Nora ANSELL-SALLES

lundi 27 avril 2020

Mutuelle :Quoi de neuf à la MGEFI ?


Google

Vos relevés de décomptes désormais à portée de clic
A compter du mois de mai, si vous avez déjà ouvert votre espace personnel sécurisé sur mgefi.fr, vous ne recevrez plus vos relevés de décomptes.
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Cinq règles pour préserver ses fonctions cognitives
Avec l'âge, les fonctions cognitives peuvent diminuer. Il devient alors difficile de rester concentré, de mémoriser des informations ou de suivre.
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28 avril : Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail


Le 28 avril sera la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail, et, cette année, elle prend une allure particulière avec la crise sanitaire du Covid-19.
Le monde du travail a en effet été profondément touché par la pandémie. Outre la menace que la maladie représente pour la santé publique, les bouleversements économiques et sociaux ont des conséquences énormes sur les moyens de subsistance et le bien-être à long terme de millions de Français.
 
Des mesures appropriées de sécurité et de santé au travail peuvent jouer un rôle crucial pour ralentir la propagation des maladies, tout en protégeant les travailleurs et la société dans son ensemble.
 
Les employeurs ont par ailleurs une obligation en France de protection de la santé de ses salariés (y compris lorsque la cause du risque est externe comme une épidémie). Il doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé de son personnel : actions de prévention, actions d'informations et de formation (C.trav, art L.4121-1)
 
Conscient de l'importante nécessité d'adopter très rapidement les bons comportements face à la menace du COVID-19, Salvum, application référente en France de formation aux premiers secours, a développé un module dédié « Coronavirus » accessible gratuitement pour toutes les entreprises et les salariés qui en font la demande.
Salvum contribue également à diminuer les victimes comme ils peuvent le faire en formant en ligne au secourisme. Car les fameux gestes barrières sont aussi des Gestes Qui Sauvent.
 
Contact presse:
rbornais@goodmind.fr
M : 09 72 14 47 01
 

Confinement & sédentarité...


Faut-il s'alarmer de la sédentarité imposée par le confinement ? L'isolement des Français pourrait bien avoir à terme un impact sur leur santé si la pratique d'une activité physique n'est pas au rendez-vous.

Or avant la pandémie de Covid-19, la sécurité sociale alertait déjà sur l'excès de sédentarité de nos compatriotes. Ils sont en effet très loin de suivre la recommandation du Programme National Nutrition Santé (PNNS) qui est de pratiquer l'équivalent d'au moins 30 minutes de marche rapide par jour.

Or le confinement n'a pas arrangé les choses ! Peu importe la multiplication des applications de sport et les programmes télévisés destinés à faire bouger les Français, l'isolement a plutôt eu un effet démotivant.

Le constat est sans appel : aujourd'hui, près de 4 Français sur 10 (41%) font moins de sport qu'avant ! Pire : ils sont aussi près de 20%, soit 1 sur 5, à ne pratiquer aucun sport pendant le confinement.

Coachme.fr, un nouveau média en ligne consacré au sport et aux loisirs, publie une étude qui dévoile l'impact du confinement sur les habitudes sportives des Français.
Possibilité d'itw, de reportage

Contact presse :
Pierre Tabuteau - pierretabuteau@hotmail.com - 06 61 80 50 78.

En savoir plus:
Infographie  https://coachme.fr/confinement-impact-activite-sportive/
Site web : https://coachme.fr

Lire le communiqué de presse sur Internet


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Désinscription : Si ce message ne vous intéresse pas, cliquez ici.

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vendredi 24 avril 2020

Codiv-19 : zoom sur la situation mondiale



Au lendemain de la journée pour la Planète, nous vous proposons une mise à jour du communiqué de presse du projet worldsituationroom.com paru le 30 Mars. 

Nous vous souhaitons une très belle journée.
L'équipe WSR.

"LA SITUATION DU MONDE"

L'appli pour tous qui rassemble les données sanitaires et économiques.

Face à la crise mondiale, des dizaines d’entreprises se mobilisent. Des acteurs français de la Fintech y contribuent à leur manière. Leur objectif : offrir un outil accessible à tous qui centralise quotidiennement, via une application, les données sanitaires et économiques.
POURQUOI UNE "WORLD SITUATION ROOM"

Ils sont une dizaine. Chefs de projet, Data scientists, designers, commerciaux, formateurs dans le milieu de la finance d’entreprise et de la data. Comme tous, ces jeunes Français vivent actuellement en période de confinement et ont constaté la difficulté de distinguer des données claires sur la propagation du virus et ses conséquences économiques. Leur idée ? Développer une application accessible et facile d’utilisation qui offre une vision claire de la situation mondiale, à l’instar de la “Situation Room” de la Maison-Blanche. 
COMMENT ÇA MARCHE ?

Accessible gratuitement par un lien web et disponible sur tous les supports (ordinateur, mobile, tablette), l’application mise à jour quotidiennement permet de visualiser…
... Des informations mondiales liées au virus et l’évolution journalière de la propagation 
… L’impact sur les grands indicateurs économiques (marchés boursiers, taux de change)
Les données brutes sanitaires proviennent de plusieurs sources de renoms qui servent de base de travail à l’université américaine Johns-Hopkins. Elle regroupe les données de plusieurs autorités sanitaires gouvernementales, de l’OMS et sert de référence à de nombreux médias internationaux. 
À QUOI ÇA SERT ? 

