Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 18 septembre 2024

Vaccination contre les HPV

🦷CANCERS ORAUX

L’UFSBD salue la reconduction de la vaccination gratuite
contre les HPV, au sein des collèges

Pour mémoire,

En 2020 l'extension d’indication et de prise en charge de la vaccination à tous les garçons contre les papillomavirus humains HPV était déjà une grande avancée dans la prévention des cancers oraux.
A la rentrée scolaire 2023-2024, une campagne de vaccination contre les HPV, gratuite et généralisée, sur la base du volontariat, dans les collèges pour les élèves de 5ème avait été organisée.
Pour la nouvelle année scolaire 2024-2025, la vaccination contre les HPV, dans les collèges, est reconduite.

L’UFSBD salue cette reconduction. Mais il est à souligner que le chirurgien-dentiste est le professionnel de santé qui voit le plus de jeunes dans son cabinet (à cette tranche d’âge) grâce notamment aux campagnes de prévention bucco-dentaire qui incite les jeunes à leur visite annuelle. Cette visite annuelle est l’occasion de parler avec le patient et sa famille du risque sur la santé orale lié aux HPVet permet d’engager un dialogue libre sans stigmatiser le jeune patient face à son activité sexuelle surtout en présence de ses parents.

Dès lors, l’UFSBD milite afin que le chirurgien-dentiste soit intégré dans les professionnels de santé « prescripteurs du vaccin » reconnus.


Pour ouvrir le dialogue en cabinet dentaire, l’UFSBD a créé deux posters destinés aux salles d’attente pour ouvrir le dialogue vis à vis de la vaccination HPV et de sensibiliser les parents à cette question de campagnes de prévention 

 
 

Le défi est désormais de tirer pleinement parti de cette opportunité offerte à tous les jeunes pour se protéger contre divers cancers, dont ceux de la cavité buccale liés aux papillomavirus humains.

En complément pour le reste de la population il est nécessaire d’assurer un dépistage précoce tout au long de la vie de ces cancers buccaux car ils se traitent efficacement s’ils sont détectés à temps. Ce dépistage se réalise à travers une visite annuelle avec son chirurgien-dentiste. Il est indispensable que l’ensemble des acteurs se mobilise pour que cette mesure qui présente un réel intérêt, rentre dans les pratiques.

 

🦷 Quelques repères :

Près de 420 000 adolescents de 12 ans (48 % de cette classe d’âge) ont ainsi reçu une première dose de vaccin ;
La première campagne en collège a permis de protéger 10 % des collégiens avec une première dose ;
En cabinet libéral, la couverture vaccinale a progressé de 17% chez les filles et de 15% chez les garçons de 12 ans, selon Santé publique France ;
Les HPV sont à l’origine, en France, de plus de 8 000 cancers des régions génitales, anales et oro-pharyngées par an ;
Un objectif de la nouvelle campagne : vacciner 30 % des élèves dans l’année ;
Les cancers ORL sont la 4ème cause de cancers en France, avec environ 14 000 nouveaux cas par an.


🦷 À propos de l'UFSBD :

L'Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire (UFSBD) est l’association engagée dans la promotion de la santé bucco-dentaire en France. Elle représente les professionnels de la santé dentaire et, au-delà de ses actions terrain au plus près des populations depuis bientôt 60 ans, elle vise à sensibiliser le public aux bonnes pratiques d'hygiène dentaire, à promouvoir la prévention des maladies bucco-dentaires et à encourager l'accès aux soins dentaires de qualité. 

🦷Pour en savoir plus sur l’association : www.ufsbd.fr.

www.ufsbd@ufsbd.fr - - ufsbd@ufsbd.fr - 01 44 90 72 84

🦷Pour aller plus loin : www.mabouchemasante.fr

 

mardi 23 avril 2024

Grand débat de la FAM « Vaccination et immunité »



Vaccination et immunité

Dans ce nouveau programme, la Fondation de l’Académie de Médecine souhaite lutter contre l’hésitation vaccinale en apportant une information fiable, certifiée et surtout compréhensible de tous. Ces débats viseront à mieux faire connaître l’histoire de la vaccination, expliquer le fonctionnement de la réponse immunitaire et les perspectives offertes grâce aux nouvelles techniques de fabrication, informer sur les devoirs et les droits de chacun en matière de vaccination ainsi qu’encourager les discussions autour des politiques vaccinales pour tenter de définir où, quand, et par qui se faire vacciner pour avoir la meilleure couverture vaccinale.

