Jeudi 13 avril 2017 de 19h à 22h
Conférence publique du Dr WILLEM : Préserver naturellement
sa santé face aux différentes pollutions
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vendredi 24 février 2017
Conférence grand public du Dr WILLEM : Préserver naturellement sa santé face aux différentes pollutions - Jeudi 13 avril 2017 de 19h à 22h
mercredi 19 mars 2014
Pollution et qualité de l'air....
A l'attention des Journalistes concernées pas la QUALITE de l'AIR
APRES LES PICS DE POLLUTION de CETTE SEMAINE
KILO AIR par jour : 1 - 2 - 12 ?
Les médecins allergologues de l'ARCAA vous apportent la réponse - Cliquez sur ce lien
La communauté médicale des Allergologues s’est mobilisée pour :
- informer la société civile avec une parole experte et responsable
- sensibiliser les "usagers - patients" sur leur responsabilité pour modifier leurs comportements.
En savoir plus
interviewer des médecins allergologues membre du collège d'experts SEIQA
www.rlabconseil.com
lundi 16 décembre 2013
Vitesse limitée à 70km/h sur le périphérique dès janvier 2014
Vitesse limitée à 70km/h sur le
périphérique dès janvier 2014
A partir de janvier 2014, la vitesse sera limitée à 70km/h sur le boulevard périphérique parisien contre 80km/h aujourd’hui. Bertrand Delanoë s’est mobilisé ces dernières années en faveur de cette mesure qui va permettre de réduire la pollution de l’air parisien, diminuer le bruit du périphérique et faire baisser le nombre d’accidents sur cet axe urbain fréquenté quotidiennement par 1,3 millions de véhicules. Le maire de Paris en avait formulé la demande au ministère de l’Intérieur à plusieurs reprises, sans succès jusqu’à présent : en juillet 2011 lors d’un vœu au Conseil de Paris et dans sa communication sur la lutte contre la pollution présentée au Conseil de Paris en novembre 2012.
Qui décide de la vitesse sur le
périphérique ?
C’est une décision du ministre
de l’Intérieur qui prend la forme d’un décret. La vitesse sur le périphérique étant
inscrite dans le Code de la route, une consultation préalable du Groupe
interministériel permanent de la sécurité routière (GIPSR), a été nécessaire. Un avis favorable a été
donné par ce dernier au projet de décret abaissant la vitesse à 70km/h, le 19
septembre 2013. Le décret est actuellement examiné par le Conseil d’Etat, dernière
étape avant la promulgation par le ministre qui devrait intervenir au cours du
mois de janvier. Manuel Valls avait déclaré y être favorable en juillet 2013.
Quel impact sur la pollution ?
La plus grande fluidité de
circulation, en limitant les effets d’accélération et de décélération sur le
boulevard périphérique permettra de faire baisser les polluants atmosphériques
jusqu’à 5% selon des études de l’ADEME (Agence de l'Environnement et de la
Maîtrise de l'Energie).
Le Boulevard Périphérique
contribue à lui seul à 35 % des émissions des particules fines liées au trafic
routier parisien, soit 20% des émissions totales parisiennes. Il contribue à
hauteur de 35 % des émissions de CO2 liées au trafic routier parisien, soit 12
% du total de la capitale. (Source : étude Airparif de juillet 2013)
Le bruit va-t-il baisser pour
les 100 000 riverains du périphérique ?
La baisse de bruit qui pourrait être
générée par la diminution de la vitesse limite de 10 km/h sur le périphérique
parisien se situe autour de 1,7 décibels pour les véhicules légers, 1,2 décibels pour les poids lourds, soit une baisse équivalente
à ce qui pourrait être obtenu par une réduction de 15 à 20 % du trafic. Les périodes
creuses, sur lesquelles la vitesse limite est atteinte, sont particulièrement
bruyantes : la réduction du niveau sonore sera donc appréciable pour les
riverains la nuit. (Source : étude Bruitparif de juillet 2013)
Rappelons que cet été, 10 % du
boulevard périphérique a été traité par un nouveau type de revêtement phonique
qui a permis une diminution du bruit de 7 décibels, soit l’équivalent d’une
division par cinq du bruit du trafic routier. Plus de 10 000 riverains du périphérique
sont concernés.
