MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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dimanche 19 juin 2022
dimanche 12 juin 2022
jeudi 12 janvier 2017
vendredi 14 mars 2014
Le
Marché Pharmaceutique dans le Monde et en France : Analyses et Perspectives
Les marchés émergents continuent à tirer la croissance
mondiale. La France enregistre sa 2ème année de baisse sur le marché de ville.
mercredi 5 mars 2014
Résultats de l'enquête JNA 2014 "Les acouphènes et l'hyperacousie"
Résultats
de l'enquête JNA - IPSOS - Crédit Agricole : "Acouphènes et
hyperacousie" présentés lors de la Conférence
de Presse qui s'est tenue le 4 mars dernier.
En
savoir plus
Communiqué
de presse de la campagne
2014.
vendredi 13 décembre 2013
Résultats étude Ifop/UPSA : Petits maux de l’hiver : 32% des Français ont peur de contaminer leurs enfants et leurs proches
Petits maux de l’hiver :
32% des Français ont peur de contaminer
leurs enfants
et leurs proches¹
Résultats de l’étude Ifop / UPSA1
Froid,
manque de soleil, fatigue… L’hiver pointe son nez et les microbes ne sont pas
en reste. Difficile de passer le cap sans avoir le nez qui coule, les yeux
larmoyants, la gorge qui pique. D’après une étude Ifop / UPSA¹, seuls 16% des
Français affirment tomber systématiquement malade en hiver¹ et pourtant ils
sont nombreux à avoir des appréhensions. Pour ne citer qu’un exemple, ils sont
plus de 32% à avoir peur de contaminer leurs enfants et leurs proches1.
Comment
éviter les petits maux de l’hiver ? Quelles astuces les Français emploient-ils
pour éviter d’être contaminés par les microbes? 64% des personnes interrogées
affirment se couvrir chaudement pour mieux se protéger du froid¹, 40% se lavent
davantage les mains¹, 25% utilisent un remède de grand-mère¹ et 23% font une
cure de vitamine C¹.
Près d’1 Français
sur 4 appréhende de ne pas pouvoir aller travailler lorsqu’il est malade en
hiver¹
Nez qui coule, fièvre, maux de gorge, fatigue… Être malade
en hiver est loin d’être agréable même s’il ne s’agit que de petites maladies
bénignes. Les résultats de l’étude Ifop / UPSA¹ révèlent que, 35% des Français, au total, craignent
que leur pathologie traîne à cause du froid¹ ; 32% ont peur de contaminer
leurs enfants ou leurs proches¹, 31%, au total, pensent qu’ils ne pourront pas
effectuer les tâches quotidiennes¹ et 23%, au total, appréhendent de ne pas
pouvoir aller travailler¹.
Le froid,
principal facteur responsable des maux en hiver¹
Pourquoi
attrape-t-on plus de maladies en hiver que le reste de l’année ? Notre système
immunitaire est-il soumis à plus rude épreuve à cette période ?
Pour 34% des Français, le froid est le
principal facteur expliquant que l’on tombe davantage malade en hiver¹ ; suivi de la contagion au
travail (12%)¹, la promiscuité dans les transports en commun (11%)¹ et enfin la
contagion à la maison (9%)¹.
Comment donc
passer au travers des microbes ? Quelles astuces emploient les Français pour
passer un hiver sans encombre ?
® 64% des
personnes interrogées se couvrent bien pour éviter
de prendre
froid¹
40% se lavent plus souvent les
mains¹
30% mangent beaucoup de fruits
et légumes¹
25% utilisent un remède de
grand-mère tel qu’une tisane, un grog….¹
12% prennent des médicaments
en automédication pour prévenir les maladies¹
6%
chauffent plus leur logement¹.
Les séniors* s’estiment moins sensibles
aux microbes en hiver
Rhinopharyngite, rhume, toux,
fièvre, états grippaux…. Même si 84% des Français affirment avoir déjà passé un
hiver sans tomber malade¹, seulement 16% des personnes interrogées n’y
échappent pas chaque hiver¹.
D’après l’étude Ifop / UPSA¹, les seniors apparaissent
comme les personnes les moins promptes à être atteintes de maux en hiver. 51%
d’entre eux déclarent avoir passé de nombreux hivers sans être malade (contre
35% en moyenne)¹.
En revanche, les femmes âgées de
moins de 35 ans semblent être plus sensibles aux microbes : un tiers d’entre
elles n’a jamais passé un hiver sans tomber malade¹.
