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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
Affichage des articles dont le libellé est personnes âgées. Afficher tous les articles
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vendredi 17 avril 2015
Thierry Beaudet, président de la MGEN et d'Istya, vice-président de la FNMF, a été chargé par Etienne Caniard, d'une réflexion assortie de propositions sur les futures unions régionales et unions techniques de la Mutualité et des relations avec les professions de santé.
lundi 26 mai 2014
Alerte info : Plan Personnalisé de Santé et Education Thérapeutique du Patient
pour les personnes âgées à risque de perte d’autonomie (PAERPA)
La HAS publie des documents et outils pratiques
Neuf régions participent actuellement à l’expérimentation de parcours de santé des personnes âgés en risque de perte d’autonomie. Dans ce cadre, et suite à une saisine de la Direction de la sécurité sociale, la HAS publie plusieurs documents et outils, dont un Plan Personnalisé de Santé (PPS) et un cahier des charges sur l’éducation thérapeutique de ces personnes âgées et de leurs proches.
Les expérimentations PAERPA concernent les personnes âgées de 75 ans et plus, encore autonomes mais dont l’état de santé est susceptible de s’altérer pour des raisons d’ordre médical et/ou social. Mettre en place une réelle coordination des soins et une concertation de l’ensemble des professionnels impliqués est un enjeu majeur de l’organisation des soins en France.
Afin de le permettre, la HAS a élaboré plusieurs outils, dont le Plan Personnalisé de Santé (PPS), plan d’actions formalisé par plusieurs professionnels de santé, sous la responsabilité du médecin traitant. Véritable outil de concertation et de planification d’une prise en charge de patients en situation complexe par plusieurs intervenants des secteurs sanitaires et sociaux, ses objectifs sont partagés également avec le patient. Il contient, outre les coordonnées de la personne et des professionnels médicaux et sociaux impliqués, les attentes de la personne, le plan de soins et le plan d’aide, ainsi que les intervenants et les dates prévues pour les points d’étape.
Parmi les outils mis à disposition ce jour sur le site de la HAS, figurent un questionnaire d’aide à la décision d’initier un PPS ; un modèle de PPS téléchargeable et directement utilisable, un mode d’emploi, un exemple de cas clinique illustrant la démarche du PPS ainsi qu’une synthèse de la démarche.
Ces documents seront actualisés par la HAS dans les 6 à 12 mois à venir à la suite des retours d’expériences des 9 régions impliquées dans les expérimentations. Dans "ces territoires expérimentateurs", un forfait annuel de 100 euros sera versé à chaque ouverture de PPS à l'équipe de coordination clinique de proximité en charge de la formalisation et du suivi du PPS.
Quand initier un PPS chez les « personnes âgées à risque de perte d’autonomie » ?
Dans le cas de patients de plus de 75 ans, la mise en place d’un PPS est conditionnée :
- à la présence d’au moins un de ces critères : la personne a été hospitalisée en urgence depuis 6 mois, a une restriction de ses déplacements suite à une chute, présente une polypathologie ;
- au jugement clinique du médecin, sa perception du patient, du contexte de soins et de ses possibilités de prise en charge, de son environnement social et familial ;
- à l’accord de la personne concernée.
Education thérapeutique du patient – ETP- chez les « personnes âgées à risque de perte d’autonomie »
L’efficacité de l’éducation thérapeutique (ETP) des patients et de leurs proches a montré des résultats sur les soins ou le recours aux soins dans trois domaines :
la prévention des chutes chez les patients à risque de chute ;
la réduction du risque iatrogène pour les patients ayant une poly médication;
le traitement de la dépression, pour les patients atteint de dépression majeure.
L’ETP doit être réalisée dans le cadre d’une organisation en équipe qui répond à des besoins de travail en commun, de concertation, de formation et d’évaluation
Afin de faciliter la prise en charge des personnes âgées type « PAERPA », la HAS a élaboré un cahier des charges précisant les conditions de mise en œuvre d’une ETP pour ces personnes et leur entourage. Elle met également ce document à disposition des équipes.
mardi 18 mars 2014
Médicaments et personnes âgées limiter les risques...