Au cours de ce grand débat introductif, intitulé « vaccination et immunité »  seront rappelés :

■ l’histoire de la vaccination et son avenir en évoquant les nombreuses maladies que la vaccination a fait disparaître ;
■ les grands principes de la vaccination en expliquant les mécanismes de la réponse immunitaire ;
■ les techniques de fabrication des vaccins et leur évolution en montrant pourquoi les adjuvants sont indispensables ;
■ l’intérêt de la vaccination individuelle et collective en discutant des difficultés de l’information en santé notamment sur cette thématique.

Inscrivez-vous au débat
Téléchargez le programme du débat

Les dates à retenir

■ Jeudi 25 avril 2024 de 14h à 17h30 – Vaccination et immunité – Grand débat à l’Académie nationale de médecine
■ Mardi 8 octobre 2024 de 8h30 à 10h – Les vaccins aux différents âge de la vie – Table ronde
■ Mardi 19 novembre 2024 de 8h30 à 10h – Aspect médico-social de la vaccination – Table ronde
■ Début 2025 – Séance de restitution

A propos de La Fondation de l'Académie de Médecine (FAM)
La Fondation de l’Académie de Médecine, reconnue d’utilité publique fédère des experts pour faire face aux grands enjeux de santé. Elle agit sur le terrain aux côtés de l’ensemble des acteurs pour rendre les femmes et hommes acteurs de leur santé. Elle encourage la philanthropie en abritant et soutenant des fondations partageant sa vision et ses valeurs.
 

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lundi 19 février 2024

Atelier Vaccination et Lien Social avec les Professeurs Olivier Klein et Vincent Yzerbyt

Vaccination et Lien Social
Atelier avec Olivier Klein et Vincent Yzerbyt
Professeur de psychologie à l'Université libre de Bruxelles et Professeur de psychologie sociale à l'Université Catholique de Louvain

📆 20 Février 2023
à 19h00
📍 Microsoft Teams 

 🤔 Pourquoi hésite-t-on à se faire vacciner ? 

L'hésitation vaccinale est un phénomène que ni les professionnels de santé, ni les pouvoirs publics ne parviennent à complètement cerner. Pour pallier la faible couverture vaccinale, l'ancienne ministre de la santé Agnès Buzyn avait rendu obligatoire 11 vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, ROR, Haemophilus influenzae de type B, hépatite B, pneumocoque et méningocoque C).

Alors que les récentes recommandation de la Haute autorité de santé tendent à lever certaines obligations vaccinales, en particulier des professionnels de santé. Comprendre les mécanismes de l'hésitation vaccinale revêt alors un enjeu de santé publique important pour les acteurs de la vaccination. C'est à ces mécanismes que les Professeurs Olivier Klein et Vincent Yzerbyt se sont intéressés dans leur ouvrage "Psychologie de la vaccination".

A travers cet Atelier VLS, nous discuterons des raisons qui poussent les citoyens à refuser la vaccination, des facteurs psychologiques en jeu et des moyens à mettre en œuvre pour lever ces freins psychosociaux ! 

Cet Atelier VLS est gratuit et l'inscription obligatoire.

À propos de VLS 
Créé à l’initiative de nile et Open Rome, le think tank Vaccination et Lien Social a pour objectif d’apporter une information simple, précise, scientifique et mutualisée à destination des personnes qui doutent avec sincérité de l’intérêt de la vaccination dans un contexte général de désinformation. Réunissant des sociétés savantes, professionnels de santé, industriels, associations de malades et institutions, il fait le lien également avec des personnes agissant dans les médias sociaux et des acteurs du monde dit « réel ».
 