1 Etude
réalisée par l’Ifop pour UPSA auprès d’un échantillon de 1 014 personnes -
représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus – par
questionnaire auto-administré en ligne. Du 18 au 20 septembre 2013.
*Les séniors représentent ici
les Français de 65 ans et +.
lundi 2 décembre 2013
ADF 2013 : Le chirurgien-dentiste, acteur de santé publique éco-responsable
L’Association
dentaire française (ADF) a entrepris une démarche éco-responsable depuis deux
ans. Elle a mis en place un outil de mesure : le Baromètre, réservé un espace d’exposition
au coeur de son Congrès présentant le cabinet dentaire éco-responsable et les
bonnes pratiques, initié une charte d’engagement. Toutes ces démarches doivent
conduire la profession à la signature d’une convention avec le Ministère de l’écologie,
du développement durable et de l’énergie et le Ministère des affaires sociales
et de la santé.
Les résultats du 2e Baromètre sont encourageants :
_ Les
chirurgiens-dentistes sont majoritairement « éco responsables »
L’enquête a été menée entre le 16 septembre et le 14
octobre 2013. 503 chirurgiens-dentistes (CD) ont répondu. Ils ont été
interrogés sur leur perception et leurs pratiques relevant du développement
durable (DD).
Les résultats de ce 2e Baromètre sont éloquents. Ils sont
95,5% (versus 93,8% en 2012) à être concernés par le développement durable à
titre personnel et 91,8% (versus 90,2% en 2012) à titre professionnel. Pour 62%
d’entre eux, il s’agit d’une démarche globale qui intègre à la fois l’humain, l’environnement
et la performance économique. 75,9% estiment qu’intégrer le DD dans les
pratiques professionnelles est un devoir. La volonté d’engagement est donc
importante, l’intérêt à agir est bien compris.
_ Les
chirurgiens-dentistes font converger le développement durable (DD) et la
sécurité des soins
Sur le plan de la philosophie du soin, bien prendre en
charge le patient, assurer des soins de qualité et sécurisés, éduquer le
patient font partie des points de convergence entre le développement durable et
la pratique. Ainsi, 88,1% des CD souhaitent favoriser l’épanouissement humain
et contribuer au bien-être de leurs patients et 86% (versus 68,4% en 2012) s’accordent
à dire que le développement durable et la sécurité des soins convergent. A cet
effet, des pistes sont citées dans les commentaires pour concilier
développement durable et sécurité des soins.
Parmi elles, citons :
- La remise en cause du tout usage unique au profit de
la stérilisation
Si elle est encore minoritaire, la recherche d’alternatives
à l’usage unique intéresse de plus en plus les chirurgiens-dentistes, notamment
pour les produits où le risque n’est pas manifeste. L’attente d’offres de la part
des fournisseurs est forte (77,3% des CD). 83,3% estiment d’ailleurs que l’offre
ne prend pas suffisamment en compte les questions sociales et
environnementales. Il y a là une opportunité pour les industriels afin de répondre
à cette demande croissante. Les CD essaient de limiter les produits à usage
unique, car ils sont source de déchets importants. 39,2% ont supprimé les
crachoirs et privilégient l’aspiration de la salive, limitent fortement l’utilisation
de gobelets en plastique et les remplacent par des gobelets compostables en
amidon de maïs, ou des verres. 46 ,6% utilisent des plateaux en inox ou en
aluminium stérilisables, et non en plastique jetable. Ils se servent de plus en
plus des kits d’examen et des canules d’aspiration stérilisables.
- L’évaluation des matériaux, la gestion des stocks et
des déchets
L’intérêt pour les achats éco-responsables progresse, les
produits éco-conçus séduisent 43,1% des CD. Ces professionnels apprécient les
produits issus de circuits courts, ceux qui consomment peu d’énergie (63, 7%)
ou qui sont ergonomiques (81,6%).
1
La réglementation concernant les déchets de soins,
notamment ceux qui sont dangereux, est bien suivie. En revanche, l’existence de
la filière de collecte et recyclage des fraises dentaires est encore peu
connue. Des efforts restent à faire. En matière de DASRI, l’obligation d’avoir
un contrat d’enlèvement est globalement bien respectée (95,2%). Etant donné les
volumes à entreposer et la configuration des cabinets, la clause obligatoire relative
au local spécifique n’est pas toujours bien acceptée mais, on observe une
hausse sensible par rapport à 2012, (52, 4% en 2013 versus 45,3% en 2012). 98,9%
des CD sont équipés d’un séparateur d’amalgame et 97,7% ont un contrat de
récupération des déchets mercuriels et autres déchets toxiques.
