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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
samedi 9 mai 2020
Ça bouge à Paris 17ème...
Caméra embarquée dans Paris confiné: balade dans le 17ème arrondissement Du jardin des Batignolles à la place de Clichy et au Palais des Congrès en passant par les abords cossus du Parc Monceau, le 17ème... | ||||
Prime exceptionnelle versée aux professionnels des secteurs sociaux et médicaux sociaux
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Point d'actualité sur les masques
vendredi 8 mai 2020
Si vous habitez Paris 17ème, cette info est susceptible de vous interesser...
Jeudi 07 mai 2020 À partir du 11 mai, votre mairie vous accueille du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et 13h30 à 16h. LES SERVICES DE VOTRE MAIRIE de la Mairie du 17ème arrondissement pour recevoir sur votre boîte mail les informations.
(16-20 Rue des Batignolles, 75017 Paris) mairie17.paris.fr |
jeudi 7 mai 2020
Live du 1er ministre
https://www.pscp.tv/w/cYK-OTFEWktvZXl3WnlKRWF8MXlOeGFRQmdCcHF4an9Lq_RZ66cw0Z5GTUCvIm8eacftN_l0MOwg7F-oHGi-
Alerte info: des masques gratuits pour certaines categories de population...
mercredi 6 mai 2020
Alerte info : Unesco
Avis aux médias de l’UNESCO n°2020-33
« Imaginer le monde à venir » : perspective africaine sur l’avenir du continent après la pandémie
Paris, le 6 mai—L’UNESCO organise le 7 mai de 14h à 16h30, heure française (TU+2), une réunion en ligne d'intellectuels, de responsables du changement et de personnalités culturelles pour faire le point sur les implications socioculturelles de la pandémie de COVID-19 sur l'avenir des sociétés du continent africain.
Organisée avec la participation de Kwesi Quartey, Vice-Président de la Commission de l'Union africaine, et d'Audrey Azoulay, Directrice générale de l'UNESCO, la réunion vise à développer une analyse prospective interdisciplinaire de l'impact de la crise sanitaire actuelle sur le continent, avec des contributions d'experts dans les domaines de la philosophie, de la sociologie, de l'histoire, de la littérature et des sciences politiques.
L’échange s'inscrit dans le cadre d'une entreprise à plus long terme de l'UNESCO, intitulée « Imaginer le monde à venir », qui vise à servir de laboratoire d'idées pour aider les sociétés à répondre en connaissance de cause aux défis mondiaux et régionaux.
La réunion s'appuiera également sur la participation de représentants d'organisations multilatérales, dont l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et le Commonwealth.
Le public pourra poser des questions aux participants via un dialogue en ligne. Les débats feront l’objet d’une synthèse qui sera publiée et partagée le plus largement possible à travers les réseaux de l’UNESCO et de ses partenaires.
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Programme et liste des participants : https://fr.unesco.org/covid19/aftermath-africa
Lien pour accéder au webinaire : http://webcast.unesco.org/live/floor
Traçage Codiv-19
Covid-19, traçage épidémiologique et éthique médicale
Communiqué de l'Académie nationale de Médecine
5 mai 2020
La phase de sortie de confinement, qui sera progressivement mise en place dans quelques jours, devra être surveillée avec la plus grande vigilance pour détecter toute résurgence éventuelle de l'épidémie de Covid-19.
Le projet législatif prorogeant l'état d'urgence sanitaire prévoit la création d'un système d'information spécifique « aux seules fins de lutter contre l'épidémie de Covid-19 »[1]. Des données d'identification sur les personnes infectées et leurs contacts pourront y être partagées. Il est également envisagé d'adapter les systèmes d'information existants pour le temps nécessaire à la lutte contre l'épidémie, ou au plus tard pour un an à compter de la publication du texte de loi, les données ainsi collectées ne pouvant être conservées au-delà de ce terme.
