Nora ANSELL-SALLES

mercredi 5 février 2014

Prix Bourgine 2014 attribué au Pr Paul WORKMAN / Institut de Recherche sur le cancer Londres


Le Prix international Raymond Bourgine 2014

est attribué au Pr Paul WORKMAN

de l'Institut de recherche sur le cancer (ICR) à Londres,

à l'occasion du 25ème Congrès International sur les Traitements Anticancéreux (ICACT) au Palais des Congrès à Paris
 
 

Paris - le 5 février 2014 Le Prix Raymond Bourgine pour la recherche cancérologique récompense, cette année, le Pr Paul Workman, pour ses travaux de recherche qui ont contribué à des avancées importantes dans le domaine du cancer. Ce prix international, parrainé par les Laboratoires Pierre Fabre, lui est remis par le Pr David KHAYAT, chef du service d'oncologie médicale à l'hôpital de la Pitié Salpetrière et Président de la Fondation AVEC pour la vie, espoir contre le cancer.

 


 

le Pr Paul Workman,

Le Pr Paul Workman est Directeur général adjoint de l'Institut de recherche sur le cancer (ICR) à Londres, chef de la division thérapeutique du cancer et Professeur de pharmacologie et de thérapeutique à Harrap. A l'ICR il est également directeur de l'Unité de recherche Cancer Therapeutics pour la Grande-Bretagne - le plus grand groupe de découverte de médicaments contre le cancer à but non lucratif dans le monde.

Conférence parlementaire sur l'Innovation du 13 février



 

Agenda :  la Conférence parlementaire sur l’Innovation ouverte se tiendra le jeudi 13 février 2014,  à la Maison de la Chimie sur le thème :

 

L’innovation au cœur de la relance économique française

Pour une industrie française de l’innovation ouverte

Avec la participation confirmée des parlementaires suivants :

Philippe ADNOT, sénateur de l’Aube, rapporteur sur la Recherche

et l’Enseignement supérieur pour le PLF 2014 ;

Michel BERSON, sénateur de l’Essonne, rapporteur sur la Recherche

et l’Enseignement supérieur pour le PLF 2014 ;

Christophe BORGEL, député de la Haute-Garonne ;

Alain CHRÉTIEN, député de la Haute-Saône ;

Patrick HETZEL, député du Bas-Rhin, membre de l’OPECST ;

Anne-Yvonne LE DAIN, députée de l’Hérault, vice-présidente de l’OPECST ;

Jean-Pierre LE ROCH, député du Morbihan.

 

Inscription
 
Rendez-vous dès à présent sur le site internet ou envoyez votre bulletin d'inscription dûment complété à l'adresse inscription@rivington.fr, par fax au 01 84 16 56 58, ou par courrier.

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MINE D'INFOS: Régime étudiant : dérapage ???

MINE D'INFOS: Régime étudiant : dérapage ???: - Régime étudiant de sécurité sociale - L’UFC Que Choisir et la FAGE dérapent en divulguant de fausses informations. Paris, le 3...

Régime étudiant : dérapage ???


- Régime étudiant de sécurité sociale -

L’UFC Que Choisir et la FAGE dérapent en divulguant de fausses informations.





Paris, le 30 janvier 2014 : En signant un manifeste commun appelant à la fin de la délégation de service public aux mutuelles étudiantes avec le syndicat la FAGE, l’association des consommateurs UFC – Que Choisir déroge à sa mission d’information pour se transformer en structure partisane.


Plus grave, les affirmations énoncées dans ce manifeste sont fausses et conduisent le consommateur en erreur, ce qui est contraire à la vocation et à l’indépendance déclarée de l’UFC – Que choisir1.


Rectificatif des fausses affirmations présentes dans le manifeste :
Le retard dans la création de la carte vitale est de la faute des mutuelles étudiantes : FAUX, la création de la carte vitale dépend du GIE SESAM-Vitale² lui-même sous la tutelle de la CNAMTS.

La fin de la délégation de service public aux mutuelles étudiantes permettrait de réaliser des économies : FAUX, en 2012 un affilié coutait en moyenne 65.8 €3 dans les 50 CPAM les plus performantes (il y a 102 CPAM en France) alors que les mutuelles étudiantes ne perçoivent que 52 € pour gérer la santé d’un étudiant.