Toutes les informations sont disponibles sur sa plateforme vls.direct et sa présence active sur les réseaux sociaux 

En savoir plus :
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mardi 17 janvier 2023

4EME EDITION DU BAROMETRE SANTE DES FONCTIONNAIRES



COMMUNIQUE DE PRESSE
JANVIER 2023

4EME EDITION DU BAROMETRE SANTE DES FONCTIONNAIRES

SANTE MENTALE, VACCINATION, COVID, ADDICTIONS…
LES FONCTIONNAIRES FACE AUX ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE

Paris, le 11 janvier 2023 – Depuis 2011, Urops (anciennement MFP Services) interroge, par l’intermédiaire d’un questionnaire,  les fonctionnaires de son périmètre sur leur santé*. Perceptions, ressenti, attentes et besoins des fonctionnaires en matière de prévention pour améliorer leur santé et identification des principaux déterminants sur lesquels il leur semble important d’agir en priorité.
Lors du colloque national organisé le 20 septembre 2022, Urops partenaire prévention de la CNAM a présenté les résultats de la quatrième édition de son Baromètre Santé des Fonctionnaires.
Interrogés sur les sujets de fonds de santé publique – impact de la Covid 19, bien-être mental, vaccins, addictions, alimentation et activité physique, … Les fonctionnaires lèvent le voile sur les problématiques de santé rencontrées dans leur vie personnelle et professionnelle.


DES FONCTIONNAIRES EN BONNE SANTE MALGRE UNE FORTE HAUSSE DES MALADIES CHRONIQUES …
83% des 6 000 répondants ont une perception satisfaisante de leur état de santé - 14 % une perception très satisfaisante - un taux relativement stable par rapport à leur ressenti en 2018 (- 1 point).
Toutefois, de nettes évolutions se dessinent : 40 % déclarent souffrir d’une maladie chronique (diabète, asthme…), un handicap ou un problème de santé qui les préoccupe depuis au moins six mois et qui nécessite des soins ou des traitements réguliers soit 9 points de plus qu’en 2018. Cette hausse s’observe aussi bien chez les hommes que chez les femmes. Cette tendance se retrouve au niveau de la prise en charge en ALD où 29 % des répondants déclarent bénéficier du dispositif des affections longue durée (+ 3 points par rapport à 2018), une part nettement plus importante que celle en population nationale (18% pour le régime général, source : CNAM, DSES).
*« Baromètre Santé des fonctionnaires », sondage en ligne réalisé du 7 juin au 6 juillet 2021 auprès de répondants fonctionnaires des mutuelles membres de l’Union Urops, âgés de 18 ans et plus. 6 000 questionnaires ont été exploités. L’échantillon est représentatif après application d’un redressement sur les critères suivants : sexe, âge, mutuelle et activité professionnelle.
Ministères de l’environnement Urops : Ministère de l’économie, des Finances et de la souveraineté industrielle et numérique, Ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire, Ministère de l’intérieur et de l’outre-mer, Ministère de la santé et de la prévention, Ministère de la Justice, Ministre des Armées, Ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion, Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Caisse des dépôts et consignations.


L’IMPACT DE LA COVID 19

Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, 58 % des répondants ont déjà réalisé un test (22 % après avoir eu des symptômes, 36% sans symptômes) et 9% ont eu un résultat positif. La pratique des tests est corrélée à l’âge : les plus jeunes ayant été les plus nombreux à réaliser un test (71 % des 18-39 ans) et les plus âgés moins nombreux (49 % des 70 ans et plus).
Ce sont 11% des répondants qui ont consulté un médecin à la suite de ces symptômes, essentiellement en consultation physique (8 %). 1% ont été hospitalisés et 0,1% des répondants admis en réanimation.

Cette épidémie a eu un impact sur le recours aux soins des répondants ; 1/3 a renoncé à consulter un professionnel de santé, faire un examen de santé ou se faire soigner durant cette période. 15 % des répondants ont reporté la consultation, jugeant que leur besoin n’était pas urgent et 14 % car ils ont rencontré des difficultés à obtenir un rendez-vous.