- Le tri sélectif
Les chirurgiens-dentistes sont particulièrement exemplaires
en matière de tri des déchets en vue de les recycler : 91,5% le font pour les
papiers et les cartons, 84,4% pour le verre, 94,9% pour les piles, 84,1% pour
les médications non utilisées à date de péremption. Il reste un petit effort à
faire cependant pour les films radios car ils ne sont que 53,8% à les trier !
_ Les chirurgiens-dentistes
sont au cœur du parcours de soin
Les chirurgiens-dentistes sont à la fois vecteurs d’éducation,
d’information et de prévention envers les patients. Ils ont un rôle
prépondérant au coeur du parcours de soin sur les méfaits du tabac, d’une
mauvaise hygiène dentaire, sur les troubles du comportement alimentaire… 97,2%
délivrent des conseils d’hygiène bucco-dentaire ; 76,8% apportent des conseils
d’hygiène alimentaire; 67,1% donnent des conseils d’hygiène de vie…
Les chirurgiens-dentistes sont des acteurs essentiels dans
le parcours de soins. Ils participent au dépistage de nombreuses maladies dont
les cancers buccaux, les maladies cardiovasculaires, les diabètes et sont par conséquent
en relation étroite avec le monde de la santé en général. 44,2% sont d’ailleurs
membres d’une société savante ou scientifique et 65,4% travaillent
régulièrement avec d’autres professionnels de santé.
_ Les
chirurgiens-dentistes optimisent leurs compétences et celles de leurs équipes
La mise à jour régulière des compétences est indispensable
pour une profession utilisant de plus en plus de technologies de pointe que ce
soit pour le chirurgien-dentiste ou pour ses équipes. 56,7% des CD initient une
FMC pour le personnel afin de développer les compétences. Les chirurgiens-dentistes
sont des employeurs soucieux du bien-être de leurs collaborateurs, conscients
que c’est un facteur de performance et de qualité de leur exercice et des soins
délivrés.
_ Les
chirurgiens-dentistes améliorent les conditions de travail et d’accueil
Est-ce le fait d’avoir posé la question en 2012 et donc
alerté les chirurgiens-dentistes sur la réglementation en matière d’installation
radiologique ? On constate dans ce 2e Baromètre que celle-ci est mieux
respectée. 98,9% des chirurgiens-dentistes sont équipés d’une
installation radiologique et 91,1%/87,1% ont une personne compétente en
radioprotection. En ce qui concerne l’utilisation de mire radiologique, on est
à 66,2% (versus 51,1% en 2012).
Pour l’accueil, 74,5% des cabinets sont accessibles
aux personnes à mobilité réduite.
Quant à l’attention portée à la qualité de l’air, celle-ci
est importante chez les chirurgiens-dentistes par rapport à la population
française dans son ensemble. Cela constitue un indice de la sensibilité de ces
professionnels de santé vis à vis du rôle de la qualité de l’air pour la santé
des patients. C’est ainsi que 93,5% des CD aèrent leur espace d’attente tous
les jours.
_ Les
chirurgiens-dentistes maîtrisent leur consommation d’énergie….
L’intérêt à maitriser la consommation énergétique et donc à
réaliser des économies est bien compris et les gestes simples mais efficaces
sont devenus des habitudes. On note une forte augmentation du critère de performance
énergétique au moment des achats, ce qui est très engageant car déterminant
pour les consommations futures. 43,3% (versus 31,6% en 2012) des CD
choisissent des appareils en fonction de leur consommation énergétique (label
Tristar, Energy Star ou classe A+ pour l'informatique, par exemple).
… et d’eau
En matière de consommation d’eau les enjeux sont intégrés
et les bonnes pratiques sont adoptées. 82,7% versus 79,4% en 2012) des CD
maîtrisent leur consommation en eau. Un tiers de ces professionnels joue également
le rôle de prescripteur de bonnes pratiques auprès des patients, un chiffre
encourageant ! Le recours à des équipements ou solutions économiseurs d’eau est
élevé mais avec une marge de progression certaine. 60,3% en sont pourvus; 86,
4% utilisent des solutions hydroalcooliques ; 89% arrêtent l'eau lorsqu’ils se
lavent les mains ou les dents.