La “World Situation Room” contribue à vulgariser et à rendre accessible des données habituellement réservées aux spécialistes des domaines concernés, qu’ils soient sanitaires ou économiques. Une capacité pédagogique et instructive nécessaire en temps de crise. Motivés par la dimension internationale et communautaire du projet, ses concepteurs lancent un appel afin de mobiliser toutes contributions permettant d’améliorer l’application et approfondir son champ d’étude. 
QUELLES SONT LES NOUVEAUTES ? 

L'équipe de “World Situation Room” a mis en place une nouvelle visualisation avec la tendance sur la France par région et par département. Vous pourrez aussi naviguer en détail sur les provinces/states des pays clés de l'épidémie : USA, Canada, Chine, Royaume-Uni... Le volet économique tient une place de choix dans le projet grâce notamment à un classement journalier des valeurs sur les marchés financiers. 

Dans ce contexte incertain où la donnée prend de plus en plus d'importance, "World Situation Room" proposera prochainement de nouvelles fonctionnalités : l'application de modèles prédictifs simples sur les données économiques pour sensibiliser à l'intelligence artificielle et une cartographie de la France et des US. 
DES UTILISATEURS DE TOUS HORIZONS

Près d'un mois après son lancement, "World Situation Room" a enregistré plus de 10.000 visiteurs de 70 pays différents. 
Du médecin du Sud-Ouest de la France à la directrice de la trésorerie d'un grand groupe international en passant l'étudiant en informatique, ils consultent tous les matins l'application pour avoir un brief simple sur la situation du monde. (pic d'affluence de 7h à 10h)

"C'est une application facile à manier, j'ai mis un raccourci sur mon écran d'accueil. Les données sont claires et chaque groupe de patient dispose d'un calcul de son pourcentage de variation. Ce pourcentage est aussi indiqué par pays. Cela me permet parfois d'en discuter avec mes patients qui me questionnent sur la vitesse de progression du Covid19. Le visuel est neutre, ce qui dans la situation où nous nous trouvons est plus agréable à consulter que d'autres applis avec des couleurs plus stressantes." Docteur Cazal, Sud-Ouest de la France. 
Contact média : 
Jérémy RAVENEL
via téléphone  :
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Codiv-19 : exemple de solidarité santé a St Quentin en Yvelines


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Covid 19 : santé et solidarité à Saint-Quentin-en-Yvelines

Face au confinement, certaines familles et personnes sont plus vulnérables et exposées que d’autres. À Saint-Quentin-en-Yvelines comme ailleurs, les équipes de la Direction Solidarité restent mobilisées pour soutenir tous ceux qui ont besoin d’aide, l’Institut de promotion de la santé en tête.

 

En lien avec l’Agence Régionale de la Santé d’Ile de France (ARS), la Préfecture, le Conseil Régional, le Département et tous les autres partenairesl’Institut de Promotion de la Santé (IPS) de Saint-Quentin-en-Yvelines est mobilisé, à l’écoute des besoins des habitants et des professionnels de santé du territoire.

L’IPS relaie toutes les informations et initiatives des partenaires sociaux et de santé et reste joignable pendant le confinement (mail et téléphone). Ainsi, la majorité des services habituels est maintenue : écoute jeunes et familles, suivi des personnes en situation de handicap ou de souffrance psychique ou encore les soins infirmiers à domicile.

Par ailleurs, l’ensemble des services de SQY est  mobilisé pour proposer un accompagnement adapté et des services spécifiques : aidants, personnes en situation de précarité, en perte d’autonomie, en difficultés financières, familles endeuillées etc.

 

Quand la solidarité fait la force

Les initiatives solidaires se sont multipliées, des particuliers comme des professionnels. Parmi elles,  la Croix Rouge et le Secours Populaire proposent des plateformes en ligne et des numéros d’appel d’urgence pour venir en aide aux plus démunis et en détresse psychologique et psychique.

Aussi, de nombreuses associations, partenaires de l’IPS poursuivent et renforcent leur accompagnement, notamment à destination de nos aînés et de leur famille. Elles organisent les visites à domicile, les courses et soutiennent avec bienveillance les aidants, qui ont particulièrement besoin de répit en cette période.

 

Une cartographie pour aider les personnes en situation de précarité

L'association SOLINUM, partenaire de l'IPS, développe le soliguide, première plateforme de cartographie des lieux, initiatives et services utiles aux personnes en situation de précarité, vulnérables, isolées. L'outil recense l’aide alimentaire, l’accompagnement social, les accueils de jour, les structures de santé, etc. dont  les dispositifs et structures saint-quentinois.

