Nora ANSELL-SALLES

vendredi 17 mai 2019

Sondage IPSOS


 lesfrancaisetlhypertensionarteerielle.pdf 

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Bonjour,
Je vous écris en prévision de la journée mondiale de l’hypertension artérielle (vendredi 17 mai 2019) pour vous proposer de relayer le sondage inédit réalisé par IPSOS pour Quantum Genomics que vous trouverez ci-dessous.
En bref, ce sondage intitulé « Les Français et l’hypertension artérielle » dresse un bilan alarmant sur le degré de connaissance des français vis-à-vis de l’HTA. D’autant plus alarmant que selon l’OMS l’hypertension artérielle est la maladie qui cause le plus de décès dans le monde et ce alors même qu’elle serait l’une des plus évitables.  
Voici ci-après quelques données clés :
- Près d’un français sur deux s’estime mal informé sur l’hypertension artérielle
- Plus de la moitié des français ne savent toujours pas que l’hypertension artérielle tue 
- Seulement 21% des Français sont suivis pour la pathologie chronique la plus répandue en France
- Parmi les 53% de Français qui ne font pas régulièrement contrôler leur tension artérielle, 60% ont un ou plusieurs comportements à risques
Si ce sujet vous intéresse, veuillez noter que nous pouvons vous mettre en relation avec le Professeur Jacques Blacher, chef du service cardiologie à l’hôpital Hôtel-Dieu et/ ou avec Jean-Philippe Milon, Directeur Général de Quantum Genomics pour vous apporter des informations complémentaires.

Communiqué de presse Paris, le 15 mai 2019

 

Les Français et l'Hypertension artérielle
Sondage IPSOS pour Quantum Genomics[1]
 
La moitié des français ne sait toujours pas que l'hypertension artérielle tue !

 

Un sondage publié ce jour et réalisé par IPSOS pour le compte de la société de biotechnologie, Quantum Genomics, révèle que l'hypertension artérielle, également appelée le « tueur silencieux », est une pathologie qui reste méconnue des Français... et que plus de 50% ne savent toujours pas que l'hypertension artérielle tue !
En dépit des campagnes de prévention menées depuis plusieurs années, plus de la moitié des Français ne fait pas contrôler sa tension artérielle. Si plus d'un tiers se dit concerné par un problème d'hypertension, une majorité ne connaît ni les comportements préventifs à adopter, ni les conséquences dramatiques d'une hypertension artérielle mal contrôlée...
A ce rythme, le « tueur silencieux » a encore de beaux jours devant lui.
 
Rappel des faits et aide à la lecture - L'hypertension artérielle en chiffres (données Inserm [2])
- Un adulte sur trois souffre d'hypertension artérielle en France ;
- Seul un hypertendu sur deux aurait connaissance de son hypertension ;
- Parmi eux, un sur deux seulement suivrait un traitement ;
- Enfin, une personne traitée sur deux aurait une pression artérielle normalisée !
 

Les résultats complets de ce sondage sont disponibles en cliquant sur ce lien

 


 
Seulement 21% des Français sont suivis pour la pathologie chronique la plus répandue en France
21% des Français interrogés se sont déclarés suivis pour un problème d'hypertension artérielle et 15% déclarent avoir une ou plusieurs personnes touchée(s) dans son entourage alors que 33% de la population souffre d'hypertension artérielle.
Si la prise de la pression artérielle est pratiquement systématique lors de toute consultation médicale, moins d'un Français sur deux fait contrôler régulièrement sa pression artérielle alors que dans le même temps les comportements à risques sont répandus :
-       1 Français sur 3 déclare ne pas pratiquer d'activité sportive et ne pas faire attention à son alimentation ;
-       1 Français sur 5 dit boire ou fumer tous les jours !
-       Et parmi les 53% de Français qui ne font pas régulièrement contrôler leur tension artérielle, 60% ont un ou plusieurs comportements à risques...
 
Avec l'âge qui avance, le contrôle de la pression artérielle tend toutefois à se systématiser. 64% des 55-65 ans sont contrôlés régulièrement, un chiffre qui atteint 80% pour les plus de 65 ans.
 
Une pathologie méconnue et un manque d'information pour 45% des Français
45% des Français, soit près d'un Français sur deux, s'estiment mal informés sur l'hypertension artérielle. Si une courte majorité de Français dit connaître les risques de l'hypertension artérielle, ils déclarent le plus souvent méconnaître les comportements préventifs à avoir, les examens à réaliser pour la diagnostiquer, ses impacts sur la qualité de vie, ses symptômes et les traitements existants !
Des préjugés et un manque de connaissances qui expliquent pourquoi l'hypertension artérielle reste un « tueur silencieux »
Interrogés sur une série d'affirmations, les Français n'ont que très partiellement su démêler le vrai du faux ! Ainsi,
-       54% des Français ne savent pas que l'hypertension artérielle est plus répandue que le cancer ou le diabète.
-       36% seulement savent que l'hypertension, dans une majorité de cas, ne présente pas de symptôme.
-       Seuls 58% des Français savent qu'une mauvaise hygiène de vie peut causer de l'hypertension artérielle.
Et lorsqu'on cherche à savoir si les Français connaissent les conséquences potentiellement dramatiques de l'hypertension artérielle,
-       seuls 46% savent qu'elle accroît le risque d'accident cardiovasculaire (AVC)
-       40% savent qu'elle accroît le risque d'infarctus du myocarde
-       14% savent qu'elle accroît le risque de cécité
-       13% savent qu'elle accroît le risque d'insuffisance rénale
-       6% savent qu'elle accroît le risque de démence
Rappelons que les complications de l'hypertension artérielle sont sévères puisqu'elle est par exemple à l'origine de 62% [3] des AVC. Après un AVC, 1 personne sur 5 décède dans le mois qui suit, les 3/4 des survivants en gardent des séquelles définitives, 1/3 devient dépendant, 1/4 ne reprendra jamais d'activité professionnelle.
 
