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La vaccination une nouvelle fois au cœur des polémiques... Une situation qui ne peut que perturber les patients les plus fragiles, qui ne savent plus trop qui croire et que faire... Il est temps qu'une position claire accompagnée de recommandations sérieuses soit publiée et diffusée largement! |
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DERNIERE MINUTE : OBLIGATION
VACCINALE
Protéger sans contraindre, c’est possible
L’Académie nationale de médecine
et le Conseil National de l’Ordre des Médecins rappellent que la vaccination
est le moyen le plus efficace pour assurer la protection de nos concitoyens
contre certaines maladies contagieuses, à titre à la fois individuel et
collectif.
Trois
vaccins sont actuellement obligatoires en France (diphtérie, tétanos, poliomyélite) et ne couvrent qu’une
faible partie des risques infectieux encourus sur notre territoire. Tous les
autres vaccins sont « recommandés », alors qu’ils protègent contre des maladies à prévalence élevée
et à fort impact en santé publique. Des maladies comme l’hépatite B, les
infections à papillomavirus oncogènes en cause dans le cancer du col de
l'utérus, notamment, ou bien les méningites à méningocoques pour lesquelles la
vaccination est seulement recommandée, ont paradoxalement un bilan plus lourd
que des maladies pour lesquelles la vaccination est obligatoire. L'actualité récente a rappelé également
que des maladies devenues rares, comme la rougeole, voire en voie de
disparition, comme la diphtérie ou le tétanos, peuvent encore survenir,
entraînant de graves séquelles, sinon des décès, lorsque la couverture
vaccinale est insuffisante.
En savoir plus: http://pressentinelle2.blogspot.fr/2016/01/obligation-vaccinale-trouvons-un-chemin.html
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COMMUNIQUE DE
PRESSE
Lundi 11
janvier 2016
Michèle RIVASI (députée européenne,
vice-présidente du Groupe Verts / ALE,
Agrégée en
biologie)
Remise du rapport
Hurel
VACCINS :
Pour un vrai débat
public pluraliste
7
propositions pour restaurer la confiance dans la
population
Le vaccin est aujourd'hui sur la sellette. L'érosion
de la confiance (dans la population, mais aussi dans le corps médical)
s'explique notamment par les deux retentissants scandales des campagnes
vaccinales contre l'hépatite B et la grippe H1N1 ces dernières années, les
révélations de collusions public / privé au niveau de l'expertise et des
autorités sanitaires en France, les doutes pesant sur les risques sanitaires des
adjuvants ou excipients présents dans les vaccins (sels d'aluminium, mercure…),
la sous-évaluation volontaire des risques et les dérives commerciales du vaccin
devenu un jackpot pour les laboratoires pharmaceutiques en panne
d'innovation.
Par
ailleurs, le tribunal correctionnel d'Auxerre a condamné, le 7 janvier, à deux
mois de prison avec sursis les époux Larère, poursuivis depuis 2014 pour ne pas
avoir vacciné leur fille de trois ans contre la diphtérie, le tétanos et la
poliomyélite. Ce vaccin DT-polio est obligatoire en France mais introuvable en
pharmacie en raison d'une pénurie organisée. Cette criminalisation des parents
récalcitrants est scandaleuse.
Dans ce contexte, la Ministre de la Santé Marisol
Touraine a confié à Sandrine Hurel la rédaction d'un rapport relatif à la
politique vaccinale en France dont les conclusions doivent être rendues
publiques demain. Nous en attendons une transformation de cette politique
vaccinale. Celle-ci doit notamment intégrer le principe de précaution inscrit
dans le préambule de notre Constitution et mettre fin à l'emprise de l'industrie
pharmaceutique.
Marisol
Touraine s'est également engagée à organiser un débat public sur les vaccins en
France. Pour nourrir ce débat qui doit être mené de manière transparente et doté
d'une organisation permettant la pleine participation de tous les acteurs, 7
revendications sont incontournables :
· METTRE FIN AUX CONFLITS D'INTERETS PAR LA
MISE EN PLACE D'UN POLE D'EXPERTISE INDEPENDANT
· RENFORCER LA
PHARMACOVIGILANCE
· RENFORCER
LA RECHERCHE PUBLIQUE
· EN FINIR
AVEC L'OBLIGATION VACCINALE
·
REMETTRE SUR LE MARCHE UN DTPolio sans aluminium
· ADOPTER UN MORATOIRE SUR LE
GARDASIL
· RECONNAITRE LES
VICTIMES DES VACCINS ET LES INDEMNISER
Ces exigences s'inscrivent dans le débat public
recommandé en septembre 2014 par le Haut Conseil de la Santé Publique (HSCP),
que nous espérons voir mené par le CNDP.
