MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
vendredi 11 septembre 2015
MINE D'INFOS: Allergies respiratoires : près de 2/3 des allergiq...
MINE D'INFOS: Allergies respiratoires : près de 2/3 des allergiq...: Allergies respiratoires : près de 2/3 des allergiques ne consultent pas d’allergologue et ne connaissent pas l’existence de traitements à l...
Allergies respiratoires : près de 2/3 des allergiques ne consultent pas d’allergologue
Allergies respiratoires : près de 2/3 des allergiques ne consultent pas d’allergologue et
ne connaissent pas l’existence de traitements à long terme de l’allergie respiratoire,
tels que l’immunothérapie allergénique¹ Résultats de l’enquête Ifop/Stallergenes1
Paris, le jeudi 10 septembre 2015 – Nez qui coule, yeux gonflés, démangeaisons, éternuements… Les allergies respiratoires sont une maladie chronique ayant des répercussions importantes sur la vie des personnes qui en souffrent. Mais qu’est-ce qui provoque ces allergies?
Quelles sont leurs principales répercussions sur la vie des patients ? Vers quel professionnel de santé se tournentils principalement? Existe-t-il des traitements pour les soulager à long terme ?
Les résultats de l’enquête Ifop/Stallergenes révèlent que 65% des personnes souffrant d’allergies respiratoires ont conscience que celles-ci peuvent s’aggraver progressivement dans le temps entrainant le risque de développer de nouvelles allergies. Forts de ce constat, ils ne sont pourtant que 34% à consulter un spécialiste allergologue pour leur prise en charge ; 54% se tournant vers leur médecin généraliste. Résultat : seulement 31% des patients savent qu’il existe des traitements contre les allergies respiratoires, tels que l’immunothérapie allergénique (ITA), qui peuvent être efficaces à long terme.
Un quart de la population d’Europe et d’Amérique du Nord souffre d’allergies respiratoires2 dont
15 % à 20% d’une forme sévère3. Cette maladie est très souvent négligée et sous-diagnostiquée. En
effet, 45% des personnes qui en souffrent ne sont pas diagnostiquées4.
Des allergiques qui ont conscience de la sévérité de leur maladie et de son évolution possible dans
le temps
Seuls 9% des allergiques déclarent que leur maladie est bénigne¹
Les personnes allergiques interrogées dans le cadre de l’enquête Ifop/Stallergenes¹ sur l’origine des allergies
affirment à :
45% que l’allergie est une intolérance à certaines substances
36% une maladie chronique
28% une maladie des temps modernes.
En effet, la prévalence des allergies respiratoires a augmenté au cours des dernières décennies5 notamment dans la plupart des pays en voie de développement². L’industrialisation et l’évolution des modes de vie ont fortement contribué au développement de ces allergies6,7.
1 Enquête Ifop/Stallergenes menée par téléphone auprès d’un échantillon de répondants de 523 personnes souffrant d’allergies
respiratoires, extrait d’un échantillon de 1 990 personnes âgées de 18 ans et plus – Du 28 mai au 1er juin 2015
2 Asher MI, et al. ISAAC Phase Three Study Group. Worldwide time trends in the prevalence of symptoms of asthma, allergic
rhinoconjunctivitis, and eczema in childhood: ISAAC Phases One and Three repeat multicountry cross-sectional surveys. Lancet.
2006;368:733-43.
3 White P. et al. Symptom control in patients with hay fever in UK general practice: how well are we doing and is there a need for allergen
immunotherapy? Clin and Exp Allergy. 1998: 28: 266-270.
