Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est Ouverture. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Ouverture. Afficher tous les articles

lundi 15 février 2016

Prochaine ouverture d'un nouveau centre d'appels MGEN

Prochaine ouverture d'un nouveau centre d'appels
Pour accompagner son développement, le groupe MGEN, qui a franchi fin 2015 la barre des quatre millions de personnes protégées, a installé à Nantes un nouveau centre d’appels. Fin 2018, ce centre comptera environ 140 salariés.
Lire le communiqué 20160215_CP_MGEN_Nantes.pdf
Retrouvez tous les communiqués de presse sur mgen.fr.
Suivre la MGEN sur Twitter: @groupe_mgen.

lundi 9 décembre 2013

La MGEFI vous accueille rue Bouchardon

La Mutuelle s'installe rue Bouchardon dans le 10e arrondissement de Paris.
 
 

 
BIENVENUE 
A la MGEFI ...

 
 
NOTEZ DES MAINTENANT
NOS NOUVELLES COORDONNEES
 
-         TELEPHONIQUES 
Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29
 
Dès le 11 décembre 2013, les adhérents disposeront du numéro de téléphonique unique pour contacter la MGEFI (métropole).
 
Le service téléphonique sera toujours assuré par les conseillers mutualistes répartis sur le territoire métropolitain.
 
 Pour joindre la Réunion, les Antilles et Mayotte, les numéros actuels demeurent.
 
-         POSTALES 
Une nouvelle adresse postale pour l’ensemble des courriers 
 
MGEFI

6, rue Bouchardon

CS 50070

75481 Paris Cedex 10
 
 
 
 


vendredi 6 décembre 2013

J -3 avant l'ouverture des portes...


Nouvelles coordonnées pour les adhérents...

 

Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29

 

À compter du 11 décembre 2013, les adhérents disposeront du numéro de téléphonique unique pour contacter la MGEFI (métropole). Le service téléphonique sera toujours assuré par les conseillers mutualistes répartis sur le territoire métropolitain.

 

 Pour joindre la Réunion, les Antilles et Mayotte, les numéros actuels seront toujours en vigueur.

 

Une nouvelle adresse postale pour l’ensemble des courriers adhérents

 

MGEFI

6, rue Bouchardon

CS 50070

75481 Paris Cedex 10

 

 

J -3

Nouveau siège de la MGEFI

Le 9 décembre prochain, la Mutuelle s’installe rue Bouchardon à Paris dans le 10e arrondissement.
 



L’aventure continue

Au revoir Glacière, Bonjour Bouchardon

Et très bon emménagement aux équipes du siège de la MGEFI
 
 
 
 

jeudi 5 décembre 2013

J -4 avant l'ouverture des portes...


Nouvelles coordonnées pour les adhérents...

 

Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29

 

À compter du 11 décembre 2013, les adhérents disposeront du numéro de téléphonique unique pour contacter la MGEFI (métropole). Le service téléphonique sera toujours assuré par les conseillers mutualistes répartis sur le territoire métropolitain.

 

 Pour joindre la Réunion, les Antilles et Mayotte, les numéros actuels seront toujours en vigueur.

 

Une nouvelle adresse postale pour l’ensemble des courriers adhérents

 

MGEFI

6, rue Bouchardon

CS 50070

75481 Paris Cedex 10

 

 

J -4

Nouveau siège de la MGEFI

Le 9 décembre prochain, la Mutuelle s’installe rue Bouchardon à Paris dans le 10e arrondissement.

mercredi 4 décembre 2013

J -5 avant l'ouverture des portes...


Nouvelles coordonnées pour les adhérents...

 

Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29
 
À compter du 11 décembre 2013, les adhérents disposeront du numéro de téléphonique unique pour contacter la MGEFI (métropole). Le service téléphonique sera toujours assuré par les conseillers mutualistes répartis sur le territoire métropolitain.
 
 Pour joindre la Réunion, les Antilles et Mayotte, les numéros actuels seront toujours en vigueur.
 