 

Toutes les infos sur :

sqy.fr

 

 

 

 

 

Contact presse

Maiwenn Pibouleau

01 39 44 81 22 / 07 79 82 73 36

maiwenn.pibouleau@sqy.fr

@sqy.fr @sqy78 @sqy

saint-quentin-en-yvelines.fr



Si vous ne souhaitez plus recevoir de communications de SAINT QUENTIN EN YVELINES, veuillez cliquer sur ce lien ici.
SAINT QUENTIN EN YVELINES, 1 rue Eugène Hénaff BP 118, TRAPPES CEDEX, . . France

Télédéclaration des impôts... soyez vigilant


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La Télédéclaration Des Revenus : Un Boulevard Pour Les Attaques De Phishing

 

Arnaque sur internet : alerte aux faux mails de remboursement des impôts

D’ores et déjà accessible sur le site Internet des Impôts, la télédéclaration des revenus 2019 a vu sa date limite repoussée d’un mois en raison de la crise du Covid-19. Mais de même qu’ils ont capitalisé sur les peurs liées au coronavirus pour diffuser des applications mobiles malveillantes, de nombreux cyber escrocs profitent du confinement et de la généralisation des démarches administratives sur le Net en multipliant les attaques de phishing usurpant le site impots.gouv.fr.

Ces attaques prennent de nombreuses formes. La plus récente d’entre elles, émanant prétendument du service des impôts, demande à ses victimes une copie de leur pièce d’identité. D’autres invitent les contribuables à divulguer leurs coordonnées bancaires ou évoquent un remboursement d’impôts. La plupart empruntent le canal des emails, mais d’autres sont diffusées par SMS ou même via les réseaux sociaux.

Exploitant de faux sites impots.gouv.fr parfaitement imités, l’objectif de toutes ces attaques et de pirater les comptes fiscaux et de subtiliser des données personnelles et bancaires.

Les mobiles, une cible de choix

La Direction générale des finances publiques est consciente de la multiplication de ces campagnes de phishing et s’efforce d’informer les contribuables en leur donnant les informations nécessaires pour s’en prémunir. Mais beaucoup de ces attaques risquent encore de passer entre les mailles du filet, spécialement lorsqu’elles sont reçues sur un terminal mobile.

En effet, les mobiles sont une cible de choix pour les escrocs et autres cyber criminels. La faible taille de leur écran empêche d’identifier facilement l’URL du site malveillant ou d’éventuelles incohérences ou fautes d’orthographe. D’autre part, leurs utilisateurs ont tendance à répondre plus rapidement aux emails et aux divers message reçus, via SMS ou sur les réseaux sociaux.

Un risque supplémentaire : pénétrer sur les réseaux d’entreprise

En outre, de plus en plus d’utilisateurs travaillant à partir de leur terminal mobile, la perméabilité entre les environnements professionnel et personnel représente une autre menace importante.

Un employé travaillant de chez lui, chose courante en raison de la crise sanitaire, peut recevoir ses emails personnels sur un mobile fourni par son entreprise, ou accéder aux ressources de son entreprise à partir de son mobile personnel. Dans les deux cas, le risque est grand qu’une attaque de phishing permette à l’attaquant de subtiliser ses identifiants d’entreprise et ainsi de pénétrer dans le réseau de son employeur. Ce risque est encore plus important dans le cas d’attaques de phishing par SMS, qui ne peuvent être détectées par des solutions d’antiphishing par email traditionnelles.

Les responsables de la sécurité en entreprise doivent avoir conscience de ce risque. Même s’ils ont mis en place une solution de protection conte le phishing par email, ils doivent s’interroger sur la protection des comptes email personnels ou des messages SMS sur les mobiles de leurs employés.

 

Une image contenant homme, personne, verres, intérieur

Description générée automatiquement

Bastien Bobe

Security Sales Engineer

Europe du Sud

chez Lookout

 

 


jeudi 23 avril 2020

Utilisation de smartphones pour le suivi du deconfinement



L'utilisation de Smartphones pour le suivi du déconfinement du Covid-19 en France

Communiqué de l'Académie nationale de médecine

22 avril 2020


Le confinement strict a permis de freiner l'épidémie de Covid-19 en France. Le déconfinement progressif doit être suivie avec beaucoup d'attention pour détecter une éventuelle résurgence, tout en poursuivant les gestes barrières indispensables. Dès lors que les tests (PCR) de détection du virus sont largement disponibles, il est envisagé de détecter systématiquement toutes les personnes présentant des symptômes de Covid-19.

Pour stopper la circulation du virus, il est proposé d'identifier les sujets contacts des patients contagieux, pour les isoler le plus tôt possible. Leur identification peut être aidée par des applications d'intelligence artificielle (IA), telles que StopCovid. En effet, ces applications sont capables de détecter par Bluetooth les personnes ayant rencontré un patient contagieux à faible distance. Il est prévu que l'anonymat soit respecté dans le cadre strict de la réglementation européenne et nationale du Règlement général sur la Protection des données (RGPD). Alertées, les contacts asymptomatiques pourraient alors être prévenus par sms, se faire dépister par un test PCR, être prises en charge au plus tôt et se confiner.
 