Les chirurgiens-dentistes apparaissent avec ce 2e Baromètre
comme des professionnels éco-responsables. Les résultats portant sur cet
échantillon de personnes interrogées sont encourageants. L’ADF a ouvert la
voie.
Résultats
consultables sur
http://www.adf.asso.fr/fr/nos-actions/developpement-durable
jeudi 17 octobre 2013
Résultats de l'enquête européenne : « Wake up bus » pour lutter contre la somnolence au volant
Le « Wake up bus » pour lutter contre la somnolence au
volant :
une cause encore méconnue d’accidents de la route
une cause encore méconnue d’accidents de la route
La Société Européenne de
Recherche sur le Sommeil (ESRS) lance une campagne européenne de
sensibilisation et d’étude sur la somnolence au volant. Un bus événementiel, le
« Wake up Bus » qui depuis le 3 octobre dernier a traversé une dizaine de pays
européens pour achever son épopée hier à Bruxelles.
La somnolence est reconnue comme une cause importante mais encore méconnue d’accidents de la route aussi, l’ESRS a mis en place une enquête européenne afin d’estimer la prévalence de la somnolence au volant dans les 19 pays européens participants. Puis dans un second temps est arrivé le projet du « Wake up Bus » qui vient d’être présenté au Parlement Européen le 15 octobre 2013.
La somnolence est reconnue comme une cause importante mais encore méconnue d’accidents de la route aussi, l’ESRS a mis en place une enquête européenne afin d’estimer la prévalence de la somnolence au volant dans les 19 pays européens participants. Puis dans un second temps est arrivé le projet du « Wake up Bus » qui vient d’être présenté au Parlement Européen le 15 octobre 2013.
Les résultats de l’enquête européenne
Traduites en différentes
langues, cette enquête a permis de collecter plus de 12 400 réponses à travers
les 19 pays participants. Ces réponses ne sont pas représentatives de l’ensemble
de la population européenne mais révèlent néanmoins une forte prévalence de
somnolence chez les répondants, plus particulièrement chez les conducteurs de moins de 30 ans.
L’hypovigilance augmente également avec la distance parcourue, ainsi on remarque que les sondés parcourant plus de 20 000 km par an se sont majoritairement plaint de somnolence au volant (près de 30%).
Dans un dernier temps, cette enquête met en avant une étroite relation entre la prévalence de somnolence au volant ou d’accident dû à la somnolence et un risque accru de présenter un syndrome d’apnée du sommeil.
L’hypovigilance augmente également avec la distance parcourue, ainsi on remarque que les sondés parcourant plus de 20 000 km par an se sont majoritairement plaint de somnolence au volant (près de 30%).
Dans un dernier temps, cette enquête met en avant une étroite relation entre la prévalence de somnolence au volant ou d’accident dû à la somnolence et un risque accru de présenter un syndrome d’apnée du sommeil.
Pour télécharger l’enquête européenne en anglais,
merci de vous connecter au site :
www.sfrms-sommeil.org
www.sfrms-sommeil.org
Libellés :
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www.sfrms-sommeil.org
jeudi 21 mars 2013
Les Français, les médecins et les médicaments :
Résultats du 3ème
Baromètre IPSOS pour le Leem
« L’Observatoire sociétal du
médicament » permet d’identifier, d’explorer et d’analyser la perception, les
représentations et le comportement des Français à l’égard des médicaments. Il
mesure également l’image des entreprises en comparaison à d’autres grands
secteurs de l’économie.
Pour cette 3ème
édition, IPSOS a interrogé en plus du grand public (soit 1.000 personnes par
Internet), un échantillon représentatif de 500 médecins généralistes (par
téléphone), afin d’avoir un regard croisé et d’enrichir l’analyse.
Les deux terrains ont été
réalisés en janvier 2013, en pleine polémique sur les pilules. Dans le contexte
de crises sanitaires à répétition depuis 2011, l’Observatoire 2013 fournit des
données précises et rigoureuses qui permettent d’appréhender l’impact de ces
événements sur les Français et sur les médecins.
- Les Français font-ils encore
confiance aux médicaments ?
- Sur quels leviers s’appuie
leur confiance ou leur défiance ?
- Quels sont leurs comportements
à l’égard du médicament ?