Au moment de l’enquête, du 7 juin au 6 juillet 2021, 8 répondants sur 10 (taux standardisé à 74 %) déclaraient être complètement ou partiellement vaccinés, soit une couverture vaccinale nettement plus élevée qu’en population générale pour laquelle on enregistrait 50% de primo vaccinés Compte-tenu du déroulé de la campagne vaccinale, les 60 ans et plus et les répondants ayant des comorbidités sont les plus vaccinés. 8 % des répondants avaient l’intention de se faire vacciner et 18 % des personnes de 18 à 49 ans.
12% ne souhaitaient pas se faire vacciner, un taux qui montait à 23 % auprès des 18 à 39 ans. Les principales raisons données quant au refus de vaccination étant:  le manque de confiance dans le vaccin, la crainte des effets secondaires, la préférence d’autres moyens de prévention que la vaccination, l’inefficacité du vaccin, la crainte des adjuvants, …

Le cabinet du médecin est le lieu préféré des fonctionnaires Urops pour se faire vacciner (40 %), même si les vaccinodromes et lieux de travail sont stratégiques dans la campagne de vaccination, appréciés en priorité respectivement par 30% et 17% des répondants. 

ALIMENTATION, SOINS, ACTIVITE PHYSIQUE… UN QUOTIDIEN BOULEVERSE
La Covid 19 a eu un impact mitigé sur les habitudes alimentaires mais a engendré une forte réduction de l’activité physique des répondants. Par rapport à février 2022 (avant les mesures de confinement mises en place), 16 % des répondants déclarent cuisiner plus de plats « maison » qu’avant, 14 % manger plus de fruits et de légumes, cependant ils sont 11% à grignoter plus entre les repas, 11 % à avoir une alimentation moins équilibrée.
On notera que, contrairement aux autres tranches d’âge, les moins de 40 ans sont plus nombreux à avoir augmenté leur consommation de produits gras, sucrés ou salés (23 %, contre 18 % qui en mangent moins). L’activité physique a été fortement réduite durant cette période. 39 % déclarent faire moins d’activité physique qu’avant les mesures de confinement contre 37 % des Français (source : IRDES, enquête CoviPrev).
DES ADDICTIONS QUI EXPLOSENT…
Les addictions sont également particulièrement présentes pour nos répondants.
Parmi les répondants, 19 % estiment que leur usage des écrans (jeux vidéo, paris en ligne, réseaux sociaux, usage d’internet) représente un problème pour leur santé et particulièrement les jeunes de 18 à 39 ans (35 %). C’est l’addiction la plus reconnue.
Actuellement, 11 % des répondants sont fumeurs soit une proportion qui demeure nettement inférieure à celle observée en population française et qui tend à se réduire (vs 32 % pour l’ensemble des Français âgé de 18 à 75 ans). Ce taux atteint 18 % parmi les personnes qui ressentent des troubles anxieux, une dépression ou des troubles du sommeil.
Parmi les fumeurs, 31 % ont le projet d’arrêter d’ici 1 an. Les fumeurs sont particulièrement conscients des problèmes de santé qu’ils encourent (57 % des fumeurs considèrent que leur consommation de tabac représente un problème de santé pour eux vs 16% pour l’ensemble des répondants). La grande majorité des répondants boivent de l’alcool au moins occasionnellement (83 %) et 12% présentent un comportement à risque en buvant tous les jours ou presque. 16 % des fonctionnaires du panel Urops jugent que leur consommation d’alcool représente un problème pour leur santé et seulement 29 % de ceux qui boivent tous les jours ou presque.
11 % des répondants déclarent consommer des anxiolytiques ou des somnifères régulièrement. Cette proportion atteint 53 % pour les répondants présentant des troubles anxieux, une dépression ou des troubles du sommeil.
Au total, une faible proportion de répondants souhaite obtenir des informations ou une aide à propos des risques d’addiction que peuvent entrainer ces substances ou les écrans (10 %). Cependant, 29 % des consommateurs d’anxiolytiques ou somnifères sont intéressés, tout comme 20% des fumeurs.