Jacques Blacher, chef du service cardiologie à l'hôpital Hôtel-Dieu, déclare : « les résultats de ce sondage montrent que l'hypertension artérielle reste plus que jamais un tueur non seulement silencieux mais aussi méconnu et ce en dépit des nombreuses opérations de sensibilisation réalisées auprès du grand public. L'absence de connaissance des français sur cette pathologie est particulièrement inquiétante car elle constitue l'une des principales causes de complications cardiovasculaires, cérébrovasculaires et neurodégénératives. Si les français en avaient conscience, nul doute qu'ils prêteraient davantage d'attention à cette maladie sans symptôme. »
 
Jean-Philippe Milon, Directeur Général de Quantum Genomics, ajoute : « en dépit de sa forte prévalence, l'hypertension artérielle est aujourd'hui l'un des parents pauvres de la recherche. Les traitements actuels, fréquemment utilisés en bi ou trithérapies, présentent souvent des effets secondaires gênants et au moins 30% des patients hypertendus sont mal contrôlés, voire résistants. Trouver un traitement pour contrôler les patients en échec thérapeutique est critique dans une pathologie qui constitue un véritable enjeu de santé publique. Chez Quantum Genomics, nous travaillons à la mise au point d'une nouvelle classe d'agents antihypertenseurs mondialement brevetée, qui s'appuie sur 20 ans de R&D. Le médicament que nous développons constitue une innovation majeure ! C'est surtout une source d'espoir pour des millions de malades dans le monde. »
 
A PROPOS DE L'HYPERTENSION ARTERIELLE
L'hypertension artérielle est un tueur silencieux, pas toujours diagnostiqué car ne présentant aucun symptôme. Même si la prise de la pression artérielle est pratiquement systématique lors de toute consultation médicale, seule la moitié des adultes ayant une pression artérielle élevée se sait hypertendue et parmi les patients traités, seuls30 à 50% présentent une pression artérielle bien contrôlée. Pourtant l'hypertension artérielle est la maladie cardiovasculaire la plus fréquente, constituant la première pathologie chronique en France (elle touche un adulte sur trois). Ses complications sont sévères puisqu'elle est par exemple à l'origine de 62% [4] des AVC [5].
 
A PROPOS DE QUANTUM GENOMICS
Quantum Genomics est une société biopharmaceutique spécialisée dans le développement d'une nouvelle classe de médicaments cardiovasculaires, fondée sur le mécanisme d'inhibition de l'Aminopeptidase A cérébrale (Brain Aminopeptidase A Inhibition ou BAPAI). Seule société au monde à poursuivre cette approche innovante ciblant directement le cerveau, elle s'appuie sur plus de vingt années de travaux de recherche de l'Université Paris-Descartes et du laboratoire INSERM/CNRS dirigé par le Dr. Catherine Llorens-Cortès au Collège de France. Quantum Genomics a ainsi pour objectif de développer des traitements innovants de l'hypertension artérielle compliquée voire résistante (environ 30% des patients sont mal contrôlés ou en échec de traitement), et de l'insuffisance cardiaque (un patient sur deux diagnostiqué meurt dans les cinq ans).
Basée à Paris et New York, la société est cotée sur le marché Euronext Growth à Paris (FR0011648971 - ALQGC) et inscrite sur le marché?? américain OTCQX (symbole : QNNTF).
Plus d'informations surwww.quantum-genomics.com, nos comptes Twitter et Linkedin
 
Contacts Presse
Samuel Beaupain | 06 88 48 48 02 |samuel@edifice-communication.com
Kate Wadolowska| 06 14 24 29 87 |kate@edifice-communication.com
 
 
 
 
 
 
 

 


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Guide cuisine


Un guide de cuisson à la vapeur douce
et 120 recettes familiales pour le quotidien.



 

Christine Bouguet Joyeux
Bernadette Jastrebski

 

Préface du Pr Henri Joyeux

 
176 pages - 16,90 €
Parution 5 juin 2019

La cuisson à la vapeur est la meilleure méthode de cuisson pour la santé. Elle est très rapide et préserve et développe le goût des fruits, légumes, viandes et condiments.
Elle est l’idéal pour notre santé, elle ne détériore pas les aliments et permet d’éliminer les produits toxiques.
Avec ces recettes, vous faciliterez la digestion et l’absorption des aliments ainsi que l’élimination des déchets, vous lutterez efficacement contre le surpoids, la fatigue et la déprime, et gagnerez plus de tonus et une meilleure immunité…

Mangez mieux et meilleur :
avec la vapeur, vous préservez votre santé,
tout en gourmandise.
Christine Bouguet-Joyeuxest nutritionniste et auteur de nombreux ouvrages culinaires, parmi lesquels le Guide pratique de gastronomie familiale.

Bernadette Jastrebski est docteur en droit international et traductrice spécialisée dans le domaine de la santé. Elle vit aux États-Unis avec sa famille.
  