La perte de confiance envers les vaccins marque la
fin d'une époque : celle de la sacralisation de la parole des « sachants ».
Finie l'époque où les français déléguaient aveuglément leur santé à leur
médecin. Nous sommes maintenant dans une relation plus égalitaire entre le
médecin et son patient, celui-ci ayant accès plus facilement à l'information
scientifique. L'échange que cela permet est la garantie d'un choix éclairé dont
on est peu habitué dans le domaine de la vaccination.
Il ne faut pas craindre le débat sur la politique
vaccinale française ! La Ministre de la Santé ne peut plus affirmer d'un ton
péremptoire : « la vaccination, cela ne se discute pas ». Il faut faire
confiance à l'intelligence collective, à la capacité de compréhension des uns et
des autres, loin des oukases de l'ancien temps !
Car comment ne pas être favorable à la
vaccination quand on connaît les ravages du passé causés par la polio, le
tétanos, la diphtérie ? Au XXe siècle, les vaccins ont permis, avec
l'amélioration des conditions de vie et d'hygiène et l'usage des antibiotiques,
de fortement diminuer la mortalité infantile et d'éradiquer certaines maladies
infectieuses. L'adhésion populaire a été immédiate, car le vaccin était un
produit de santé.
Il est
malheureusement devenu, depuis les années 80, un produit essentiellement
marchand, ce qui a généré (et génère toujours) de nombreuses dérives qui ont
alimenté la méfiance de nos concitoyens.
Restaurer la confiance par un vrai débat public,
voilà l'urgence.
COMMUNIQUE
DE PRESSE
Mardi 12 janvier
2016
Michèle
RIVASI
(députée européenne, vice-présidente du Groupe Verts /
ALE, Professeure Agrégée en
biologie)
PLAN D'ACTION POUR LA RENOVATION DE LA POLITIQUE
VACCINALE : QUELQUES AVANCéES, BEAUCOUP
D'OUBLIéS
La Ministre de la Santé Marisol Touraine a présenté ce
matin son plan d'action de rénovation de la politique des vaccins en France
suite à la remise du rapport de Sandrine Hurel.
Nous ne pouvons que nous féliciter
:
- d'une
attention gouvernementale à lutter contre l'opacité de la politique vaccinale en
renforçant notamment la pharmacovigilance et la remontée des effets
indésirables.
- de la
lutte contre les pénuries organisées de vaccins (et nous pensons en l'espèce au
DTPolio) via la mise en place de plans de gestion des
pénuries.
- du
lancement d'une grande concertation publique au sujet de la vaccination en
France que nous réclamions depuis des années.
- du renforcement de la recherche publique sur les
vaccins.
Cependant,
un grand nombre de dérives de l'industrie pharmaceutique concernant les vaccins
sont passées sous silence :
- rien est dit sur les conflits d'intérêts (au sein du
Comité technique des vaccinations notamment) qui polluent la balance bénéfices /
risques. Le rattachement du CTV à la HAS n'est certainement pas un gage d'une
meilleure transparence d'ailleurs.
- aucune garantie n'est posée pour assurer une parfaite
transparence et neutralité du débat public et de la concertation citoyenne qui
doit s'ouvrir. Pourquoi ne pas faire confiance au seul jury citoyen formé à la
question pour mener cette concertation. Y accoler un jury de professionnels de
santé et d'experts scientifiques est un dévoiement de la conférence citoyenne
mise en place dans un grand nombre de pays sur les grands sujets de
société.
- à aucun
moment dans son discours la Ministre ne reconnaît les scandales sanitaires et
les doutes pouvant frapper la politique des vaccins en France. Elle préfère
parler de "manipulation" et de "désinformation" et d'arguments irrationnels
lorsqu'il s'agit pourtant d'alertes scientifiques
avérées.
Enfin, ont
été oubliées nos revendications de remettre sur le marché un DTPolio sans
aluminium (comme Marisol Touraine s'y était engagée en 2012) et un moratoire sur
le vaccin Gardasil si controversé. La reconnaissance des victimes des vaccins et
leur nécessaire indemnisation ont aussi été
ignorées.
Puisse ce
débat public permettre de mettre en avant toutes les craintes concernant les
vaccins dans le but de restaurer la confiance de la population. La question de
l'obligation vaccinale ne doit pas être au coeur des débats mais seulement l'un
des sujets.
Nous serons
extrêmement vigilants aux conditions d'organisation de la concertation publique
à venir et refuserons de servir d'alibi à un débat sous influence de la
Big-Pharma.
Nous
réitérons notre souhait que ce soit la Commission nationale du débat public
(CNDP) qui mène ce grand débat public.
Soulignons que
cette position est loin de faire l’unanimité chez les professionnels de santé,
comme chez une grande majorité de patients d'ailleurs...
