Nora ANSELL-SALLES

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samedi 30 novembre 2013

Idées cadeaux pour les enfants


Cadeaux pour les petites filles


Il existe depuis toujours. Il est à l’image des hommes, moralisateur ou débonnaire, mais toujours bienveillant.

 Il était une fois une princesse …



Au fil des siècles il a pris de l’embonpoint et sa notoriété est depuis toujours inégalée.




Se plonger dans la lecture des lettres adressées au « Père Noël », c’est comme dénicher une malle aux trésors.




Emerveillées par la drôlerie la tendresse, la malice et l’audace de tous ces enfants qui leur ont confié leurs premières émotions et leurs secrets, même les plus inattendus, les stylistes se sont penchées sur leurs listes afin de pas les décevoir





Cadeaux pour les garçons





Vive l’aventure !





Collection 2013 Maisons du Monde

vendredi 16 août 2013

Manger du poisson, c’est bon !


La Lettre du Dr MOPS


 

L’ANSES, agence nationale chargée de contrôler la qualité des aliments, émet depuis plusieurs années de nombreuses recommandations sur la consommation de poisson. Elle vient de synthétiser ces conseils :

 

Consommer 2 portions de poissons par semaine, dont un poisson gras (saumon, sardine, maquereau, hareng, truite).

Varier les espèces et les lieux d’approvisionnement.

Limiter la consommation de poissons bio-accumulateurs (anguille, barbeau, brème, carpe, silure) à 2 fois par mois dans la population générale et, par précaution, à 1 fois tous les 2 mois chez les adolescentes, les femmes enceintes ou allaitantes, les très jeunes enfants (âge <3 ans).

Cuire à cœur le poisson de mer frais.

Pour une consommation de poisson cru:

o vider rapidement votre poisson après achat ou demander à votre poissonnier de le faire,

o le congeler pendant 7 jours dans un congélateur domestique avant de le consommer.

Pour en conserver la qualité du poisson frais, il est recommandé de :

le transporter jusqu’au domicile dans un sac isotherme,

vider immédiatement le poisson ou demander à votre poissonnier de le faire,

le conserver dans la partie la plus froide du réfrigérateur entre 0 et 4 °C,

le consommer de préférence le jour même de l’achat, ou dans les 48 h.

Source : ANSES, 5 juillet 2013.

NDLR : MGEFI et Dr MOPS
Chaque semaine, retrouvez les conseils prodigués par le Docteur MOPS :
Le Dr MOPS vous donne rendez-vous sur le site www.mgefi.fr
 
 
Restons en contact durant l’été

 

vendredi 15 février 2013

À lire dans le N°6 du 12 février 2013 de ID’Santé La lettre d’info des médias de l’éducation santé

m-santé :


quelles sont les attentes des médecins généralistes ?

La santé n’échappe pas à la croissance du marché des smartphones et des tablettes. Très développée dans les pays émergents où elle se révèle chaque jour un peu plus indispensable, la m-santé ou santé mobile cherche toujours sa voie sur le vieux continent.
Son avenir en France passera par le développement d’applications mobiles réellement utiles aux patients et suffisamment validées pour que les médecins puissent les recommander.
IDS Santé a confié à l’institut d’études MediQual Research le soin de faire le point avec les médecins généralistes sur leurs attentes vis-à-vis de la m-santé (janvier 2013).




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Relation médecin-patient :


les brochures font tomber les tabous

Selon une récente étude réalisée par l’institut MédiQual Research auprès d’un échantillon de 306 médecins généralistes, les brochures d’information mises à disposition des patients dans la salle d’attente facilitent le dialogue sur les sujets sensibles.
Troubles de l’érection, IST, mycoses, incontinence, herpès ou halitose : autant de sujets tabous, dont les patients n’osent toujours pas parler à leurs médecins.




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jeudi 29 novembre 2012

L’Union Harmonie Mutuelles et le groupe MGEN/Istya publient une « Lettre aux médecins » dans Le Monde


Guy Herry, Président de l’Union Harmonie mutuelles et Thierry Beaudet, Président des Groupes Mgen/Istya publient dans le journal Le Monde daté du 29 novembre une lettre ouverte aux médecins intitulée : « Nos adhérents sont aussi vos patients ».

 

« Harmonie mutuelles et Mgen/Istya assurent la protection complémentaire santé de plus de 10 millions d’assurés sociaux répartis sur l’ensemble du territoire. C’est dire que nos adhérents sont aussi vos patients, de la même manière que nombre de vos patients sont sans doute aussi nos adhérents.