CONTACT PRESSE 
JEAN-PHILIPPE BERTRAND
jeanphilippe.bertrand@elidia.fr - 01 40 46 54 30 / 06 12 56 67 15


                           


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Unicef et droit des enfants




Paris, le 16 mai 2019

30 jeunesengagés pourdéfendre les droits de l’enfant

UNICEF France crée son premier Conseil des jeunes

 

A l’occasion des 30 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant, UNICEF France souhaite plus que jamais donner la parole à la jeunesse et faire entendre sa voix.

 

Après des élections auniveau local puis au niveaurégional, et parmi plus de 100 candidatures, Emilien, Inès, Clara, Amine et leurs26 autres camarades ont étéélus pour former le premierConseil UNICEF des jeunes :30 jeunes, filles et garçons, âgés de 12 à 25 ans, qui viennent de toute la France et réunis récemment pour une 1ère session de travail et de rencontre, au siège de l’organisation.

« Faire bouger les lignes au sein de l’association » : voilà un des objectifs des membres du Conseil des jeunes, qui seront pendant 2 ans les porte-parole des 3 000 jeunes bénévoles engagés aux côtés de l’organisation. « Être jeune, spécialement dans notre tranche d’âge 12-25 ans, permet d’être proche des 2 générations, à la fois celle des collégiens, mais aussi celle des adultes », témoigne Elise, élève en terminale et jeune élue de l’Hérault.

Une jeunesse engagée

Si la jeunesse est l’avenir de ce monde, elle est aussi bien ancrée dans le présent de l’association : 40 % de ses adhérents sont des jeunes. C’est pourquoi grâce auConseil, ils pourront désormais participer activement à la réflexion et aux décisions de l’association. « Il eût été anormal et contraire à la philosophie de notre organisation, qui a fait et fait toujours de l’engagement des jeunes une priorité, de continuer à ne pas leur donner la parole au plus haut niveau », explique Alain Legoux, secrétaire général adjoint d’UNICEF France.Main dans la main avec leurs comités régionaux, ces jeunes élus travailleront en équipe et exploiteront tout leur potentiel pour devenir de véritables représentants de l’engagement jeune.
 

Une histoire de partage

Débordants d’idées nouvelles, d’enthousiasme et de belles valeurs, ils auront un véritable rôle d’initiative et de représentation à tenir.Ils seront parties intégrantes des futures actions et des prochains temps forts d’UNICEF France. Au-delà d’une démarche citoyenne, il s’agit aussi d’une histoire de rencontres et d’un partage de richesses : tout au long de ces 2 années, ces jeunes pourront apprendre à se découvrir et à évoluer ensemble. Au rythme de leurs 3 réunions annuelles et des convictions qui les animent, ils proposeront de nouveaux projets pour défendre les droits des enfants.
« On est tous des jeunes motivés, sympathiques, tous prêts à donner le meilleur de nous-mêmes », promet Clara.Mobiliser et engager les jeunes de leurs âges, sensibiliser leur audience aux problématiques qu’ils ont à cœur de soulever, telles que le dérèglement climatique, le handicap, la lutte contre le cyber harcèlement ou contre le mariage précoce…sont autant de combats qui les animent, dans l’espoir de contribuer à un meilleur avenir pour le monde qui les attend demain.

Pour plus d’informations sur l’engagement jeune :cliquez ici
 
À propos d’UNICEF France
Chaque année, UNICEF France sensibilise directement, grâce à son réseau de bénévoles chargés d’actions éducatives, plus de 100 000 enfants. L’association produit à cet effet des ressources pédagogiques gratuites destinées aux acteurs éducatifs ainsi que des projets et jeux solidaires destinés aux enfants et aux jeunes eux-mêmes. Dès 6 ans, les enfants peuvent également s’engager individuellement ou en groupe au sein de Clubs UNICEF, en tant que Jeunes ambassadeurs puis devenir étudiants Campus UNICEF après le bac. Plus d’infos sur www.myunicef.fr
 

Contact

• Unicef France
Carine Spinosi – 01 44 39 17 49 – cspinosi@unicef.fr
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             UNICEF.France              UNICEF_france                unicef_france

www.unicef.fr


Européennes

Coup de projecteur sur le blog de Jacques Fournier
https://jacquesfournier.blog/2019/05/16/mon-vote-aux-europeennes/

Europe





Communiqué de séance

 


Paris, le 16 mai 2019

Le Sénat a adopté le projet de loi relatif à l'entrée en fonction des représentants au Parlement européen élus en France aux élections de 2019


 
 
Jeudi 16 mai 2019, le Sénat a définitivement adopté le projet de loi relatif à l'entrée en fonction des représentants au Parlement européen élus en France aux élections de 2019.
 
Ce projet de loi vise à :
·        sécuriser le mode de désignation des cinq députés européens supplémentaires, qui seront élus dès le 26 mai 2019 mais qui n'entreront en fonction qu'après le Brexit ;
·        préciser leur statut juridique, comparable à celui d'un suivant de liste, entre leur élection et leur entrée au Parlement européen.
 
 
---
Pour plus de détails, consulter :
·         ledossier législatif ;
·         lerapportde M. Alain RICHARD(LaREM– Val-d’Oise), fait au nom de la commission des lois ;
·         les comptes rendus (analytique etintégral) et lavidéodes débats en séance publique.