Jusqu’à 93 % des appels que les mutuelles reçoivent ne sont pas traités : FAUX, en moyenne, les mutuelles du réseau emeVia répondent à 9 appels sur 104 quand la CNAM répond à 7 appels sur 10 5 et la LMDE 1 sur 14.


Les informations erronées sur lesquelles reposent les prises de position politiques de la FAGE et de l’UFC – Que choisir amène le réseau emeVia à s’interroger sur la finalité d’une telle alliance.


EmeVia se garde le droit de poursuivre l’UFC – Que Choisir ainsi que la FAGE et de demander une publication officielle de rectification dans les principaux médias.


1
L’UFC-Que Choisir est totalement indépendante des fabricants, des commerçants, des activités de services, des syndicats, des groupes de presse ou financiers, des partis politiques, du gouvernement et, plus généralement, de tout intérêt ou groupement autre que ceux des consommateurs. (page Wikipédia de l’UFC – Que Choisir).

²
En 1993 les 3 principaux régimes d'Assurance Maladie Obligatoire (régime général, régime agricole et régime des professions indépendantes) décident de créer un Groupement d'Intérêt Economique pour porter le projet SESAM-Vitale. C'est ainsi que naît le GIE SESAM-Vitale.

3
Sources CNAMTS BAM 50 pour l’année 2012

4
Indicateurs de qualité de services envoyés par les mutuelles à la CNAMTS


 
A propos d’emeVia
EmeVia, la sécurité sociale des étudiants, est depuis le 8 mars 2012 la nouvelle dénomination de l'Union Nationale des Mutuelles Etudiantes Régionales (USEM). EmeVia (www.emevia.com) représente les mutuelles étudiantes de proximité membre du Réseau national emeVia : MEP, MGEL, SEM, SMEBA, SMECO, SMENO, SMERRA, SMEREB, SMERAG, VITTAVI

Les mutuelles étudiantes ont trois missions principales:
- La gestion du régime de Sécurité sociale
- L'offre d'une garantie complémentaire santé
- La mise en place d'actions en promotion de la santé


Elles gèrent ainsi le régime de Sécurité sociale de près de 850 000 étudiants et offrent une complémentaire santé à près de 250 000 d’entre eux. Chaque année, plus de 1 200 actions de promotion de la santé étudiants et 420 000 d’entre eux échangent personnellement avec un animateur santé.



NDLR : MGEFI et ETUDIANTS

Foire aux questions sur la santé                                
  • F.A.Q. Santé                                
  • Foire aux questions sur la prévoyance                                
  • Foire aux questions pratiques                     
  • F.A.Q. Pratique                     

  •  

    Accès des handicapés aux soins primaires : MG France propose des solutions


    En France, comme ailleurs en Europe, l'accès des personnes handicapées aux services publics et notamment aux établissements qui dispensent des soins médicaux fait l'objet de l'attention soutenue des pouvoirs publics. La loi du 11 février 2005 prévoit que tous les cabinets médicaux devront être parfaitement accessibles en 2015 aux handicapés, sauf dérogations particulières accordées par le préfet sur avis de la commission ad hoc, au prix d'une procédure administrative complexe et coûteuse lorsqu'il s'agit de faire intervenir un architecte.

    Le Comité interministériel du handicap vient de constater le retard pris par notre pays dans l'agenda de l’accessibilité programmée. Une certitude s’impose déjà : de nombreux établissements de santé et de nombreux cabinets médicaux ne répondront pas aux normes en 2015.

    Pour de nombreux médecins généralistes, la mise aux normes de leur local professionnel, quand elle est possible, peut représenter un coût prohibitif d'adaptation poussant à envisager un déménagement pur et simple.

    Ces questions suscitent dès aujourd'hui une légitime inquiétude dans les rangs des professionnels de santé de proximité qui sont soucieux de la pérennité de leur exercice professionnel. Leurs cabinets professionnels constituent en effet un élément essentiel du maillage territorial des soins primaires de notre pays.

    L'application stricte des textes conduira inévitablement à une démédicalisation brutale des zones urbaines avec réimplantation des cabinets en périphérie où l'immobilier est moins couteux, ce qui reviendrait à imposer aux handicapés un déplacement plus long et plus difficile pour accéder aux soins.

    Pourtant, depuis toujours, les médecins généralistes prennent en charge leurs patients handicapés en se déplaçant à leur domicile. Cette facilitation de l'accès aux soins doit être reconnue et prise en compte.