 

Aujourd’hui, nous pensons que nos adhérents comme vos patients méritent mieux que des procès d’intention réciproques. Nous pensons que l’irrationalité et l’affectivité des discours témoignent aussi de la mauvaise compréhension que nous avons de nos réalités respectives.

 

Vous attendez que nous soyons attentifs à vos préoccupations, résultant, par exemple, d’une revalorisation insuffisante des tarifs opposables. Nous attendons que vous soyez attentifs à l’inquiétude de nos adhérents confrontés, par exemple, à des difficultés financières grandissantes pour faire face à la maladie. Vous demandez que vos libertés soient respectées et votre travail correctement rétribué. Nous demandons que nos adhérents aient une liberté de choix la moins possible limitée par des obstacles financiers ou géographiques.

 

Aujourd’hui, nous savons tous que les capacités financières de nos adhérents et de vos patients sont de plus en plus restreintes par la crise. Nos cotisations comme vos honoraires atteignent leurs limites pour bon nombre de nos concitoyens.

 

Nous avons la conviction qu’agir ensemble serait plus efficace qu’agir séparément pour mieux répondre aux besoins de nos adhérents et de vos patients en redressant le niveau de solidarité dans la prise en charge des dépenses de soins des médecins. Ce niveau a très nettement régressé depuis la fin des années 1990. A l’époque, après remboursements de l’assurance maladie et des organismes complémentaires, vos patients, nos adhérents, assumaient directement environ 5 % des dépenses de soins de médecins. En 2011, ils en ont assumé 11 %, soit plus du double. Et cela malgré l’augmentation des prises en charge à 100 % ! Aucun autre grand poste des dépenses de soins n’a connu un recul aussi fort des financements solidaires.

 

Ce n’est acceptable ni pour nos adhérents, ni pour vos patients, ni par vous-même. Nous pensons que ce recul des financements solidaires témoigne d’une moindre considération pour l’utilité de votre contribution à l’amélioration de la santé de l’ensemble des assurés sociaux.

 

Il faut mettre un terme à cette dérive. Chacun doit assumer sa part dans cet effort. D’abord les pouvoirs publics en mettant fin aux franchises non remboursables sur vos consultations. Contrairement aux principes de 1945, il s’agit d’une contribution en fonction de l’état de santé, qui plus est ne tenant pas compte des possibilités financières de chacun au-delà d’un revenu très minimal.  La défense de la solidarité passe par une assurance maladie obligatoire remboursant au plus haut niveau possible sur la base de tarifs opposables justement revalorisés.

 

L’avenant conventionnel n° 8 a instauré un premier cadre de régulation des suppléments d’honoraires. Il ne nous satisfait qu’en partie. Mais si une proportion suffisante d’entre vous accepte de s’inscrire dans cette logique de régulation et si cela peut permettre de débloquer la situation, nous sommes prêts à prendre en charge les suppléments d’honoraires dans le cadre du contrat d’accès aux soins selon les modalités prévues par l’avenant.

 

Notre engagement collectif et organisé sera primordial pour la réussite de ce dispositif et afin de compléter et de conforter de manière cohérente l’amélioration des remboursements décidée par l’assurance maladie obligatoire. A moins que la future loi sur les réseaux ne nous l’interdise de façon tout à fait paradoxale. Il faudrait aller encore plus loin dans cette logique de régulation pour alléger davantage la part de financement non solidaire à la charge des ménages. La question des suppléments d’honoraires hors contrat d’accès aux soins reste en effet entière. Si nous voulons un partage équitable de l’effort à fournir, il n’est pas possible aujourd’hui, comme cela a sans doute pu exister, d’envisager des remboursements de ces suppléments sans aucune régulation ni perspective de convergence tarifaire à terme.

 

Au moment où nous écrivons cette tribune, les futures dispositions de la loi sur les réseaux en discussion au Parlement nous interdiraient d’envisager avec vous toute forme de contractualisation visant un allègement du reste à charge de nos adhérents et de vos patients en contrepartie d’un effort de régulation et dans la perspective d’une convergence tarifaire.

 

Avec le Président de la Mutualité Française, nous regrettons cette situation. La double absence d’un cadre collectif conventionnel, au-delà du contrat d’accès aux soins et de fondement à toute perspective de négociations avec les mutuelles, va nous conduire inévitablement à figer ou limiter notre intervention hors du contrat d’accès aux soins, faute de visibilité tarifaire. Or, cette visibilité sur la régulation est d’autant plus nécessaire que nous devons également contribuer, aux côtés de l’assurance maladie, au soutien de l’activité des médecins de secteur 1, notamment les médecins spécialistes en médecine générale, non seulement sur le plan financier mais aussi en matière d’organisation et de coordination.