 

 

 

Contact presse :

MathildeDubourg

01 42 34 25 11 –presse@senat.fr

samedi 11 mai 2019

Coup de pouce pour un guide consacré à la DMLA

C'est à lire: « DMLA, guide à l'usage des patients et de leur entourage ».
L'ouvrage contient également des informations concernant le dépistage et  la prévention de la DMLA pour le grand public. Enfin il inspire également le professionnel de santé (ophtalmologiste, médecin traitant, orthoptiste…)dans sa relation thérapeutique. Bientôt en vente dans toutes les bonnes librairies.
Medicalibris. Une start up associative, collaborative à but non lucratif au service de l'information médicale.
http://medicalibris.blogspot.com

dimanche 5 mai 2019

Alerte enlèvement

Découvrez le Tweet de @FonctionR : https://twitter.com/FonctionR/status/1125153645270581255?s=09

Actualités du programme PASS


Voir la version en ligne

Newsletter N°56 
03 Mai 2019RETOUR SUR

Coopération Afd/Uemoa : nouvel envol pour le Projet d'Appui à l'extension de la Couverture du Risque Maladie (PACRM) dans les États membres de l'Union - 25 Avril 2019 à Ouagadougou (Burkina Faso)

La Commission de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) et l'Agence Française de D...
Lire plus

Audience auprès de Son Excellence Monsieur Macky Sall Président de la République du Sénégal - 19 Avril 2019 à Dakar (Sénégal)

C'est au nom du groupe Vyv et de son président Thierry Beaudet, que le Directeur du Pass, a été reçu ce...
Lire plus

Atelier de formation avec les leaders de coopératives de cacao sur la mutualité - 03 et 04 Avril 2019 à Divo (Côte d'Ivoire)

Les 03 et 04 Avril 2019, le Pass a été sollicité par l'Ong néerlandaise Solidaridad afin de former les ...
Lire plus

La CMU en Côte d'Ivoire ne prendra pas en compte les pathologies lourdes - 30 Mars 2019 Abidjan (Côte d'Ivoire)

On en sait un peu plus sur l'effectivité généralisée de la Couverture maladie universelle (Cmu). Le mar...
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Ramed et Anam : éclairage sur la prise en charge médicale des indigents au Mali - 29 Mars 2019 à Bamako (Mali)

Le Cadre de concertation des directeurs de publication (CCDP), en partenariat avec l'Agence nationale d...
Lire plusA SUIVRE ...

Inscrivez-vous à la 3ème édition du voyage d'étude des mutuelles à Paris 2019 jusqu'au 31 mai 2019

Après le succès des 02 premières éditions, le voyage d'étude PASS/FNMF adopte une nouvelle formule. C&#...
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Le Pass organise la deuxième édition du ''Café de la Santé Solidaire'' - 17 Mai 2019

Cinquante décideurs du secteur de la santé en Côte d'Ivoire se réuniront le 17 Mai 2019, dans le cadre ...
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Santé : la start-up française de e-santé PassCare veut s'insérer sur le marché africain

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Selon l'Association mondiale des opérateurs de téléphonie (GSMA), les technologies et services mobiles ...
Lire plusAGENDA

17 Mai 2018 à Abidjan (Côte d'Ivoire)

Deuxième édition du Café de la santé solidaire à Abidjan (Côte d'Ivoire)...


26 - 28 Juin 2019 à Luxembourg (Luxembourg)

La XXXIXème Assemblée Générale et Conseil d'Administration de l'AIM, Luxembourg (...


20 juillet 2019 à Bangkok (Thaïland)

Assemblée Générale du Réseau Education et solidarité à Bangkok (Thaïland)...


23 Septembre 2019 à New York (Etats Unis)

Réunion de haut niveau des Nations Unies sur la couverture santé universelle New York (Etats Unis)...


30 Septembre - 04 Octobre 2019 à Paris (France)

Voyage d'étude des mutuelles africaine à Paris (France)...


A PROPOS DU PASS
PASS est le programme d'appui aux stratégies mutualistes de santé. Il accompagne les acteurs mutualistes des pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L'objectif ? Renforcer le mouvement mutualiste dans la région afin qu'il prenne une place prépondérante dans les développements actuels des socles de protection sociale. Véritable assistance à maîtrise d'ouvrage, PASS permet l'établissement de partenariats techniques, économiques et financiers entre acteurs mutualistes africains et français. Il participe également à la mise en place du premier bureau de liaison de l'Union Africaine de la Mutualité. Ce programme est initié, financé et conduit par : Fnmf, mgen, Harmonie, Matmut, Solimut, Casden, MGEFI, Ofi, Egamo, MNT. Il est soutenu au plan international par l'AISS, l'AIM et l'ICMIF, et au plan français par la MSA.

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jeudi 2 mai 2019

Gouvernance des données dans les mutuelles

Matinée ADOM
du 29 mai 2019


La prochaine Matinée ADOM, se tiendra, avec son partenaire VALMEN  le mercredi 29 mai, à l'Hôtel de l'Industrie,4 place Saint Germain des Prés -75006 Paris, à partir de 9h30 sur le thème de :

« La gouvernance des données dans les mutuelles ».
 