- Comment vivent-ils le risque
inhérent au médicament ?
- Comment jugent-ils le niveau
d’information donnée par leurs médecins et leurs pharmaciens ?
- Comment Internet change-t-il
la relation des patients aux médecins ?
- Quel regard les Français et
leurs médecins portent-ils sur les entreprises du médicament et sur les autres
secteurs ?
- …
Les résultats complets de
l’Observatoire seront présentés et commentés par Hervé Gisserot, Président des
Entreprises du Médicament (Leem), et Brice TEINTURIER, Directeur général délégué
de IPSOS lors .de la
conférence de presse du 28 mars 2013 - 10H à Euosites George V Inscription
presse : catherine.gros@prpa.fr
mardi 19 février 2013
Horizon Prévention : coup de projecteur sur l’une des actions prévues en 2013
Le programme
Horizon Prévention mis en place avec les mutuelles de MFP Services a été lancé à
l’automne 2011. Ce projet a l’ambition d’aider les assurés mutualistes à
devenir acteur de leur santé en leur proposant des services adaptés. La
première étape s’est concrétisée par la parution du 1er Baromètre Santé des
Fonctionnaires, qui découlait d’une enquête réalisée auprès de plus de 15 000
agents de la Fonction publique sur la perception de leur état de santé.
Les choix des actions à venir repose sur les résultats de ce baromètre. En
effet, des besoins ont été exprimés. MFP Services et les mutuelles réaliseront
des actions de prévention et promotion de la santé en 2013 pour y répondre.
La 1ère action portera sur les maladies chroniques en partenariat avec la MGEFI
- Les maladies chroniques, avec
le lancement d’une démarche permettant de trouver des solutions d’accompagnement
pour aider à réinsérer les personnes atteintes d’une maladie telle que le diabète
ou l’asthme. Cette démarche est réalisée sous forme d’ateliers où seront invitées
des agents concernés ainsi que des spécialistes, afin de favoriser un échange
dans le but de les aider à reprendre le travail dans les meilleures conditions.
Cette action sera mise en place en mai prochain et ouvrira des actions concrètes
à expérimenter.
L’expérimentation
Les mutuelles membres de MFP Services ont lancé un ambitieux programme de
prévention à destination de leurs adhérents, intitulé Horizon Prévention. La
première étape de cette démarche s’est traduite par la réalisation d’une enquête
santé. Cette dernière a relevé que 37% des répondants déclaraient souffrir d’une
maladie chronique, un handicap ou un problème de santé préoccupant.
Fort de ce constat, le programme
Horizon Prévention propose d’agir afin d’aider les personnes atteintes d’une
maladie chronique et en arrêt de travail, dans leur démarche de retour à l’emploi.
L’objectif est d’améliorer la qualité de vie de ces personnes.
Afin d’identifier les problèmes rencontrés et proposer des solutions adaptées,
une expérimentation sera ainsi menée à Carcans en Gironde du 27 au 31 mai 2013,
autour d’ateliers thématiques animés par des professionnels de santé. Elle réunira
un groupe volontaire de 15 personnes. L’opération sera menée en partenariat
avec la MGEFI.
En savoir plus sur
Horizon Prévention
Contact MFP Services
Anthony Landreau
NDRLR : MGEFI
et Baromètre santé des fonctionnaires
1. MINE D'INFOS: Baromètre santé des fonctionnaires: L'analyse des ...
Le résultat de recherche a été partagé sur Google+. Voir le post
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21 nov. 2012 – Baromètre santé des
fonctionnaires: L'analyse des réponses des adhérents de la MGEFI. Dans le but de
prévenir et de gérer de manière...
A propos de la
MGEFI
www.mgefi.fr
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mardi 27 novembre 2012
Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS
Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des
utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une
priorité donnée au reste à charge dans le choix de l'opticien agréé
Convaincue que l'organisation en
réseaux d'opticiens agréés est une réponse à la diminution du reste à charge en
optique pour les ménages, la Mutualité Française a fait réaliser une enquête
par IPSOS pour cerner les attentes et les opinions des Français qui ont récemment
acheté des lunettes correctrices chez un opticien appartenant à un réseau agréé
: niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d'achats en
optique.