Cela suppose que le patient testé positif accepte, sur une base de volontariat, de se déclarer positif et de diffuser cette information aux utilisateurs de l'application qu'ils auraient pu rencontrer. Dans le cas de l'application StopCovid, il est prévu qu'il n'y aurait pas de demande de données personnelles (état civil, numéro de téléphone, géolocalisation…). Cependant, les données anonymes de géolocalisation recueillies au cours de ce protocole pourraient être utilisées pour suivre l'évolution de l'épidémie sur l'ensemble du territoire national. Ce traitement statistique et anonyme des données a été accepté par la CNIL (10 avril 2020).
 

L'approche du traçage des contacts peut être utile et efficace en faisant participer activement la population à la lutte contre le Covid-19, sur une base de volontariat. Cependant, cette efficacité suppose le respect d'un certain nombre de conditions d'ordre éthique et juridique :
 

– L'application choisie doit impérativement respecter la réglementation européenne, le RGPD et les recommandations de la CNIL.

– L'efficacité  du traçage dépendra pour une large part de l'acceptation et de l'adhésion confiante de la population à cette approche intrusive. Du niveau de participation, dépendra en grande partie l'utilité du système. Une large communication devra être diffusée, avec une information précise, factuelle, compréhensible par tous et loyale (en se référant notamment aux expériences d'autres pays). Cette application ne doit en rien être imposée, notamment par les employeurs.

– Des biais apparaîtront pour la représentativité des données recueillies : (1) une partie importante de la population n'a pas de smartphone ; (2) une autre partie refusera d'adhérer à son utilisation ; (3) il existe beaucoup de zones blanches, donc une inégalité territoriale. Enfin, il faut que les quatre opérateurs principaux soient obligatoirement impliqués dans le processus de traçage.

– Il faut s'assurer du consentement éclairé des personnes, de la confidentialité et de la préservation de l'intimité de chacun, en se tenant aux seules données indispensables à l'objectif, écartant toute autre information non pertinente. Il faut aussi garantir d'une part la destruction à court terme des données tout au long de l'épidémie qui peut se prolonger, et d'autre part la liberté des choix des personnes d'initier ou d'arrêter à tout moment la connexion traçage.

– L'ergonomie très simple du traçage doit être adaptée aux personnes vulnérables, seniors, personnes isolées et précaires, afin d'éviter la fracture numérique, source de ségrégation et d'inéquité. Une assistance par des bénévoles ou des professionnels doit être envisagée pour permettre à certains d'adhérer en toute compréhension au traçage.

– Il faut régler au mieux les responsabilités qui pourraient concerner un préjudice subi par une contamination ou une exposition liées à un faux négatif du test ou de l'affichage de son résultat, ou encore à une transmission technique défectueuse ou inopérante car en zone non couverte par les opérateurs. Si de tels incidents surviennent, et afin de permettre la plus large adhésion de la population au système, un mécanisme d'indemnisation automatique devrait être prévu, par le biais de la solidarité nationale et de l'Oniam (Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux)
 

L'Académie donne un avis favorable à l'utilisation de Smartphones pour le suivi du déconfinement, en suggérant qu'il y ait une évaluation de son utilisation après un et deux mois, avec des points sur les résultats, et que l'autorisation de cette application soit provisoire avec une date butoir pour éviter toute pérennisation d'un système.


Coronavirus & Cybercriminalité


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Douleurs articulaires...


Le sport, les activités physiques, le stress ou encore les changements de saison sollicitent la souplesse des articulations.
En France, d'après les résultats d'un sondage IFOP "Les Français et les rhumatismes", 93% des Français déclarent avoir déjà souffert de douleurs articulaires.

Ces dernières ont un fort impact au quotidien. La qualité du sommeil et l'incapacité à pratiquer des activités de loisirs sont les deux principales conséquences.
Il est donc primordial de préserver coûte que coûte le capital articulaire et d'agir dès le plus jeune âge en prévention avec des compléments alimentaires.

Pour ce faire, Diétaroma présente l'unique harpagophytum bio et équitable en ampoule qui contribue à la souplesse des articulations.

Cette plante exprime le meilleur de ses actifs quand elle est cultivée dans son environnement originel, ce qui est justement le cas ici.

Nota : possibilité d'itw, et de reportage
Contact presse :
Christelle Goutarot - christelle.goutarot@therasana.com - 0478864776.

Pour en savoir plus
Site Internet : https://www.dietaroma.fr/
Facebook : https://fr-fr.facebook.com/Dietaroma/
Instagram : https://www.instagram.com/dietaroma/

Christelle Goutarot

Lire le communiqué de presse

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Paris, le 23 avril 2020

CORONAVIRUS : UN ACCORD EN COMMISSION MIXTE PARITAIRE SUR LE 2EMECOLLECTIF BUDGÉTAIRE D’URGENCE AMELIORÉ PAR LE SÉNAT  


La commission mixte paritaire, qui s’est réunie le 23 avril 2020 à l’Assemblée nationale, sous la présidence d’Éric Woerth (Les Républicains – Oise) et Vincent Éblé (Socialiste et républicain – Seine-et-Marne) est parvenue à un accord sur les dispositions restant en discussion sur le deuxième projet de loide finances rectificativepour 2020.

« Je me félicite de l’accord auquel nous sommes parvenus : nous votons un plan de soutien enfin significatif, tout en renforçant son efficacité » estime Albéric de Montgolfier, rapporteur général de la commission des finances du Sénat.

