Merci aux troupes françaises.
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
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jeudi 14 juillet 2022
samedi 16 avril 2022
La Mutualité Française appelle à voter Emmanuel Macron
Déclaration : pour préserver la République démocratique, laïque et sociale, la Mutualité Française appelle à battre l’extrême droite en votant pour Emmanuel Macron
lundi 15 février 2016
Sénat : audition des candidats appelés à siéger au Conseil constitutionnel
Jeudi 18
février 2016, en salle Clemenceau,
la Commission
des lois du Sénat procède aux auditions
des personnalités
appelées à siéger au Conseil constitutionnel :
Cette
audition est ouverte à la presse et au public.
Le public est
invité à s’inscrire auprès du secrétariat de la commission des lois (secretaires.loi@senat.fr)
au plus tard le mercredi 17 février 2016.
Les
journalistes sont invités à s’inscrire auprès de la direction de la
communication (presse@senat.fr).
Le jour de
l’audition, les journalistes sont invités à se présenter au 15 rue de Vaugirard,
munis d'une pièce d'identité et de leur carte de presse.
L’audition sera diffusée en
direct sur le site du Sénat puis disponible en VàD
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mercredi 26 mars 2014
Libres propos signés MGFrance
Réquisitions
des médecins à Angoulême : le procureur au pied du mur !
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Depuis juin 2013, les généralistes d’Angoulême
demandent que les réquisitions médico-judiciaires ne soient plus supportées
par le médecin effecteur de la permanence des soins ambulatoires (PDSA), y
compris la journée précédant une astreinte de PDSA. Ces réquisitions
concernent le plus souvent l’examen médical de personnes placées en garde à
vue ; leur trop grande fréquence désorganise de façon inacceptable aussi bien
la permanence des soins que l'activité des médecins traitants pendant les
heures d’ouverture des cabinets libéraux.
En l’absence d’unité médico-judiciaire
(UMJ) à Angoulême, il revient au procureur de la République d’organiser un réseau
de proximité pour répondre à ces réquisitions. Ceci n’a manifestement pas
fait partie des préoccupations de celui d’Angoulême.
Les généralistes d’Angoulême ont dû médiatiser leur mouvement pour que l’administration judiciaire finisse par admettre qu’elle avait un problème à résoudre. Il a fallu que les syndicats de médecins MG France et FMF interviennent au niveau national pour qu’une réunion de concertation locale ait enfin lieu le 13 janvier 2014, grâce à la médiation du président de la commission de la permanence des soins du Conseil National de l’Ordre des Médecins.
À l’issue de cette réunion, les
principes d’une astreinte spécifique, basée sur le volontariat de l’ensemble
des médecins actifs et dédiée à ces réquisitions médico-judiciaires, ont été
posés. Mais le résultat final est resté suspendu à la question de la rémunération
d'une indemnité d’astreinte et au montage financier permettant de régler
rapidement les actes. Car il faut souvent un à deux ans pour que le médecin
soit rémunéré. Les généralistes d’Angoulême proposaient de garantir un
service de qualité pour un coût annuel au moins cinq fois inférieur à celui d’une
UMJ.
Les généralistes d’Angoulême
ont accepté d’assumer seuls et gratuitement cette nouvelle astreinte sur une
période de deux mois (jusqu’au 24 mars) afin que les tutelles aient le temps
de finaliser le dispositif. Aucun moyen financier n’a été cependant été dégagé
pour les astreintes et aucun montage financier n’a été validé pour permettre
le règlement rapide des actes.
Depuis le 25 mars, le procureur
d’Angoulême est au pied du mur : il doit quotidiennement réquisitionner un médecin
"non volontaire", sans lui proposer des conditions d’exercice décentes.
Il n’est plus question de faire
porter les réquisitions sur les seuls généralistes. Le procureur doit
respecter une parfaite équité entre tous les médecins actifs quelques soient
leur statut et leur mode d’exercice.
MG France défendra tous les médecins
généralistes libéraux qui pourraient être victimes d'une discrimination dans
le cadre de ces réquisitions.
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·
Dr Claude LEICHER -
·
Dr François WILTHIEN
·Dr
Jacques BATTISTONI
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Référence
du communiqué de presse : N° 307 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)
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mercredi 19 mars 2014
Rapport MSF sur la Centrafrique
Rapport MSF
République Centrafricaine :
« Un an d’escalade de la violence »
Rapport disponible sur :
http://www.msf.fr/sites/www.msf.fr/files/dp-urgence_centrafrique-bd.pdf
Nouvelles images vidéos HD (Bangui – Carnot) disponibles :
François DUMAINE : 01.40.21.28.40. / francois.dumaine@paris.msf.org
République Centrafricaine :
« Un an d’escalade de la violence »
Rapport disponible sur :
http://www.msf.fr/sites/www.msf.fr/files/dp-urgence_centrafrique-bd.pdf
Nouvelles images vidéos HD (Bangui – Carnot) disponibles :
François DUMAINE : 01.40.21.28.40. / francois.dumaine@paris.msf.org
Massacres, tueries, tortures, déplacements, regroupements de certaines
populations, exodes massifs… Un an
après le coup d’Etat en République Centrafricaine (RCA), dans un
rapport intitulé « RCA : un an d’escalade de la violence », les équipes de Médecins
Sans Frontières (MSF) reviennent sur les atrocités dont elles sont les témoins
dans ce pays.