Dispensation
médicaments personnes âgées
Rapport et
recommandations sur le sujet de la préparation, par le pharmacien dispensateur,
des doses à administrer
l’Académie ne prétend
pas proposer une réponse unique à cette question difficile. Elle souhaite
surtout souligner l’urgence qu’il y a à gérer de façon responsable ce hiatus
entre délivrance et administration, car la sécurité du patient doit être prise
en compte au présent et ne peut se satisfaire durablement de méthodes improvisées
, quel que soit le type de prise en charge du patient dans le système de soins
(hôpital, domicile, établissements médico-sociaux).
La
préparation des doses à administrer - PDA :
la
nécessaire évolution des pratiques
de dispensation
du médicament
mercredi 12 juin 2013
Communiqué TEVA à propos du Furosémide
Communiqué
Furosémide
Teva 40 mg :
Constats préliminaires
de l’inspection conduite par l’ANSM
Les
inspecteurs de l’ANSM ont réalisé, lundi 10 et mardi 11 juin 2013, à Sens
(Yonne), l’inspection sur le site de conditionnement des lots de Furosémide
Teva 40 mg. Les constats préliminaires de l’inspection n’ont pas identifié d’anomalie
majeure de fonctionnement du site.
Quatre inspecteurs de l’ANSM ont
procédé, depuis lundi, à l’inspection de l’établissement Teva de Sens dans
lequel ont été conditionnés les différents lots de Furosémide Teva 40 mg.
Les premières constatations n’ont
pas permis d’identifier de défaut dans l’organisation, les pratiques ou les équipements
de nature à conduire les autorités sanitaires à interrompre l’activité du site.
Le Parquet de Paris pôle santé sera informé des résultats de cette inspection
afin qu’il examine la nécessité d’une enquête complémentaire permettant d’explorer
d’autres pistes.
Une vérification systématique
des boites de Furosémide Teva 40 mg des lots retirés a été imposée à Teva par l’ANSM.
Conduite sous contrôle d’huissier, cette vérification se poursuivra dans les prochains
jours et portera sur plusieurs milliers de boîtes, afin d’identifier l’ampleur
de la non conformité.
L’ANSM rappelle qu’afin d’éviter
toute confusion de la part des patients, en particulier les personnes âgées, l’ensemble
des lots de Furosémide Teva 40 mg sont désormais retirés du marché et seront détruits.
Tous les patients
concernés sont appelés à rapporter en pharmacie les boites de Furosémide Teva
40 mg en leur possession. Ces boîtes seront échangées gratuitement contre le
Furosémide d’une autre marque.
Libellés :
ANSM,
boîtes,
COMMUNIQUÉ,
Constats,
détruits,
échangées,
Furosémide,
lots,
marque,
patients,
personnes âgées,
pharmacie,
TEVA
mercredi 10 avril 2013
L’ARS Ile-de-France soutient le déploiement de la télémédecine
09/04/2013
Les solutions de télémédecine adaptées aux difficultés de la prise en charge des prématurés et des personnes âgées bénéficient d’une attention particulière de la part de l’Agence Régionale de Santé Ile-de-France. Les deux extrémités des âges de la vie concentrent en effet de nombreuses difficultés sanitaires et médico-sociales, avec des populations fragiles, peu mobiles et difficilement transportables, réclamant des soins fréquents et une vigilance de chaque instant.
Parmi les 14 projets actuellement soutenus par l’ARS Ile-de-France, un projet concerne la néo-natalité et trois projets concernent les personnes âgées résidant en EHPAD :
Le projet DITE-ROP permet de dépister par téléexpertise la rétinopathie des prématurés. Cette anomalie de la vascularisation de la rétine est une complication majeure de la prématurité. Elle est responsable de 6 à 20 % des malvoyances chez l’enfant. L’ARS soutient la mise en œuvre d’un dispositif pilote de dépistage par caméra de rétine grand champ, qui permet au service de médecine néonatale du Centre Hospitalier Sud Francilien (Corbeil) de bénéficier à distance du diagnostic des ophtalmologistes experts de la Fondation Adolphe de Rothschild (Paris).