Peut-on évaluer les effets de la
baisse de la vitesse sur les accidents ?
L’impact de la baisse de la
vitesse sur la sécurité a été évalué de nuit, quand la circulation était
fluide. On estime que la diminution de 10 km/h aurait pour conséquence
une baisse de 23% du nombre d’accidents et une réduction de près de
65 % du nombre de blessés graves et de tués. En 2011, 25,5 % des accidents
corporels parisiens avec vitesse excessive ont eu lieu sur le périphérique. Ce
pourcentage a régulièrement augmenté depuis 10 ans (+ 7 % en 2011 par rapport à
2010). En 2011, 48,4 % des accidents corporels ayant eu lieu sur le périphérique
sont dus à la vitesse. (Source : Préfecture de Police 2011)
Le périphérique en quelques
chiffres
·
Plus de 100 000
habitants habitent à proximité du périphérique.
·
Chaque jour, 1,3
millions de véhicules empruntent le boulevard périphérique, ce qui représente
7,7 millions de kilomètres parcourus (chiffre 2013).
·
40% de la circulation automobile de Paris concerne le boulevard périphérique, cela représente 1 à 2% du
trafic national.
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lundi 21 octobre 2013
LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi
Pollution de l'air et cancers : il y a des solutions pour éviter
l'hécatombe
Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC)
de l’Organisation mondiale de la santé vient de classer la pollution atmosphérique
comme cancérigène certain. En effet, les scientifiques disposent de preuves
suffisantes pour affirmer que l'exposition à la pollution de l'air extérieur
provoque le cancer du poumon notamment.
Michèle Rivasi, députée européenne EELV, rappelle qu'avec
42.000 morts prématurées par an en France, la pollution de l’air extérieur,
notamment due aux particules fines du diesel (classé lui aussi cancérigène en
2012), au dioxyde de soufre (SO2), monoxyde
d’azote (NO) ou encore à l'ozone (O3) "pèse particulièrement sur notre
santé, et sur notre système de sécurité sociale. Je rappelle par
ailleurs que la France est actuellement en contentieux européen pour non
respect des seuils d’exposition des populations aux particules fines : elle
encourt de très lourdes pénalités financières si elle ne se met pas rapidement
en conformité avec la réglementation européenne".
Pour la députée écologiste, "il est indispensable d’orienter
le crédit impôt compétitivité destiné aux industries automobiles vers la création
de véhicules consommant deux litres d’essence aux 100 kilomètres. D'autre part,
les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) ont vu
leur financement baisser et le principe des zones d'actions prioritaires pour
l'air (Zapa) a été abandonné car aucun dossier n'a été déposé par les villes
candidates : l’absence de volonté politique gouvernementale sur ce sujet est déplorable".
En tant que présidente du Comité territorial Drôme-Ardèche
d’AIR Rhône-Alpes (qui est une ASQAA) je suggère quelques solutions simples, à
appliquer au niveau des villes pour permettre
de réduire l’exposition des habitants à cette pollution, notamment :
- En
matière d’urbanisme, les écoles, maisons de retraites et équipements sportifs
de plein air devraient majoritairement être implantées loin des grands axes
routiers ;
- Les
parkings relais avec navettes gratuites pour rejoindre le centre ville doivent être
multipliés ;
- Les poids lourds ne doivent plus se
retrouver en ville, et les livraisons en ville pourraient se faire à partir de
plateformes logistiques à l’extérieur des villes, en camion électrique.
Enfin, les enjeux sanitaires liés à la pollution atmosphérique
ne doivent pas occulter un autre sujet tout aussi préoccupant, à savoir la
pollution de l'air intérieur. "La fumée de tabac environnementale, l’amiante,
le radon, le benzène, le formaldéhyde (formol), plus le dioxyde de carbone
(CO2), souvent imputable à une mauvaise ventilation peuvent provoquer l’apparition de certains
cancers".
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jeudi 18 avril 2013
Le ciel de Paris accueille son nouveau ballon
Annoncé cet hiver par Generali, la Mairie de Paris, Airparif et le CNRS, le dernier né d’Aérophile ouvre ses portes ce week-end au grand public.