Au programme :

Bilan des pratiques et difficultés rencontrées par les assureurs santé dans la maîtrise et l'exploitation de leurs données


Analyse des préjudices directs et indirects de la mauvaise maîtrise des données


Pistes et clés de la mise en œuvre des projets de gouvernance des données


 
Inscription obligatoire :
communication@asso-adom.fr

Contact :
Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualitéfrancophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr -president@asso-adom.fr
   @AdomMutualite - https://www.linkedin.com/groups/8567164www.viadeo.com/p/002o79d7dzvqcjw -https://www.instagram.com/adom_mutualite/

mercredi 24 avril 2019

Le coup de griffe de Jacques Draussin


Infolettre n° 335
mardi 23 avril 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Homéopathie : beau, beau le placebo
Entre deux conseils distillés - parait-il - au président de la République pour l’aider à régler le problème des gilets jaunes, Xavier Bertrand n’oublie pas qu’il faut aussi savoir faire dans le populaire s’il veut espérer satisfaire son ambition de passer des Hauts-de-France à tout-en-haut-de la-France en 2022.
Comme les sujets honorables pour mettre l’opinion publique de son côté se font rares ces derniers temps, celui qui fut ministre de la Santé sous une présidence pourtant plutôt adepte des remèdes de cheval, a choisi d’entrer dans le glorieux combat pour la défense de l’homéopathie.
Dans une belle envolée, presque lyrique s’il ne s’était agi d’un tweet, Xavier Bertrand a renouvelé son indéfectible soutien aux 5 000 médecins homéopathes, face à 60.000 généralistes allopathes, mais surtout réaffirmé l’attention évidemment sincère qu’il porte à une écrasante majorité de Français, adeptes permanents ou occasionnels de la star des médecines douces.
Qu’importe si les Académies de Médecine et de Pharmacie viennent ensemble de réclamer l’arrêt de leur remboursement [à 30%] par la Sécu, au prétexte futile que ces granules seraient parfaitement inefficaces. Comme souvent en matière de santé, la rigueur scientifique ne pèse pas bien lourd en regard de la rumeur publique.
Pourtant, les mêmes qui affirment en jurant sur Saint-Hippocrate que l’homéopathie n’est guère plus qu’un attrape gogo, reconnaissent quand même que, prescrite avec empathie, elle a au moins la valeur d’un excellent placebo… et les patients sont quasiment unanimes à estimer légitime qu’on leur en prescrive en sus d’un médicament traditionnel.
Si l’argument de l’efficacité thérapeutique ne fonctionne pas, quand est-il alors de l’argument économique qui lui est lié ? Au cœur des dépenses d’assurance maladie, il est autant dilué qu’un granule de Syzyglium ou de Sulfure 15CH car les remboursements homéopathiques ne représentent guère plus de 0,3% des dépenses totales de médicaments. C’est dire si, remboursée ou pas, l’homéopathie n’a guère de poids, ni dans l’amélioration de la Santé publique, ni dans celle de ses comptes…
Jacques DRAUSSIN

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samedi 13 avril 2019

Préparez vos vacances

http://www.datapressepremium.com/rmintranet/consultpj.jsp?f=c&idc=3545932&idr=225371099&ido=231581099&idb=348001099&idpj=1&idl=0&b=DATAM&fic=http://www.datapressepremium.com/rmdiff/2008770/DOSSIER-PLAGE-avril19.pdf

mardi 9 avril 2019

Le coup de griffe de la semaine


Infolettre n° 333
mardi 9 avril 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Sida, prévention au point... mort
Rappelez-vous : la prévention en matière de santé, c’était le sida qui en était devenu le centre. A tel point d’ailleurs que tous les autres thèmes de santé semblaient être des laissés pour compte, privés de parole et de moyens.
C’était il y a 30 ans et l’on cherchait à rendre populaire un objet pourtant considéré par beaucoup comme la triste résurgence d’une vie sexuelle désuète, perdue dans les limbes de l’époque pré soixante-huitarde, le préservatif. La capote qu’on voulait soudain joyeuse, branchée et vivante pour se protéger d’une maladie qui puait la mort, le condom qu’on entendait rendre populaire, d’accès facile et d’usage réflexe.
Les associations houspillaient les Pouvoirs publics, Act-Up-Paris organisait des opérations coup de poing presque chaque semaine, Christophe Dechavanne prononçait son fameux « Sortez couvert », Clémentine Célarié roulait une énorme galoche à un garçon séropositif pour prouver que le VIH ne se transmettait pas par la salive.
Ce week-end, le Sidaction fêtait ses 25 ans dans la morosité. Parce que la récolte financière n’est plus celle qu’il avait suscitée à l’époque mais aussi parce qu’un sondage est venu confirmer ce que tout le monde redoutait. En 2019, 23 % des jeunes de 15-24 ans s’estiment mal informés. Et on comprend pourquoi: 14 % d’entre eux pensent que la pilule du lendemain peut empêcher la transmission du VIH, 19% affirment que le Sida peut être transmis par les baisers... et, ne lésinons pas, par les moustiques.
Grand classique des croyances concernant les infections sexuellement transmissibles, 3,5 % des sondés de la génération Z croient même dur comme fer qu’on peut être contaminé en s’asseyant sur des sièges de toilettes [il est vrai que tout dépend de ce que l’on y fait et avec qui].
6 000 personnes ont encore découvert leur séropositivité en France l’an dernier. Un chiffre qui ne baisse plus depuis plusieurs années. Aujourd’hui, c’est heureux, on ne meurt plus du VIH. Le sida est devenu une maladie chronique et le phénomène est connu des experts en prévention : une maladie qui se chronicise est une maladie qui se banalise. Et toujours pas de vaccin.
Jacques DRAUSSIN

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dimanche 7 avril 2019

Sidaction 2019 : un pur moment de bonheur

https://www.facebook.com/1693205273/posts/10205463435900649/.  Un collègue français adhérent de l'aidf