« Ce système, qui est confortable pour l’enfant et électroniquement sécurisé, permet d’assurer un dépistage précoce conforme aux recommandations internationales. Si l’évaluation commandée par l’ARS s’avère positive, le dispositif pourrait s’étendre à toutes les unités de néonatologie d’Ile-de-France ne disposant pas d’ophtalmologiste sur place, afin d’assurer à l’ensemble des prématurés les mêmes chances de dépistage et de traitement » précise le Dr Michèle Granier, chef du service de néonatologie du Centre Hospitalier Sud Francilien.
Les projets Télégéria, TMG 91 et e-Vline ont pour objectif commun d’améliorer le parcours de soin des résidents des EHPAD, en mettant en relation une cinquantaine d’EHPAD et cinq établissements de santé au plan régional. Les projets financés et évalués par l’ARS portent sur le déploiement d’activités de téléconsultation et téléexpertise dans des spécialités particulièrement adaptées aux pathologies du grand âge (cardiologie, médecine vasculaire, neurologie, psychiatrie, dermatologie, etc.) et sur la mise en place des solutions alternatives au transfert systématique aux urgences, afin de le limiter aux seules situations le nécessitant. L’hospitalisation en urgence s’avère en effet très dommageable pour les personnes âgées et extrêmement coûteuse pour la collectivité.
Selon Marc Bourquin, directeur du pôle médico-social de l’ARS, « il y a 120 000 personnes âgées dépendantes en Ile-de-France et ce nombre augmente d’environ 3 000 chaque année. En parallèle, le nombre de médecins spécialistes tend à diminuer. Des solutions doivent être rapidement trouvées. En soutenant ces trois projets de télémédecine, nous nous inscrivons dans une logique de généralisation des pratiques innovantes en terme de parcours de santé de la personne âgée. L’objectif est qu’à l’horizon 2017 les 650 EHPAD de la région déploient les solutions qui auront été validées par l’évaluation médico-économique. Nous envisageons également des déclinaisons dans le champ du handicap. »
Consultez le dossier de presse Le développement de la télémédecine au service des patients aux deux extrémités des âges de la vie réalisé à l’occasion du Café Presse du 9 avril 2013.
La télémédecine permet de pratiquer la médecine à distance en s’appuyant sur les technologies de l’information et de la communication. Elle donne aux professionnels et aux patients les moyens d’accéder à de nouveaux services, simplifie l’accès aux soins et améliore le partage de l’information entre les acteurs de la prise en charge, dans et hors l’hôpital.
La télémédecine est considérée comme un levier de l’amélioration de notre système de santé et fait l’objet d’un plan national dédié, permettant de coordonner son déploiement en France. Le Programme régional de télémédecine d’Ile-de-France, qui constitue l’un des volets du Projet Régional de Santé Ile-de-France définit les orientations du développement de la télémédecine au regard des axes retenus par l’ARS et en fonction des besoins des territoires.
Les solutions de télémédecine adaptées aux difficultés de la prise en charge des prématurés et des personnes âgées bénéficient d’une attention particulière de la part de l’Agence Régionale de Santé Ile-de-France. Les deux extrémités des âges de la vie concentrent en effet de nombreuses difficultés sanitaires et médico-sociales, avec des populations fragiles, peu mobiles et difficilement transportables, réclamant des soins fréquents et une vigilance de chaque instant.