Paris, le 19 mars 2014. Il y a un an, le 24 mars 2013, les forces de l’ex-coalition
rebelle de la Séléka prenaient Bangui, la capitale de la République
Centrafricaine (RCA).
Depuis plus de 12 mois, ce pays déjà exsangue
traverse une crise politico-militaire majeure, dont les conséquences sont, pour
la population, dramatiques et sans précédent. « Ce qui se passe en RCA est
choquant. Nous avons l’habitude de travailler dans des contextes très violents
mais là, même les plus aguerris d’entre nous ont rarement vu un tel niveau de
violence. La vulnérabilité sécuritaire et sanitaire des populations est absolue
» témoigne Marie-Noëlle RODRIGUE, directrice des opérations à MSF, de
retour de RCA.
Si ces derniers mois, la minorité musulmane -
condamnée à s’exiler massivement vers les pays voisins - paye plus particulièrement
le prix de cette instabilité, c’est l’ensemble de la population centrafricaine
qui est touchée. « Tout le monde a
peur. Chrétiens comme musulmans, à Bangui comme dans le reste du pays... Les
populations sont terrorisées, les familles sont déchirées. La tension est
exacerbée, les discours sont haineux » rapporte Delphine CHEDORGE,
coordinatrice des activités d’urgence MSF.
Parce que malgré la dégradation des conditions sécuritaires il faut répondre
à une masse croissante de besoins, MSF, acteur médical majeur en RCA, a fait de
ce pays sa priorité et y déploie un important dispositif opérationnel.
Depuis plusieurs années, nous n’avons eu de
cesse d’alerter sur les conséquences de l’abandon, y compris financier, qui
entoure la crise en RCA. Ce rapport est un nouvel appel pour la Centrafrique :
malgré la présence des forces armées internationales, le contexte sécuritaire reste volatile et très précaire. « La
situation humanitaire et médicale était déjà catastrophique avant le coup d’Etat.
Depuis un an, elle ne fait qu’empirer. Nous le savons, la crise en RCA durera
encore un moment. Or aujourd’hui, sur le terrain, nous sommes encore trop peu
nombreux pour répondre à la masse des besoins. Pourtant, l’urgence perdure » rappelle Marie-Noëlle RODRIGUE.
MSF travaille dans le pays depuis 1997.
Actuellement, 85 expatriés et environ 600 centrafricains travaillent pour MSF-France en RCA. L’organisation
gère 3 projets réguliers (à Carnot, Bria, et Paoua) et mène des projets d’urgence
à Bangui et dans l’Ouest
du pays. Une assistance est également apportée aux centrafricains réfugiés dans
le sud du Tchad.
La section française de Médecins Sans Frontières (MSF) lance un appel à la générosité des Français
pour l’ensemble de ses activités d’urgence en République centrafricaine (RCA) et au Tchad :
Pour
faire un don :
Médecins Sans Frontières
URGENCE RCA
75011 PARIS
Ou sur le site www.msf.fr
lundi 11 février 2013
Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa
« Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? »
20 février 2013
8h30 à 10h
Au Sir Winston
"Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? "
Les progrès réalisés dans la lutte contre le cancer sont
indéniables, tant sur le plan du dépistage que sur le plan thérapeutique. On
peut considérer positivement les avancées de la lutte contre ce fléau, lutte
commencée avec la création de l’Institut National du Cancer et des Plans Cancer
1 et 2. L’annonce par le Président de la République du Plan Cancer 3 doit
normalement poursuivre ces efforts et ces réalisations. Assisterons-nous à une
continuité des actions ? Verrons-nous au contraire une inflexion dans le combat
?
Malgré une
baisse annoncée de la mortalité liée au cancer, les chiffres parlent d’eux-mêmes
en ce qui concerne l’ampleur de cet enjeu de santé publique : 365 000 nouvelles
personnes atteintes par an et plus de 147 000 décès en 2011. De plus, les
cancers sont à la fois la source et la conséquence des inégalités sociales.
Inscription :
"Olivier MARIOTTE" <olivier.mariotte@nile-consulting.eu>
Blog de
nile en suivant le lien http://loeildenile.eu
Site de nile : www.nile-consulting.eu
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