Outre des améliorations techniques et de sécurisation juridique, de nombreux apports du Sénat sont conservés, tels qu’adoptés en première lecture ou en retenant un texte de compromis, en particulier :

1/ pour accompagner la lutte contre l’épidémie et le déconfinement :

- la baisse à 5,5 % du taux de TVA applicable aux tenues de protection(gants, surblouses, « charlottes »…) adaptées à la lutte contre l’épidémie et aujourd’hui soumises au taux normal à 20 % ;

- le rehaussement à 1 000 euros du plafond de déduction à l’impôt sur le revenu des sommes versées aux associations de soutien aux plus démunis, notamment les banques alimentaires, en vue de soutenir les dons des particuliers ;

- l’adaptation de la règle du service fait pour les collectivités territoriales souhaitant maintenir leur financement des festivals annulés ;

2/ pour soutenir les salariés, l’augmentation à 7 500 euros du plafond d’exonération d’impôt sur le revenu applicable aux rémunérations perçues au titre des heures supplémentaires, afin de tenir compte de celles effectuées depuis le 16 mars 2020, début du confinement, et jusqu’à la fin de l’état d’urgence sanitaire ;

3/ pour renforcer le plan de soutien aux entreprisesl’introduction, pour les très petites et petites entreprises qui n’ont pas eu accès à un prêt bancaire garanti par l’État, d’un mécanisme subsidiaire de prêts participatifs adossés au fonds de développement économique et social (FDES) que le Gouvernement proposait par ailleurs d’abonder d’1 milliard d’euros supplémentaires.

Par ailleurs, les dispositifs adoptés par le Sénat à l’initiative de la commission des finances afin d’améliorer le suivides mesures prises en application des deux lois de finances rectificatives et le renforcement de l’information du Parlement ont été très largement repris, pour :

étendre et préciser les missions du comité de suivi des mesures d’urgence institué par la loi de finances rectificative du 23 mars 2020 ;

garantir l’information préalable des présidents et des rapporteurs généraux des commissions des finances du Parlement lors des principales prises de participation effectuées par l’État dans le cadre de l’ouverture de crédits de 20 milliards d’euros prévue par le projet de loi de finances rectificative.

Le Sénat restera également vigilant concernant l’engagement des assurances dans leur réponse à la crise et l’instauration d’un régime permettant de couvrir à l’avenir les risques sanitaires. Il suivra avec attention les modalités par lesquelles les charges des entreprises les plus sévèrement touchées pourront être annulées.

« Dans quelques semaines, nous devrons y revenir : des moyens supplémentaires seront probablement encore nécessaires, notamment pour le dispositif de chômage partiel et le fonds de solidarité ; après le plan de sauvetage, il faudra agir pour la relance économique » a affirmé Albéric de Montgolfier.



Consulter le dossier législatif du deuxième projet de loi de finances rectificative : http://www.senat.fr/dossier-legislatif/pjl19-403.html


La commission des finances est présidée par M. Vincent ÉBLÉ(Socialiste et républicain – Seine-et-Marne). Son rapporteur général est M.Albéric de MONTGOLFIER (Les Républicains – Eure-et-Loir). 


L'activité du Sénat se déroule dans le strict respect des conditions sanitaires dictées par la nécessité d'enrayer la pandémie du COVID-19.

DIRECTION DE LA COMMUNICATION 
presse@senat.fr
Le Sénat sur Facebook   Le Sénat sur Twitter   Le Sénat sur Instagram   Le Sénat sur DailyMotion   Le Sénat sur Linkedin


Référent codiv une nouvelle fonction/mission dans les agences et les points de vente ?


Les collaborateurs et les managers savent qu'ils seront confrontés au sortir de cette situation, à une gestion opérationnelle inédite et de fait inhabituelle, nécessitant de mettre en oeuvre adaptabilité et compétences.

Une évolution nécessaire pour faire face à cet environnement qui influencera leur quotidien professionnel plusieurs mois encore, et répondre à leur principale interrogation « comment va-t-on faire ? ».

Dans ce contexte, le rôle du référent-covid-19 sera de faciliter la mise en place de nouvelles routines et pratiques pour atteindre les objectifs et le résultat attendu.

Isokan Formation - spécialisé dans l'évolution des systèmes de production, s'est associé avec François Chevaliez, expert en relation client, pour construire un dispositif complet de formation et d'accompagnement Référent Covid-19.

Nota : possibilité d'itw,  et de reportage

Contact presse :
Stéphane Roquet - Stephane@isokan.com - 06.50.18.79.38.

Stéphane Roquet

Lire le communiqué de presse sur Internet

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mercredi 22 avril 2020

Appel au secours d'Emmaüs

Alerte info : la stucture fondée par l'abbé Pierre lance un appel aux dons...
En savoir plus :
https://soutenir.emmaus-france.org/b/mon-don

lundi 20 avril 2020

Coronavirus : Zaco offre des robots aspirateurs aux soignants.


Bonjour,

Alors qu'un déconfinement se profile le 11 mai, les soignants restent toujours extrêmement sollicités.