Ce nouveau système d'information aurait pour finalité l'identification des personnes infectées et des personnes ayant été à leur contact, leur mise en quatorzaine et leur suivi médical. Le texte cite les autorités impliquées dans cette surveillance épidémiologique qui pourront avoir accès aux « seules données nécessaires à leur intervention », notamment les agences régionales de santé ou encore « un organisme d'assurance maladie ».
Au plan épidémiologique, un tel suivi des personnes infectées ou à risque d'infection peut être efficace puisqu'il permettra de réaliser, outre le suivi médical des personnes infectées, le dépistage et l'isolement des personnes pouvant avoir été contaminées à leur contact.
Mais il faut souligner que le dispositif proposé porte atteinte à deux droits fondamentaux : d'une part, il permet la circulation de données personnelles de santé, « le cas échéant hors le consentement des intéressés », créant une exception à la libre volonté des personnes ; d'autre part, il introduit une nouvelle dérogation au secret médical. Or, le secret médical est un principe majeur du droit des personnes, une composante de la dignité humaine et du respect de la vie privée, un élément fondamental de la relation de confiance médecin – malade.
L'état d'urgence sanitaire peut-il justifier une mesure d'exception qui bafoue deux droits majeurs de notre système de santé ? Une telle démarche n'est envisageable que si elle est proportionnée aux risques encourus. Plusieurs conditions d'ordre éthique et juridique devront alors impérativement être garanties :
- une large communication devra précéder la mise en œuvre de ce dispositif, avec une information précise, factuelle, compréhensible par tous et loyale sur les systèmes d'information mis en place et le circuit de transmission des données nominatives ;
- il devra être possible pour toute personne informée de son infection Covid-19 de s'opposer à la transmission des informations le concernant, sans que ce choix n'ait de conséquence sur sa propre prise en charge médicale ;
- toutes les données transmises pour exploitation devront se limiter strictement à ce qui sera nécessaire pour la lutte contre l'épidémie et être protégées par un code d'anonymat ;
- les autorités et les salariés ayant accès à ces informations seront précisément listés, chacune de ces personnes n'ayant accès qu'aux seules données utiles à son intervention ;
- toute personne entrant ainsi en possession d'informations nominatives sur les patients infectés sera tenue au plus strict respect du secret professionnel ;
- les systèmes d'information créés devront être hautement protégés et fonctionner pendant une durée limitée, ne devant en aucun cas excéder le temps nécessaire à la lutte contre l'épidémie ; un terme maximum devra être énoncé ;
- toutes mesures devront être prises afin qu'aucune des données nominatives ainsi collectées ne soit conservée après ce terme.
Sous réserve du respect absolu de ces 7 prérequis, l'Académie nationale de Médecine :
– donne un avis favorable à la mise en place temporaire d'un système d'information et à l'adaptation temporaire de systèmes d'information existants, visant au contrôle de l'épidémie de Covid-19 ;
– recommande une évaluation en cours et terminale pour vérifier la stricte observation de ces sept conditions et pour s'assurer que le caractère temporaire de cette autorisation, fixé par une date butoir, a évité toute pérennisation.
[1] Sénat, Projet de loi prorogeant l'état d'urgence sanitaire et complétant ses dispositions, n° 414, 2 mai 2020
CONTACT PRESSE :
Virginie Gustin : +33 (0)6 62 52 43 42 | virginie.gustin@academie-medecine.fr
Codiv-19 : le saviez-vous ?
Une évolution nécessaire pour faire face à cet environnement qui influencera leur quotidien professionnel plusieurs mois encore, et répondre à leur principale interrogation « comment va-t-on faire ? ».
Dans ce contexte, le rôle du référent-covid-19 sera de faciliter la mise en place de nouvelles routines et pratiques pour atteindre les objectifs et le résultat attendu.
Isokan Formation - spécialisé dans l'évolution des systèmes de production, s'est associé avec François Chevaliez, expert en relation client, pour construire un dispositif complet de formation et d'accompagnement Référent Covid-19.
Contact :
Stéphane Roquet - Stephane@isokan.com - 06.50.18.79.38.