TeamMut

https://www.facebook.com/1693205273/posts/10205463435900649/.  Un collègue français adhérent de l'aidf

mardi 26 mars 2019

Précarité sociale


En France, les taux de non-recours aux aides sociales dépassent les 40 % sur certaines aides et le manque à gagner représente plusieurs centaines d’euros par foyer. Il existe en effet plus de 200 dispositifs. De la méconnaissance de la loi aux nombreux papiers à envoyer, en passant par certaines procédures complexes, il est très difficile de s’y retrouver. « Depuis 2012, Aide-sociale.fr vise à simplifier les démarches administratives pour permettre au plus grand nombre de faire valoir leurs droits. Notre nouveau simulateur est un outil puissant capable de déterminer, en quelques minutes, toutes les prestations qu’un citoyen peut demander », signale le fondateur Johan Hallef dont le site dépasse régulièrement le million de visiteurs uniques chaque mois.

La plateforme Aide-sociale.fr permet chaque année à des milliers de personnes de découvrir des prestations auxquelles elles avaient droit, mais dont elles ignoraient l’existence.
 
Logement, santé, chômage, transport, famille, éducation, loisir, vacances… tous les domaines sont concernés, quel que soit le profil de l’internaute (demandeurs d’emploi, salariés, retraités, étudiants…)
 
100 % gratuit, il se base sur les critères officiels d'attribution. Depuis quelques jours, ses fonctionnalités et son efficacité ont été étendues. Vous pouvez tester le simulateur en cliquant sur le lien ci-dessous et/ou regarder la vidéo d’explication du simulateur.

Sondage : Quid de la liberté sexuelle des jeunes femmes en 2019


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Sondage

« Liberté sexuelle des jeunes femmes en 2019 » 

par le laboratoire TERPAN

 

 
Faire de la sexualité des femmes un sujet jouissif, et pas le théâtre d'affrontements. Affirmer leur droit au plaisir, à la jouissance, de toutes les manières possibles et imaginables ??? mais sans injonctions. Affirmer leur légitimité à avoir du désir ou à ne pas en avoir, assumer celui-ci, le revendiquer !
 
Le laboratoire Terpan a voulu connaitre la liberté sexuelle des jeunes filles en 2019 et est parti à la rencontre de plus de 200 jeunes filles entre 12 et 20 ans à travers toute la France. A quel âge ont-elles eu leur 1errapport sexuel ? Ce dernier était-il consenti ? Ont-elles ressenti du plaisir ? Se sont -elles protégées ?
 
Liberté sexuelle des jeunes filles en 2019, un sujet tabou ?
 
Plus de 70% des jeunes filles de 12-20 ans interrogées ont déjà eu un rapport sexuel. Plus de 14% entre 10 et 14 ans ont déjà eu un rapport sexuel, plus de 40% entre 14 et 16 ans. Et 54% de ces jeunes filles à avoir eu un rapport sexuel avant 16 ans n'étaient pas en couple.


« L'adolescence constitue une période clé d'expérimentation et d'apprentissage des interactions sociales entre les individus notamment des sentiments amoureux et des relations sexuelles qu'ils expérimentent de plus en plus jeunes » explique leLaboratoire Terpan. « C'est donc le moment pour les informer, à ce qu'ils comprennent et identifient les risques et s'approprient durablement les notions de prévention, de respect de l'autre et de son propre corps. C'est à cette période que se construisent les représentations liées à la sexualité. Il est important de les aider à acquérir les clés pour effectuer des choix éclairés et adaptés dans les situations qu'ils sont ou seront amenés à vivre. Cette période est d'autant plus essentiel en matière de prévention qu'elle est le plus souvent, pour l'adolescent, nourrie de curiosité et d'une volonté de découvertes ».
Le Laboratoire Terpan a également voulu connaitre les raisons ou motivations de leur première expérience sexuelle. Pour 62% des jeunes filles interrogées, l'envie les a poussé à avoir un 1errapport sexuel, suivi par l'amour pour 42% , la curiosité pour 28%, mais lacontrainte ou la menace pour 7% d'entre elles.
Et elles sont plus de 16% à répondre que leur 1er rapport n'était pas consenti.
Sur la question du plaisir, elles sont plus de 54% à n'avoir ressenti aucun plaisir lors de leur premier rapport, par stress et appréhension pour plus de 40% d'entre elles, par douleur pour plus de 27%, et 22% des jeunes filles affirment que leur partenaire ne pensait qu'à son propre plaisir ou était trop brusque pour 12% des répondantes.


Elles sont plus de 40% à ne pas s'être protégées lors de leur 1errapport.
Les raisons : 54% d'entre elles n'avaient pas de moyens de protection ce jour-là, 29% souhaitaient avoir plus de plaisir, et 10% des interrogées n'avaient simplement pas envie de se proteger. 
Au-delà, elles sont plus de 42% à ne pas avoir utilisé un moyen de contraception.
Les raisons : pas de contraception ce jour-là, ou pas pensé pour 32%. Et plus de 34% répondent qu'elles ou leurs partenaires n'en voulaient tout simplement pas.
24% des interrogées ont eu recours à la contraception d'urgence.
31% des jeunes filles confirment ne pas être informées ou sensibilisées sur les questions des IST/MST et 33% ne pas être informées et sensibilisées sur les moyens de protection et de contraception.
Elles sont d'ailleurs plus de 40% à ne pas avoir été vaccinée contre le papillomavirus humain.
« Les jeunes connaissent la théorie mais ne savent pas la mettre en pratique pour se protéger...Contrairement aux plus de 35 ans, qui ont démarré leur vie sexuelle quand le sida était encore une maladie mortelle, les adolescents d'aujourd'hui appartiennent à la «génération médicament». Et leur regard sur le VIH a changé » explique le Laboratoire Terpan. « Il est plus que primordial de remobiliser les actions de prévention. Mais entre tous les sujets polémiques de ces dernières années : mariage pour tous, polémiques sur le genre ou crispation religieuse, parler de sexualité à l'école semble être plus compliqué aujourd'hui qu'il y a vingt ans ».
 