Une nouvelle adresse postale pour l’ensemble des courriers adhérents

 

MGEFI

6, rue Bouchardon

CS 50070

75481 Paris Cedex 10

 

 

J -5
Nouveau siège de la MGEFI
Le 9 décembre prochain, la Mutuelle s’installe rue Bouchardon à Paris dans le 10e arrondissement.

lundi 28 octobre 2013

La Mutualité Française est favorable à l’ouverture des données de santé et demande à être associée aux travaux sur ce sujet


Le 3 octobre 2013, Pierre-Louis Bras, inspecteur général des affaires sociales (IGAS), a remis à Marisol Touraine, Ministre des affaires sociales et de la santé, un rapport sur « la gouvernance et l’utilisation des données de santé ». Ce rapport préconise l’ouverture des données du Système d’information interrégimes de l’assurance-maladie (Sniiram) ainsi qu’une évolution de la gouvernance de l’accès aux données de santé s’appuyant sur un Haut conseil des données de santé doté d’un conseil scientifique et placé sous l’égide du ministère de la santé.

 

A la réception de ce rapport, la Ministre a pris la décision de confier au Directeur de la DREES la mise en œuvre de ses recommandations, tout en appelant à l’ouverture d’un débat public.

 

Dès 2003, la Mutualité Française a régulièrement pris position pour l’ouverture des données de santé assortie du strict respect de leur confidentialité et d’une exploitation non mercantile. Ces données du Sniiram qui concernent l’offre et la consommation de soins des assurés sociaux, leur montant comme leur description, donnent en effet une vision globale du recours de la population à notre système de santé et renseignent avec précision sur la nature des dépenses de santé des Français.

 

Dans l’intérêt des patients et de la collectivité dans son ensemble, la Mutualité Française considère de ce fait que le partage et l’exploitation de ces données sont essentiels pour disposer d’outils capables de mieux prévenir les crises sanitaires, d’améliorer la qualité des soins et de réguler les dépenses.

C’est à cet effet que l’Institut des Données de Santé (IDS) a été créé en 2007. Indépendant du Sniiram et doté d’un pouvoir de contrôle, cet institut a organisé avec succès l’accès aux données du Sniiram dans un environnement sécurisé. Il a également contribué à une meilleure lecture des données de santé en produisant des tableaux de bords conçus comme des outils d’aide à la décision pour l’ensemble de ses membres (pouvoirs publics,  régimes d'assurance maladie obligatoire, Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, Union Nationale des Professionnels de santé, Collectif Interassociatif sur la Santé, Union Nationale des organismes d’assurance maladie complémentaire  et Fédérations hospitalières). L’IDS est aussi à l’origine de la mise en commun de données entre l’Assurance maladie obligatoire et les complémentaires santé pour améliorer la connaissance des restes à charge pour les patients, tout en préservant leur anonymat. 

 

C’est pourquoi, plutôt que la création d’une nouvelle instance de gouvernance dont les contours restent à définir, la Mutualité Française préconise une évolution de l’IDS préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics tout en renforçant ses moyens d’action pour accélérer et sécuriser l’accès aux données de santé.

 

Favorable à un débat public sur l’ouverture des données de santé, la Mutualité Française souhaite y prendre toute sa part, tout en étant associée aux travaux à venir.

 

 

 

A propos de la Mutualité Française

 
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 
Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 
La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement. www.mutualite.fr

mardi 8 octobre 2013

LIBRES PROPOS signés Guillaume CAIROU à propos de :

L’interdiction de l’ouverture dominicale est un poison économique et social.

Comment espérer que les étrangers comprennent la France ?

5 millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté.
5 millions de demandeurs d'emploi.
1 jeune sur quatre au chômage.
Pourtant le travail le dimanche est interdit. Les salariés sont empêchés. L’économie est arrêtée.

Qui peut encore sincèrement croire pertinente une loi instaurant le principe du repos dominical remontant au 13 juillet 1906 ?

Comment se priver de l’outil précieux qu’est l’ouverture dominicale pour lutter contre la concurrence de certains modes de commerce comme le commerce en ligne sur Internet qui fonctionne en continu ?

Qui peut contester qu’ouvrir le dimanche est d’une plus grande équité dans la concurrence avec les magasins automatiques et le commerce électronique qui eux restent ouverts 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 ?