Ainsi, les infirmières, les médecins, les techniciens de laboratoire, les aide-soignantes... et bien d'autres encore sont mobilisés et continuent malgré tout à s'exposer pour nous.

Pour les soutenir, de nombreuses initiatives se mettent en place. La population les applaudit tous les jours à 20 heures (source), des boulangers offrent des viennoiseries, certains propriétaires proposent un logement à proximité des hôpitaux...

Pour contribuer à soulager ces héros de toujours, Robovox, une société allemande, a décidé de participer à ce mouvement de solidarité nationale en leur offrant chaque semaine 5 robots aspirateurs de la marque ZACO.

Après les journées éprouvantes et stressantes que vivent les soignants et tous les héros du quotidien, la dernière chose qu'ils ont envie de faire est de s'occuper du ménage.

Ne plus avoir besoin de passer l'aspirateur, grâce à des robots innovants, élégants et performants, est un premier pas vers une meilleure qualité de vie.

Je vous ai adressé le CP complet en PJ. Version Word et visuels HD disponibles.

Un sujet serait-il susceptible de vous intéresser ? (possibilité d'itw, de reportage)

Pour me joindre :
Gaspard Bonnefoy - gaspard@pixter.fr - 06 25 81 97 12.

Pour en savoir plus

Dossier de presse : https://www.relations-publiques.pro/wp-content/uploads/pros/20191024145114-p6-document-yzbw.pdf
Site web : https://www.zacorobot.eu/fr/page-d-accueil/
Facebook : https://www.facebook.com/RobovoxZACO/
Instagram : https://www.instagram.com/zaco.france/

Vous remerciant pour votre attention et vous souhaitant une agréable journée,

Bien cordialement,

Gaspard 

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Codiv-19 et psychiatrie


Covid-19 et Psychiatrie

Communiqué de l'Académie nationale de médecine 

Les conséquences de l'épidémie de Covid-19 sur les malades mentaux et les soins psychiatriques sont majeures

et alarmantes. Il faut souligner notamment :

- la fragilité particulière de ces patients, liée à la fréquence des déficits organiques associés et à la difficulté de leur faire observer les gestes barrières ou de recourir aux soins que leur état de santé nécessite, du fait de l'inhibition due à leur pathologie et aux traitements ;
- l'application difficile des mesures de confinement en chambre chez les malades mentaux hospitalisés quand la prévention de la contagion l'exige ;

- le risque important de rupture du suivi et des soins, donc de rechute, chez les malades mentaux suivis en ambulatoire en raison d'une moindre accessibilité des consultations, et ses conséquences sur leur état de santé et sur leur entourage ;
- le risque de transmission nosocomiale du SARS-CoV-2 dans les établissements psychiatriques comme dans tous les établissements de santé.

Au total, l'ampleur de la situation épidémique actuelle expose les patients psychiatriques à une perte de chance consécutive à un éventuel abandon des soins. Cette préoccupation majeure concerne aussi tous les sujets présentant des symptômes de souffrance psychique (anxiété, dépression, angoisses, voire bouffées délirantes, pensées suicidaires, ...) favorisés par les conditions de confinement.

L'ensemble de ces constatations, déjà soulignées avec inquiétude par de nombreux psychiatres, conduit l'Académie nationale de médecine à recommander :

  1. de ne pas négliger les professionnels en charge de la santé mentale lors de la mise à disposition des matériels de protection contre la transmission nosocomiale aérienne et manuportée (masques, tenues et lunettes de protection, gels hydroalcooliques, ...). Ceci implique que les agences régionales de santé (ARS) et les groupements hospitaliers de territoire (GHT) répondent sans retard et sans discrimination aux demandes émises par les structures de soins psychiatriques en vue de prévenir au mieux la transmission croisée du SARS-CoV-2 entre soignants et patients.

  2. de s'assurer que les patients porteurs d'une affection psychiatrique chronique (schizophrénie, bipolarité...) et suspects de Covid-19 bénéficient d'une surveillance efficace à domicile et que, en cas d'aggravation, ils puissent accéder sans délai et sans stigmatisation aux soins médicaux hospitaliers, voire à l'hospitalisation en soins intensifs et réanimation si nécessaire.

  3. d'organiser une prise en charge ambulatoire des patients psychiatriques dans chaque site, par téléconsultation ou consultation téléphonique, avec des praticiens hospitaliers et libéraux et de faire connaître ces moyens d'accès par une large diffusion dans les médias, la presse locale et internet.

  4. de s'assurer que, malgré les difficultés engendrées par le contexte épidémique, les droits des patients souffrant d'une pathologie mentale, particulièrement exposés à des mesures de contention, d'enfermement, de privation de liberté en général, soient toujours respectés. 

Agisme et tensions intergénérationnelles en période de codiv-19



Âgisme et tensions intergénérationnelles en période de Covid-19 
Communiqué de l'Académie nationale de médecine
 

En France, l'âge moyen des malades infectés par le SARS-CoV-2 est de 61 ans : un tiers des malades ont plus de 65 ans, 25% entre 65 et 74 ans et 8% plus de 75 ans. Mais c'est dans cette dernière tranche d'âge que s'observent 74% des décès, reflets des comorbidités et de l'état de dépendance.