…UNE SANTE MENTALE FORTEMENT DEGRADEE

Très suivi pendant la crise sanitaire, l’état de santé mentale des Français a été particulièrement impacté, à l’instar de celui des fonctionnaires Urops. 44 % des répondants se trouvent, au moment de l’enquête, en situation de mauvaise santé mentale. Plus les répondants sont jeunes plus leur santé mentale est dégradée (72 % des 18-39 ans), les femmes sont également davantage touchées (53 %), tout comme les personnes ayant un enfant au sein du foyer (63 %) et les célibataires (53 %).
Dans le détail, 33% des répondants se sont souvent sentis stressés, 32 % épuisés et 19 % tristes. A contrario, 54 % se sont sentis souvent heureux et 49% dynamiques.

Les troubles du sommeil sont courants chez les répondants avec 2/3 d’entre eux qui déclarent en avoir eu au cours des 8 derniers jours, soit une proportion légèrement supérieure à ce qui est enregistré en population générale (69 % en taux standardisé vs 66 % pour les Français). Les jeunes de 18 à 39 ans sont ceux qui en souffrent le plus (79 %, dont 27 % beaucoup).

1/4 des répondants reconnait avoir eu davantage de difficultés pour se concentrer au cours des 4 dernières semaines.
La crise sanitaire a accentué les sentiments d’ennui pour 41 % des répondants et d’isolement pour 35 % d’entre eux. 1/3 ont craint de sortir et croiser d’autres personnes et 1 répondant sur 5 évoque des difficultés relationnelles avec ses proches.
A contrario, compte-tenu de leur statut, les fonctionnaires ont peu été impactés financièrement par la crise puisque seuls 7% ont ressenti davantage de difficultés financières.
Les répondants ont également dû faire face à davantage de contraintes liées à leur activité professionnelle qu’avant la crise sanitaire : près de la moitié des actifs ont eu un surcroît d’activité et autant ont craint une contamination sur leur lieu de travail ou dans les transports. Alors que les 2/3 des répondants en activité ont eu recours au télétravail depuis le début de l’épidémie de Covid-19, cette façon de travailler a généré des difficultés pour 40 % d’entre eux.
Les femmes ont davantage été impactées par l’ensemble des difficultés professionnelles évoquées et le télétravail a été ressenti comme plus contraignant pour les 18-39 ans et les personnes ayant des enfants au sein du foyer.

UN FORT BESOIN EN OPERATIONS DE PREVENTION SANTE

Conscient de la nécessité de trouver des méthodes alternatives pour lutter contre leurs addictions, les répondants du Baromètre souhaitent être accompagnés à travers des opérations de prévention et d’information sur mesure : 9% déclarent vouloir être accompagnés face à l’alcool, tout comme 29 % des consommateurs d’anxiolytiques, et 20 % des fumeurs...

Concernant la santé mentale celle-ci s’étant – comme celle des Français, considérablement dégradée, la mise en place de solutions de soutien psychologique et d’information sur les troubles anxieux, dépressifs ou troubles du sommeil s’avère être une nécessité absolue.


UROPS, PARTENAIRE DE LA CNAM POUR CONSTRUIRE DES OPERATIONS DE PREVENTION SUR MESURE

Urops, pour Union Régime Obligatoire en Prévention Santé gère 1,2 million de bénéficiaires (assurés sociaux et ayants droits), sous la tutelle de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM) avec laquelle elle intervient dans le cadre d’une convention pluriannuelle de gestion.

Son activité exclusive est de créer et d’organiser des actions de prévention en santé publique, auprès des populations de fonctionnaires relevant des Ministères du périmètre de gestion de l’Union.
Portée par sa connaissance pointue du milieu de la Fonction publique de l’État, Urops s’appuie sur un réseau de fonctionnaires formés à la conduite d’actions aussi diverses que la vaccination antigrippale, le dépistage du diabète, du bucco-dentaire, de l’insuffisance rénale et l’accompagnement et soutien psychologique...

Les actions se font en collaboration avec les services de l’administration, en bénéficiant de l’aide des médecins de prévention éventuellement présents sur sites.
Depuis 2019 : près de 1 200 actions réalisées au sein des administrations.
> Près de 40 000 agents pris en charge au titre de la prévention par Urops,
> Taux de satisfaction de plus de 98 %.