    Le syndicat des médecins généralistes MG France propose que la visite du médecin traitant au domicile de ces patients handicapés soit, de fait, considérée comme une réponse satisfaisante aux difficultés actuelles d'accès aux soins de ces personnes.

    MG France demande que cette solution soit officiellement validée sans que chaque médecin ou professionnel de proximité soit obligé de demander une dérogation à la commission ad hoc.

     

    Dr Claude LEICHER -  Dr François WILTHIEN - Dr Jacques BATTISTONI

     

    MINE D'INFOS: BAROMÈTRE D’OPINION DREES 2013

    MINE D'INFOS: BAROMÈTRE D’OPINION DREES 2013: Les Français s’inquiètent des inégalités, mais réaffirment leur soutien au système public de protection sociale   Les Français per...

    MINE D'INFOS: Pilules de 3ème et 4ème générations :

    MINE D'INFOS: Pilules de 3ème et 4ème générations ::   Un an après, le message des autorités sanitaires a été entendu Un an après la mise en garde des autorités sanitaires au sujet d...

    MINE D'INFOS: Marisol Touraine renforce la recherche clinique da...

    MINE D'INFOS: Marisol Touraine renforce la recherche clinique da...: Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, élargit le programme hospitalier de recherche clinique (PHRC), aux enjeux...

    Marisol Touraine renforce la recherche clinique dans le domaine des soins primaires

    Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, élargit le programme hospitalier de recherche clinique (PHRC), aux enjeux de la recherche en soins primaires.

    Cette priorité, annoncée dans le cadre de la stratégie nationale de santé (SNS), concerne les programmes de recherche clinique nationaux et interrégionaux, et pour l’ensemble des thématiques : soins, médico-économie, performance du système de santé et pratiques infirmière et paramédicale.

    Cette recherche devant être conduite principalement hors de l’hôpital, Marisol Touraine introduit pour la première fois dans le cadre du PHRC, la possibilité aux maisons de santé et centres de santé de porter directement et indépendamment d’un établissement hospitalier, des projets de recherche.


    Ainsi, les maisons de santé et centres de santé pourront assurer le rôle de promoteur d’études de recherche clinique. Les professionnels de ces structures pourront porter des projets en propre, ou être associés à des projets pilotés par d’autres.

    La promotion d’une médecine de parcours de qualité exige le développement d’une recherche de haut niveau dans le domaine des soins de premier recours. Cette recherche devra contribuer à l’émergence et à la validation scientifique de pratiques et d’organisations innovantes au bénéfice des patients et de l’organisation de notre système de santé.

    Il s’agit aussi de renforcer l’attractivité de la médecine de premier recours pour des professionnels engagés dans leur mission de soin, mais également motivés par les enjeux de la recherche clinique.
    Cette mesure novatrice concourt à la mise en œuvre des engagements pris dans le « pacte territoire-santé » en faveur de la lutte contre les déserts médicaux notamment par l’amélioration de l’attractivité de l’exercice en soins primaires.

    Pilules de 3ème et 4ème générations :

     


    Un an après, le message des autorités sanitaires a été entendu
    Un an après la mise en garde des autorités sanitaires au sujet des pilules de 3ème et 4ème générations, leur consommation en France a considérablement diminué, au profit d’autres modes de contraception. Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, se félicite de ces résultats très positifs : ils montrent que le message qu'elle a martelé, selon lequel « la bonne contraception, c’est celle qui est délivrée à la bonne personne, au bon moment » a été entendu par les prescripteurs comme par les femmes.
    Marisol Touraine avait pris, dès le mois de septembre 2012, la décision de dérembourser les pilules de 3ème génération, à la suite de l’avis de la haute autorité de santé (HAS) qui considérait que « le service médical rendu par ces spécialités devait être qualifié d’insuffisant pour une prise en charge par la solidarité nationale ». Il y a tout juste un an, à la demande de la ministre, l’agence nationale du médicament et des produits de santé (ANSM) adressait une mise en garde aux prescripteurs français et initiait au niveau européen une réévaluation du rapport bénéfice/risque des pilules 3ème et 4ème générations.