Pour sa part
l’Académie de médecine ne devrait pas manquer de livrer son sentiment sur le
sujet lors de sa conférence du 2 février prochain.
POUR INFORMATION
COMMUNIQUE DE
PRESSE du 12 janvier 2016
Marisol TOURAINE engage
un plan d’action pour la rénovation de la politique
vaccinale
Marisol TOURAINE,
ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, a engagé
aujourd’hui un plan d’action pour la rénovation de la politique vaccinale, à la
suite de la remise du rapport de l’ancienne députée Sandrine HUREL. Décliné en
4 axes, ce plan d’action poursuit un objectif clair : agir, auprès des
particuliers, des professionnels de santé et des industriels, pour renforcer la
confiance dans la vaccination.
Construit sur la
base des recommandations de Sandrine HUREL, ancienne députée, chargée par le
Premier ministre d’une mission sur la politique vaccinale, le plan d’action pour
la rénovation de la politique vaccinale présenté aujourd’hui par Marisol
TOURAINE propose 4 axes d’intervention : informer, coordonner, sécuriser
l’approvisionnement et débattre.
1 –
Informer : assurer une meilleure information du grand public et des
professionnels de santé
·
Publication
d’un bulletin trimestriel à destination des professionnels de
santé ;
·
Création d’un
« Comité des parties prenantes », sous l’égide de la direction générale
de la santé (DGS) composé de professionnels de santé, d’associations d’usagers
et d’institutionnels, pour mieux comprendre les réticences éventuelles et
anticiper les situations de crise ;
·
Accélération
de la mise en œuvre du carnet de vaccination électronique, entièrement
personnalisé, pour améliorer le suivi du statut vaccinal des
patients.
·
Mise en place
d’un site Internet dédié par la future « Agence nationale de santé
publique » (ANSP) ;
2 –
Coordonner : assurer une meilleure gouvernance de la politique
vaccinale
·
Formalisation, sous l’égide de la DGS, des échanges
entre le ministère, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits
de santé (ANSM) et l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux
(ONIAM) pour améliorer les connaissances sur les effets
indésirables ;
·
Rattachement du Comité technique des
vaccinations (CTV) à la Haute autorité de santé (HAS) pour unifier les instances d’expertise
et renforcer son indépendance.
·
Soutien à
la recherche sur les vaccins et le développement de solutions
facilitant et fiabilisant leur production, en lien avec le ministère chargé de
la recherche.
3 – Sécuriser
l’approvisionnement : lutter contre les tensions d’approvisionnement et les
pénuries de vaccins
·
Obligation
pour les industriels produisant des vaccins inscrits au calendrier vaccinal de
mettre en place des plans de gestion des pénuries (constitution de stocks réservés au
territoire national, mise en place de chaînes alternatives de fabrication des
vaccins et identification de différentes sources d’approvisionnement en matières
premières). Ces obligations sont assorties de sanctions en cas de non respect
(mesure votée dans le cadre du projet de loi de modernisation de notre système
de santé) ;
·
Simplification des autorisations
d’importation, notamment
via l’harmonisation des conditionnements, afin de pallier un éventuel manque de
vaccins en France.
La Ministre
réunira par ailleurs, avant la fin du mois, les industriels ainsi que le
comité vaccination du LEEM, pour qu’ils lui remettent des propositions pour
empêcher toute rupture d’approvisionnement des vaccins inscrits dans le
calendrier vaccinal et assumer ainsi leurs
responsabilités.
4 –
Débattre : lancer une grande concertation citoyenne sur le sujet de la
vaccination
La concertation
citoyenne sera organisée en trois temps tout au long de l’année 2016, par un
comité d’orientation qui sera présidé par une personnalité qualifiée, Alain
FISCHER, Professeur en immunologie pédiatrique et titulaire de la chaire
Médecine expérimentale au Collège de France :
·
L’expression des opinions. Dès le mois de
mars, une plateforme web
recueillera les contributions citoyennes, professionnelles, associatives,
institutionnelles. A partir du mois de mai, un jury de citoyens, un jury
de professionnels de santé et un jury d’experts scientifiques analyseront ces
contributions en n’écartant aucune des questions de fond que se posent les
Français. Faut-il maintenir une différence entre les vaccins obligatoires, d’une
part, et les vaccins recommandés, d’autre part ? Quelle perception du
bénéfice/risque individuel ? Quelle acceptation du risque lié à la vaccination
ou à la non-vaccination
·
L’échange. Au mois d’octobre, un débat
public national permettra d’échanger sur les avis des jurys et le contenu des
contributions citoyennes.