Urops est également un vecteur scientifique de la prévention et la gestion des risques.
Dotée d’un Conseil scientifique pluridisciplinaire, composé de professeurs en santé publique, en médecine, en épidémiologie ou en mathématiques appliquées, Urops, par l’accès aux données de santé de ses assurés sociaux, et l’analyse des résultats de son baromètre santé, crée des actions adaptées aux populations et développe un programme de Gestion du Risque, Prévention et Innovation (GDRPI) développant un concept innovant de «Santé publique en milieu professionnel», dans le cadre exclusif de ses missions d’intérêt général (Régime obligatoire - Assurance maladie).
www.urops-prevention.fr
Contacts presse Urops
Patricia Jaffré – pjaffre@urops-prevention.fr 

mercredi 17 novembre 2021

mercredi 15 septembre 2021

Vaccination des professionnels de santé : point AP-HM


logo_ap_hm_2020_RVB.pngCOMMUNIQUÉ DE PRESSE

Marseille, le 15 septembre 2021

Vaccination des professionnels de l’AP-HM : 
Point de situation

Après des mois d’information et d’incitation, la Loi du 5 août 2021 à la gestion de la crise sanitaire prévoit une obligation vaccinale contre la COVID-19 pour l’ensemble des professionnels de santé, des professionnels des établissements sociaux et médico-sociaux ainsi que les professionnels de santé qui exercent en libéral.

Depuis ce matin, le 15 septembre 2021, tous les professionnels de l’AP-HM pour exercer leur mission doivent avoir reçu au moins une dose de vaccin contre la COVID ou présenter un certificat de rétablissement (Ce certificat consiste en un test RT-PCR ou antigénique positif d'au-moins 11 jours et de moins de 6 mois) ou de contre-indication à la vaccination.

L’AP-HM tient à remercier les 93% de professionnels qui ont parfaitement répondu à cette obligation vaccinale.

En un mois,  avec de l’accompagnement, de la pédagogie, un renforcement des lignes de vaccination et des systèmes de remontées d’information facilités, le taux a progressé de 60% à 93%.  

Beaucoup de services hospitaliers affichent des taux à 100%.

De nombreux professionnels vaccinés en dehors des murs de l’AP-HM ont pu facilement faire remonter la preuve de leur vaccination.

La continuité du service public hospitalier est garantie

Durant ces dernières semaines, l’AP-HM avait anticipé les éventuelles conséquences sur l’offre de soins en étudiant jour après jour et service après service les taux de vaccination et en trouvant des solutions pour assurer le maintien de l’offre de soins. Les mesures d’incitation à la vaccination, les réorganisations, le recours aux heures supplémentaires et quelques remplacements (sur des grades d’AS, AP et ASH) permettent aujourd’hui d’accueillir les patients dans les conditions habituelles.

Il est important de souligner la mobilisation des acteurs institutionnels sur les sites et en direction centrale pour assurer la continuité du fonctionnement hospitalier.

L’AP-HM remercie les équipes qui, une nouvelle fois dans le cadre de cette crise sanitaire, ont démontré leur engagement, leur sens du collectif et des responsabilités et leur volonté de mettre un terme à cette épidémie en se protégeant et en protégeant nos patients.

Associée aux gestes barrières, la vaccination est la meilleure réponse afin de protéger notre santé, celle de nos proches, de nos patients, de la population, les activités économiques et de loisir, la vie collective.

Pour ceux qui n’auraient pas encore répondu positivement à cette obligation vaccinale et qui se verraient suspendus aujourd’hui, l’AP-HM indique qu’il n’est pas trop tard : dès lors qu’ils attesteront d’une preuve de vaccination, ils pourront réintégrer leur poste sans stigmatisation.

 

Quelques précisions sur l’obligation vaccinale

A partir du 15 septembre, pour prendre son poste, un professionnel de l’AP-HM doit présenter : un schéma vaccinal complet ou avoir engagé un schéma de vaccination (au moins la première dose et présenter un test PCR ou antigénique réalisé par un professionnel de santé de moins de 72h). Il est également possible de présenter un certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par la Covid-19 de plus de 11 jours et de moins de 6 mois, ou encore un certificat de contre-indication à la vaccination.

Cette obligation vaccinale concerne également les étudiants en santé.