Qui peut accepter qu’une loi de 1906 continue encore longtemps de paralyser la vie économique et sociale de notre pays ?

Comment attendre pour modifier une législation datant d'une autre époque ?

Comment peut-on stigmatiser sérieusement ces employés modestes sont désireux d'améliorer par le travail leur niveau de vie dans un pays où les salaires réels sont bas ?

Remettons au cœur de notre société le dialogue social. Mettons fin à une hypocrisie insoutenable.

Qui peut douter que l’ouverture dominicale est de l'intérêt de toutes les parties : salariés, chômeurs, consommateurs et actionnaires ?

Comment accepter qu’une minorité agissante prive une majorité de salariés sincères d’avoir le droit de choisir ses moments de travail et ses moments de liberté ?

Va-t-on sincèrement priver près d'un tiers des salariés français (29 %) qui travaillent le dimanche, «occasionnellement » ou « habituellement » de leur emploi ?

Peut-on se priver des 500 postes menacés chez Bricorama ? Peut-on se priver des 15 à 20 % de son chiffre d'affaires réalisé ce jour-là par Leroy-Merlin ?

Peut-on accepter de laisser des salariés, des étudiants en situation de précarité en les privant de leurs emplois ?

Quand le travail du dimanche est payé 150 à 200% plus cher, l'attrait salarial n’est-il pas évident ?

L’intérêt économique n’est-il pas également évident pour l'entreprise alors que certaines enseignes y réalise un quart du chiffre d'affaires de la semaine qui est réalisé le dimanche matin ?

Peut-on se priver de 10 000 emplois de plus à Paris ? De 20 000 emplois supplémentaires à temps plein si l'on autorise l'ouverture 10 à 12 dimanches par an ? (Conseil du commerce de France)

Peut-on se priver des 100000 qui pourraient être créés dans celui du commerce de détail d'après une étude du Conseil d'analyse économique de 2007 ?

Comment dès lors interdire à de grandes enseignes de faire travailler des salariés qui le souhaitent le dimanche ou tard le soir alors que la rémunération horaire qui leur est offerte est supérieure de 50 % à 150 % ?

En ces temps de crise, l'emploi ne doit-il pas être la priorité du gouvernement ?

Quand va-t-on enfin ouvrir les yeux et comprendre que la durée du travail doit être conventionnelle ? Est-il si compliqué de comprendre que la durée du travail chez Sephora sur les Champs-Elysées ne peut pas être la même que dans une petite entreprise individuelle en région ?

Est-ce socialement juste de retirer les 400 € de plus sur sa fiche de paie à une jeune mère de famille ? Que vont faire les 75% de caissiers étudiants ? En effet, que faire d’eux alors que les emplois créés profitent surtout aux jeunes, qui ont des difficultés d’insertion sur le marché du travail particulièrement importantes en France.

Est-ce socialement pertinent d’interdire à chaque salarié d'améliorer son pouvoir d'achat ?

Est-ce socialement efficace de priver les étudiants d'un emploi compatible et indispensable à leur situation ?

N’est-il pas temps pour la France, qui est une des premières destinations touristiques, de permettre à la distribution française d'ouvrir le dimanche ?

Le travail du dimanche, ce sont des emplois et de la croissance ! Comment renoncer à l’ouverture dominicale alors que cette mesure est parmi celles qui vont être le plus rapidement efficaces et qui seront des accélérateurs de croissance, de création d'emplois et des développeurs de pouvoirs d'achat ?

Le principe de la liberté du commerce est-il à ce point méprisable en France ?

Comment accepter que l’on prive les consommateurs de l’extension des horaires d’ouverture ? Est-ce en effet normal de trouver logique de fermer les commerces au moment où les salariés disposent de temps pour faire tranquillement leurs achats ?

Alors que les études empiriques disponibles montrent que les expériences passées dans ce domaine ont induit des créations d’emploi, comprises entre 3 et 10 % de l’emploi du secteur, va t on persister à l’interdire au nom de principes désuets ?

Et puis, au fond, qui peut, en 2013, considérer que travailler c’est s’aliéner au point où la loi doit nécessairement l’interdire ?