    Le bilan présenté ce matin par l’ANSM montre une évolution importante des modes de contraception en France. La consommation de pilules de 3ème et 4ème générations a fortement diminué, au profit d’autres modes de contraception. On constate ainsi une baisse de 45 % des prescriptions de pilules de 3ème et 4ème générations en 2013 par rapport à l’année 2012 : elles ne représentent désormais que 22 % des ventes de pilules contraceptives, contre 45 % en 2012. De même, la proportion des ventes d’autres modes de contraception (implants, stérilets) a augmenté de 27% en 2013 (la plus forte augmentation concerne les stérilets au cuivre dont les ventes ont progressé de 47 % en 2013).

    Les recommandations des autorités sanitaires au sujet de la contraception continuent d’évoluer. La HAS vient ainsi de diffuser de nouveaux guides à destination des pharmaciens.


    La confiance des femmes dans la contraception est un enjeu majeur de santé publique.  Marisol Touraine rappelle que la pilule est avant tout ce qui permet à des millions de femmes d’exercer librement leur droit à la contraception.
     


    NDLR : MGEFI ET CONTRACEPTION
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    BAROMÈTRE D’OPINION DREES 2013


    Les Français s’inquiètent des inégalités,
    mais réaffirment leur soutien au système public de protection sociale

     

    Les Français perçoivent de plus en plus la montée des inégalités sociales. Dans ce contexte, ils restent très attachés au système public de protection sociale et d’assurance maladie. C’est ce que révèlent le baromètre d’opinion de la DREES réalisé par BVA et l’étude « Qualité et accessibilité des soins de santé : qu’en pensent les Français ? »

     

    En 2013, marqués par la crise, les Français sont critiques. Neuf sur dix estiment que les inégalités ont plutôt augmenté au cours des cinq dernières années. Seuls sept Français sur dix partageaient ce constat dans les années 2000. S’ils considèrent, à 42 %, les inégalités de revenus comme les plus répandues, ils jugent les inégalités d’accès aux soins comme les moins acceptables (22% des réponses), devant les inégalités de revenus (19%) et de logement (16%).

     

    Ils se disent satisfaits de leur situation personnelle, mais près de la moitié d’entre eux craignent une situation de chômage dans les mois à venir, pour eux ou leurs proches. Ils sont aussi plus pessimistes pour les générations futures.

     

    S’estimant en bonne santé, une perception stable depuis 2007, ils sont pour la première fois plus nombreux à penser que la santé de leurs compatriotes se dégrade. Si 68% d’entre eux s’estiment satisfaits de la qualité des soins à l’hôpital, une part croissante pense que celle-ci s’y est détériorée ces dernières années. Par ailleurs, pour six Français sur dix, la qualité des soins diffère selon les revenus et le lieu où l’on habite. La satisfaction quant à l’accès aux dentistes et aux médecins a baissé entre 2007 et 2013.

     

    Face à ces constats, les Français continuent d’en appeler au soutien de l’État et au monopole de la Sécurité sociale. Une large majorité (64%) juge normal que la France consacre un tiers du revenu national au financement de la protection sociale. Néanmoins, les Français sont plus nombreux qu’en 2000 à considérer cette part comme excessive. Mais pour 61% d’entre eux, l’État reste l’acteur majeur de la solidarité contre une minorité à penser que ce rôle doit revenir aux familles (8%), aux associations (5%) ou aux compagnies d’assurances (2%).

     

    NDLR : MGEGI et Baromètre (santé des fonctionnaires)

    Une évolution notable cependant : en 2013, 60% des Français jugent que les entreprises ne doivent cotiser ni plus ni moins qu’actuellement pour la protection sociale, contre 48% en 2010. Et ils ne sont plus que 32% à penser qu’elles doivent cotiser davantage contre 45% en 2010.


     

    Outil de référence depuis 2000, le Baromètre d’opinion de la DREES analyse l’opinion des Français sur la santé, la protection sociale (assurance-maladie, retraite, famille, handicap-dépendance, pauvreté-exclusion) ainsi que sur les inégalités sociales. Les données de la vague 2013 ont été collectées du 14 octobre au 26 novembre, auprès d’un échantillon de 4 000 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans ou plus en France métropolitaine. Ce Baromètre apporte un éclairage complémentaire aux travaux menés habituellement par la Drees, puisqu’il met en parallèle les évolutions perçues et réelles des politiques sanitaires et sociales.

