MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 20 février 2024
A quand la reconnaissance des acouphènes parmi les handicaps invisibles invalidants ?
jeudi 25 février 2021
Tabac chauffé : qu'en dit l'OMS...
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) saisit cette occasion pour rappeler aux États Membres qui sont Parties à la Convention-cadre de l’OMS sur la lutte antitabac (ci après : « la Convention-cadre ») leurs obligations en vertu de celle-ci. Les produits du tabac chauffés sont des produits du tabac, par conséquent, la Convention-cadre de l’OMS s’applique pleinement à ceux-ci. (Décision FCTC/COP8(2)). En particulier, aux termes de l'article 13.4 (a) de la Convention-Cadre de l'OMS, les Parties sont tenues d’interdire « toutes les formes de publicité en faveur du tabac, de promotion et de parrainage qui contribuent à promouvoir un produit du tabac par des moyens fallacieux, tendancieux ou trompeurs, ou susceptibles de donner une impression erronée quant aux caractéristiques, aux effets sur la santé, aux risques ou émissions du produit ».
L’OMS réaffirme que la réduction de l’exposition à des produits chimiques nocifs contenus dans les produits du tabac chauffés ne les rend pas sans danger et ne se traduit pas non plus par une diminution des risques pour la santé humaine. En effet, certaines toxines sont présentes à des niveaux plus élevés dans les aérosols générés par les produits du tabac chauffés que dans la fumée des cigarettes traditionnelles, et on retrouve également d'autres toxines dans les aérosols des produits du tabac chauffés qui ne sont pas présents dans la fumée des cigarettes traditionnelles. Les conséquences sanitaires de l’exposition à ces toxines sont inconnues.
Le 7 juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis d’Amérique a autorisé la commercialisation d’un produit du tabac chauffé, le système de tabac chauffé IQOS, au titre du Federal Food, Drug and Cosmetic Act. Cette loi exige une autorisation préalable de mise sur le marché des nouveaux produits du tabac avant leur introduction dans le marché américain.
Dans sa déclaration, la FDA a noté que, « même avec cette mesure, ces produits ne sont ni sûrs, ni « approuvés par la FDA. » » Les ordonnances de modification de l'exposition ne permettent pas à la société de revendiquer tout autre risque modifié ou de faire toute déclaration explicite ou implicite indiquant ou faisant croire de manière trompeuse aux consommateurs que les produits sont approuvés par la FDA ou que cette dernière les juge sans danger pour les consommateurs ».
L’autorisation de la FDA a rejeté les allégations selon lesquelles l’utilisation du produit est moins nocive qu’un autre produit du tabac ou réduit les risques pour la santé. Par ailleurs, les ordonnances de la FDA exigent que la société assure un suivi en matière de sensibilisation des jeunes et concernant leur utilisation pour garantir que la commercialisation des produits du tabac à risque modifié n’aura pas de conséquences non voulues sur l’utilisation par les jeunes. La société doit également tenir la FDA informée des efforts déployés pour prévenir l’accès et l’exposition des jeunes.
Étant donné que l’exposition à des toxines supplémentaires lors de l’utilisation de produits du tabac chauffés pourrait avoir des conséquences sur la santé, les allégations selon lesquelles ces produits permettent de réduire l’exposition à des produits chimiques nocifs par rapport aux cigarettes traditionnelles pourraient être trompeuses.
En outre, les ordonnances pertinentes accordent une autorisation temporaire de mise sur le marché aux États-Unis d’Amérique et sont fondées sur des facteurs spécifiques au pays, lequel n'est pas Partie à la Convention-cadre de l’OMS.
Tous les produits du tabac présentent des risques pour la santé et l’OMS invite instamment à la pleine application de la Convention-cadre. En effet, une application rigoureuse permettra d’appuyer les tentatives de sevrage et de réduire le nombre de non-consommateurs de produits du tabac, en particulier les jeunes, qui commencent à fumer. L’OMS recommande le sevrage tabagique au moyen d'interventions, telles que la fourniture de conseils par des professionnels de la santé, la mise en place de services téléphoniques gratuits et d’aide au sevrage tabagique, l'introduction de thérapie de substitution à base de nicotine et le sevrage grâce à un service de minimessages.
APPEL A TÉMOIN:
"MINE D'INFOS" recherche retours d'expérience d'utilisateurs du dispositif IQOS de Philip Morris.Les commentaires de professionnels de santé sont les bienvenus 👉
mardi 31 mai 2016
Informer et accompagner les fumeurs vers l’arrêt du tabac
Pfizer soutient la Journée mondiale sans tabac, mardi 31 mai
Informer et accompagner les fumeurs vers l’arrêt du tabac
En France, Le tabac reste la première cause de mortalité avec environ 78 000 décès par an1. 47 000 fumeurs décèdent d’un cancer¹ chaque année, dont 11 000 des suites de maladies respiratoires2. Pour sensibiliser le grand public, notamment les patients atteints de maladies respiratoires, aux méfaits du tabac, la Fédération Française des Associations et Amicales de malades, Insuffisants ou handicapés Respiratoires (FFAAIR) a mené une enquête3 auprès de personnes atteintes de maladies respiratoires telles que la BPCO (Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive), l’asthme, l’apnée du sommeil ou encore la fibrose pulmonaire. Les résultats de l’enquête révèlent que 59% des personnes atteintes de ces pathologies ont déjà fumé ; 71% ont été exposées au tabagisme actif comme passif. 80% des fumeurs malades ont eu besoin d’au moins 2 tentatives pour arrêter et seulement 36% ont été accompagnés d’un professionnel de santé dans cette démarche. Acteur engagé dans la lutte contre le tabac, notamment auprès de l’Office Français de Prévention du Tabagisme (OFT) en 20124, Pfizer soutient la Journée mondiale sans tabac.
