Retour sur la table ronde organisée le 6 juillet dernier par l’APBM - Association pour le progrès de la biologie médicale.
Rappelons que l'Apbm fédère les grands réseaux de laboratoires de biologie médicale français, pionniers d'une révolution scientifique et industrielle dont l'objet est de rendre accessibles à tous les Français : qualité, performance, et innovation sur l'ensemble du territoire.)
AVEC LA PARTICIPATION DE :Dr Alain LE MEURPrésident de l’APBMMme Nadal BOUZIGUESDirectrice Task Force Test Covid-19Ministère des Solidarités et de la santéPr Anne-Claude CREMIEUXInfectiologueProfesseur en maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Louis, à ParisM. Gérard DE POURVILLEProfesseur émérite en économie de l’ESSEC Business SchoolM.Didier JAFFREDirecteur de l’Offre de soinsARS Ile-de-FranceDr Jean-Pierre THIERRYConseiller médical de France Assos👉 Replay de la table ronde :
👉 Interview d’Anne-Claude Crémieux, réalisée à l'issue de la table ronde, diffusée sur le site du monde Pharmaceutique.tv :
http://www.
lemondepharmaceutique.tv/ assets/movies/video/2054/ 1625578933.mp4
🔎ZOOM sur l'association
L'APBM, ou les précurseurs d'une "nouvelle biologie".
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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mardi 24 août 2021
Qu'avons-nous appris ? Comment anticiper les prochaines pandémies et protéger les populations ?
lundi 9 décembre 2013
12 décembre : 2013 e congrès de la Fondation de l'Avenir
La Fondation de l’Avenir vous invite à participer à son 8e Congrès
8e
congrès de la Fondation de l’Avenir - Les progrès en chirurgie : la thérapie
cellulaire et la chirurgie ambulatoire
Dominique
Letourneau, président du directoire de la Fondation de l’Avenir, vous donne
rendez-vous à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM) jeudi 12 décembre 2013 à
Paris pour le 8e congrès de la fondation.
Tous les deux ans,
la Fondation de l’Avenir organise un congrès médical, avec le soutien de la
Matmut et en partenariat avec l’Académie Nationale de Chirurgie, et convie l’environnement
mutualiste pour lui présenter les travaux effectués par les chercheurs qu’elle
finance. Cette journée est entièrement tournée vers l’avenir de la médecine et
de la recherche chirurgicale.
Depuis plus de 25
ans, la Fondation de l’Avenir joue le rôle indispensable de passerelle entre la
recherche fondamentale et l’application concrète du soin au bénéfice des
patients. Aussi pour son 8e congrès, la Fondation mettra en valeur
les progrès en chirurgie autour de deux thématiques : la thérapie cellulaire,
le matin, et la chirurgie ambulatoire et l’impact sur l’organisation, l’après-midi.
Inscrivez vous en envoyant un courriel à infocom@fondationdelavenir.org
lundi 7 octobre 2013
8ème Congrès de la Fondation de l’Avenir
Jeudi 12 décembre
à l’Institut
Mutualiste Montsouris
Ce congrès qui se déroule tous les deux ans, sera
l’occasion de faire un point sur :
L’avancée de la
recherche médicale appliquée en générale et des recherches soutenues par la
Fondation en particuliers.
Cette année, *Monsieur Dominique Letourneau*, président du
directoire de la Fondation de l’Avenir, a l’honneur et le plaisir
de vous convier au 8e congrès qui aura pour thème : « Les progrès
en : la thérapie cellulaire et la chirurgie ambulatoire »,
deux enjeux majeurs de l’évolution de la médecine qui concernent
l’ensemble des acteurs institutionnels, professionnels de santé et
mutualistes.
Le nombre de place étant limité, merci de bien vouloir dès à
présent vous inscrire par mail : arethore@fondationdelavenir.org
mailto:arethore@fondationdelavenir.org
ou par téléphone au 01 40 43 23 78.
Le congrès de la Fondation de l’Avenir, en partenariat avec
l’Académie Nationale de Chirurgie, est soutenu par la Matmut.
Cette année, *Monsieur Dominique Letourneau*, président du
directoire de la Fondation de l’Avenir, a l’honneur et le plaisir
de vous convier au 8e congrès qui aura pour thème : « Les progrès
en : la thérapie cellulaire et la chirurgie ambulatoire »,
deux enjeux majeurs de l’évolution de la médecine qui concernent
l’ensemble des acteurs institutionnels, professionnels de santé et
mutualistes.
Le nombre de place étant limité, merci de bien vouloir dès à
présent vous inscrire par mail : arethore@fondationdelavenir.org
mailto:arethore@fondationdelavenir.org
ou par téléphone au 01 40 43 23 78.
Le congrès de la Fondation de l’Avenir, en partenariat avec
l’Académie Nationale de Chirurgie, est soutenu par la Matmut.