     

     

     
    Recevoir  les documents ci-dessous part mail : nansellsalles@mgefi.fr
    :
    ·         
    La synthèse des résultats du Baromètre d’opinion DREES en 2013.
    ·         
    « Qualité et accessibilité des soins de santé : qu’en pensent les Français ? », Études et Résultats, DREES, n°866, février 2014.

    mardi 4 février 2014

    MINE D'INFOS: Troisième plan cancer : ce que souhaite MG France ...

    MINE D'INFOS: Troisième plan cancer : ce que souhaite MG France ...: LE REGARD DE: MG France     Pour MG France, premier syndicat des médecins généralistes, la priorité du troisième plan cancer annon...

    MINE D'INFOS: e-docteur : en savoir plus....

    MINE D'INFOS: e-docteur : en savoir plus....: e-docteur, l’analyse immédiate de vos symptômes Pourquoi e-docteur ? Face aux symptômes d’une maladie, les patients veulent désorm...

    MINE D'INFOS: [nile_] Compte-Rendu du café nile avec C. Saout et...

    MINE D'INFOS: [nile_] Compte-Rendu du café nile avec C. Saout et...: En suivant le lien http://bit.ly/1eLYAgV , vous trouverez le compte-rendu du café nile avec Christian Saout, dont le thème était "...

    [nile_] Compte-Rendu du café nile avec C. Saout et café nile du 5 février 2014 "Le rôle crucial de la chaîne de distribution des produits de santé"


    En suivant le lien http://bit.ly/1eLYAgV , vous trouverez le compte-rendu du café nile avec Christian Saout, dont le thème était "Quel peut/doit être la place du citoyen dans le système de santé ?"

    Agenda :

    3/02/2014 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris)

    prochain café nile en présence de :

     

    -          Jean-François Fusco, Président de LOGSanté (collective des dépositaires de produits pharmaceutiques)

    -          Bernard Dieu, Chef de service de la Pharmacie Centrale des Hôpitaux de Rouen

    -          Eric Myon, Président du syndicat UNPF (Union Nationale des Pharmacies de France) en Ile-de-France

    -          Philippe Tcheng, Vice-Président Affaires Publiques & Gouvernementales de Sanofi

    -          Franck Le Meur, Directeur Général de Zentiva

     

    Viendront débattre sur le thème :

     

    « Le rôle crucial de la chaîne de distribution des produits de santé »

    MINE D'INFOS: Plan cancer : quid de la prévention environnementa...

    MINE D'INFOS: Plan cancer : quid de la prévention environnementa...: LE POINT DE VUE DE: Michèle Rivasi Le président François Hollande vient de présenter le troisième plan cancer 2014-2018 au cours des «...

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    MINE D'INFOS: e-docteur : en savoir plus....

    MINE D'INFOS: e-docteur : en savoir plus....: e-docteur, l’analyse immédiate de vos symptômes Pourquoi e-docteur ? Face aux symptômes d’une maladie, les patients veulent désorm...

    e-docteur : en savoir plus....

    Pourquoi e-docteur ?

    Face aux symptômes d’une maladie, les patients veulent désormais en comprendre le sens et la portée.

    Aujourd’hui, à défaut de meilleure solution, ils cherchent des informations sur Internet, où ils peinent souvent à trouver des éléments de réponse adaptés à leurs situations personnelles.
     

     
    Que signifient leurs symptômes ?

    Doivent-ils consulter leur médecin traitant, appeler le SAMU, se précipiter aux urgences ou se contenter dans un premier temps d’une auto-surveillance ?

    Peuvent-ils prendre certains médicaments en automédication pour soulager les symptômes ?

    Répondre à toutes ces questions, telle est l’ambition d’e-docteur, le premier outil d’analyse des symptômes conçu et encadré par des médecins.

    Concrètement, que permet de faire e-docteur ?

    e-docteur permet à l’internaute :



    - d’exprimer ses symptômes,
    - d’apprendre à quoi ils correspondent,
    - de découvrir et comprendre les diagnostics envisageables,
    - de prendre la décision appropriée à sa situation : se rendre aux urgences, prendre rendez-vous chez le médecin, pratiquer une auto-surveillance…
    - de mieux se préparer à la consultation médicale,
    - de détecter d’éventuelles épidémies localisées à des fins de santé publique.

    Comment fonctionne e-docteur ?