Par-delà ces données statistiques incontestables, la médecine apporte une vision plus circonstanciée du phénomène de vieillissement.

Les personnes âgées ne constituent pas un groupe homogène. L'âge ne peut pas se résumer au seul nombre des années. À âge égal, les séniors d'aujourd'hui sont bien différents de leurs aïeux. Leurs performances physiques et intellectuelles correspondent à celles de personnes plus jeunes de 10 à 15 ans de la génération précédente. Toutefois, si la diminution des réserves physiologiques, l'accumulation des maladies chroniques et la perte de fonctionnalités dans la vie quotidienne sont le lot de tous, l'avancée dans le troisième âge affecte la population de manière très inégalitaire.

Le Covid-19 suscite de l'âgisme, défini par le Larousse comme « une attitude de discrimination ou de ségrégation à l'encontre des personnes âgées ». Le contexte épidémique actuel dans lequel le risque de mourir peut être confronté à une limitation des ressources fait le lit de tensions intergénérationnelles. Apparues en Chine, elles se sont ouvertement révélées en Israël et au Royaume-Uni par des décisions imposant la séparation des grands-parents de leurs petits-enfants ou la mise en confinement des ainés pour 4 mois. Le fossé s'aggrave quand on souligne que les séniors, qui ne contribuent plus directement au développement de l'activité économique du pays, bénéficient d'une rente-retraite...

Cette confrontation intergénérationnelle, attisée par la crise sanitaire actuelle, n'a pas que des aspects négatifs ; elle est l'occasion de rappeler le rôle essentiel joué par les séniors sur le plan familial, associatif et sociétal, ainsi que l'impérieuse nécessité de leur garantir la protection et le respect qui leur sont dus.

L'Académie nationale de Médecine recommande :

  • -  de ne jamais utiliser le critère d'âge pour l'allocation ou la répartition des biens et des ressources ; si un rationnement des moyens thérapeutiques s'impose, le choix doit se baser sur des critères physiologiques, cliniques et fonctionnels afin d'obtenir les meilleurs résultats à court et long termes ;

  • -  de substituer la notion de « distanciation physique » à celle de « distanciation sociale » pour mieux faire comprendre que l'observation des gestes barrières n'implique pas de s'isoler du monde mais qu'elle permet de continuer de communiquer autrement ;

  • -  d'accorder une attention particulière aux adultes âgés les plus vulnérables et fonctionnellement atteints résidant en institution de long séjour et de veiller à ce qu'ils continuent de bénéficier de tous leurs droits.

 

dimanche 19 avril 2020

Codiv-19 : Intervention en direct de Matignon

Suivre le direct :
https://www.bfmtv.com/

Violences faites aux femmes...


Sénat - Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes
COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Paris, le 31 mars 2020


VIOLENCES INTRAFAMILIALES ACCRUES EN PÉRIODE DE CONFINEMENT : IL FAUT ALLER ENCORE PLUS LOIN DANS LA PROTECTION DES VICTIMES


 

La délégation aux droits des femmes, dont le bureau s’est réuni en visioconférence le lundi 30 mars, prend acte avec beaucoup d’intérêt des annonces du gouvernement pour que, dans les circonstances inédites liées au confinement, les femmes victimes de violences puissent appeler à l’aide dans les pharmacies. Elle salue la disponibilité de l’Ordre des pharmaciens et fait confiance à ces professionnels pour accueillir dans les meilleures conditions celles qui demanderont un « masque 19 ». Elle exprime en revanche des réserves sur la possibilité pour les associations d’assurer des permanences supplémentaires dans les centres commerciaux, avec des moyens humains encore plus contraints.  


La délégation s’inquiète également pour les femmes qui, confrontées à un conjoint violent et privées de tout contact avec l’extérieur, ne seraient pas informées de ces nouvelles possibilités d’appel au secours et n’auraient aucun moyen de sortir de leur lieu de confinement pour aller faire une course. Avec sa présidente, Annick Billon (UC-UDI, Vendée), elle appelle donc le gouvernement à mettre en place des « solutions pour rompre l’isolement des femmes enfermées dans un huis clos familial menaçant. Le gouvernement propose des solutions pour celles qui sortent, nous devons aussi faire attention à celles qui restent et aller vers elles ».


Dans cette logique, la délégation propose la mise en place d’un suivi des plaintes et des mains courantes, car les femmes qui les ont déjà déposés courent probablement un risque accru lorsqu’elles sont confinées avec le conjoint violent. Consciente de la charge de travail et des responsabilités qui pèsent actuellement sur les forces de police et de gendarmerie, elle suggère au gouvernement d’étudier la faisabilité d’une telle mesure.


Enfin, très préoccupée du risque d’aggravation des violences faites aux enfants, la délégation demande que les outils de classe numérique mis à disposition des élèves comportent un module dédié aux droits de l’enfant, indiquant notamment le numéro d’urgence 119 mis à disposition des victimes. « Nous restons très mobilisés pour défendre les enfants que le confinement expose à un danger démultiplié de violences intrafamiliales », a conclu Annick Billon, présidente.

