couvrir les yeux, permettent de mener l'animation. Les outils théoriques, comprenant un dossier pédagogique et des fiches, sont destinés aux animateurs et personnels de la structure qui pourront ainsi s'approprier les ateliers. A chaque fois qu'elle met en place une action de terrain(voir encadré), la Fondation Louis-Bonduelle tient en effet via un référentiel le plus complet possible à permettre aux structures une véritable autonomie dans la réalisation des animations.
Chaque structure peut organiser l'animation quand et comme elle l'entend .Par exemple elle peut dissocier les deux ateliers, ce qui permet d'assurer la pérennité de cette opération.
Les Marpa, des lieux de vie à taille humaine
Les Marpa accueillent comme à domicile, dans le confort et la sécurité, des personnes âgées fragilisées, autonomes ou en perte d’autonomie, qui ne peuvent ou ne désirent plus rester chez elles. Au sein d'une petite unité de vie, qui ne compte jamais plus de 24 résidents, les personnes âgées disposent de logements indépendants de plein-pied avec une entrée privative. En somme, elles sont véritablement chez elles et mènent la vie qu'elles désirent.
Les résidents des MARPA viennent des environs ou bien se rapprochent de leur famille. Ce sont des personnes à la recherche de structures à taille humaine où l'autonomie et le bien être de chaque résident sont au centre du projet de vie pour une «vieillesse heureuse».
Comment fonctionne une Marpa ?
Le maître mot est la... liberté. Voici des lieux où les services sont facultatifs mais l'accompagnement permanent. Une équipe de professionnels qualifiés accompagne de manière personnalisée les résidents et leurs proches. Les Marpa sont des structures non médicalisées en interne. Les résidents font appel en ce sens au médecin et infirmiers de leur choix.
Structure ouverte sur l'extérieur, la Marpa offre la possibilité aux résidents de participer à la vie sociale, économique et culturelle locale. Des enfants de la commune peuvent venir se faire aider pour leurs devoirs par exemple.
Et les repas ?
Chaque logement possède un coin cuisine. Mais une salle à manger collective permet aussi aux résidents de partager les repas dans une ambiance conviviale. Chacun peut apporter sa contribution : qui pour le ravitaillement, qui pour mettre la table, qui pour la préparation d'une sauce ou encore l'épluchage des légumes … Ce principe de cuisine ouverte et d'aide au personnel qui prépare les repas apporte de la gaité à ces moments de partage.
Où trouve-t-on des Marpa ?
En moyenne chaque année, 10 nouvelles Marpa ouvrent leurs portes et viennent enrichir le réseau qui compte aujourd'hui près de 162maisons. On trouve des Marpa sur tout le territoire français .Le mode de gestion est publique ou associatif
Plongée au cœur de l'opération
Atelier « art nature »
L’animation artistique a été testée auprès des résidents de trois Marpa pilotes: la Marpa Arc-en-ciel à Saint Mesmin près de Cholet en Vendée, la Marpa Nova Villa à Neuville saint Vaast près d’Arras dans le Pas-de-Calais et la Marpa Cœur Lauragais à Auriac sur Vendinelle près de Toulouse en Haute-Garonne.
En quoi consiste cet atelier ? Mené par un artiste de jardin ,Marc Pouyet ,cet atelier a pour but de mettre en scène les légumes associés à d’autres végétaux et d'en faire des créations artistiques. Carottes, choux, poireaux, radis roses et consorts, découpés en petits morceaux et sculptés puis disposés avec soin, deviennent des tableaux végétaux. Dans un des ateliers pilotes, les légumes se sont transformés en... chapeaux pour les résidentes ! C'est le règne de l'imaginaire. Avec un avantage précieux : aucune connaissance préalable n'est nécessaire.
D'une durée moyenne d'une heure et demie, l'atelier «art nature» peut s'organiser autour d'une grande table. Certains se lancent dans la création en solo quand d'autres préfèrent former des tandems. Dans les trois ateliers pilotes, la bonne ambiance et le plaisir partagé ont été au rendez-vous.
Et les légumes se sont révélés du matériel de choix grâce à leur variété de formes, de couleurs mais aussi leur diversité en fonction des saisons. Mais surtout, les résidents n'ont pas hésité à tailler les légumes car rien n'est perdu : les morceaux délaissés par l'artiste sont utilisés pour... la soupe !
Marc Pouyet /MARPA/Fondation Louis-Bonduelle
Atelier « cuisine »
Cet atelier, mené par un chef cuisinier, Julie Coppé, se divise en deux temps : un temps de stimulation des sens et un temps de pratique culinaire.