 

Si vous pensez, comme nous, que la santé ne peut pas et ne doit pas être un marché, que c’est d’abord l’accès de nos concitoyens à des soins de qualité qui doit guider notre action et vos pratiques, alors notre responsabilité commune est de placer le débat à une autre hauteur et dans une autre perspective que ces derniers jours.

 

On ne construit pas l’avenir dans la défiance mais dans la confiance. S’il y a une volonté commune pour établir cette confiance, il y aura un chemin pour y parvenir. Ne le ratons pas dans l’intérêt à la fois de nos adhérents et de vos patients. »

 

A propos du groupe MGEN/Istya

Mutuelle santé, prévoyance, autonomie, retraite, le groupe MGEN gère le régime obligatoire d’assurance-maladie des professionnels de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Culture et de la Communication, de la Jeunesse et des Sports et leur offre une couverture complémentaire. Via la mutuelle MGEN Filia, il propose une complémentaire santé ouverte à tous, indépendamment du statut professionnel.

 

Il gère également 33 établissements sanitaires et médico-sociaux : médecine de ville, soins de suite et de réadaptation, hébergement de personnes âgées et handicapées…

 

En 2011, le groupe MGEN a protégé plus de 3,5 millions de personnes et réalisé un chiffre d’affaires de plus de 2 milliards d’euros. Le groupe compte 9 400 salariés en France.

 

Il fait partie du groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire en santé, prévoyance, autonomie et retraite.

 

Union mutualiste de groupe (UMG), le groupe Istya rassemble le groupe MGEN, le groupe MNH, la Mutuelle Nationale Territoriale (MNT), la Mutuelle Générale Environnement et Territoires (MGET), la Mutuelle Civile de la Défense (MCDef) et la Mutuelle des Affaires Etrangères et Européennes (MAEE). Au 1er janvier 2013, il sera rejoint par la MGEFI. En 2011, le groupe Istya a protégé 6,7 millions de personnes. Il a réalisé un chiffre d’affaires de 3,7 milliards d’euros.

 

A propos de l’Union Harmonie Mutuelles

L’Union Harmonie Mutuelles regroupe les mutuelles Harmonie Mutualité, Mare Gaillard, Mutuelle Nationale Aviation Marine (MNAM), Mutuelle Existence, Prévadiès, Santévie, SMAR, SPHERIA Val de France et Cesare Pozzo. Cette union représente :

 

- Près de 4,8 millions de personnes protégées

- 123 630 bénéficiaires de la couverture maladie universelle complémentaire (CMUc)

 

- 583 400 personnes assurées au titre du régime social des indépendants (RSI)

 

- 35 200 entreprises adhérentes

 

- Près de 4 620 collaborateurs

 

- Plus de 360 agences

 

- 2,25 milliards d’euros de chiffre d’affaires

 

Dans le cadre de cette union :

 

_ Prévadiès, Harmonie Mutualité, Mutuelle Existence, Santévie et SPHERIA Val de France fusionneront à fin 2012 pour construire ensemble la 1ère mutuelle santé de France : Harmonie Mutuelle*.

 

Objectifs :

 

- Faciliter l’accès à une couverture globale de santé

 

- Faciliter l’accès à l’offre de soins et de services

 

- Promouvoir un fonctionnement démocratique

 

- Développer son implantation, en maintenant une proximité locale avec ses adhérents

 

- Défendre les valeurs mutualistes

 

_ La MNAM Harmonie Mutuelles et la SMAR Harmonie Mutuelles ont le projet de fusionner à fin 2013 pour créer Harmonie Fonction Publique.

 

_ La Mutuelle Mare Gaillard et Cesare Pozzo, mutuelles actuellement membres de l’Union Harmonie Mutuelles conservent toute leur place au sein de l’Union.

 

*Harmonie Mutuelle, mutuelle en cours d’agrément régie par le Code de la mutualité, est issue de la fusion d’Harmonie Mutualité, de Mutuelle Existence, de Prévadiès, de SPHERIA Val de France et des mutuelles Santévie. Cette fusion est soumise à l’approbation de l’Autorité de contrôle prudentiel et à l’avis de l’Autorité de la concurrence.