 

--

Vous trouverez en pièce jointe le texte de la tribune Coronavirus et confinement : femmes et enfants en danger publiée sur Libération.fr : https://www.liberation.fr/debats/2020/03/28/coronavirus-et-confinement-femmes-et-enfants-en-danger_1783279 désormais co-signée par 172 sénateurs.




Contact presse : Juliette Élie -  presse@senat.fr


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Etude Pharmed'Insight relative au vécu dans les officines depuis le début de la crise, et les attentes vis-à-vis du gouvernement. 

 

Parmi les enseignements de l'étude : 

Implication des pharmaciens :

57 % d’entre eux se disent inquiets face à la propagation du virus et 16 % craignent d’être contaminés. 

Pour autant, 87 % déclarent que cela ne les empêche pas de « bien servir et délivrer les médicaments aux patients »

93 % expliquent rassurer et apporter des explications à leurs patients. 82 % des titulaires soulignent que leur équipe assume son rôle de conseil en matière de santé publique. 

 

Communication gouvernementale : 

Seuls 56 % des pharmaciens estiment que les patients sont bien informés, ce qui participe à la panique (34 %), l’incertitude (41 %) et le besoin d’explication (24 %) au comptoir. 

Seulement 52 % des pharmaciens estiment que les patients respectent les consignes sanitaires édictées par les autorités.

 

La communication des pouvoirs publics vers les professionnels de santé leur semble suffisamment détaillée et à jour pour 61 % d’entre eux. 

 

Par ailleurs, 72 % déclarent que l’Ordre des pharmaciens « assume son rôle de régulateur de l’exercice de la profession lors de cette épidémie », mais ils considèrent à 56% qu’il n’est pas suffisamment écouté par le gouvernement. 

 

Enfin, 55% soutiennent la décision du gouvernement de plafonner les tarifs de gel hydroalcoolique. 

 

 

 

Une majorité des pharmaciens interrogés attend 

- plus de considération et de reconnaissance de la part du gouvernement comme professionnels de santé, 

- des mesures et recommandations spécifiques aux officines 

- une communication en amont des annonces au public et aux médias.

- une collaboration avec les médecins

Pour en savoir plus :

Contact presse :

Florentine Collette

Relations médias

06 58 72 21 42

 


Ça bouge dans le 17ème....


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Mesdames, messieurs,

La crise sanitaire que nous vivons et ses impacts dans nos vies rappellent à quel point la solidarité et la fraternité sont des valeurs essentielles dans nos sociétés.

À l’image de tous mes collègues de France et de Paris, nous avons vite oublié les tracts et cette étrange campagne municipale, pour vite revêtir notre costume de maire pour vivre le confinement dans nos mairies. Certains de mes collègues ont d’ailleurs dans l'exercice de leur mission au service de leurs concitoyens, été touchés par le virus et certains en ont payé de leur vie.

Si le gouvernement prend des ordonnances, si les parlementaires votent l'état d'urgence sanitaire, nous les élus locaux sommes confrontés à la détresse vécue par nos concitoyens.
La mairie, "service public universel", a dû faire face à cette crise et s’adapter avec quelques très rares volontaires, élus et agents, que je tiens à remercier chaleureusement.

Il nous a fallu nous adapter, revoir nos méthodes de travail et faire souvent appel au système D ! Il convient de noter quelques manques aux règles du confinement. Mais la très grande majorité de nos concitoyens respecte ces règles et je m’en félicite.

Partout dans le 17e, des initiatives se sont mises en place, du fait de particuliers ou d'associations, qui proposent de l'aide à celles et ceux qui en ont besoin.

Merci de tout cœur à nos associations qui œuvrent dans notre arrondissement et qui assurent du lien social, de l’accompagnement scolaire, des activités sportives, artistiques et culturelles, des permanences juridiques…

Merci aux professionnels de santé du 17e qui ont permis la mise en place le 27 mars dernier du premier centre de détection du COVID-19 dans une mairie et qui a permis déjà de tester plus de 1500 professionnels de santés.

Merci à Valérie PECRESSE, présidente de la région Ile-de-France, de nous avoir fourni 34000 masques que nous avons distribués aux commerçants dans un premier temps et puis 70 000 aux pharmacies du 17e.

Aujourd’hui, je suis préoccupé par des sujets très pratiques, comme l’indemnisation de nos commerçants, l’organisation de la dotation en masques de tous les habitants, les modalités d’une rentrée progressive dans nos écoles à compter du 11 mai etc …

Au-delà des conséquences sanitaires dramatiques, cette crise aura mis en lumière des inégalités et des difficultés. Si l’heure est aujourd’hui à la solidarité, à l’efficacité et au pragmatisme, viendra plus tard le temps des bilans et sûrement celui des mises au point.

Eugène Marbeau disait « Toute épreuve, celle du succès comme celle de l'adversité, secoue un homme et fait tomber son masque».

En tant que maire, je prendrai toute ma part dans la réflexion que nous aurons à conduire collectivement.

Portez-vous bien.

Geoffroy Boulard
Maire du 17ème arrondissement

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