MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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lundi 1 août 2016
mardi 7 janvier 2014
UNE PROTECTION SOCIALE À RECONQUÉRIRQUELLE PLACE POUR L’ENTREPRISE ?
SANTÉ__PRÉVOYANCE__RETRAITE
UNE PROTECTION
SOCIALE À RECONQUÉRIRQUELLE PLACE POUR L’ENTREPRISE ?
Compte rendu du Colloque
organisé le 4 novembre 2013 par MIROIR SOCIAL
en partenariat
avec MGEFI (groupe Istya) et SMI (groupe Covéa)
Crédit photo : Olivier Crenon
Rodolphe Helderlé; Bertrand Da Ros; Serge Brichet
EXTRAITS DE L'INTERVENTION DE SERGE BRICHET - PRÉSIDENT DE LA MGEFI
MGEFI et SMI : deux mutuelles
différentes mais le sens commun d’une solidarité en danger
La MGEFI, mutuelle à laquelle
adhèrent librement 90 % des fonctionnaires actifs et retraités des ministères économique et
financier, et SMI, une mutuelle qui gère les contrats collectifs obligatoires
de 9 000 entreprises étaient les deux partenaires du colloque organisé par
Miroir Social, le 4 novembre dernier. Deux mutuelles aux modèles différents
mais qui convergent sur la place que doit conserver la solidarité dans les
dispositifs de couverture de santé.
Comment vont évoluer les
solidarités entre les âges, entre les niveaux de revenus, entre les catégories
familiales et entre les catégories professionnelles de la couverture de santé ?
Vaste question sur laquelle Serge Brichet, président de la MGEFI, et Bertrand
Da Ros, directeur général de SMI, ont eu l’occasion de rebondir. « D’une
certaine façon, nous présentons les caractéristiques de mutualisation d'un
régime obligatoire. Les cotisations des retraités n’explosent pas et les
conditions d’adhésion sont aménagées pour les jeunes adhérents pendant les deux
ou trois premières années. Ce sont finalement les 35-55 ans qui payent à la
fois pour les jeunes et les retraités alors qu'ils consomment le moins de
prestations. C’est naturellement cette tranche d’âge qui est la plus exposée à
la concurrence. Or, c’est sur elle que repose la cohésion sociale que l’État
doit contribuer à assurer par un renforcement de la compensation des transferts
solidaires », a ainsi lancé Serge Brichet qui rappelle que l’État ne compense
que partiellement l’effort de solidarité intergénérationnel de la mutuelle,
alors que la concurrence se fait de plus en plus aiguisée. « La solidarité
intergénérationnelle peut aussi se penser en faveur des jeunes qui se trouvent
dans les situations les plus précaires », ajoute Serge Brichet qui concède que
la solidarité est plus facile à mettre en place dans des contrats collectifs
obligatoires, comme ceux que gèrent SMI.
Crédit photo : Olivier Crenon
Serge Brichet
Un équilibre collectif fragile
En effet, pas de cotisation en
fonction de l’âge, plus de distinction entre cadres et non-cadres et des
cotisations quasi exclusivement forfaitaires. Pour Bertrand da Ros, « nous ne
prenons pas en compte le niveau de salaire car la contribution de l’employeur,
qui est en moyenne de plus de 50 %, assure le socle de solidarité nécessaire
qui intègre la dimension familiale sans que les célibataires aient l’impression
de payer pour les autres. Mais cet équilibre est fragile et le sera d’autant
plus si le niveau de couverture moyen est revu à la baisse ». Les décrets
d’application de la loi du 14 juin 2013 généralisant la complémentaire de santé
dans les entreprises devraient en effet fixer un plancher et un plafond
resserré sur le panier de soin du futur éligible à une fiscalité allégée. «
C’est la porte ouverte au développement d’options facultatives individuelles
sur la base des contrats collectifs que nous considérons comme une dérive. À la
fois parce que ces options sont des sources de déséquilibre du contrat
obligatoire et parce seuls les salariés qui en ont les moyens peuvent se les
offrir », ajoute Bertrand Da Ros. Paradoxalement, la généralisation de la
complémentaire de santé à tous les salariés du secteur privé pourrait se
traduire par un nivellement par le bas pour les salariés dont les conjoints et
les enfants deviendront des options et sans que rien ne soit fait pour atténuer
la hausse exponentielle des cotisations au moment du passage à la retraite. À
loi Evin de 1989, qui limite la majoration de cotisation à +50 % à niveau de
couverture identique au moment du passage à la retraite, s’avère totalement
déconnectée de la réalité du terrain. Chez SMI par exemple, seuls 20 % des
ex-salariés choisissent de maintenir leurs garanties quand ils passent à la retraite.