·
Les
propositions. Sur la
base de l’ensemble des contributions recueillies, le comité d’orientation
formulera dès décembre 2016 des conclusions sur l’évolution de la
politique vaccinale.
« Se vacciner,
c’est un droit individuel, mais c’est aussi un devoir collectif. Se vacciner,
c’est se protéger, mais c’est aussi protéger les autres et en particulier les
plus fragiles. », a
déclaré Marisol TOURAINE.
HÉPATITES VIRALES
Les progrès thérapeutiques ne doivent pas occulter la
priorité vaccinale
Communiqué de presse de l’Académie de Médecine du 12 janvier 2016
Les hépatites virales sont cosmopolites et représentent un fardeau
considérable justifiant des recherches fondamentales et cliniques, qui ont
connu dans les dernières décennies un essor sans précédent, permettant
d'envisager une élimination à terme de ce fléau responsable de plus d'un
million de décès par an dans le monde et à l'origine, avec le carcinome
hépatocellulaire, du cinquième cancer le plus fréquent.
La prévention
vaccinale s’étend aux 5 virus
Disponible depuis plus de 30 ans, la vaccination contre
le VHB est le moyen de plus efficace pour éliminer progressivement l’hépatite B
et l’hépatite D. Contre le VHA, un vaccin inactivé très efficace permet
depuis une vingtaine d'années
d’immuniser les enfants et les adultes à risque. Contre le VHE, un vaccin recombinant est homologué et commercialisé depuis 2011 pour les personnes à risque
de plus de 16 ans, mais seulement en Chine. Contre le VHC,
enfin, des résultats prometteurs ont été obtenus dans le cadre du projet
Hepatibivax à Tours avec un candidat vaccin bivalent combinant les protéines
d’enveloppe du VHB et du VHC.
On va pouvoir
guérir les hépatites chroniques
Dans le cas de l’hépatite B, le traitement permet
actuellement d’arrêter la réplication du virus et d’empêcher la maladie
hépatique de progresser, mais il faut développer de nouvelles molécules pour
éradiquer le virus avant l’âge de 50 ans et envisager la guérison complète. Les
progrès sont beaucoup plus spectaculaires dans le traitement de l’hépatite C
avec l’utilisation combinée des antiviraux d’action directe qui ciblent
différents mécanismes de la réplication virale, entraînant l’éradication du VHC
et la guérison dans plus de 95% des cas.
Pionnière dans les
différentes méthodes de contrôle des hépatites virales, la France a
paradoxalement la population la moins bien protégée du fait de polémiques
infondées contre la vaccination, comme vient de le démontrer, en juin
dernier, le non-lieu requis par le
parquet de Paris dans l'enquête sur le vaccin
contre l'hépatite B, faute de lien établi entre la prise du vaccin et le
déclenchement de certaines pathologies neurologiques.
L'Académie nationale de
médecine se félicite des progrès thérapeutiques mais considère que, ne
serait-ce que du fait de leur coût très élevé, la vaccination reste la solution
la plus efficace pour envisager l'élimination du fléau mondial que représentent
les hépatites aiguës et chroniques. C'est pourquoi, elle recommande :
- d’améliorer l’application des recommandations
vaccinales contre l’hépatite B et de poursuivre le rattrapage de cette
vaccination jusqu’à l’âge adulte afin de
limiter la perte de chance vis-à-vis du risque de cirrhose et de cancer du foie
aux âges exposés à un risque maximal d’infections ;
- de mettre en œuvre une
véritable politique de dépistage
des porteurs du VHB et du VHC, l’efficacité des
traitements actuellement disponibles permettant d’envisager la suppression de
ce réservoir. On estime en effet que 55% et 40% de personnes infectées
respectivement par le VHB et par le VHC en France ignorent leur statut.
Mardi 2 février
14h30 Conférence
sur la vaccination Organisée par François BRICAIRE et Yves BUISSON
« Vaccinations
» Introduction
par François BRICAIRE (membre de l’Académie nationale de médecine)
Communications
• « Les Français
face à la vaccination » par Jocelyn RAUDE (EHESP - Département
SHSCS Rennes et
Montréal)
• « Les maladies
auto-immunes et les vaccinations » par Thomas HANSLIK
(Médecine interne,
Hôpital Ambroise Paré, Boulogne-Billancourt)
• « Et si l’on
cessait de vacciner ? » par François BRICAIRE (membre de
l’Académie
nationale de médecine)
• «
Pharmacovigilance des vaccins en France » par Jean-Louis MONTASTRUC
(membre de
l’Académie nationale de médecine)
Conclusion par
Yves BUISSON (membre de l’Académie nationale de médecine)
Académie de
médecine 16 Rue Bonaparte, 75006 Paris
Contact :
Nicole Priollaud
nicole.priollaud@wanadoo.fr
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