Le 15 au matin : si  le statut vaccinal n‘est pas à jour les professionnels sont suspendus conformément aux dispositions de la loi du 5 août 2021 qui s'impose à tous et provisoirement remplacés (quand cela est possible). Les personnels soignants suspendus ne peuvent exercer dans un établissement ou à titre libéral pour des raisons de santé publique.

La suspension ne constitue pas une sanction disciplinaire en tant que telle mais a pour conséquences l’interruption de la carrière et de rémunération entre autre. Les obligations en matière de non cumul d’emploi des fonctionnaires restent en vigueur.

Dès lors qu’un agent présentera une preuve de vaccination, il réintègrera immédiatement son poste.

Rappel : les professionnels de santé ont déjà 4 vaccins obligatoires, l’obligation vaccinale n’est donc pas une nouveauté pour eux.

 



Si vous ne souhaitez plus recevoir de communications de APHM, veuillez cliquer sur ce lien ici.
APHM, 80 rue Brochier ., MARSEILLE CEDEX 5, . . France

vendredi 11 juin 2021

ACADEMIE DE PHARMACIE / vaccination Covid-19 : pour une obligation "ciblée"


100 % des personnels de santé

doivent être vaccinés contre le SARS-Cov2

dans l’intérêt de tous les patients
 
Conformément à sa recommandation émise le 25 mars 20191, l’Académie estime que la vaccination contre la Covid-19  devrait être ajoutée à la liste des vaccinations obligatoires pour les personnels de santé et plaide pour une obligation « ciblée ». 
1 l'hépatite B, la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite; 2° Dans un laboratoire d'analyses  et de biologie médicale sans être immunisé contre la fièvre typhoïde.

jeudi 29 avril 2021

La Matmut ouvre un nouveau centre de vaccination Covid-19

Le Centre de Santé du Square de la Mutualité, géré par le Groupe Matmut, ouvre un centre de vaccination Covid-19 dans le 5ème arrondissement de Paris

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Créé en 2013 et géré par le Groupe Matmut, le Centre de Santé du Square de la Mutualité, situé dans le 5ème arrondissement de Paris permet à chacun de bénéficier, en un même lieu, au cœur de la ville, de l’expertise d’une équipe médicale pluridisciplinaire. 
Tout en continuant d’assurer ses missions de continuité des soins et d’accueil des patients atteints du Covid-19, il ouvre, avec la Mairie de Paris, un grand centre de vaccination au sein du Gymnase des Patriarches. 3 000 injections de doses de vaccin, par semaine, sont programmées au démarrage. 5 000 à terme.

Logo CSSM
Le Centre de Santé du Square de la Mutualité se mobilise afin de compléter l’offre de vaccination

Disposant d’une offre de soins complète (médecine générale et de spécialité, plateau technique d’imagerie avec notamment scanner et IRM, soins dentaires…), le Centre de Santé du Square de la Mutualité a été ouvert par le Groupe Matmut en 2013 et marque l’attachement du Groupe à concourir à une offre de soins accessible à tous. matmut.fr/groupe-matmut/acteur-citoyen/centre-sante.html 

Au plus fort de la crise sanitaire, le Centre de santé a joué un rôle important en faveur des patients atteints du Covid-19. Il continue à assurer cette mission d’acteur de soins de premier recours, avec une prise en charge globale intégrant dépistage, prise en charge en médecine générale et le cas échéant avis pneumologique et scanner thoracique.

Aujourd’hui, le Centre de Santé du Square de la Mutualité va encore plus loin puisqu’il ouvre un centre dédié à la vaccination Covid-19, afin de compléter l’offre de vaccination sur le territoire.
Adossé au Centre de santé, le grand centre de vaccination est situé au Gymnase des Patriarches, mis à disposition par la Mairie du 5ème arrondissement, 6 place Bernard Halpern.

Le principe de ce nouveau centre de vaccination est de fonctionner sans impacter l’activité du Centre de santé, afin de permettre à ce dernier d’assurer une continuité des soins et de poursuivre sa mission.

