Thierry Beaudet invité le 14/04
Venez lui poser vos questions https://docs.google.com/forms/d/1A-tcDWA-qLcT4oy0dwsmCmUjv-67J8iNfYAwPJS9DTc/viewform?c=0&w=1 … …
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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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vendredi 8 avril 2016
Qu'elle place des jeunes en mutualité ?
vendredi 26 février 2016
Santé: questions de parlementaires
VU POUR VOUS: WWW.SENAT.FR
Expression associée : santé Thème : Questions sociales et santé, et Sécurité sociale |
Questions
parlementaires
Formation des professionnels de santé au diagnostic et au traitement du syndrome d'Ehlers-Danlos [http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160220356&idtable=SEQ160220356&rch=gs&t=Questions+sociales+et+sant%E9+&_c=sant%E9&al=true]
Question écrite n° 20356 posée par M. Bruno GILLES (des Bouches-du-Rhône - UMP)
En attente d'une réponse ministérielle. de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé
Formation des professionnels de santé au diagnostic et au traitement du syndrome d'Ehlers-Danlos [http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160220356&idtable=SEQ160220356&rch=gs&t=Questions+sociales+et+sant%E9+&_c=sant%E9&al=true]
Question écrite n° 20356 posée par M. Bruno GILLES (des Bouches-du-Rhône - UMP)
En attente d'une réponse ministérielle. de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé
Traitements et suivis médicaux et exercice de professions impliquant la prise en charge de tiers [http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160220350&idtable=SEQ160220350&rch=gs&t=Questions+sociales+et+sant%E9+&_c=sant%E9&al=true]
Question écrite n° 20350 posée par M. Jean-Claude CARLE (de la Haute-Savoie - UMP)
En attente d'une réponse ministérielle. de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé
[http://www.senat.fr/basile/abonnement/gestion.do?action=deleteAlerte&email=nansellsalles%40mgefi.fr&password=ENCODE&aboUUID=d964af:11024bcb431:-79ea&aboType=RECHERCHE&emailFormat=text] * Modifier votre abonnement [http://www.senat.fr/basile/abonnement/gestion.do?action=editAlerte&email=nansellsalles%40mgefi.fr&password=ENCODE&aboUUID=d964af:11024bcb431:-79ea&aboType=RECHERCHE&emailFormat=text] * Modifier vos abonnements [http://www.senat.fr/basile/abonnement/gestion.do?action=login&email=nansellsalles%40mgefi.fr&password=ENCODE]
Remboursement de la radiothérapie [http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160220361&idtable=SEQ160220361&rqg=dqrnstpa&rch=gs&t=S%E9curit%E9+sociale+&_c=s%E9curit%E9+sociale&al=true]
Question écrite n° 20361 posée par M. Olivier CIGOLOTTI (de la Haute-Loire - UC)
En attente d'une réponse ministérielle. de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé
Nécessaire réforme du système d'information de l'agence centrale des organismes de sécurité sociale [http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160220266&idtable=SEQ160220266&rqg=dqrnstpa&rch=gs&t=S%E9curit%E9+sociale+&_c=s%E9curit%E9+sociale&al=true]
Question écrite n° 20266 posée par M. Dominique de LEGGE (d'Ille-et-Vilaine - UMP)
En attente d'une réponse ministérielle. de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé
Application de l'article 12 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2016 [http://www.senat.fr/basile/visio.do?id=qSEQ160220228&idtable=SEQ160220228&rqg=dqrnstpa&rch=gs&t=S%E9curit%E9+sociale+&_c=s%E9curit%E9+sociale&al=true]
Question écrite n° 20228 posée par Mme Élisabeth LAMURE (du Rhône - UMP)
En attente d'une réponse ministérielle. de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé
mardi 3 décembre 2013
54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PREOCCUPES PAR LES QUESTIONS DE SANTE
Une étude Ifop/Capital Image « les Français et
l’information santé »
Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à
l'occasion des 25 ans de l’agence de Relations Publiques santé et divulguée au
24ème Festival de la Communication Santé, révèle que 54% des Français interrogés déclarent être de plus en plus
préoccupés par les questions de santé. Malgré leur caractère souvent
anxiogène, les multiples informations santé qu’ils reçoivent et consomment ont
pourtant des effets bénéfiques pour 82% d’entre eux : approfondissement des
connaissances, modification de certains de leurs comportements, échanges avec
leur médecin. Cependant, parmi le flot d’informations diffusées, notamment sur
Internet et les réseaux sociaux, il est difficile de s'y retrouver. D'où le
rôle essentiel de pédagogie des médias, des émetteurs et transmetteurs
d’informations santé, pour un public qui a de plus en plus besoin de repères.