    A partir d’un symptôme exprimé et en tenant compte de l’âge et du sexe de l’utilisateur, e-docteur pose des questions qui suivent le cheminement d’un raisonnement médical. Tout l’apport d’e-docteur réside dans son système d’intelligence artificielle basé sur une logique informatique que les experts nomment « logique floue ».



    Ce terme renvoie au fait que le raisonnement de l’algorithme de l’outil ne se limite pas à des réponses « oui » / « non » (caractéristiques des systèmes binaires), mais prend en considération le fait que l’appartenance d’un symptôme à un diagnostic soit plus ou moins probable. Tout simplement parce qu’en médecine, les réponses sont rarement certaines à 100%.

    A l’issue du questionnaire, e-docteur réalise une estimation du niveau d’urgence, propose une liste de causes probables, suggère des conseils sur l’attitude à adopter, et offre la possibilité d’imprimer la liste de ses symptômes pour son médecin ou son pharmacien.
     
     

    Un outil évolutif


    Les médecins à l’origine du système expert d’e-docteur suivent l’outil au quotidien pour l’adapter aux nouvelles données scientifiques et aux retours des praticiens de santé.
     
    A ce titre, les utilisateurs – particuliers et professionnels de santé – sont invités à donner leur avis en page de réponse pour permettre une amélioration de l’outil.

    Actuellement, e-docteur est capable d’identifier 511 pathologies. Il va progressivement s’enrichir pour en recenser à terme 1 500 à 2 000.

    Comment a été conçu e-docteur ?

    e-docteur a été conçu et développé par des médecins de terrain. Il est le fruit d’un long travail d’expérimentation et d’amélioration : des tests ont notamment été réalisés sur la base de comptes rendus hospitaliers, puis sur des patients réels à l’hôpital Lariboisière, à Paris, ainsi que par une équipe de médecins de SOS Médecin Paris Ile de France afin d’orienter les patients.

    Le système expert d’e-docteur devrait être déployé très prochainement à l’hôpital Lariboisière pour permettre aux infirmières d’accueil des urgences de n’oublier aucune question importante, avec un résumé du questionnaire.

    e-docteur est un outil intelligent d’analyse des symptômes. Aussi pertinent soit-il, il ne remplacera jamais une consultation médicale. Notre conviction, c’est qu’e-docteur peut aider les usagers – à partir d’un questionnaire personnalisé et rigoureux – à mieux comprendre leurs symptômes, mieux les formuler, apprécier l’éventuel caractère d’urgence d’une situation et préparer une consultation médicale” précise Arnaud Julien, DG d’e-sante.fr



    Les acteurs d’e-docteur




    e-santé.fr est l’un des sites leaders de l’information santé grand public en France. Il est édité par e-santé SA, société anonyme au capital de 3,4 millions d’euros, dont l’activité est de diffuser de l’information et des services santé grand public en France et en Belgique, par le biais de trois sites internet : e-sante.fr, e-sante.be et e-gezondheid.be. Arnaud Julien en est le directeur général, Pascal Thiriez le directeur général adjoint.

    Pour en savoir plus : www.e-sante.fr - Accès direct à e-docteur : www.e-sante.fr/e-docteur




    Persomed

    Persomed est une société d’Edition Multimédia d’information dédiée depuis 13 ans à l’information des patients et au développement d’interfaces entre le grand public, les patients et les professionnels de la santé. Persomed travaille avec un panel de plus d’une centaine de praticiens et est coordonne deux missions publiques dans ce domaine. Elle a porté et encadré avec ses équipes techniques et médicales le projet e-docteur avec son inventeur, le Docteur Loic Etienne et participe également à l’élaboration des informations médicales d’e-docteur. Elle est dirigée par le Dr Pascal Gleyze, chirurgien orthopédiste.

    Loïc Etienne


    Médecin urgentiste, le Dr Loïc Etienne est l’inventeur du système expert d’e-docteur. Il s’intéresse depuis plus de 25 ans à l’e-santé : il a notamment développé 3615 Ecran Santé sur Minitel dès 1987 et est à l’origine de plusieurs sites d’e-santé dédiés au grand public et du blog www.zeblogsante.com




    Retrouver l’ensemble du dossier de presse d’un simple clic…



    Laurent MIGNON | Directeur
    LauMa communication

    35, rue d'Hauteville • 75010 Paris

    Troisième plan cancer : ce que souhaite MG France pour les soins de proximité

    LE REGARD DE: MG France
     
     

    Pour MG France, premier syndicat des médecins généralistes, la priorité du troisième plan cancer annoncé aujourd'hui par le Président de la République doit porter sur les mesures structurelles. Il faut rompre avec les mesures "catalogue" qui saupoudrent les subsides sur les différents lobbies. Les mesures du plan doivent s'appuyer sur l’organisation du premier recours.