NDLR : MGEFI et
FONDATION DE L’AVENIR
Fondation de l'avenir
lundi 10 juin 2013
Enquête PACE : les Français face aux cancers
Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la
lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité
aux nouveaux traitements
Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.
Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.
En France,
les principaux résultats de l’enquête révèlent que 59% de la population sont
satisfaits des avancées effectuées ces vingt dernières années dans la lutte
contre le cancer¹. En revanche, 60% regrettent la lenteur de la mise à
disposition des molécules innovantes aux patients¹. Deux perceptions partagées
par l’ensemble des personnes auditées dans le monde.
Le cancer
est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ13% de la
mortalité mondiale2. En France, le nombre de décès par cancer est
estimé en 2011 à 147 5003.
Une
bonne connaissance générale en oncologie mais des idées reçues persistantes
Les résultats
de l’enquête PACE soulignent la bonne compréhension en oncologie de la
population générale. A l’image des 5 autres pays interrogés, près d’1 Français
sur 2 (48%)¹ considère que l’annonce du diagnostic n’est plus synonyme de mort
assurée (contre 65% des Américains)¹. Cet optimisme relatif est partagé par les
patients (67%)¹ et les personnels soignants (56%)¹.
34% des
Français estiment également que le taux de mortalité par cancer a diminué¹. En
effet, le taux de décès attribué au cancer a baissé de 22 % chez l'homme et de
14 % chez la femme, en vingt ans, en France¹.
Cependant,
certains clichés persistent chez les Français interrogés :
® 46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
® 70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.
® 46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
® 70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.
« Le
niveau de connaissance est relativement faible car on est en face d’un paradoxe.
On a une maladie qui tue près de 150 000 personnes par an en France, et nos
concitoyens veulent à la fois qu’on les guérisse mais ne veulent pas trop en
savoir et surtout ne pas savoir s’ils ont eux-mêmes une conduite à risque »
explique le Professeur Philippe Rougier, ex-Chef de service Oncologie
Digestive à Hôpital Européen Georges Pompidou. « Le niveau de connaissance
varie en fonction des niveaux socio-économiques, des expériences personnelles
et des âges : il augmente brutalement quand l’individu ou un de ses proches est
atteint d’un cancer » affirme-t-il.
« Au-delà
de l’envie du malade d’en savoir plus ou non et de son niveau socioculturel, le
niveau de connaissance sur la maladie dépend aussi de la qualité de l’information
disponible » ajoute Bernard Delcour,
Président de l’Association Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M).
60% des Français pointent du doigt le délai d’attente trop
long pour l’accessibilité des patients aux molécules innovantes¹
59% de la population estiment
que les progrès en oncologie ont été remarquables ces vingt dernières années¹ ;
la moitié des Français interrogés se dit d’ailleurs satisfaite du
financement de la lutte contre le cancer¹. Un point de vue que ne partagent
pas les 74% des patients¹ et 81 % des personnels soignants¹ qui attendent
davantage de financement. Ce manque d’investissement est aussi dénoncé par une
bonne majorité de la population des cinq autres pays participant à l’enquête
PACE¹.
Autre point important soulevé
par 60% de la population française¹ : le temps d’attente beaucoup trop long des
patients pour accéder aux produits innovants. En effet, les patients sont
86% à se plaindre de ce délai¹ contre 65% des personnels soignants¹. Pour
la recherche et le développement de nouveaux produits innovants, 77% des Français
attendent plus de coopérations au niveau international¹. Et 3 personnes sur
4 souhaitent une meilleure collaboration entre les différents acteurs de la
lutte contre le cancer¹, à savoir les pouvoirs publics, les ONG, les
institutions académiques et les entreprises du médicament, afin d’accélérer les
progrès en oncologie.
« Avant d’être
autorisées sur le marché français, toutes les molécules innovantes sont souvent
autorisées bien avant aux Etats-Unis. En France, le volet réglementaire a pris
le dessus. On cherche avant tout à se couvrir des risques d’image, financiers
et sanitaires. Une telle approche très réglementée est antinomique avec une
démarche d’innovation. La prise d’initiative doit être primordiale. Il faut
viser une démarche plus globale qui prenne mieux en compte la qualité de vie
des malades, développer des approches projets qui garantissent un haut niveau
de sécurité sanitaire tout en simplifiant les processus et en réduisant les délais.
Tout cela convergera vers une meilleure maîtrise des coûts » souligne Bernard Delcour.
« Le
public n’a pas conscience de la rigidité des critères qui s’appliquent à l’industrie
et de la notion de « service médical rendu », c’est-à-dire du fait qu’un
produit est jugé à la fois sur son efficacité et sur sa tolérance » ajoute le Professeur Philippe
Rougier
Optimiser l’accès des patients aux essais cliniques pour
leur faire bénéficier des traitements innovants et faire avancer la recherche
Les résultats de l’enquête PACE
mettent en avant que 72% des Français souhaitent que les patients puissent
participer à des essais cliniques¹. En effet, 56% de la population générale¹
considèrent que les essais cliniques offrent aux patients l’opportunité de
faire progresser la recherche mais aussi de recevoir un traitement meilleur.