Trop cher pour le retraité qui ne bénéficie plus de la contribution de
l’employeur et économique non rentable pour la mutuelle au regard du plancher
fixé sur la majoration. Alors que l’État concède 2 milliards d’euros
d’exonérations de charges sociales pour généraliser la complémentaire de santé
dans le privé, la somme des transferts de solidarité, octroyée dans le cadre
des référencements des opérateurs de santé dans la fonction publique d’État est
de l’ordre de 80 millions d’euros. On est loin des milliards que l’État
employeur devrait mettre sur la table pour mettre en place un régime
obligatoire pour ses fonctionnaires.
Serge Brichet
« Que ce soit en santé ou en
retraite, la notion de complémentaire est un élément essentiel de cohésion
sociale. Ne pas prendre en compte les transferts de solidarité contribuerait à
creuser les écarts et seraient sources de potentielles tensions sociales. »
Bertrand Da Ros
« Les acteurs de la protection
sociale vont développer une stratégie de plus en plus globale entre la santé,
la prévoyance, la dépendance et la retraite. Le niveau de solidarité dépendra
largement de la mise en cohérence de ces différents dispositifs »
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La
MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
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mardi 29 octobre 2013
C'est à lire : les comptes de la protection sociale en France
VIENT DE PARAÎTRE, dans la collection Etudes et Résultats, n° 856, octobre 2013
En France, 2011 constitue une deuxième année de croissance modérée (+2,0 %) avant la stagnation du produit intérieur brut en 2012, dans un contexte de récession de l’Union européenne. La protection sociale semble moins bien jouer son rôle d’amortisseur économique en Europe, en raison de la durabilité de la crise et de la réduction des dépenses sociales de certains pays pour équilibrer leur budget. C’est surtout le cas en Grèce, en Italie, en Espagne et aux Pays-Bas. En France, il n’y a pas d’affaiblissement marqué de ce rôle, même si l’on constate, depuis 2010, un infléchissement de la croissance des dépenses de protection sociale.
Myriam MIKOU et Julie SOLARD
Les comptes de la protection sociale en France et en Europe en 2011,
Les comptes de la protection sociale en France et en Europe en 2011,
Télécharger le rapport complet / Télécharger la synthèse du rapport
mardi 24 septembre 2013
C'est à lire : interview de Serge Brichet dans Miroir social de ce jour....
Par Rodolphe Helderlé - Miroir
Social du 24 septembre 2013
Plus de 90 % des agents des ministères économique et financier souscrivent
volontairement à la MGEFI (Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de
l'Industrie). Serge Brichet, son président, estime que l'État doit d'autant
plus renforcer les transferts de solidarité sur la couverture santé et
prévoyance de ces agents qu'il vient de concéder 2 milliards d'euros
d'exonérations de charges sociales pour généraliser la complémentaire santé à
tous les salariés du secteur privé. A défaut, l'écart se creuserait entre le
public et le privé en matière de protection sociale avec un risque de tensions
sociales.
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lundi 20 mai 2013
Découvrez en primeur l'édito du prochain N° de Couleurs MGEFI
Progrès
et réussites
Serge Brichet Président de la MGEFI
L’adhésion de la
MGEFI au groupe Istya et son entrée dans le réseau Optistya marquent de façon
significative ce début d’année 2013.
Ces deux démarches
traduisent la volonté des élus et dirigeants de pérenniser notre Mutuelle dans
son environnement et, en améliorant sensiblement les garanties et les services
proposés, de renforcer l’accès aux soins.
Elles illustrent, également,
en partageant nos destinées et nos actions avec d’autres mutuelles de la
Fonction publique, notre attachement à vouloir organiser la protection des adhérents
dans un cadre adapté à leurs droits statutaires.
Bien loin de défendre
un pré carré, nous sommes sur la réaffirmation forte de valeurs fondamentales,
au centre desquelles se placent les solidarités professionnelles.
Dans une période où
sont souvent soulignés la frilosité des initiatives communes, l’individualisme,
nous manifestons clairement l’envie d’avancer sur la voie de nouveaux progrès
et l’espoir de réussites collectives.