PLUS D’UN FRANÇAIS
SUR DEUX EST DE PLUS EN PLUS PRÉOCCUPÉ PAR LES QUESTIONS DE SANTÉ
Selon l’étude Ifop/Capital Image, 54% des Français
indiquent considérer les questions de santé comme étant de plus en plus
préoccupantes.
"Ce chiffre important répond à la
multiplication des messages de santé avec la diffusion d'informations à la fois
de plus en plus nombreuses, diversifiées et aussi parfois anxiogènes’’ commente Damien Philippot,
Directeur des Études, Département Opinion, Ifop.
‘’Les campagnes de santé publique, les
informations concernant la sécurité sanitaire, l’allongement de la durée de vie
et le souhait de rester en bonne santé le plus longtemps possible expliquent et
justifient l'intérêt croissant des Français pour l'information concernant leur
santé" ajoute Stéphanie Chevrel, Co-fondatrice et DG de l'agence
Capital Image
Damien Philippot
‘’Dans la
crise, c’est le corps qui souffre. Santé et insécurité sont deux grands thèmes
symptomatiques de la souffrance actuelle des Français. Alors que la santé revêt
une importance plus forte pour les citoyens - l'étude le confirme - ils
observent un recul du collectif et ne croient plus guère dans notre système
étatique de protection sociale, pas plus que dans l’égalité des soins. Leur
souffrance s’en trouve accrue. Les mots qui les inquiètent le plus ? Stress,
précarité, maladie, perte d’autonomie. Leurs principaux espoirs : la recherche
médicale, l’innovation’’ explique Denis Muzet**, Sociologue, Président de l’Institut
Médiascopie.
* Source : étude Ifop/Capital Image (1/2).
Interviews par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 juillet 2013
auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population
française âgée de 18 ans et plus.
** Auteur de « Les mots de la crise », Editions
Eyrolles, 2013
42% des personnes interrogées (contre 53% en
2003**) déclarent suivre l’information santé à la télévision ; 30% (contre 36% en 2003) la
suivent dans la presse écrite et 19% à la radio (contre 26% en 2003).
36% se rendent sur les sites Internet
d’information alors que 20% vont sur les blogs et forums.
"La consommation
d'informations santé est plus forte chez les plus jeunes, ce qui peut
paraître surprenant à un âge où on a moins de chance d'être atteint de maladies
graves. On peut supposer que les personnes plus âgées vont préférer se
renseigner directement auprès de leur médecin" constate Damien Philippot.
‘’Certains experts ont souvent annoncé la mort
de la télévision. Si ce média est touché par la montée en puissance du web, il
reste très apprécié des Français, et c’est encore plus vrai pour l’information
santé qui fait appel à la raison, à la science et aussi beaucoup à l’émotion.
Mais aucun média à lui seul ne suffit à alimenter l’appétit d’information santé
; les médias jouent tous ensemble. Les Français élaborent leur menu, ils
apprécient leur grande liberté dans le choix de leur consommation‘’ précise Denis Muzet.
59% DES FRANÇAIS
VONT MODIFIER CERTAINS DE LEURS COMPORTEMENTS
Après avoir entendu parler d’un sujet santé
dans les médias, 82% des Français déclarent agir tandis que
18% ont le courage d’affirmer qu’ils ne vont rien faire du tout ! Plus
précisément, 2/3 (66%) vont chercher à approfondir leurs connaissances et 59%
vont modifier certains de leurs comportements.
35% VONT ALLER
CONSULTER LEUR MEDECIN
Ils sont 55% à évoquer avec leur médecin les sujets abordés
dans les médias lors d'une consultation déjà prévue alors que 35% iront le consulter délibérément
après en avoir entendu parler dans les médias. "On peut noter que la
relation plus forte des personnes les plus âgées avec leur médecin les conduit
à davantage interagir avec celui-ci " ajoute Damien Philippot.
‘’Les Français vont chercher sur
Internet un ensemble d’informations qui vont leur permettre de creuser tel ou
tel sujet, de décider d’aller chez leur pharmacien ou chez leur médecin. Avec
Internet, l’individu se sent libre d’explorer et de se faire en peu de temps un
bagage d’information. Certaines informations sont d’intérêt inégal, plus ou
moins fiables mais en même temps, les internautes ne sont pas dupes’’ indique Denis Muzet.