Tout commence par un jeu autour de l’odorat etdu goût. Ils vont être sollicités de façon originale pendant une vingtaine de minutes. Les résidents installés autour d'une table devront reconnaître différents aliments, provenant soit d'une mallette créée par la Fondation Louis-Bonduelle soit des cuisines de la Marpa, grâce à leurs sens. Café, chocolat noir, fromage, clémentine, banane, eau de fleur d’oranger, saucisson, cornichons, betterave rouge, rhum, guimauve, qui saura les débusquer ? Pas forcément évident quand on a les yeux bandés !
En quoi consiste cette opération ?
Une alimentation de bonne qualité nutritionnelle, où fruits, légumes et protéines ont une place privilégiée dans le menu, contribue au bien vieillir. Mais manger est également un acte social et les conditions dans lesquelles se déroulent les repas sont essentielles. La Fondation Louis-Bonduelle a déjà mis en évidence cet aspect de l'alimentation dans ses études sur les comportements alimentaires. Elle a élaboré des outils de sensibilisation et des actions de terrains innovants pour répondre à ces problématiques. Des problématiques que vivent au quotidien les professionnels des Maisons d'Accueil Rurale pour Personnes Agées (MARPA).
C'est ainsi qu'un partenariat a été noué entre la Fondation Louis-Bonduelle et la Fédération Nationale des MARPA. Partenariat qui a donné naissance à un programme destiné aux résidents des MARPA. Valoriser la personne âgée, éveiller la curiosité, ouvrir l’imaginaire, stimuler le goût et l’odorat, partager un moment convivial, communiquer ses connaissances culinaires, favoriser le sentiment de bien-être, maintenir ou créer des liens sociaux et intergénérationnels… sont les objectifs ambitieux de ce programme inédit.
Testé en 2011 et au printemps 2012 dans trois MARPA pilotes, le projet s’étendra en Franc e à partir du mois de juin grâce à l'envoi de kits dans toutes les Marpa du réseau national. Développés par la Fondation Louis-Bonduelle avec l'aide de la spécialiste en jeux ludo-éducatifs Brigitte Cicchini, ces kits contiennent à la fois des outils pratiques et théoriques. Les outils pratiques, comme le matériel de cuisine ou de petits ustensiles spécifiques à l'animation tel un bandeau pour couvrir les yeux, permettent de mener l'animation. Les outils théoriques, comprenant un dossier pédagogique et des fiches, sont destinés aux animateurs et personnels de la structure qui pourront ainsi s'approprier les ateliers. A chaque fois qu'elle met en place une action de terrain (voir encadré), la Fondation Louis-Bonduelle tient en effet via un référentiel le plus complet possible à permettre aux structures une véritable autonomie dans la réalisation des animations.
Chaque structure peut organiser l'animation quand et comme elle l'entend .Par exemple elle peut dissocier les deux ateliers, ce qui permet d'assurer la pérennité de cette opération.
Les Marpa, des lieux de vie à taille humaine
Les Marpa accueillent comme à domicile, dans le confort et la sécurité, des personnes âgées fragilisées, autonomes ou en perte d’autonomie, qui ne peuvent ou ne désirent plus rester chez elles. Au sein d'une petite unité de vie, qui ne compte jamais plus de 24 résidents, les personnes âgées disposent de logements indépendants de plein-pied avec une entrée privative. En somme, elles sont véritablement chez elles et mènent la vie qu'elles désirent.
La Fondation Louis-Bonduelle sur le terrain
Depuis 2004, la Fondation Louis-Bonduelle contribue à faire évoluer durablement les comportements alimentaires en plaçant les légumes et leurs bienfaits au centre de son action. Son programme s’articule autour de trois piliers : informer et sensibiliser, soutenir et aider la recherche, agir sur le terrain.
La Fondation Louis-Bonduelle apporte son expertise nutrition à un réseau national qui s'adresse à des publics cibles.
les enfants : on compte plusieurs opérations à leur destination comme «Les robins du potager» en France, «Het Groente & Fruit Lab»au Benelux, «Orto in Condotta»en Italie
les jeunes adultes : l’opération «Légumes2000»a permis de faire évoluer les comportements des étudiants face aux légumes grâce à des outils adaptés, au ton décalé.
les populations précaires : l'opération «La ronde des légumes», lancée par le Secours populaire français et la Fondation Louis-Bonduelle, consiste en une série d’ateliers ludo pédagogiques conçus pour faire découvrir aux familles en difficulté comment manger davantage de légumes sans grever son budget, sans bouleverser ses habitudes alimentaires et en se faisant plaisir.
www.fondation-louisbonduelle.org
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