Une satisfaction globalement élevée pour les acheteurs auprès
d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, et une priorité donnée
au reste à charge dans le choix de l’opticien agréé
Constat :: Un accès aux soins
difficile, notamment dans le secteur de l’optique
La difficulté d’accès aux soins, notamment pour les catégories
sociales les plus modestes, est un constat partagé par tous. Actuellement en
France, plus de 15% des Français déclarent renoncer à se soigner, et 25% d’entre
eux pour des raisons financières, ou retardent des soins1.
Les contraintes financières se concentrent sur deux postes
de dépenses en particulier : les soins dentaires et les soins optiques, devant
les consultations de médecins généralistes et spécialistes2.
Concernant les soins optiques,
plus de 2 millions de Français y renoncent ou les reportent chaque année pour
des raisons financières.
En effet, l’optique coûte cher. Il s’agit d’un secteur très
faiblement remboursé par la Sécurité sociale, de l’ordre de 4% de la dépense
facturée. Les complémentaires santé prennent en charge 66% de la dépense et les
ménages 29% en moyenne3. Le prix moyen d’un équipement d’optique est
quant à lui de 277 euros pour des verres unifocaux, et de 591 euros pour des
verres progressifs.
2 Français sur 3 portent des
lunettes correctrices.
Plus de 4 porteurs de lunettes
sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois. Enquête
IPSOS « Les Français et l’optique », septembre 2012.
Le renoncement aux soins
optiques est principalement lié à un reste à charge important pour les assurés
du fait du désengagement de la Sécurité sociale du secteur de l’optique.
Enquête auprès d’’utiilliisateurs
de réseaux d’’optiiciiens agréés par lles mutuelllles :: Les principaux résultats
de l’enquête IPSOS4
Cette enquête porte sur les attentes et les opinions des
Français ayant récemment acheté une paire de lunettes correctrices chez un
opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle.
Elle montre une satisfaction globalement plus élevée pour
les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles,
notamment liée au rapport qualité/prix des verres (93%). Et la satisfaction
augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau pour une partie d’entre
eux. Elle révèle aussi des comportements exigeants et des achats éclairés avec
des critères de choix de l’opticien agréé très centrés sur le reste à charge.
Des comportements exigeants et
des achats éclairés
Comme pour les porteurs de
lunettes en population générale, les acheteurs de lunettes correctrices auprès
d’opticiens membres d’un réseau agréé s’intéressent au coût de l’équipement
avant d’acheter, 65% :
46% ont fait établir un ou plusieurs devis par des
opticiens,
44% ont calculé et comparé le montant des dépenses qui
resterait à leur
charge,
26% ont comparé les prix et les prestations chez plusieurs
opticiens,
35% se sont également renseignés auprès de leur complémentaire.
Les critères de choix de l’opticien
agréé sont très centrés sur le reste à charge :
74% des acheteurs de lunettes ont choisi leur opticien agréé
pour le tiers payant et/ou le montant du remboursement,
71% ont pris en compte le rapport qualité-prix des verres
et/ou des montures proposés.
Ces acheteurs ont également des
exigences élevées quant à la qualité de l’ensemble des prestations proposées : ainsi, la proximité du point de
vente pour 70%, la disponibilité pour 68% et la qualité d‘écoute pour 68% ont été
des critères de choix importants.
Une satisfaction globalement
plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par
les mutuelles
81% des acheteurs auprès d’opticiens
membres d’un réseau agréé se sont déclarés satisfaits de leur dernier achat, vs
71% de l’ensemble des porteurs de lunettes.
Les différences portent
principalement sur la satisfaction quant :
· au rapport qualité /prix des verres, 93% vs 88%,
· au tiers-payant proposé, 91% de satisfaits vs 79% pour les
porteurs de lunettes correctrices en population générale,
· aux services/offres proposés, 87% vs 79%,
· au montant du remboursement, 83% vs 72%.
La satisfaction augmente avec le
renouvellement de l’achat en réseau : 22% des acheteurs chez un opticien agréé
sont plus satisfaits que lors de leur achat précédent, 70% sont autant
satisfaits.
Un réseau d’’optiiciiens agréés,,
c’’est quoii ? Quels sont les avantages en matière de coût et de qualité ?
Depuis le désengagement de la Sécurité sociale et pour
faciliter l’accès aux soins des patients, les mutuelles ont pris le relais dans
le secteur de l’optique.
Pour cela, elles ont créé des réseaux d’opticiens agréés.
Ces réseaux ont pour double objectif de réguler le prix des lunettes et d’améliorer
la qualité générale des prestations proposées en optique, pour au final maîtriser
le montant des cotisations des mutuelles et les restes à charge de leurs adhérents.