4 Bauchau V, Durham SR. Prevalence and rate of diagnosis of allergic rhinitis in Europe. Eur Respir J. 2004 Nov;24(5):758-64
Seulement 16% des allergiques savent que l’allergie est causée par un dysfonctionnement du système immunitaire
Même si les allergiques ont conscience que les allergies respiratoires ne sont pas toujours une maladie bénigne, seulement 16% savent que cette pathologie résulte d’un trouble du système immunitaire¹. « Le système immunitaire sert d’une part, à la défense de l’organisme contre les agents pathogènes, les microbes, les tumeurs et d’autre part, à la tolérance du soi et des substances extérieures. Le dysfonctionnement du système immunitaire provoque une allergie par le mécanisme de « rupture de la tolérance naturelle ». Chez une personne allergique, une rupture de la tolérance à certaines substances comme, par exemple, les acariens ou les pollens se produit. Ces substances deviennent alors des allergènes. Leur présence provoque une inflammation anormale responsable de symptômes qui peuvent être localisés à différents endroits : nez, bronches… », explique le Professeur Jocelyne Just, Chef du service d’allergologie pédiatrique, Hôpital Trousseau, à Paris.
Près de 2 allergiques sur 3 savent que leur maladie s’aggrave avec le temps¹
Pour 65% des Français ayant des allergies respiratoires, leur maladie va s’aggraver progressivement avec le temps, avec un risque de développer de nouvelles allergies¹. En effet, il existe une étroite corrélation entre les allergies respiratoires et l’asthme dans le processus allergique5,8. Les personnes ayant des allergies respiratoires ont 3,5 fois plus de risques d’être asthmatiques que le reste de la population8,9,10,11. 40% des personnes souffrant d’allergies respiratoires souffrent également d’asthme ; 80% des asthmatiques souffrent d’allergies respiratoires12. « Les résultats de l’étude Ifop/Stallergenes expliquent en partie pourquoi l’allergie est perçue par les allergiques avec gravité ; ses effets étant considérés majoritairement comme durables et évolutifs », commente Damien Philippot, Directeur des Etudes, Département Opinion, Ifop.
67% des personnes souffrant d’allergies respiratoires ressentent une plus grande fatigue¹
Les allergies respiratoires ne sont pas sans conséquence sur la vie des patients comme l’indiquent les résultats de l’étude Ifop/Stallergenes. En effet, 67% des allergiques souffrent davantage de fatigue¹ et 63% constatent une réelle détérioration de leur qualité de vie¹. Un quart des personnes atteintes semble également confronté à une baisse des performances scolaires ou de la productivité au travail (27%)¹ et 21% présentent une diminution de l’attention¹. « Ces pathologies peuvent avoir des conséquences désagréables comme, par exemple, des troubles du sommeil, des problèmes de concentration, une irritabilité, de la fatigue, un absentéisme scolaire ou professionnel qui peuvent fortement dégrader la qualité de vie des patients les plus touchés. Ces troubles sont malheureusement peu pris en compte tant l’allergie est, à tort, trop souvent banalisée », explique Christine Rolland, Directrice de l’Association Asthme & Allergies.
Plus de la moitié des Français souffrant d’allergies respiratoires consulte un médecin généraliste
Les patients souffrant d’allergies respiratoires (54%)¹ vont principalement voir le médecin généraliste ; le spécialiste allergologue est consulté par 34% d’entre eux¹ notamment par les femmes (41%)¹, les personnes de moins de 35 ans (40%)¹ et les professions libérales, cadres supérieurs (42%)¹. « Un diagnostic précoce, dès l’identification des premiers symptômes, permet d’agir efficacement sur la maladie allergique et d’éviter son aggravation vers des formes sévères.
Grâce à son expertise, l’allergologue est le référent de choix pour conseiller les patients et les aider à mieux vivre avec leur allergie au quotidien. Il intervient dès le diagnostic de la maladie allergique et accompagne ses patients dans la durée afin de contrôler l’évolution des symptômes et de maîtriser les risques d’aggravation », insiste Christine Rolland.
5 Bousquet J, et al. Allergic Rhinitis and its Impact on Asthma (ARIA) 2008 update (in collaboration with the World Health Organization, GA(2)LEN and AllerGen). Allergy. 2008 Apr;63 Suppl 86:8-160.