Denis Muzet
**Sondage
A+A/Capital Image réalisé par téléphone du 12 au 13 décembre 2003 auprès d’un
échantillon de 1004 personnes, représentative de la population française âgée
de 18 ans et plus
MAIS DEUX FRANÇAIS
SUR TROIS TROUVENT L’INFORMATION SANTÉ FLOUE ET CONTRADICTOIRE
Attentifs à l’information santé, les Français se montrent
cependant particulièrement critiques sur la qualité perçue de cette information
: 69% déclarent qu’elle est
souvent floue et contradictoire ; une minorité seulement juge qu’elle est
toujours compréhensible (39%) et toujours fiable (25%). D’autre part, 44%
estiment que l’information santé est trop importante et ils sont 42% à juger
qu’elle est souvent inutile.
En matière d’information santé comme d’
‘’information tout court’’, les Français doutent de plus en plus. La
responsabilité des communicants santé – et des médias – est grande. Donner la
parole à l’ensemble des acteurs et adopter une relation de transparence est une
bonne posture. On peut ensuite picorer l’information, écouter le point de vue
des uns et des autres, puis se faire une opinion. Ce que les individus n’aiment
pas, c’est une parole unique ; ou encore, derrière un semblant de diversité,
des points de vue biaisés » réagit Denis Muzet.
« Chez Capital Image, nous communiquons sur des questions de santé
depuis 25 ans. Nous sommes
très attentifs au choix des sujets que nous médiatisons. Nous nous posons toujours
la question de savoir s'il est opportun de communiquer ou pas, comment nous
allons communiquer, quels messages nous allons transmettre. Nous nous attachons
à ce que les informations transmises soient utiles au plus grand nombre.
Nous donnons la parole à tous les acteurs de la
santé, aux experts comme aux patients. Notre responsabilité est
importante car, relayées par les médias et les réseaux sociaux, nos
informations sont accessibles aux malades et à leur entourage. Nous ne pouvons
donner de fausses promesses et susciter de faux espoirs » indique Stéphanie Chevrel.
Stéphanie Chevrel
« Les résultats de cette étude sont un message
encourageant aux bonnes pratiques pour tous les émetteurs et transmetteurs
d’informations santé dont leur rôle est essentiel - effort de pédagogie,
utilité, simplicité et clarté de l'information, filtrage et indication des
sources - pour un public qui a de plus en plus besoin de transparence mais
aussi de repères " conclut Stéphanie Chevrel.
Retrouvez les résultats de l’étude, l’infographie,
les slides et les itws vidéos sur
www.capitalimage.net
- www.acteursdesante.fr
A
propos de Capital Image :
« Marquer les esprits. Faire évoluer les comportements » est le credo de Capital Image, agence de Relations Publics et Relations Médias Santé, créée en 1988 par Stéphanie Chevrel (IFP) et Gaël de Vaumas (CFPJ). Cette agence santé engagée cherche à bousculer les idées reçues et marquer les esprits pour faire évoluer les perceptions et les comportements de santé des Français. A l’origine de nombreuses campagnes d’information, Capital Image est, avec plus de 25 récompenses en 10 ans, l’agence de Relations Publiques Santé la plus primée en France.
NDLR : MGEFI et
Baromètre Santé des Fonctionnaires.
· 1er baromètre santé des fonctionnaires - synthèse de l'enquête
Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les
risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la
Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude
auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception
qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.
Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux
encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en
œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque
santé : la prévention comme démarche de santé publique.
Le succès du baromètre
auprès des adhérents de la MGEFI
Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI,
sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de
45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond
à une véritable attente.
Une bonne attitude
vis-à-vis de la santé
Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état
de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une
perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.
Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont
une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent majoritairement
à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux
professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à
prendre des médicaments non prescrits.
Des disparités
importantes
Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter
d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment
cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI
que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un
nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont
« aidés » et 12,9% sont « aidants ».
Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé
(les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son
sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime que son
travail a un impact sur sa santé.
Un besoin
d'information et de prévention
Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu
exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives
à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une
maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur
problème de santé et leur médicament.
63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la
mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur
lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI
sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.
Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et
des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du
tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des
informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de
l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur
les risques cardiaques.
En conclusion
Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les
trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de
cerner une partie des attentes des adhérents.
En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre
d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents,
actifs et retraités, a mis en place courant 2013, des actions locales enrichies par
les conclusions de cette enquête.
* MFP Services est délégataire
de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21
mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.
LA RETRAITE
Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite,
principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de
nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des
retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas
d'activité extérieure.
LE PROFIL DES
RÉPONDANTS MGEFI
59,2% de femmes et 40,8% d'hommes.
51,5% ont plus de 60 ans.
48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.
41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires
de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.
73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.
Libellés :
54%,
Baromètre,
Damien Philippot,
Denis Muzet,
Editions,
étude Ifop/Capital Image,
Eyrolles,
Français,
MGEFI,
PREOCCUPES,
questions,
SANTE,
santé,
Stéphanie Chevrel
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