Lire le communiqué de presse sur Internet
op20200423053803
Codiv-19 : Bon à savoir...
Le secteur de la santé est évidemment en première ligne. Certains hôpitaux sont surchargés et, en cas de symptômes, il ne faut surtout pas aller aux urgences pour éviter de saturer le système et de propager le virus.
Les cas dans lesquels joindre les pompiers sont aussi limités.
En parallèle, se rendre chez le médecin généraliste est loin d'être évident.
Alors comment faire pour bénéficier quand même des conseils, des soins et du suivi apportés par un médecin compétent ?
DocteurSecu est une toute nouvelle plateforme de téléconsultation, très innovante, qui permet de consulter un médecin en ligne directement via un smartphone ou un ordinateur.
Lancée en octobre 2019 à Marseille, la plateforme permet de démocratiser l'accès aux médecins en toute sécurité : ils sont tous diplômés en France et inscrits à l'Ordre des Médecins.
Souhaiteriez-vous une démonstration de https://www.docteursecu.fr
Contact :
Loïc PETITPREZ - loic.petitprez@docteursecu.fr - 07 83 31 14 07.
Lire le communiqué de presse sur Internet
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Le coup de griffe de Jacques Draussin
Infolettre n° 380 mardi 5 mai 2020 | |
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur- | |
11 mai, jour de coiffinement A condition d’être bien sage [en langage gouvernemental, faire preuve de responsabilité individuelle], la date magique du 11 mai devrait être celle du tant attendu déconfinement. Ce marché, mâtiné de chantage à peine voilé, est largement conditionné par une persistance de la tendance à la baisse du nombre de lits de réanimation occupés par des malades du Covid-19. Si la carte de France continue à tirer sur le vert, nous pourrons donc, après 8 semaines d’assignation à résidence, nous livrer enfin à l’activité plébiscitée selon les sondages par une très large majorité de têtes échevelées. Aller chez le coiffeur. Du moins pourrons-nous espérer pouvoir le faire car les files d’attente dans les salons de capilliculture s’annoncent infiniment plus longues que dans celles des cabinets médicaux de ville, toujours désertés depuis le 17 mars. Seul[e]s les habitué[e]s auront le privilège d’obtenir dans un délai plus ou moins lointain une consultation chez leur coiffeur comme, avant la crise, d’en obtenir une chez leur généraliste. La qualité de coiffeur traitant va sans doute devoir se substituer à celle de médecin traitant. Les malheureux alopéciques chroniques n’auront plus que la possibilité de sortir sans avoir à remplir pour la 57ème fois une case de leur odieuse « attestation de déplacement dérogatoire ». Ils auront ainsi tout loisir de poiroter des heures dans une autre file, devant un bureau de tabac, une pharmacie ou mieux, devant un hypermarché pour ramener à la maison un plein caddy de masques taillés dans des slips de bain chinois. Une denrée jusqu’ici Ô combien précieuse qui ira séance tenante rejoindre dans le placard le stock de papier toilette acquis de haute lutte en mars et pourtant à peine entamé pour cause de paresse intestinale [l’inactivité n’a pas que des conséquences néfastes sur le système vasculaire et l’indice de masse corporelle...]. Pour le reste, finalement peu de changements à prévoir dans l’immédiat : télétravail prolongé, enfants préservés à domicile de la si redoutée promiscuité scolaire, pas de week-ends à la mer ou à la campagne, pas de petits restos, de café au bistrot, pas de fêtes de famille ou de copains, pas de ciné ou de théâtre... Pour profiter de tout cela, il faudra encore attendre. Combien de temps ? Mystère, boule de gomme et Covid-19. Jusqu’à nouvel ordre et contre-ordre, le 11 mai est donc au mieux reporté au 2 juin et les vacances d’été à l’automne. Bref, le 11 mai, #RestezChezVous puisque de toute façon, il n’y a pas grand-chose d’autre à faire. A part aller chez le coiffeur bien sûr. Jacques DRAUSSIN | |
Lettre d'information du programme PASS
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