Le centre de vaccination, en pratique

• Gymnase des Patriarches d’une surface de 540 m2, à proximité du Centre de santé. Aménagé par le Centre, avec le soutien de la Mairie de Paris, de la Mairie du 5ème arrondissement et de l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM).
• Au démarrage, 3 000 injections par semaine, avec une montée en charge progressive (5 000 minimum, à terme).
• Prise de rendez-vous principalement via Doctolib, mais aussi par téléphone (01.55.25.01.90) ainsi qu’au Centre de Santé du Square de la Mutualité, pour sa patientèle. 
• 30% des rendez-vous seront dédiés aux patients éligibles du Centre de santé et de ses partenaires hospitaliers (IMM, Institut Curie…).
• Amplitude horaire (évolutive, jusqu’à 7J/7) : du lundi au vendredi, de 9h à 19h et le samedi, de 9h à 14h.
• Mobilisation des professionnels du Centre de santé, mais aussi de soignants retraités de l’IMM, partenaire du Centre de santé. Des étudiants en médecine se sont en outre d’ores et déjà portés volontaires afin de participer aux opérations de vaccination, ainsi que des bénévoles, pour l’accueil et l’orientation des patients. 

Commentant l’ouverture du centre de vaccination, Nicolas Gomart, Vice-président et Directeur général du Groupe Matmut a déclaré : « Le Groupe Matmut est historiquement proche de l’univers de la santé. Dans la crise sans précédent que nous traversons, nous avons notamment pris des mesures solidaires et extracontractuelles en faveur de nos sociétaires membres du personnel soignant. Nous nous sommes également fortement engagés sur les enjeux de santé publique, par exemple en intégrant à nos offres de complémentaire santé le remboursement des frais de dépistage et des vaccins Covid-19 ou encore la prise en charge des consultations chez les psychologues. 
Je suis enfin très fier de l’implication de tout le personnel du Centre de Santé du Square de la Mutualité, au bénéfice des patients. Notre démarche volontariste consistant à compléter l’offre de vaccination sur le territoire est une nouvelle preuve de notre engagement, compte tenu des enjeux actuels. »

A PROPOS DU GROUPE MATMUT

Avec plus de 4 millions de sociétaires et 7,6 millions de contrats d’assurance gérés, le Groupe Matmut est un acteur majeur sur le marché français de l’assurance. Il offre à tous – particuliers, professionnels, entreprises, associations – une gamme complète de produits d’assurance des personnes et des biens (auto, moto, bateau, habitation, responsabilités, protection de la famille, santé, protection juridique et assistance) et de services financiers et d’épargne (crédits auto, projet, assurance emprunteur, livret d’épargne, assurance vie…). Le Groupe Matmut compte aujourd’hui 6 400 collaborateurs. La SGAM Matmut a réalisé un chiffre d’affaires de 2,29 milliards d’euros en 2020.

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lundi 26 avril 2021

Santé des fonctionnaires

COUP DE PROJECTEUR :
Les équipes de MfpsPrevention étaient sur le terrain le 8 avril dernier dans le cadre de deux opérations de prévention anti covid.

Les équipes de @MfpsPrevention en partenariat avec le ministère de l’Intérieur étaient place Beauvais le 8 avril 2021 dans le cadre d’une opération de dépistage antigenique #Covid_19.

En partenariat avec le secrétariat général du ministère de l’Économie et la  mutuelle Mgefi les équipes de  MFP Services* organisaient le même jour, la 1ère campagne de vaccination Covid-19 au sein du ministère de l’Économie des Finances et de la Relance.
*MFPServices acteur  Coordination & Innovation sur les enjeux de #prévention auprès des fonctionnaires. #Fonctionpublique #Sante. 

En savoir plus : mfpservices.fr

vendredi 3 mars 2017

Best-of 3 mars 2017

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COUP DE PROJECTEUR

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Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Économie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.



A propos de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements de la vie les plus graves et aux risques les plus lourds.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR 
■ clip institutionnel 2015 https://vimeo.com/132203098?ref=tw-share


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Le mercredi 8 mars pensez à poster un petit message sur les réseaux sociaux à l'attention des femmes élues ou collaboratrices du mouvement mutualiste avec #MutElles. Merci d'avance de vos RT


TRÈS BON WEEK-END