Plus beau, plus écolo, plus haut, le nouveau ballon de Paris, désormais baptisé Observatoire Atmosphérique
Generali, sera inauguré jeudi 18 avril en présence d’Anne Hidalgo, Première Adjointe au Maire de Paris, et de Jean-Louis Etienne, médecin explorateur.
Plus beau : un nouveau décor qui rend la qualité de l’air plus visible
Une gigantesque enveloppe bleu ciel survole désormais la Capitale sur laquelle s’affichent deux séries de pictogrammes : des véhicules clignotants d’une part, et les principaux monuments de Paris, d’autre part.
Visibles de jour comme de nuit, véhicules et monuments sont éclairés par 6400 ampoules LED et indiquent, grâce à leur couleur, le niveau de pollution, respectivement à hauteur du trafic et dans l’air ambiant selon l’indice européen CITEAIR fourni en temps réel par AIRPARIF.
Ainsi, lorsque la silhouette de la Tour Eiffel, passera du vert au jaune, cela indiquera que la qualité de l’air ambiant est passée de bonne à médiocre.
Grâce à son intensité lumineuse, alimentée en énergie « propre » grâce à un textile photovoltaïque fixé sur l’enveloppe du ballon, le ballon est visible par 400 000 Parisiens chaque jour.
Plus écolo : un laboratoire volant pour une meilleure connaissance de la qualité de l'air
Fruit d’une collaboration avec le CNRS et Environnement SA, un appareil de mesure d’une précision inédite, le LOAC (Light Optimal Aerosol Counter) est en permanence embarqué dans le ballon.
Capable à la fois de compter et d’identifier les particules, le LOAC se focalise sur les plus petites, à savoir les particules ultrafines, inférieures à 1 micromètre (PM1).
Grâce à l’Observatoire Atmosphérique Generali, le laboratoire pourra mener cette étude, en pleine ville, 7 jours sur 7, réalisant en permanence une véritable "carotte" de l’air parisien.
Dans la billetterie située au pied du ballon, les visiteurs trouveront affiché sur un écran plat en temps réel, l’ensemble des données fournies par les capteurs du CNRS, c’est-à-dire le niveau et la nature des particules ultrafines dans l’air.
Plus haut : des vols autorisés jusqu’à 300 m !
Jusqu’à présent, le public pouvait voler jusqu’à 150 m. Désormais, les matins de beau temps, quelques privilégiés lève tôt, pourront s’envoler à 300 mètres d’altitude et rivaliser avec le point le plus haut de Paris, la Tour Eiffel.
Ce vol « scientifique » permettra également d’effectuer des études sur la qualité de l’air à des hauteurs très différentes et de pousser plus loin les analyses.
Informations pratiques
Horaires : Le ballon reste ouvert tous les jours, de 9 h au coucher du soleil, sous réserve des conditions
météorologiques
Lieu : Parc André Citroën 75015 Paris,
Métros : Javel ou Balard / RER C Javel ou Boulevard Victor,
Tarifs : Adultes : 12 € - Enfants : 6 € - Moins de 3 ans : Gratuit
Gratuit pour les petits Parisiens de moins de 12 ans sur présentation de justificatif de domicile et d’âge (un adulte payant accompagnateur pour deux enfants gratuits maximum).
À propos de Generali France
Avec 6 millions de clients, particuliers ou bénéficiaires de garanties dans le cadre de leur activité, 800 000 entreprises et professionnels, Generali France est aujourd’hui le 2e groupe généraliste d’assurances dans l’Hexagone. La compagnie est filiale du groupe Generali l’un des principaux assureurs en Europe avec 80 000 collaborateurs, au service de 65 millions de clients dans plus de 60 pays.
Plus d’informations sur les actions sociétales de Generali France www.generation-responsable.com
À propos d’Aérophile
Créé en 1993 et fort d’une cinquantaine de collaborateurs, AEROPHILE S.A.S est le leader mondial du ballon captif. En 2012, ont été installés de nouveaux ballons en Chine, en Corée du Sud, en Thaïlande, au Vietnam et aux Etats-Unis, soit près d’une soixantaine depuis la création de la société. AEROPHILE S.A.S exploite aussi six ballons en direct, celui de Paris, au Great Park près de Los Angeles, à Disneyland Paris, à Walt Disney World à Orlando, dans les Smoky Mountains et au Zoo de San Diego.
Plus d’informations sur www.aerophile.com
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