Depuis leur premier rapport, elles sont plus de 23% à avoir eu au moins 5 partenaires (et elles sont 34% entre 1 à 3 partenaires).
Les idées reçues, les peurs et les fantasmes autour de la sexualité des jeunes sont nombreux. Au carrefour de toutes ces anxiétés se trouve la pornographie, dénoncée comme le danger par excellence pour la jeunesse. Lesondage du laboratoire Terpan révèle que pour 28% des jeunes filles interrogées le rapport sexuel est basé sur l'acte en lui-même en mode porno, 15% sur le plaisir de l'autre.
Plus de 36% d'entre elles confirment que les sites porno influencent leurs rapports sexuels et plus de 37% déclarent avoir rarement voir jamais de plaisir lors de leurs rapports sexuels.


Plus de 53% des jeunes filles sondées affirment que leurs partenaires ne connaissent pas l'anatomie féminine et les points d'orgasme. Elles sont d'ailleurs plus de 30% à ne pas les connaitre non plus.
Un résultat qui fait écho au choix des éditions Magnard de représenter le clitoris pour la 1ère fois dans un manuel scolaire il y a deux à peine. « Si l'on parle si peu du clitoris, c'est parce que les manuels scolaires et les séances d'éducation à la sexualité laissent une trop grande place à l'appareil génital masculin, au détriment du féminin », rappelle lelaboratoire Terpan. « L'éducation à la sexualité joue un rôle essentiel dans la connaissance de son corps et est une occasion d'être informé.e, de connaitre son corps, de faire ses choix... C'est le seul moyen de protection à l'initiative des femmes! »
 
Pour plus de 45% des jeunes filles interrogées, l'évolution de la liberté sexuelle des filles avancent doucement, ou est encore un sujet tabou pour 37% d'entre elles.


En ce qui concerne leur propre sexualité, elles sont plus de 34% à dire qu'il y a encore du travail, 16% à être mal à l'aise et plus de 14% à trouver que leur sexualité n'est pas importante.
A propos du Laboratoire Terpan
Expert de la prévention, Terpan est un laboratoire français présent sur le terrain qui travaille à la fois avec les collectivités et le grand public. Terpan conçoit, fabrique et distribue des préservatifs masculins et est le distributeur exclusif de préservatifs féminins en France. www.terpan.fr

CONTACT PRESSE

 
 

Actualité Afrique

COMMUNIQUE PRESSE -du 22 mars 2019-
DE ASSOA ADOU
Secrétaire général du FPI
https://drive.google.com/file/d/0B-5ybaP8DdwbNFZ4V2dFb1ZYNUFzdkRYMS04eVZOcEZXZlNR/view?usp=drivesdk

Un support à découvrir et faire connaître


 
Date :        25/03/2019 06:30 
Objet :        [NEWSLETTER] Professionnels de santé et réformes - Fonds Avenir Masfip - Europe sociale - Lettre Espace Social Européen du 25/03/19 

Si vous ne parvenez pas à lire cet e-mail, cliquez ici

 



 

 

Lundi 25 mars 2019 - Lettre N°1090

 



 
54% des professionnels de santé défavorables à la création d’assistants médicaux Dans le cadre du Grand débat national, le Groupe Profession santé (Le Quotidien du Médecin, Le Quotidien du Pharmacien, le Généraliste, Décision & Stratégie santé, etc.) publie ce matin une grande enquête réalisée par Odoxa auprès de 3 4000 professionnels de santé. 

Un des volets est consacré à laconnaissance de la Stratégie nationale de santé et des mesures annoncées par Agnès Buzyn.
Premier enseignement : 63% des professionnels de santé ne connaissent pas la feuille de route du gouvernement en matière de santé, 22% y sont opposés et 14% seulement y sont favorables.
Pourtant la plupart des principales mesures du projet de loi organisation et transformation du système de santé, porté par la ministre, sont bien perçues. Ainsi, la fin du numérus clausus est approuvée par 67% des professionnels de santé, la labellisation des 500 hôpitaux de proximité par 64%, la transformation de l’hôpital et la refonte générale de l’offre par 62%, la nouvelle organisation des études de santé par 56%. En revanche, seuls 44% saluent la diversification des modes de financement des soins et 43% le déploiement des CPTS. Enin, la création de 4 000 postes d’assistants médicaux ne rencontre que 39% d’opinion favorables et 54% y sont opposés (7% n’en ont pas entendu parlé). 
 

 

 
Oncogénétique : un site d’information grand public Le Fonds Avenir Masfip a lancé le premier site d’information à destination du grand public sur les cancers héréditaires, vendredi. 