A propos du Club des Entrepreneurs
:
Il compte aujourd'hui plus de 18 500 membres.
Le Club des Entrepreneurs est un réseau de créateurs et dirigeants d'entreprises qui ont tous, dans des secteurs d'activité différents, leur propre expertise, mais qui partagent une ambition commune : promouvoir l'esprit d'entreprise et le partage des bonnes pratiques entrepreneuriales.

http://www.clubdesentrepreneurs.org
@CdEntrepreneurs

A propos de Guillaume CAIROU
:
Président du Club des Entrepreneurs
PDG Fondateur du Groupe Didaxis, leader du portage salarial en France,
Mentor à la CCIP au sein de l'Institut du Mentorat Entrepreneurial de Paris (IME),
Membre de CroissancePlus,
Auteur du livre « Créer son entreprise » aux éditions Jacob-Duvernet.

mardi 1 octobre 2013

Ouverture de la base de données publique des médicaments



Base de données publique des médicaments :



Marisol Touraine pose la première pierre

du service public d’informations en santé
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a ouvert ce jour la première base de données publique qui recense l’ensemble des informations disponibles sur les médicaments.

Hébergée sur medicaments.gouv.fr, cette base de données marque la première étape du projet du Gouvernement de mettre en place un service public d’information en santé.

En effet, comme l’a rappelé Marisol Touraine lors de la présentation des grands axes de la Stratégie nationale de santé, chaque Français doit pouvoir accéder aisément à une information fiable, qu’elle concerne des médicaments, des établissements ou des professionnels de santé.



Sous le pilotage de la direction générale de la santé, la base de données publique des médicaments regroupe des données issues de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), de la Haute autorité de santé (HAS) et de l’Assurance maladie (CNAMTS). Elle fournit des informations sur l’intégralité des spécialités pharmaceutiques commercialisées sur le marché français ou dont l'arrêt de commercialisation date de moins de deux ans.
Sont présentés pour chaque médicament les indications, les précautions d’emploi, les contre-indications, les autorisations de mise sur le marché, le statut au regard de la commercialisation, le prix, le taux de remboursement et des informations relatives à la sécurité d’emploi. Des icones indiquent si le médicament est délivré uniquement sur prescription, s’il est remboursé par la sécurité sociale et s’il appartient à un groupe générique. 2



Ces informations peuvent être facilement, grâce à la fonction d’autocomplétion, recherchées par le nom du médicament ou de son principe actif.

La base est accessible sur ordinateur, une version spécifique ayant été développée pour les mobiles et tablettes.
L’accès à la base se fait à l’adresse medicaments.gouv.fr qui offre un espace dédié exposant au grand public de manière pédagogique et transparente ce qu’est un médicament, comment il est commercialisé, avec quelles précautions il doit être utilisé, comment déclarer les effets indésirables éventuels…



Sur ce même espace, l’internaute pourra déclarer un effet indésirable, dans le but d’améliorer les signalements des professionnels et des patients eux-mêmes.

Pour la première fois, des informations simples et de référence sont publiées sur un endroit unique et répondent aux questions que se posent les citoyens sur le médicament.

La base de données publique des médicaments évoluera dans les prochains mois afin de répondre aux suggestions que ne manqueront pas de faire les citoyens et les professionnels de santé, en particulier la mise à disposition de recommandations.




Retrouvez la présentation animée de cette base sur http://www.sante.gouv.fr/clip-base-de-donnees-medicaments.html


 

Ouverture des inscriptions au cercle Droit et Mutualité du 17/10/2013


Le prochain cercle Droit et Mutualité se déroulera le 17 octobre prochain à partir de 14h00 à la Mutualité Française. Il aura pour thème : Les nouvelles règles Fit&Proper et la loi bancaire du 26 juillet 2013


L'accès à la conférence est libre sous réserve d'inscription sur Mutweb en cliquant ici.

jeudi 6 décembre 2012

Ouverture d’une rubrique LIBRES PROPOS sur le Blog « Mine d’Infos »


 Si le cœur vous en dit n'hésitez pas à me faire parvenir une réaction personnelle à l'actualité Santé /Protection sociale du moment

IMPORTANT : cette rubrique n’est pas destinée à accueillir des publicités ni propos ne correspondant pas au contenu du blog.