Le tabac, responsable de 11 000 décès par an, en France, des suites de maladies respiratoires
Les résultats de l’enquête OpinionWay/FFAAIR révèlent que 59% des malades respiratoires ont déjà fumé ; 71% ont été massivement exposés au tabagisme actif comme passif et 43% ont été exposés au travail à des substances nocives. « Le tabac est le facteur de risque majeur de la Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive ou BPCO puisqu’il est responsable de 80% des cas en France », affirme Michel Vicaire, président de la FFAAIR.
Une grande majorité des personnes interrogées et fumeuses ont réussi à arrêter de fumer ; 8% fument toujours malgré leur maladie respiratoire. 80% des fumeurs ont eu besoin, en moyenne, de 2 tentatives pour arrêter le tabagisme. En général, plus de 3 tentatives sont nécessaires. Les principaux freins évoqués par les fumeurs pour arrêter de fumer sont importants et multiples :
la peur du manque à 42%
le manque de motivation à 36%
les tentatives et échecs précédents, 32%
le coût des produits de sevrage à 20%.
Un manque d’accompagnement et un fort sentiment de solitude face à l’épreuve du sevrage tabagique
Lors de cette enquête, 38% des fumeurs atteints de maladies respiratoires se sont sentis mal informés lors de leur dernière tentative ; 48%, ont reçu un accompagnement (consultation, médicament…) à cette occasion et seulement 36% ont été accompagnés par un professionnel de santé. « Les fumeurs ne savent pas vers qui se tourner pour arrêter de fumer. Souvent, le pharmacien est le premier professionnel de santé en lien avec eux puisqu’ils conseillent les fumeurs dans leur choix de substituts nicotiniques mais ils doivent leur conseiller de consulter leur médecin généraliste ou un spécialiste – tabacologue ou pneumologue – pour les accompagner dans leur démarche », insiste Michel Vicaire.
Face à ces difficultés pour arrêter le tabac, les patients atteints de maladies respiratoires fumeurs attendent un accompagnement médical plus organisé, avec l’identification d’un professionnel de santé, responsable unique de leur prise en charge dans l’arrêt du tabac. 52% souhaitent la mise en place de consultations spécifiques à l’arrêt du tabac chez le médecin traitant et le remboursement des produits de sevrage tabagique (41%). « Pour les personnes souffrant de maladies respiratoires telles que la BPCO, l’arrêt du tabac est crucial afin de réduire l’aggravation et la vitesse de développement de la maladie. Les professionnels de santé doivent accompagner au mieux les patients atteints de maladies respiratoires désireux d’arrêter de fumer », ponctue Michel Vicaire.
1 Projection de l'incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2015 - Rapport technique – INCa
2 Catherine Hill. Épidémiologie du tabagisme In La Revue du Praticien, 20 mars 2012
3 Etude online OpinionWay/FFAAIM menée auprès de 352 malades respiratoires âgés de 18 ans et plus. Les participants ont été recrutés par bannière sur le site de la FFAAIR entre les 12 juin et 5 octobre 2015.
4 Brochure « Pfizer en France, une entreprise partenaire, engagée dans le dialogue et la transparence » - mars 2012 https://www.pfizer.fr/Portals/0/standard/about/pfizer-france-brochure-partenaire-engagement-PFIB126.pdf consultée le 24 mai 2016
La prévention du tabagisme : une priorité
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que d'ici 2020, le tabac sera la principale cause de décès et d'incapacité, avec plus de 10 millions de victimes par an5. En France, chaque année, 47 000 fumeurs décèdent d’un cancer dont 28 000 d’un cancer du poumon, 20 000 des suites d’une maladie cardiovasculaire et 11 000 de maladies respiratoires¹.
Aussi dans le Plan Cancer 3, le gouvernement a fixé comme priorité de « Faire de la prévention une priorité pour réduire le nombre de cancers aux causes évitables comme le tabac » en lançant le « Programme national de réduction du tabagisme » (PNRT). Ce programme a pour objectifs de faire baisser le nombre de fumeurs de 10% dans les 5 ans, de descendre sous la barre des 20% de fumeurs dans 10 ans et que les enfants qui naissent aujourd’hui soient la première génération de non-fumeurs dans moins de 20 ans. Ainsi, le gouvernement souhaite protéger les jeunes et éviter leur entrée dans le tabagisme (Axe 1), notamment avec la commercialisation du paquet neutre depuis fin mai, aider les fumeurs à arrêter de fumer (Axe 2) et agir sur l’économie du tabac (Axe 3).
En novembre, Pfizer s’associera au « Moi(s) sans tabac », mois de l’arrêt, inscrit dans l’axe 2 du Programme national de réduction du tabagisme (PNRT 2014-2019), figurant dans le Plan Cancer 3 et dans le prochain plan d’actions de la MILDECA, Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues Et les Conduites Addictives. De manière plus générale, Pfizer contribue, par de nombreux projets, à la réflexion aujourd’hui intense parmi les acteurs de santé, sur le développement en France d’une véritable politique de prévention et ce notamment, en matière de tabagisme.
Contacts presse
Pfizer / Sonia Braham
23-25, avenue du Dr Lannelongue
F-75668 Paris Cedex 14
Tel : 01 58 07 36 15
sonia.braham@pfizer.com
www.pfizer.fr
@Pfizer_France
5 Site de la FFAAIR http://www.ffaair.org/index.php?id=118 consulté le 24 mai 2016
Capital Image / Stéphanie Chevrel - Anne Bellion
45, rue de Courcelles - 75008 Paris
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vendredi 6 février 2015
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lundi 23 juin 2014
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mardi 29 octobre 2013
Nouveau cas probable d’infection au coronavirus
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