Parmi les 14 projets actuellement soutenus par l’ARS Ile-de-France, un projet concerne la néo-natalité et trois projets concernent les personnes âgées résidant en EHPAD :
Le projet DITE-ROP permet de dépister par téléexpertise la rétinopathie des prématurés. Cette anomalie de la vascularisation de la rétine est une complication majeure de la prématurité. Elle est responsable de 6 à 20 % des malvoyances chez l’enfant. L’ARS soutient la mise en œuvre d’un dispositif pilote de dépistage par caméra de rétine grand champ, qui permet au service de médecine néonatale du Centre Hospitalier Sud Francilien (Corbeil) de bénéficier à distance du diagnostic des ophtalmologistes experts de la Fondation Adolphe de Rothschild (Paris).
« Ce système, qui est confortable pour l’enfant et électroniquement sécurisé, permet d’assurer un dépistage précoce conforme aux recommandations internationales. Si l’évaluation commandée par l’ARS s’avère positive, le dispositif pourrait s’étendre à toutes les unités de néonatologie d’Ile-de-France ne disposant pas d’ophtalmologiste sur place, afin d’assurer à l’ensemble des prématurés les mêmes chances de dépistage et de traitement » précise le Dr Michèle Granier, chef du service de néonatologie du Centre Hospitalier Sud Francilien.
Les projets Télégéria, TMG 91 et e-Vline ont pour objectif commun d’améliorer le parcours de soin des résidents des EHPAD, en mettant en relation une cinquantaine d’EHPAD et cinq établissements de santé au plan régional. Les projets financés et évalués par l’ARS portent sur le déploiement d’activités de téléconsultation et téléexpertise dans des spécialités particulièrement adaptées aux pathologies du grand âge (cardiologie, médecine vasculaire, neurologie, psychiatrie, dermatologie, etc.) et sur la mise en place des solutions alternatives au transfert systématique aux urgences, afin de le limiter aux seules situations le nécessitant. L’hospitalisation en urgence s’avère en effet très dommageable pour les personnes âgées et extrêmement coûteuse pour la collectivité.
Selon Marc Bourquin, directeur du pôle médico-social de l’ARS, « il y a 120 000 personnes âgées dépendantes en Ile-de-France et ce nombre augmente d’environ 3 000 chaque année. En parallèle, le nombre de médecins spécialistes tend à diminuer. Des solutions doivent être rapidement trouvées. En soutenant ces trois projets de télémédecine, nous nous inscrivons dans une logique de généralisation des pratiques innovantes en terme de parcours de santé de la personne âgée. L’objectif est qu’à l’horizon 2017 les 650 EHPAD de la région déploient les solutions qui auront été validées par l’évaluation médico-économique. Nous envisageons également des déclinaisons dans le champ du handicap. »
Consultez le dossier de presse Le développement de la télémédecine au service des patients aux deux extrémités des âges de la vie réalisé à l’occasion du Café Presse du 9 avril 2013.
La télémédecine permet de pratiquer la médecine à distance en s’appuyant sur les technologies de l’information et de la communication. Elle donne aux professionnels et aux patients les moyens d’accéder à de nouveaux services, simplifie l’accès aux soins et améliore le partage de l’information entre les acteurs de la prise en charge, dans et hors l’hôpital.
La télémédecine est considérée comme un levier de l’amélioration de notre système de santé et fait l’objet d’un plan national dédié, permettant de coordonner son déploiement en France. Le Programme régional de télémédecine d’Ile-de-France, qui constitue l’un des volets du Projet Régional de Santé Ile-de-France définit les orientations du développement de la télémédecine au regard des axes retenus par l’ARS et en fonction des besoins des territoires.
jeudi 14 février 2013
«Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien »
Ce lundi, une femme de 76 ans, malade d'Alzheimer, a été retrouvée morte à 2 km de l'hôpital où elle résidait dans le Maine-et-Loire (49) après avoir trompé la vigilance du personnel. Un nouveau drame symptomatique des dangereuses errances des malades d'Alzheimer qui préoccupent les pouvoirs publics. Plus d'une dizaine de malades errent chaque jour en France, selon l'association France Alzheimer. Ainsi, Michèle Delaunay, la ministre en charge des personnes âgées vient de lancer une réflexion sur les dispositifs de géolocalisation.
«
Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien des personnes dépendantes, comme une chute, un robinet laissé ouvert ou une prise de médicaments oubliée,... », explique Alexandre Chaverot, Président d'Avidsen, spécialiste des objets connectés pour l'habitat.
«
Les progrès de la domotique et des objets connectés, enfin accessibles au plus grand nombre, ouvrent des perspectives bien plus innovantes et intéressantes qu'un simple « mouchard » pour prévenir dès aujourd'hui ce genre de drame en particulier, et permettre, en général, à toute personne en perte d'autonomie de continuer à vivre dans son cadre habituel, en toute sécurité. », ajoute-t-il.
Le vieillissement de la population française conduira dans les années à venir à une augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes : 1 200 000 personnes seront dépendantes en 2040, contre 800 000 actuellement (source : INSEE). Mais, d'une part, personne ne peut prédire quelle sera l'évolution de la prise en charge de la dépendance à l'avenir par les pouvoirs publics. D'autre part, la solidarité familiale pourrait diminuer du fait de la baisse du nombre d'enfants par famille et de l'éclatement géographique des familles. Or, de nombreuses études, notamment l'enquête HID (Handicaps-Incapacités-Dépendance), montrent bien que le rôle du conjoint, des enfants et même des petits enfants, est primordial dans la réussite du maintien à domicile des personnes âgées dépendantes.
La maison connectée, une vraie solution pour "bien vieillir"
Ainsi, la maison connectée avec ses objets intelligents, capteurs, outils de contrôle et de communication à distance apparaît désormais comme une solution incontournable pour bien vieillir.
« Avec une box domotique et des objets connectés appropriés, c'est l'habitat qui s'adapte à chacun et non plus l'inverse. Vous créez ainsi, très simplement, selon des scénarios de vie sur mesure, les conditions indispensables pour faciliter, dans la maison et à distance, le quotidien des personnes en perte d'autonomie et leur maintien à domicile en toute sécurité. », explique Alexandre Chaverot.
Par exemple, pour les malades d'Alzheimer, une sortie inopinée, une absence prolongée ou l'absence d'ouverture de l'armoire à pharmacie, sont automatiquement détectées et signalées par SMS. Il est possible aussi d'installer des détecteurs de gaz ou de fuite d'eau qui alertent l'occupant, ou son entourage à distance.
Pour les personnes à mobilité réduite, des commandes centralisées pour la fermeture de volets, de portes... peuvent être mises en place afin de limiter les déplacements.
Pour éviter les risques de chutes, des chemins lumineux peuvent s'activer avec un seul et même interrupteur.
Une box domotique permet en effet de commander tous les équipements de la maison (éclairages, motorisations...) via des interfaces simples et intuitives, à partir d'un ordinateur, un smartphone ou une tablette tactile, où que l'on soit géographiquement, via Internet.
Elle permet également de contrôler les accès au domicile (interphones) et de tout visualiser à distance où que l'on soit (caméras de vidéosurveillance) et même d'enregistrer ces séquences vidéo.
La box domotique permet, en outre, grâce à des systèmes d'alarme, des caméras, des détecteurs d'incidents domestiques ou médaillon pour appel d'urgence, d'être informé en temps réel de l'état de la maison (incendie, inondation, fuites...) et de la santé des proches (inactivité, malaise, chute...) qui y résident en recevant une alerte SMS, un appel vocal ou un e-mail. Un système qui permet également de visualiser la personne et de rentrer en communication avec elle.
Les nouvelles technologies de la communication et de la domotique se révèlent ainsi une chance, aujourd'hui, pour soulager les aidants des malades d'Alzheimer et permettre, d'une manière générale, aux seniors en situation de perte d'autonomie, demain, de conserver dignité et qualité de vie en toute sécurité.
A propos d'Avidsen :
PME française basée à Chambray-Lès-Tours (37), Avidsen conçoit, développe et commercialise des systèmes électroniques et numériques innovants, simples d'utilisation pour la maison connectée.
Après avoir été pionnière, depuis sa création en 1998, dans le domaine de la motorisation pour portails, Avidsen, présidée par Alexandre Chaverot, est devenue aujourd'hui une valeur de référence dans le secteur de la domotique et des objets connectés en Europe, en fournissant ses propres produits, ainsi que ceux des marques distributeurs de la GSB (Grande Surface de Bricolage). Avidsen détient également la licence de la marque Thomson en Europe pour l'ensemble des gammes sécurité (alarme, vidéosurveillance et interphonie) et domotique proposées sous la marque Thomson.
vendredi 14 décembre 2012
La Téléassistance Présence Verte
La Mutuelle du Trésor a signé il y a quelques temps une convention de
partenariat avec Présence Verte, service de téléassistance à compétence
quasi-nationale,
Les coordonnées des
implantations sont disponibles sur le site www.presenceverte.fr
Bien implanté dans le
département de l’Eure et agréé depuis 2007 comme « Offres de services à
la personne » dans le cadre de la loi Borloo., la section MASFP-MT vient
de relayer les offres nouvelles offertes désormais aux adhérents mutualistes.
Ce système de téléassistance favorise le maintien à
domicile, en toute sérénité et en toute sécurité, des adhérents abonnés grâce à
un dispositif qui permet de bénéficier facilement et rapidement d’une aide ou
d’un secours.
Les adhérents de
la Mutuelle du Trésor de plus de 70 ans ou en situation de handicap peuvent
bénéficier gratuitement des droits d’inscription et de raccordement du matériel
à la centrale d’écoute.
Du Nouveau du côté
de la téléassistance ......
Nous le savons
tous : rester au domicile le plus longtemps possible, dans les meilleures
conditions, est le souhait de la plupart
d'entre nous.
Dans cet objectif,
le service de téléassistance "Présence Verte Haute-Normandie" apporte,
depuis plus de 25 ans, la réponse à l'isolement et à l'insécurité par le
biais de son dispositif. En effet, un transmetteur installé par des
professionnels et relié à une centrale d'écoute par une prise téléphonique
permet aux abonnés d'entrer en contact 24H/24 et 7J/7 avec des opérateurs
spécialement formés pour répondre à leurs besoins et leur apporter aide,
secours ou tout simplement réconfort moral.
Afin d'améliorer
les conditions de vie au quotidien et après avoir mis en place son service de
Portage de Repas à Domicile (en 2010 dans l'agglomération rouennaise et en
2012, sur le secteur d'Evreux) Présence Verte Haute-Normandie innove et met à
votre disposition de nouveaux "outils" :
¨
Tout d'abord, une
nouvelle génération de transmetteur permettant de fonctionner sans
"passer" par une ligne téléphonique fixe (pour toutes les
personnes ayant fait le choix de ne pas avoir de ligne téléphonique fixe ou
celles équipées uniquement d'un téléphone mobile)
¨
le téléphone à
grosses touches pour les personnes malvoyantes, ce téléphone sera couplé
avec le transmetteur de téléassistance
et le bracelet d'appel (un téléphone sans fil sera joint)
¨
Le bracelet
"Détecteur de chute" destiné aux personnes sujettes
aux malaises avec perte de connaissance,
¨
le détecteur de
fumée qui sera connecté à la centrale d'appels Présence Verte
¨
enfin, parce que bon nombre de personnes chute la nuit par
manque de visibilité : "le chemin
lumineux" permettant d'allumer la lumière grâce à son capteur judicieusement installé suivant vos directives.
Ces nouveaux dispositifs contribuent, à n'en pas douter, à
lutter contre l'insécurité et l'angoisse de rester seul au domicile, permettant
ainsi aux personnes âgées, malades ou handicapées, ainsi qu'à leurs proches,
d'aborder le quotidien en toute sérénité.
A ce jour, plus de
6.500 personnes en Haute-Normandie
ont choisi
Présence Verte pour veiller sur eux.
lundi 10 décembre 2012
CREDIT D’IMPOT COMPETITIVITE ET EMPLOI
La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris
connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans
le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.
Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la
semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie
sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit
d’impôt.
Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité
Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent
continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en
permettant l’accès de tous à des soins de qualité.
Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement
gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des
tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de
santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et
services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de
handicap…
Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent
aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de
l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de
2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés
de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages
que les entreprises du secteur lucratif.
La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris
connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans
le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.
Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la
semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie
sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit
d’impôt.
Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité
Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent
continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en
permettant l’accès de tous à des soins de qualité.
Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement
gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des
tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de
santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et
services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de
handicap…
Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent
aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de
l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de
2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés
de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages
que les entreprises du secteur lucratif.
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lundi 3 décembre 2012
Troubles du sommeil :
stop à la
prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
La HAS mobilise professionnels et patients
La HAS mobilise professionnels et patients
Le 25 septembre dernier, la HAS relançait des actions de communication
autour de la surconsommation de somnifères chez les personnes âgées pour
sensibiliser les professionnels de santé et les patients. La HAS rappelle que
près d'un tiers des personnes de plus de 65 ans consomment des somnifères de
manière chronique et dans plus d'un cas sur deux, le traitement ne serait pas
indiqué.
Ce jeudi 29 novembre, la
mobilisation de la HAS sur cet enjeu de santé publique se poursuit avec les
professionnels de santé - médecins généralistes, gériatres, psychiatres, spécialistes
du sommeil, pharmaciens - et les représenatnts d'usagers à travers une journée
d'échanges et de réflexion autour de retours d'expériences pour définir de
nouvelles actions d'amélioration.
Les interventions et les
conclusions de cette journée seront rendues publiques sur le site de la HAS en
janvier 2013.
Retrouvez l'interview vidéo du
Pr Joël Belmin, gériatre, qui collabore aux travaux de la HAS depuis 2007 et
qui témoigne de son expérience auprès des patients.
Enfin, la HAS diffuse
aujourd'hui, à près de 27 000 professionnels de santé, la lettre Actualités
& Pratiques consacrée aux troubles du sommeil après 65 ans et à la réduction
de l'usage inapproprié des somnifères. Il s'agit d'un document court et pédagogique
en 4 questions et un schéma pour mieux comprendre la place des somnifères et la
nécessité de moins et mieux prescrire ces médicaments, aux effets trop souvent
délétères.
Consultez
l'interview vidéo du Pr Belmin, gériatre et participant à la journée de travail
HAS en cliquant
ici
Consultez le Focus
Actualités & Pratiques spécial « prise en charge des troubles du sommeil chez le sujet âgé
» en cliquant
ici
vendredi 28 septembre 2012
Santé des séniors
Parcours de santé
des personnes âgées :
Marisol Touraine
et Michèle Delaunay annoncent des expérimentations dès 2013
Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la
Santé, et Michèle Delaunay, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et de
l’autonomie, ont présidé le jeudi 27 septembre dernier le comité de pilotage relatif au « parcours de
santé des personnes âgées en risque de perte d’autonomie ».
Marisol Touraine a
notamment annoncé la mise en place d’équipes de soins de proximité, ainsi que
des mesures permettant aux personnes âgées qui ont été prises en charge, de
rentrer chez elles ou d’être suivies un cadre plus adapté que l'hôpital. Des
expérimentations seront ainsi menées dès 2013. Elles seront annoncées lors de
la présentation du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS)
2013.
Par ailleurs, Michèle Delaunay a insisté sur l’importance du lien entre
soins et autonomie, et la nécessité d’une prise en charge des personnes âgées
par l’ensemble des acteurs sanitaires – qu’ils exercent en ville ou à
l’hôpital, mais aussi sociaux et médico-sociaux. Elle a également insisté sur
le caractère indispensable de l’anticipation et de la prévention, pour
améliorer la qualité de vie des personnes âgées.
Source : communiqué de presse du ministère des Affaires sociales et
de la Santé
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