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vendredi 20 février 2015
MINE D'INFOS: Des millions de diabétiques en France vont pouvoir...
MINE D'INFOS: Des millions de diabétiques en France vont pouvoir...: Une Grande Découverte Les diabétiques consomment désormais du vrai sucre de canne et disent adieu aux faux sucres ...
Des millions de diabétiques en France vont pouvoir découvrir une vraie amélioration de leur qualité de vie
Une Grande Découverte
Les diabétiques consomment désormais du vrai sucre de canne et
disent adieu aux faux sucres
Des millions de diabétiques en France vont pouvoir découvrir une
vraie amélioration de leur qualité de vie
Diabliss, un véritable sucre de canne à IG bas qui convient aux
diabétiques.
L’invitation à une
meilleure qualité de vie
Comment le sucre Diabliss peut-il avoir un Index
Glycémique bas ?
Le sucre de canne Diabliss aux herbes a
été traité avec des propriétés extraites de certains fruits et épices reconnus
pour leur effet anti glycémique dans le système de santé millénaire Indien
(Ex :
Gingembre, Curcuma, Cannelle, Grenade, Fenugrec, Poivre, Amla), de l'eau et sans produits chimiques. L’extrait aqueux à
base de plantes est riche en antioxydants, en polyphénols et en fibres solubles.
Cet extrait incolore, inodore et sans saveur est mélangé avec du sucre de canne
pur dans une proportion spécifique pour abaisser son index glycémique (IG).
Cette concentration est normalisée et soumise aux contrôles de qualité HPLC. Le
sucre issu de ce mélange est consommable par les diabétiques et facilite son
absorption, du sang vers un niveau cellulaire. Sur le plan qualité et sécurité,
il bénéficie d’une certification d’ISO 22000.
Une personne qui doit normalement s’abstenir de
sucre peut-elle en consommer ?
Le sucre Diabliss aux herbes est issu
de 10 ans de recherches et 4 ans de tests sur le produit. Des tests ont
également été effectués sur de nombreuses personnes depuis environ 4 ans et en
particulier sur des personnes diabétiques de type et 2, de l’âge de 8 à 82 ans.
L’utilisation du sucre de canne par ces personnes n’ont vu ni l’index de sucre à
jeun, ni le niveau de glycémie postprandiale, ni le niveau HBA1c augmenter. Au
contraire, ils ont ressenti un meilleur bien-être et une bonne tenue de ces
paramètres.
Quels sont les avantages du sucre
Diabliss ?
Il présente de nombreux avantages.
Tout d’abord, il est un pur sucre de canne et non un produit de synthèse. Son
goût est strictement identique à un sucre classique. Il peut-être utilisé par
tous, y compris les diabétiques. Il peut-être utilisé dans les boissons ou dans
les gâteaux. Il a un index glycémique bas équivalent à celui d’un légume.
Enfin, un autre avantage non négligeable, et sans doute grâce à l’action des
épices, Diabliss est un formidable antioxydant, le sucre consommé est absorbé
pleinement par les cellules et les nourrit, ce dont étaient privés les
diabétiques. Cela aide à améliorer la qualité de vie des diabétiques de manière
considérable.
Pourquoi les diabétiques doivent-ils consommer du
sucre Diabliss?
Tout d’abord le sucre Diabliss permet
aux personnes diabétiques d’avoir un comportement identique à celui des non
diabétiques vis-à-vis du sucre. Les mamans par exemple qui étaient jusqu’à
maintenant privées de faire des gâteaux pour faire plaisir à leurs enfants ont
désormais les moyens de faire cela sans aucun problème. Cela est une différence
importante dans la vie d’un enfant ou même d’un adulte. Puis, comme grâce aux
épices, le sucre consommé est absorbé par les cellules et ne reste pas dans le
sang, les diabétiques peuvent enfin profiter de l’énergie et nutriments du sucre
et bénéficier d’une amélioration de la qualité de vie. Enfin, un autre
avantage qui n’en est pas le moindre : les diabétiques peuvent enfin consommer
du vrai sucre au lieu des produits de synthèses comme l’Aspartame qui s’est
révélé dangereux pour la santé. Diabliss est aussi le moins cher des produits
sucrants pour diabétiques.
Le sucre Diabliss peut-il être consommé dans le cas
d’autres régimes, par exemple la minceur ?
Les spécialistes conseillent des
aliments à index glycémique bas pour la minceur, les régimes et l’hygiène de
vie. Le sucre Diabliss est donc parfaitement adapté à ces
besoins.
L’index glycémique renseigne sur la qualité des glucides. Les glucides
rapides qui font monter rapidement et fortement la glycémie ont un IG élevé
(>70). Les glucides lents qui ont peu d’influence sur la glycémie, ont un IG
bas (<55). Entre les deux, se trouvent les glucides à IG modéré.
Lorsque l’on consomme des glucides à index glycémique élevé, le pancréas sécrète une importante quantité d’insuline dans le sang. Or, les pics d’insuline favorisent le stockage des graisses, voilà pourquoi le régime IG préconise de consommer prioritairement des glucides à index bas.
Le régime IG, accompagné d’une activité physique
régulière vise à limiter les pics d’insuline dans le sang afin de pouvoir brûler
les graisses, perdre du poids et le stabiliser. Jennie Brand Miller de
l’Université de Sydney en Australie et auteur de plusieurs livres affirme « Vous
ne perdrez pas d’eau, vous ne perdrez pas de muscles, mais vous perdrez de 200 à
300 g de graisse par semaine et principalement autour de la taille ».
Quels sont les bienfaits que l’on peut attribuer au sucre
Diabliss ?
Le but du sucre Diabliss est de permettre aux
diabétiques d’avoir accès au sucre naturel et aussi permettre à ceux qui sont
conscients de leur bien-être, de bénéficier de tous les avantages d’un régime à
IG bas, en consommant un aliment à index glycémique bas.
Les analyses
effectuées sur des sujets qui ont consommé du sucre Diabliss ont permis de
déceler une amélioration de l’index glycémique chez ces sujets, mais aussi une
amélioration des paramètres tels que le LDL et les Triglycérides, donc une
meilleure qualité de vie.
Le sucre Diabliss aux herbes n’est pas un
médicament. C’est un pur produit alimentaire
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MINE D'INFOS: 6 propositions d’amendements du CISS sur la fin de...
MINE D'INFOS: 6 propositions d’amendements du CISS sur la fin de...: La proposition de loi présentée par messieurs les députés Claeys et Leonetti s’appuie sur un principe dont découlent les droits ...
6 propositions d’amendements du CISS sur la fin de vie
La proposition de loi présentée par messieurs les députés Claeys et
Leonetti s’appuie sur un principe dont découlent les droits de la personne en
fin de vie : le respect prioritaire et
absolu de la volonté de la personne concernée qui prend sur sa fin de vie
des choix lucides, cohérents et répétés. La décision lui appartient et ne peut
être celle du médecin, que ce soit dans son expression immanente ou anticipée
par écrit. Les six propositions d’amendement du CISS ont pour objectif de mettre en œuvre ce principe en traduisant
la prise en compte des volontés de la personne, sans laisser d’échappatoire,
tout en mettant en place des procédures d’appel pour les rares cas prévisibles
d’errements des patients.
Lorsque la personne n’a pas exprimé de
manière certaine sa volonté
Les décisions collectives qui sont prises doivent être définies par la loi
et non par le code de déontologie médicale, car leur nature n’est pas médicale.
Le mode de fonctionnement de ces décisions collectives devra être précisé par
un décret en Conseil d’État.
La mise en cause des directives anticipées
par le médecin
Elle doit relever de circonstances exceptionnelles. Elle doit en
conséquence relever d’un appel à une procédure indépendante de l’institution et
du professionnel concerné. Le CISS propose pour cela une commission régionale.
Renforcer le rôle de la personne de
confiance
Dans le contexte actuel, la personne de confiance peut être désignée lors
d’une hospitalisation. Toutefois, le CISS recommande que la personne désignée
accepte la fonction qui lui est confiée. De plus, le CISS propose que la
personne de confiance puisse recevoir un mandat qui définit les pouvoirs qui
lui sont délégués :
- représentation du mandant dans l’incapacité
de s’exprimer, désignant le mandataire comme son porte parole unique auprès du
système de santé ;
- acceptation ou consentement à des soins,
pas nécessairement de fin de vie, dans le cadre des pouvoirs définis par le
mandat et les directives anticipées ;
- choix de l’hébergement et du praticien,
acceptation ou non de l’hospitalisation, accès au dossier médical…
Ces dispositions existent dans le mandat de protection future créé par la
loi sur la protection de la personne du 4 juillet 2007, dont nous proposons une
adaptation limitée à la protection des conditions de vie.
Les dispositions prévues pour définir le cadre des directives anticipées,
dont il est prévu dans la proposition de loi qu’elles fassent l’objet de
recommandations élaborées par la Haute Autorité de Santé avant leur mise en
application par un décret en Conseil d’État, devront intégrer les dispositions
concernant la personne de confiance. Le CISS demande que ces travaux sur les
recommandations et la préparation du décret soient réalisés avec une large
contribution des associations de .
MINE D'INFOS: Loi de santé : le CISS formule 31 propositions d’a...
MINE D'INFOS: Loi de santé : le CISS formule 31 propositions d’a...: Une loi que les citoyens-usagers doivent soutenir Le CISS a fait connaître son intérêt pour de nombreuses dispositions de la loi p...
Loi de santé : le CISS formule 31 propositions d’amendement
Une loi que les citoyens-usagers doivent soutenir
Le CISS a
fait connaître son intérêt pour de nombreuses dispositions de la loi projetée.
C’est le cas pour les dispositions qui concourent à réduire les obstacles à
l’accès aux soins, comme la généralisation du tiers payant. D’autres
dispositions concernant notamment la prévention et la promotion de la santé, ou
encore l’information et l’accompagnement des patients, justifient aussi
pleinement le soutien du CISS. Les mesures concernant la démocratie sanitaire
se situent dans le prolongement de celles adoptées en 2002. Elles valent aussi
d’être approuvées.
Une loi perfectible
§ La transformation des contrats locaux de santé en
contrats territoriaux de santé ne garantit pas l’inclusion des acteurs associatifs,
ni dans les contrats eux-mêmes ni dans les conseils territoriaux de santé. Au
delà, comment faire plus en santé publique ? A cette question le projet de loi
ne répond pas en évitant soigneusement de garantir un montant minimum du budget
des ARS affecté à la santé publique. Au niveau de la politique nationale, il
est également regrettable que la contractualisation entre l’Etat, l’Assurance
maladie et les établissements de santé ne comporte pas non plus d’objectifs de
prévention spécifiquement assignés.
§ Dans le domaine des parcours de santé, si la création
d’un service public de l’information en santé et l’expérimentation des projets
d’accompagnement va dans le bon sens, il est pour le moins surprenant de voir
que, s’agissant de l’information en santé, les acteurs associatis sont tenus à
l’écart. Quel anachronisme alors que partout dans le monde le défi
informationnel est relevé avec les professionnels de santé et les patients !
Enfin, pour le citoyen, rien dans la loi ne vient matérialiser les « parcours
de santé » dont parlent abondamment les responsables publics !
§ S’agissant de la démocratie sanitaire, le projet de
loi élude la question du statut du représentant alors qu’elle constitue une
attente forte des associations agréées qui ont en charge cette représentation.
L’indépendance des lieux de représentation de la société civile, comme les
conférences nationale et régionales de santé, n’est pas non plus garantie par
ce projet de loi. Ce sont des renoncements surprenants alors qu’il est soutenu
que la démocratie sanitaire est le « troisième pilier du système de santé » !
Pour partie, une loi à refondre … et à compléter
L’accès
régulé aux données de santé, tellement indispensable pour documenter les
attentes des associations et de nos concitoyens, et le cas échéant donner
l’alerte, doit être entièrement revu. Comment l’article 47, qui traite de ce
sujet, peut-il s’éloigner autant du consensus d’acteurs organisé par la
ministre des affaires sociales et de la santé elle-même ?
En outre,
après l’affaire du sofosbuvir, comment laisser en jachère l’important sujet de
la fixation du prix du médicament ? C’est pour nous inentendable. Nous
proposons que le coût réel puisse être pris en compte par le CEPS. En outre,
nous réclamons que les associations d’usagers puissent siéger au sein de cet
organisme.
MINE D'INFOS: PASS – Lettre d’information n°6 – Février 2015
MINE D'INFOS: PASS – Lettre d’information n°6 – Février 2015: Voir la version en ligne MONSIEUR ABOUBAKRY SARR, PRESIDENT DE LA FEDERATION NATIONALE DES MUTUELLES DE SANTE DU SENEGAL (F...
PASS – Lettre d’information n°6 – Février 2015
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