"Nous sommes heureux d’annoncer le lancement du siteOncogénétique.frfruit des ambitions nourries au sein du Fonds Avenir Masfip (...). Créé le 10 septembre 2014, ce fonds a pour ambition de soutenir des initiatives innovantes dans toutes les dimensions de l’oncogénétique, qu’elles soient sociales, médicales ou éthiques vis à vis des pathologies féminines", souligneDominique Combe, présidente de la Masfip (Mutuelle d’Action Sociale des Finances Publiques).En France, 5 à 10% des 1 000 nouveaux cas de cancers déclarés par jour peuvent s’expliquer par des prédispositions héréditaires. Une enquête conduite par ViaVoice montre que 79% de la population souhaite être mieux informée sur le risque familial de cancer.
Le site apporte des réponses aux questions les plus fréquentes, met à disposition des fiches pratiques téléchargeables et un lexique médical. Il permet ainsi de centraliser toutes les informations sur un même support. 
"A la Fondation de l'Avenir, nous sommes extrêmement attentifs à la diffusion de l'information et aux questions éthiques aux côtés de la recherche", observeDominique Letourneau, président du directoire.
Le site bénéficie d’un fort soutien scientifique. "Tous les canaux d'information sont nécessaires", pointe ainsiDominique Stoppa-Lyonnet, professeur de génétique à l’Université Paris Descartes et responsable du service de génétique de l’Institut Curie. L’initiative est également saluée par les associations de patients. "C’est important pour nous de pouvoir nous appuyer sur un outil comme celui-ci" renchérit,Laetitia Mendes, présidente fondatrice de Généticancer.
En 30 ans d’existence, l’oncogénétique apparaît comme une discipline relativement récente. En 2017, près de 41 148 tests génétiques de dispositions au cancer ont été réalisés. 
 

 

 
Retraite, quand ESE anticipe avec raison… Un moment d’autosatisfaction.
Alors que les partenaires sociaux et les médias font écho aux très récentes propositions du Haut commissaire à la réforme des retraites sur l’organisation et la gouvernance possible du futur régime universel en points, la rédaction d’Ese rappelle à ses nombreux lecteurs que ces données furent présentées comme une projection possible dans son numéro 1148 du 8 mars dernier."L’immense tort d’avoir raison trop tôt" comme disait le poète. 
 

 

 
Un deuxième colloque sur le bon usage du médicament Le colloque annuel du collectif Bon usage du médicament se tenait vendredi dernier au ministère de la Santé. 
"Le bon usage du médicament est un véritable enjeu de santé publique, puisqu’au-delà des conséquences sur le patient, qui peuvent aller jusqu’au décès, un bon usage du médicament entre dans l’objectif de pertinence des soins, et représente des économies non négligeables pour l’Assurance maladie", souligne l’association. Elle réunit l’ensemble des acteurs du médicaments : ordres et syndicats de médecins, de pharmaciens, de kinésithérapeutes, IP, acteurs médico-sociaux, industriels, éditeurs de logiciels, etc.
Après une première édition, l’année dernière, ce rendez-vous visait à partager les innovations, les expériences et les bonnes pratiques nationales et internationales, afin "d’inspirer nos politiques de santé et de sensibiliser le grand public".
 

 

 
Europe sociale : la Mutualité Hauts-de-France à Bruxelles La Mutualité Française Hauts-de-France organisait, mardi dernier, à Bruxelles un atelier débat, clôturant le tour de France des Unions Régionales dans le cadre de la mobilisation de la fédération en vue des élections européennes. 
  
"Organiser un événement sur l’Europe sociale au cœur même des institutions européennes revêt une symbolique forte, mais cela était surtout une belle opportunité d’échanger et de recueillir le ressenti de nos voisins belges. Quoi de plus normal que de collaborer de façon transfrontalière lorsque l’on parle de l’Europe ?", souligne Francis Formaglio, président de Mutualité Française Hauts-de-France. Étaient présents des représentant de l ’Association internationale de la Mutualité (AIM), de Solidaris, de la Mutualité Chrétienne, de la Mutualité Libérale, de l’Association des assureurs mutuels et coopératifs en Europe (AMICE). Côté FNMF,Dominique Joseph etStéphanie Soares, respectivement secrétaire générale et administratrice à l’animation du mouvement avait fait le déplacement. Quatre thèmes ont été abordés:travail/emploi ; santé, solidarités, développement durable
Les propositions, et celles de toutes les UR concernées, seront présentées lors du grand débat avec les têtes de listes le 11 avril prochain, à la Maison de la radio à Paris. La mobilisation de la Mutualité Française a démarré en février dernier avec la diffusion d’un manifeste pour une Europe Sociale cosigné par 10 partenaires européens. 
 

 



 

Un nouveau service en ligne permet de faire une demande de retraite en une seule fois à l’ensemble des 35 régimes, de base et complémentaires, réunis au sein de l’Union retraite.


 

7 200 décès sont attribuables à la grippe, selon Santé Publique France. L'épidémie est terminée dans trois régions (Bourgogne Franche-Comté, Corse et en Île-de-France) et tire à sa fin dans le reste de la France métropolitaine.


 

 

 

Lettre éditée par Espace Social Européen - prix 3 € - SARL au capital de 120 000 € - RCS PARIS B 480 706 159 (2005B02166) 
Principal associé : Pascal Beau - 22 rue Léon Jouhaux 75010 Paris - tél : 01.53.24.13.00 - fax : 01.53.24.13.06 
Rédaction : Pascal Beau, Alexandre Beau et Emilie Guédé 
Service abonnements :abonnements@espace-social.com / tél : 01.53.24.13.18 
Iconographie : Cocktail Santé / tél : 01.53.24.13.02 
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