    Les rapports d’évaluation prônent un engagement du médecin traitant dans la prévention et les dépistages. MG France a démontré l’inanité d’une consultation dédiée en prévention. Seule la démarche de prévention, réalisant un véritable plan de prévention personnalisé, se justifie en médecine de premier recours, dans le cadre général d’une mission déléguée de santé publique à la médecine générale.

    La réalisation de chimiothérapies à domicile par une équipe de premier recours organisée sur un territoire, sous forme de site associé à un site autorisé en cancérologie lui-même prescripteur, est un gros progrès attendu par la société. Ce sera aussi le signal politique que l’Etat engage le premier recours dans les soins. Ce dispositif résume à lui seul l’évolution de l’organisation des soins de premier recours : territorialisation, travail multidisciplinaire de proximité, contractualisations entre ville et hôpital mais aussi avec le médico-social pour permettre le maintien à domicile des personnes malades.

    Le suivi conjoint alterné ou délégué entre hôpital et ville semble acquis et devrait se généraliser d’ici 2015. Cette évidence deviendra t’elle réalité ?
    Ces marqueurs de la « révolution du premier recours» souhaitée par le Président de la République sont très attendus par les soins primaires. MG France rejette les mesures ambiguës et contradictoires comme l’invention de nouveaux métiers concurrents du premier recours, la consolidation de dispositifs dénoncés par tous comme coûteux et peu efficaces tels les réseaux monothématiques effecteurs sur le terrain. Le maintien à domicile appuyé sur un prix de journée d’hébergement à domicile est par contre une alternative efficiente.

    C’est à l’aune de cette grille de lecture que MG France jugera ce plan qui ne doit pas être un plan de plus.


    Mots-clés : cancer, premier recours, prévention, chimiothérapie à domicile

     

    Pour MG France, premier syndicat des médecins généralistes, la priorité du troisième plan cancer annoncé aujourd'hui par le Président de la République doit porter sur les mesures structurelles. Il faut rompre avec les mesures "catalogue" qui saupoudrent les subsides sur les différents lobbies. Les mesures du plan doivent s'appuyer sur l’organisation du premier recours.

    Les rapports d’évaluation prônent un engagement du médecin traitant dans la prévention et les dépistages. MG France a démontré l’inanité d’une consultation dédiée en prévention. Seule la démarche de prévention, réalisant un véritable plan de prévention personnalisé, se justifie en médecine de premier recours, dans le cadre général d’une mission déléguée de santé publique à la médecine générale.

    La réalisation de chimiothérapies à domicile par une équipe de premier recours organisée sur un territoire, sous forme de site associé à un site autorisé en cancérologie lui-même prescripteur, est un gros progrès attendu par la société. Ce sera aussi le signal politique que l’Etat engage le premier recours dans les soins. Ce dispositif résume à lui seul l’évolution de l’organisation des soins de premier recours : territorialisation, travail multidisciplinaire de proximité, contractualisations entre ville et hôpital mais aussi avec le médico-social pour permettre le maintien à domicile des personnes malades.

    Le suivi conjoint alterné ou délégué entre hôpital et ville semble acquis et devrait se généraliser d’ici 2015. Cette évidence deviendra t’elle réalité ?
    Ces marqueurs de la « révolution du premier recours» souhaitée par le Président de la République sont très attendus par les soins primaires. MG France rejette les mesures ambiguës et contradictoires comme l’invention de nouveaux métiers concurrents du premier recours, la consolidation de dispositifs dénoncés par tous comme coûteux et peu efficaces tels les réseaux monothématiques effecteurs sur le terrain. Le maintien à domicile appuyé sur un prix de journée d’hébergement à domicile est par contre une alternative efficiente.

    C’est à l’aune de cette grille de lecture que MG France jugera ce plan qui ne doit pas être un plan de plus.
     

    Dr Claude LEICHER

    Dr François WILTHIEN

    Dr Jacques BATTISTONI

     

    Référence du communiqué de presse : N° 297 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire