Nora ANSELL-SALLES

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lundi 2 décembre 2013

Enquête flash 2013 - Les réseaux de soins


État des lieux sur les réseaux des organismes de complémentaire santé

Optimind Winter, en partenariat avec OpinionWay, publie les résultats de son enquête exclusive sur les réseaux de soins, réalisée entre septembre et octobre 2013. Ce sondage représentatif de tous les acteurs concernés du monde de l'assurance, présente un état des lieux des réseaux de soins auxquels ont adhéré les organismes assureur.

A l'heure où certains peuvent s'interroger sur l'intérêt d'adhérer à un réseau de soins, Optimind Winter a souhaité avoir le retour d'expérience des organismes assureurs, notamment pour analyser les principales raisons de leur adhésion à ce réseau, les taux de fréquentation et l'effet observé sur la consommation de leur portefeuille.

Le rapport complet de cette enquête est disponible en téléchargement sur sur site internet, rubrique Actualités/Enquêtes.

Les éléments clés 2013 :

·         25% des acteurs interrogés ont prévu d'adhérer dans les 2 ans à un réseau de soins.

·         La baisse de la dérive des prestations a été supérieure à 10% pour 40% des organismes l'ayant constatée.

·         Pour les actes de santé non remboursés ou mal pris en charge par le régime obligatoire comme les audioprothèses, les réseaux de soins ont encore des atouts à mettre en avant.

Ensemble des événements, formations et publications est disponible sur le site internet.

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jeudi 21 novembre 2013

AGENDA: 22/11/13 de 8h30 à 13h l'Institut de la Protection Sociale Européenne planche sur la généralisation de la complémentaire santé... et la Sécu dans tout cela...

 

11ème Colloque professionnel Ipse

22/11/13
Généralisation de la complémentaire santé :
quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires ?
Vendredi 22 novembre 2013
de 8h30 à 13h00
accueilli par le groupe Macif: 17-21, place Etienne Pernet , Paris 15e
 
Compte-tenu des aléas législatifs et alors que le PLFSS 2014 est en cours d’adoption, les modalités de  la généralisation de la complémentaire santé  continuent de faire débat y compris chez les fonctionnaires. De nombreux défis demeurent. Ils tiennent à la place, au rôle des organismes complémentaires et à l’accès aux soins. Ils portent également sur l’articulation nécessaire avec l’assurance maladie obligatoire et la rénovation des contrats solidaires.
 
Lire la suite :
 
 
 
NDLR : MGEFI et IPSE
 
Serge Brichet, Pdt de la MGEFI
Interviendra lors de la table ronde N°1
contact presse mgefi : Nora Ansell-Salles
nansellsalle@mgefi.fr / 06 70 74 1 5 42



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jeudi 26 septembre 2013

l'État doit d'autant plus renforcer les transferts de solidarité sur la couverture santé et prévoyance de ces agents qu'il vient de concéder 2 milliards d'euros d'exonérations de charges sociales pour généraliser la complémentaire santé à tous les salariés du secteur privé.

Plus de 90 % des agents des ministères économique et financier souscrivent volontairement à la MGEFI (Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie). Serge Brichet, son président, estime que l'État doit d'autant plus renforcer les transferts de solidarité sur la couverture santé et prévoyance de ces agents qu'il vient de concéder 2 milliards d'euros d'exonérations de charges sociales pour généraliser la complémentaire santé à tous les salariés du secteur privé. A défaut, l'écart se creuserait entre le public et le privé en matière de protection sociale avec un risque de tensions sociales.





 

« L'État doit renforcer les transferts de solidarité sur la protection sociale de ses agents », Serge Brichet, MGEFI
 

Les clauses de désignation des opérateurs de la santé par les branches du secteur privé ont été censurées par le conseil constitutionnel. Pourrait-il en être de même pour le référencement qui s'applique dans la fonction publique d'État ?

La cour des comptes a eu l'occasion de contester le principe du référencement sans mesurer de mon point de vue les différences entre ce dispositif et celui des contrats collectifs auquel il ne peut être assimilé. La participation de l’État a pour but de financer les transferts de solidarité assurés entre les actifs et les retraités, entre les isolés et les familles et entre les niveaux de revenu. Nous aimerions bien que ces transferts de solidarité soient encore davantage valorisés lors du prochain référencement de 2016. Pour autant l’Etat a-t’il les moyens de prendre en charge 50 % du coût de la complémentaire santé et de la prévoyance de ses agents comme la loi y contraint le secteur privé ? La somme des transferts de solidarité octroyé dans le cadre des référencements est de l'ordre de 80 millions d'euros. On est loin des milliards que l'état employeur devrait mettre sur la table pour mettre en place d'un régime obligatoire. Ne pas renforcer la prise en comptes des transferts de solidarité contribuerait à creuser l'écart entre le public et le privé en matière de protection sociale et serait sources de potentielles tensions sociales.

 

En quoi considérez vous que vous contribuez à la cohésion sociale ?

Plus de 90 % des agents des ministères économique et financier souscrivent volontairement à la MGEFI.  D'une certaine façon, nous présentons les caractéristiques de mutualisation d'un régime obligatoire. Les cotisations des retraités n'explosent pas et les conditions d'adhésion sont aménagées pour les jeunes adhérents pendant les deux ou trois premières années. Ce sont finalement les 35 - 55 ans qui payent à la fois pour les jeunes et les retraités alors qu'ils consomment le moins de prestation. C'est naturellement cette tranche d'âge qui est la plus exposée à la concurrence. Or c'est sur elle que repose la cohésion sociale que l'état doit contribuer à assurer par une compensation des transferts solidaires. En quelle que sorte une aide aux aidants.

 

Est-ce uniquement financièrement que l'État peut contribuer à renforcer cette cohésion sociale ?

La reconnaissance d’un vrai statut mutualiste pour les militants permettant le  fonctionnement et la vie démocratiques de la mutuelle est également souhaitée. De notre côté, il nous appartient d'intensifier nos relations avec les organisations syndicales, qui sont nos partenaires privilégiés dans la défense des droits des fonctionnaires.

 

Qu'est ce qui explique que cette tranche critique des 35 - 55 ans continue de vous suivre ?

Une réelle fidélité à la mutuelle due certainement à la pertinence des garanties et la qualité de service rendu.  La MGEFI vient d’ailleurs d’être certifiée norme ISO 9001 pour sa relation à l’adhérent. Nous avons, en outre adapté notre offre. 50 % de nos adhérents ont opté pour une couverture qui ne complète pas systématiquement les remboursements de la sécurité sociale jugés non pertinents mais propose en revanche de l'ostéopathie ou encore de la chirurgie oculaire. Cette formule permet de faire baisser la cotisation de 15 %.

 

Comment parvenez-vous à limiter le siphonage d'une partie de vos adhérents par les contrats collectifs obligatoire de leur conjoint ?

Une circulaire stipule qu’un fonctionnaire couvert par sa mutuelle professionnelle ne peut se voir opposer le caractère obligatoire du contrat collectif de son conjoint. Nous demandons à ce que cette circulaire soit sécurisée par un décret. Nous proposons par ailleurs aux fonctionnaires qui désirent rejoindre le contrat collectif de leur conjoint de conserver un pied dans notre couverture au travers d'une cotisation de maintien qui coûte environ 50 € par an. L'occasion de rester couvert au niveau de la prévoyance par exemple.

 

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mardi 10 septembre 2013

mercredi 24 avril 2013

La MGEFI dans la presse....


Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

www.acteurspublics.com - 16 AVRIL 13

 

Titre : PARIS / Dossier / Quand les mutuelles des agents publics se marient

presseagence.com   - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

www.acteurspublics.com  - 17 AVRIL  13

 

Titre : PARIS / Dossier complémentaire santé / Les assureurs privés fourbissent leurs armes

presseagence.com - 18 AVRIL 13

 

Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 16 AVRIL 13

 

Titre : Ces inégalités criantes de couvertures santé entre fonctionnaires

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 15 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER  - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les dernières avancées de la MGEFI

LA PROVENCE - 19 AVRIL 13

 

Titre : Prestations en hausse et trésorerie générale en baisse

LA MARSEILLAISE ED.ALPES -  18 AVRIL 13

 

Titre : Le volet des Complémentaires

UNITE ACTION  - FEV/MARS 13

 

Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

www.acteurspublics.com - 16 AVRIL 13

 

Titre : PARIS / Dossier / Quand les mutuelles des agents publics se marient

presseagence.com  - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

www.acteurspublics.com  - 17 AVRIL  13

 

Titre : PARIS / Dossier complémentaire santé / Les assureurs privés fourbissent leurs armes

presseagence.com - 18 AVRIL 13

 

Titre : Dossier - Quand les mutuelles des agents publics se marient

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 16 AVRIL 13

 

Titre : Ces inégalités criantes de couvertures santé entre fonctionnaires

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER - 15 AVRIL 13

 

Titre : Les assureurs privés fourbissent leurs armes

ACTEURS PUBLICS NEWSLETTER  - 17 AVRIL 13

 

Titre : Les dernières avancées de la MGEFI

LA PROVENCE - 19 AVRIL 13

 

Titre : Prestations en hausse et trésorerie générale en baisse

LA MARSEILLAISE ED.ALPES -  18 AVRIL 13

 

Titre : Le volet des Complémentaires

UNITE ACTION  - FEV/MARS 13
 

NDLR : Retrouvez toute l’actualité de la Mutuelle Générale de l’Economie des Finances et de l’Industrie sur : www.mgefi.fr

mardi 5 mars 2013

Position du groupe Istya sur l’ANI et le pré-projet de loi concernant la généralisation de la couverture complémentaire santé


« Le problème de l’ANI, tel qu’il est posé dans le texte existant et dans le pré-projet de loi, est qu’il peut faire obstacle à une réflexion globale sur la généralisation de la couverture complémentaire. La première problématique à traiter est l’équité dans l’accès aux soins pour nos concitoyens.

 

Cet accord est certes bon pour les salariés du secteur privé qui ne bénéficient pas d’une couverture santé aidée par leurs employeurs, mais il ne règle pas le problème du financement des complémentaires pour les étudiants, les chômeurs, les retraités et agents de la fonction publique.

 

De plus, il fait peser le surcoût des financements aux très petites entreprises qui, pour beaucoup, n’étaient pas dotées de contrats collectifs obligatoires. Enfin, cet accord représentera un coût de perte fiscale supplémentaire pour l’Etat de plus de 2 milliards d’euros. Il aurait été souhaitable que des modifications du texte de l’accord du 11 janvier dans la loi permettent de rouvrir la réflexion d’intérêt général sur la généralisation de la couverture santé.

 

La première mesure aurait pu être de conditionner les aides fiscales au respect de critères renforcés pour les couvertures responsables et solidaires.

 

Il est urgent de remettre en avant la modification de la loi sur ces contrats comme le Président de la République s’y est engagé. D’autres critères plus contraignants devraient y prendre place tels que :

- la solidarité intergénérationnelle telle qu’appliquée à la fonction publique,

- un taux de redistribution minimum par exemple de 75%,

- une fourchette de couverture plancher et plafond.

 

Une deuxième mesure aurait pu être de donner la liberté aux entreprises de choisir de participer à des contrats « responsables » collectifs obligatoires ou individuels choisis par les salariés.

 

C’est ce qui a été fait pour les employeurs publics que sont les collectivités territoriales qui, à plus de 90 %, ont opté pour la solution du financement des contrats dits labellisés, donc individuels. Ceci permettrait aussi de faciliter, le temps venu, le traitement de la question qui ne manquera pas de se poser pour les fonctionnaires qui n’ont pas accès aux contrats collectifs obligatoires. Ceci passe aussi nécessairement par le respect de l’ANI sur la suppression de la « clause de désignation » dans les accords de branche.

 

La troisième mesure aurait pu être d’imposer le maintien de la couverture pour les retraités dans les couvertures individuelles et collectives.

 

Ceci est la conséquence du principe de solidarité intergénérationnelle qui serait inscrit dans la loi sur les contrats responsables et solidaires.

 

Enfin, la quatrième mesure aurait été d’étudier un fonds de mutualisation entre les opérateurs, pour les retraités.

 

Le principe pourrait être une péréquation entre les opérateurs qui financent le fonds par un certain montant par actif et qui peuvent recevoir en fonction du taux de retraités (en nombre et/ou en cotisations) et de l’écart par rapport à une moyenne. Si la moyenne est de 30 %, ceux qui sont en dessous reçoivent contrairement à ceux qui sont au-dessus.

 

En résumé, les avantages des propositions du groupe Istya sont :

- de ne pas remettre en cause le cœur de l’ANI sur les contrats collectifs et de maintenir les avantages fiscaux dans un esprit d’équité pour tous les citoyens comme le Président de la République s’y est engagé au Congrès de la FNMF à Nice,

- de mettre en avant ce qui est essentiel, c’est-à-dire la réforme des contrats responsables et solidaires qui devraient, demain, chapeauter tous les processus aidés de couverture complémentaire santé, y compris pour tous ceux qui ne sont pas inclus dans l’ANI,

- de faire respecter l’autre engagement du Président de la République à Nice d’exonérer ou de réduire la TSCA pour les contrats responsables et solidaires renforcés de critères de solidarité plus forts,

- de ne pas donner l’exclusivité aux contrats collectifs dont nous connaissons toutes les limites en termes de solidarité véritable, d’inflation des garanties, de rétrécissement du fonctionnement démocratique et de portabilité,

- d’imposer la couverture tout au long de la vie pour tous les contrats et, donc, de ne pas laisser sur le bord du chemin les retraités.

 

Ceci serait une meilleure base pour aborder, ensemble, le sujet de la généralisation de la couverture solidaire santé dans un partenariat responsable et d’intérêt économique général entre la Sécurité sociale et les mutuelles. »


NDLR : MGEFI et ISTYA
La mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie - MGEFI intégré le groupe Istya le 1er janvier 2013
wwww.mgefi.fr

jeudi 11 octobre 2012

Nouvelle campagne de communication sur l'accès aux soins


"Sans mutuelle, la santé devient hors de prix."   

En amont de son 40e Congrès, la Mutualité Française alerte de nouveau les institutionnels et

l'opinion publique sur les difficultés d'accès aux soins en France.
Via les deux annonces déclinées, dans la lignée de la campagne sur la dépendance en 2011,
la jeune génération interpelle chacun sur des situations de rupture pouvant conduire à renoncer à

une couverture santé complémentaire.


Cette campagne sera diffusée du 10 au 18 octobre dans la presse quotidienne nationale

(Le Monde, Le Figaro, Libération, Les Echos, Le Journal du Dimanche, Le Parisien /

Aujourd'hui en France) et régionale (57 titres), ainsi que sur les sites internet d'information
et quelques supports représentatifs de l'économie sociale.


Ndlr: des représentants de la MGEFI seront bien entendu présents au congrès de la Mutualité