Le principe du réseau
Régulièrement les mutuelles mettent en concurrence tous les
opticiens qui le souhaitent sur des critères transparents de prix, de qualité,
de service et de conseil, en tenant compte des conditions de mise en place des
appels d’offres des réseaux de professionnels de santé agréés définis par l’autorité
de la concurrence dans un avis de septembre 2009. Elles sélectionnent ensuite
les offres, qui répondent à ces critères, des opticiens qui souhaitent faire
partie d’un réseau. Et tout en laissant le libre choix de leur opticien à leurs
adhérents, elles les orientent, sans aucune obligation, vers des opticiens agréés,
pour qu’ils bénéficient de meilleurs prix et d’engagements de qualité et de
services contractés, comme la dispense d’avance de frais ou la garantie d’une
prise en charge par des opticiens professionnels et qualifiés.
En créant des réseaux, les mutuelles jouent un rôle de négociateur
entre l’offre et la demande pour le compte de leurs adhérents, qu’elles représentent.
Elles régulent ainsi le secteur de l’optique, qui sans leur intervention serait
inflationniste, et elles évitent la mise en place d’une économie de rente pour
certains professionnels qui pourraient être tentés d’ajuster leurs tarifs sur
le niveau de remboursement de la mutuelle et non sur la réalité du besoin en équipement.
Aujourd’hui, 7 700 opticiens
sont membres des réseaux d’optique créés par les mutuelles sur environ 12 000
opticiens en France.
Lutter contre un système
inflationniste
A titre d’exemple, le panier moyen, observé par les mutuelles
gestionnaires de réseaux, d’un adhérent d’une mutuelle pour un équipement
optique acheté au sein d’un réseau est en moyenne inférieur de 17,5% au prix moyen
constaté hors réseaux.
Par ailleurs, pour un équipement acheté en dehors d’un réseau,
le reste à charge pour le patient est en moyenne 40% supérieur.
Investir dans la qualité
En mettant en place des réseaux d’opticiens agréés, les
mutuelles ne cherchent pas seulement à réguler un secteur inflationniste.
Sélectionnés sur des critères transparents de qualité et de
prestations telles que la garantie anticasse, l’échange, l’adaptation…, les 7
700 opticiens membres des réseaux d’optique mutualistes induisent, par leurs
pratiques, une hausse qualitative générale des prestations proposées dans le
secteur de l’optique.
Leur engagement à offrir les prestations au meilleur
rapport qualité – prix à leurs adhérents permet aux mutuelles d’investir de
façon continue dans l’offre de santé, de manière bénéfique pour les
patients comme pour le secteur de l’optique.
Ainsi, de 2008 à 2010, les organismes d’assurance maladie
complémentaire ont constaté une augmentation des prestations versées au titre
des remboursements en optique de 14%. D’autre part, les mutuelles qui s’appuient
sur un réseau d’opticiens agréés constatent que le nombre d’adhérents équipés
augmente. De même, elles améliorent le niveau de leurs prises en charge, sans
inflation globale pour autant sur le poste des prestations d’optique. Le reste à
charge est réduit à zéro pour nombre d’adhérents et leur satisfaction est
accrue.
Les réseaux d’opticiens agréés ::
pour lutter contre les idées reçues
Avec les réseaux, les adhérents
n’ont plus la liberté de choisir leur opticien.
FAUX - La mutuelle n’impose d’aucune
façon à l’adhérent le choix de son
opticien.
Quel que soit l’opticien choisi, au sein d’un réseau ou
non, l’adhérent conserve le bénéfice du remboursement de sa mutuelle.
En revanche, si l’adhérent fait le choix d’un opticien agréé,
sa garantie mutualiste lui permet de renforcer son accès aux soins au plus
juste coût. Il va alors bénéficier de plusieurs avantages comme la dispense d’avance
de frais grâce au tiers payant et la qualité des produits définis
conventionnellement avec les opticiens agréés.
L’adhérent bénéficie d’une prise
en charge de ses frais, qu’il se rende ou pas dans le réseau d’opticiens agréés.
Les réseaux permettent aux
mutuelles d’augmenter leurs marges et de réduire leurs prestations.
FAUX - Les réseaux permettent un
meilleur contrôle des prix au bénéfice des
adhérents.
La part de l’optique dans le total des prestations des
mutuelles (Organisme Complémentaire d’Assurance Maladie) a augmenté de 14%
entre 2008 et 2010. Les mutuelles continuent donc à rembourser massivement
leurs adhérents dans un secteur délaissé par la Sécurité sociale.
Les réseaux d’optique permettent aux mutuelles de jouer un
rôle de régulateur des prix dans un secteur très inflationniste. Depuis le désengagement
de la Sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les seules à pouvoir jouer ce rôle
et éviter une économie de rente pour certains professionnels de santé.
Il est donc faux de dire que les mutuelles cherchent à réduire
leurs prestations par la mise en place d’opticiens agréés. Les réseaux
permettent au contraire aux mutuelles d’investir dans la qualité et d’améliorer
les prestations rendues à l’adhérent.
Les mutuelles investissent
massivement dans le secteur de l’optique tout en jouant un rôle de régulateur
des prix nécessaire dans un secteur inflationniste.
3. Les réseaux baissent la
qualité et réduisent l’accès aux différents types d’équipement optique.
FAUX - Les réseaux proposent
toutes les gammes d’équipement optique.
La qualité ainsi que la sécurité des actes et prestations
au sein des réseaux relèvent des pouvoirs publics. Les autorités sanitaires
continuent à fixer les règles de fabrication, de délivrance et autres caractéristiques
des produits de santé.
Les mutuelles définissent des critères qualité qui s’ajoutent
à ceux qui relèvent des pouvoirs publics pour le bénéfice de l’adhérent (ex :
conditions de service après-vente).
Les réseaux permettent d’accéder à des produits « entrée de
gamme », « milieu de gamme » ainsi
qu’à des produits dits « haut de gamme ».
Les réseaux permettent au
contraire une hausse qualitative des prestations proposées par les opticiens et
définies contractuellement entre les mutuelles et leurs réseaux.
4. Les réseaux agréés ne sont
pas accessibles partout sur le territoire.
FAUX - Les réseaux sont conçus en
fonction de la couverture du territoire.
La couverture du territoire est l’un des principaux critères
de sélection des opticiens agréés par les mutuelles.
Ainsi, les mutuelles ont pour objectif de s’assurer que
tous les adhérents aient un opticien agréé à proximité de leur domicile.
Les mutuelles ont aussi pour
objectif de s’assurer que leur réseau d’opticiens maille l’ensemble du
territoire, en fonction de la présence de leurs adhérents, et sur des critères
précis et mesurables.
Seules les grandes enseignes
peuvent être agréées par les mutuelles.
FAUX - Les réseaux sont ouverts à
tous sur des appels d’offres libres et transparents.
Les réseaux mis en place par les mutuelles accueillent
indifféremment tous les offreurs de santé demandeurs qui remplissent les
conditions définies conventionnellement : tarifs, qualité, gamme de produits,
etc.
Les réseaux d’opticiens agréés
accueillent donc indifféremment des opticiens indépendants ou sous enseignes
qui remplissent des critères de prix et de qualité définis conventionnellement.
6. Les réseaux de soins détruisent
l’industrie optique française.
FAUX - Il existe autant de ‘’Made
in France’’ dans les réseaux qu’ailleurs.
Les opticiens agréés, tout comme les opticiens non agréés,
se regroupent en centrales d’achat. La quasi-totalité des fabricants de verres
correcteurs présents sur le territoire national est référencée au sein des réseaux.
Par ailleurs, la part de verres ‘’made in France’’ chez
les opticiens agréés est identique à celle des opticiens non agréés.
1 IRDES, Questions d’économie de la Santé – enquête
sur le renoncement aux soins, 2011.
2 E tude de l’Institut de Recherche et de Documentation en
Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011.
3 DRESS, Comptes nationaux de la santé - Le 1% manquant
correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les
bénéficiaires gérés par les organismes de base.
4 Cette enquête a été
réalisée du 24 au 29 octobre 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est
effectuée par téléphone auprès d’un échantillon de 503 acheteurs de lunettes
correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle. L’échantillon
est représentatif des acheteurs de lunettes correctrices au cours des mois de
mai et juin 2012, selon la structure des fichiers d’acheteurs fournis par la
Mutualité Française, sur les critères de sexe, âges, mutuelle, réseau agréé par
les mutuelles, région et catégorie d’agglomération.
Recevoir les éléments : nansellsalles@mgefi.fr / www.mutualite.fr
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