D’autres dossiers
majeurs viendront jalonner, dans les prochains mois, la route de la MGEFI :
devenir de la gestion du régime obligatoire par les mutuelles de
fonctionnaires, articulation des interventions assurance maladie/complémentaires,
préparation du prochain référencement…
Soyez convaincus
que la MGEFI s’y investira, directement ou via ses engagements fédéraux, avec détermination
en vue de préserver vos intérêts.
À Paris,
le 28/04/2013
samedi 23 février 2013
Les nouveautés solairesdisponibles dès mars prochain...
Solaires 2013
L’efficacité,
la sécurité, le plaisir en plus...
Mise
à disposition Mars 2013
« Quand on ne met
pas de crème, le soleil nous donne des coups ! »
Mot d’enfant
Vous aimiez
la gamme solaire à l’Eau thermale d’Avène ?
Vous allez
adorer la découvrir encore plus affutée en
2013
Cette année encore un pas est
franchi avec des améliorations qui portent non seulement sur le système
photoprotecteur, mais aussi sur les textures. Inspirées des tendances
brésiliennes, les textures émulsions ont un toucher sec étonnant (toque seco)
et particulièrement plaisant.
A retenir
• NOUVEAU : 4 photoprotecteurs seulement, et une diminution de 20% de la concentration totale en filtres pour
obtenir les mêmes indices de protection.
• INNOVATION : une très bonne photostabilité du fait de la stabilisation du
Butylméthoxydibenzoylméthane (BMDBM), (un des photoprotecteurs).
• UNE PROTECTION anti-radicalaire unique avec le Pré-tocophéryl (plus efficace que la vitamine E contre le stress
oxydatif).
• DE NOUVELLES FORMULATIONS qui permettent de satisfaire
encore mieux les utilisateurs
Ces reformulations concernent :
l’ensemble de la gamme 50+ (hors stick zones sensibles),
Cleanance solaire SPF 30, Spray SPF 30 et Spray enfant SPF
30.
• LA PROUESSE
TECHNIQUE : de nouvelles textures transparentes à l’application. Des émulsions
au fini mat, non collant et toucher sec.
Coup de projecteur
Une protection
anti-radicalaire unique
Les rayonnements UV génèrent des
radicaux libres susceptibles de fragiliser les cellules. Ces radicaux libres
sont neutralisés par notre organisme grâce à un système de défense. Quand
celui-ci arrive à saturation, il se produit une accumulation anormale
responsable d’un stress oxydatif.
C’est pour lutter contre ce stress oxydatif que les
Laboratoires Dermatologiques Avène utilisent le Pré-tocophéryl.
Le Pré-tocophéryl présente de nombreux avantages :
Ses propriétés
physicochimiques : cette molécule
amphiphile ne s’oxyde ni à la lumière ni à l’oxygène.
Son comportement
sur la peau : il se transforme
physiologiquement en tocophérol actif. Il permet une libération prolongée
d’anti-oxydant.
Son efficacité : il présente une meilleure photostabilité et
biodisponibilité que la vitamine E.
Le Pré-tocophéryl permet de :
Compenser la perte
en vitamine E induite par les UV
et contribuer à lutter contre les attaques de radicaux libres.
Renforcer la barrière cutanée et protéger les
structures cellulaires.
2013 : des
nouvelles formules qui ont tout pour satisfaire
Les nouvelles formules solaires
associent sécurité et qualités photoprotectrices dans de nouvelles textures
synonymes de plaisir
Transparentes à l’application
Sans effet blanc
Pénétration rapide
Les émulsions
Elles assurent un confort durable aux peaux normales à
mixtes. La présence de poudres matifiantes, de glycéryl laurate (agent
sébo-régulateur) dans une texture oil-free, laisse sur la peau un fini sec et
poudré.
Les crèmes
Elles sont développées pour garantir un confort optimal.
Non collantes, faciles à étaler, elles s’adaptent
parfaitement aux peaux sèches à la recherche d’hydratation et de nutrition.
Les sprays
L’application sur
l’ensemble du corps doit garantir une pénétration rapide. C’est l’objectif
atteint par ces nouvelles formules. L’agrément cosmétique est optimisé car les
Sprays solaires Avène 2013 sont sans effet blanc.
Ces formules
plaisir sont sans paraben et sans alcool.
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