Actuellement, seulement 15% des patients en France ont déjà participé à un
essai clinique¹ ; 68% des patients affirment n’avoir jamais abordé ce sujet
avec leur médecin¹.
« Le rôle
des médecins pour optimiser l’accès des patients aux essais cliniques est très
important. Cela demande une certaine discipline parce qu’il existe beaucoup d’essais
de types différents : les essais cliniques peuvent être menés par les industriels, en particulier pour évaluer
les nouveaux produits, ces essais ne
pouvant inclure qu’un nombre limité de patients ; ceux qui sont soutenus par le
gouvernement à travers les programmes
hospitaliers de recherche clinique (PHRC) et ceux menés par les sociétés
savantes » précise le Professeur Rougier.
Enfin, 89%
de la population française ne verraient aucune objection à ce que les médecins
et les chercheurs exploitent leurs données médicales pour améliorer la
recherche en oncologie¹. Près de 9 patients sur 10 en feraient de même pour aider
les autres malades¹.
« Le cancer n’attend pas, les
malades non plus ! »
Références
[1] Etude PACE (Patient Access
and Cancer Care Excellence) réalisée par les laboratoires Lilly auprès de la
population, de patients atteints de cancer et de personnels soignants le cancer
en Allemagne, en France, en Italie, au Royaume-Uni, au Japon et aux Etats-Unis –
août/octobre 2012. En France, 500 personnes issues de la population générale,
100 patients et 102 personnels soignants ont été interrogés du 24 août au 4
octobre 2012.
[2] Une des plus grandes entreprises mondiales d’études, de sondages
[3] Globocan 2008, IARC, 2010. http://globocan.iarc.fr/factsheets/populations/factsheet.asp?uno=900
[4] « La situation du cancer en France en 2012 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2012. http://www.e-cancer.fr/publications/69-epidemiologie/629-la-situation-du-cancer-en-france-en-2012
[5] Dynamique d'évolution des taux de mortal- Collection Rapports & synthèses, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, novembre 2010.
[6] Cancer Research UK, “Can cancer be prevented?”, http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerprevention http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerpreventionAccessed January 11, 2013.FRCPR00110 - Mai 2013
[2] Une des plus grandes entreprises mondiales d’études, de sondages
[3] Globocan 2008, IARC, 2010. http://globocan.iarc.fr/factsheets/populations/factsheet.asp?uno=900
[4] « La situation du cancer en France en 2012 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2012. http://www.e-cancer.fr/publications/69-epidemiologie/629-la-situation-du-cancer-en-france-en-2012
[5] Dynamique d'évolution des taux de mortal- Collection Rapports & synthèses, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, novembre 2010.
[6] Cancer Research UK, “Can cancer be prevented?”, http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerprevention http://www.cancerresearchuk.org/cancer-info/healthyliving/introducingcancerpreventionAccessed January 11, 2013.FRCPR00110 - Mai 2013
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lundi 20 mai 2013
Découvrez en primeur l'édito du prochain N° de Couleurs MGEFI
Progrès
et réussites
Serge Brichet Président de la MGEFI
L’adhésion de la
MGEFI au groupe Istya et son entrée dans le réseau Optistya marquent de façon
significative ce début d’année 2013.
Ces deux démarches
traduisent la volonté des élus et dirigeants de pérenniser notre Mutuelle dans
son environnement et, en améliorant sensiblement les garanties et les services
proposés, de renforcer l’accès aux soins.
Elles illustrent, également,
en partageant nos destinées et nos actions avec d’autres mutuelles de la
Fonction publique, notre attachement à vouloir organiser la protection des adhérents
dans un cadre adapté à leurs droits statutaires.
Bien loin de défendre
un pré carré, nous sommes sur la réaffirmation forte de valeurs fondamentales,
au centre desquelles se placent les solidarités professionnelles.
Dans une période où
sont souvent soulignés la frilosité des initiatives communes, l’individualisme,
nous manifestons clairement l’envie d’avancer sur la voie de nouveaux progrès
et l’espoir de réussites collectives.
D’autres dossiers
majeurs viendront jalonner, dans les prochains mois, la route de la MGEFI :
devenir de la gestion du régime obligatoire par les mutuelles de
fonctionnaires, articulation des interventions assurance maladie/complémentaires,
préparation du prochain référencement…
Soyez convaincus
que la MGEFI s’y investira, directement ou via ses engagements fédéraux, avec détermination
en vue de préserver vos intérêts.
À Paris,
le 28/04/2013
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