6 Pawankar R, et al. State of World Allergy Report 2008: Allergy and Chronic Respiratory Diseases. World Allergy Organ J. 2008; 1(Suppl 1): S4–S17
7 Haahtela T, et al. WAO Special Committee on Climate Change and Biodiversity The biodiversity hypothesis and allergic disease: world allergy organization position statement. World Allergy Organ J. 2013;6:3.
8 Shaaban R. et al. Rhinitis and onset of asthma: a longitudinal population-based study. Lancet. 2008, 372:1049-1057.
9 Cruz AA. et al. ARIA Initiative Scientific Committee. Allergy. 2007; 62 Suppl 84():1-41.
10 Hadley JA. et al. Comorbidities and allergic rhinitis: not just a runny nose. J Fam Pract. 2012;61:S11-5.
11 Polosa R. et al. Greater risk of incident asthma cases in adults with allergic rhinitis and effect of allergen immunotherapy: a retrospective cohort study. Respir Res. 2005 Dec 28;6:153.
12 Blaiss S.M. Rhinitis-asthma connection: epidemiological and pathophysiologic basis. Allergy and asthma Proc. 2005
Professeur Jocelyne Just
(cliquez sur la photo pour voir la vidéo)
- 17% des allergiques pensent que leur maladie n’évolue pas au cours de la vie¹
- 7% estiment qu’elle disparaît avec l’âge¹ Christine Rolland
Seuls 31% des allergiques connaissent l’existence de traitements à long terme de l’allergie respiratoire¹
Interrogées dans le cadre de l’étude Ifop/Stallergenes, 62% des personnes souffrant d’allergies respiratoires déclarent qu’il n’existe pas de traitements à long terme de la maladie¹ ; 51% d’entre elles pensent que les traitements actuels permettent uniquement d’en soulager les symptômes¹. A contrario, 31% déclarent qu’il existe des traitements à long terme de la maladie. « Les plus jeunes semblent les plus au fait de l’existence de ces traitements. En effet, 44% des moins de 25 ans les évoquent contre 19% des personnes âgées de 65 ans et plus. Ces résultats expliquent sans doute les raisons pour lesquelles les jeunes ont davantage tendance à relativiser la gravité des allergies respiratoires », commente Damien Philippot.
L’immunothérapie allergénique (ITA) peu connue des patients
« L’immunothérapie allergénique est un traitement préconisé chez un patient qui souffre d’une allergie unique ou d’une poly-sensibilisation allergénique avec une voire deux allergies modérées et qui, malgré les traitements symptomatiques et l’éviction, continue à être malade. L’immunothérapie allergénique consiste à administrer l’allergène en toute petite quantité au patient de sorte que le corps fabrique des anticorps qui vont protéger l’organisme contre l’allergie », explique le Pr Jocelyne Just. Les effets de ce traitement ne sont connus que partiellement des allergiques. Si 75% des personnes interrogées jugent que l’ITA permet d’améliorer leur qualité de vie et 61% qu’elle induit une tolérance aux allergènes en rééquilibrant le système immunitaire¹ ; plus de la moitié (51%) pense qu’elle permet de soulager uniquement les symptômes de l’allergie respiratoire¹. De plus, près du quart des allergiques ne sait pas en quoi consiste l’immunothérapie allergénique traduisant ainsi leur manque de connaissances sur le sujet. « Les patients doivent connaître les mécanismes conduisant à leur maladie ainsi que le rôle des médicaments afin de mieux adhérer à leur traitement. Si le médecin prescrit une immunothérapie allergénique qui dure plusieurs années, le patient risque d’arrêter au bout de 2 ou 3 mois. Alors que si le médecin lui explique le fonctionnement et le rôle de ce traitement, il y aura une meilleure adhésion du patient qui comprendra ainsi le bien-fondé de ce traitement dans la durée », ponctue le Pr Jocelyne Just.
A PROPOS DE STALLERGENES STALLERGENES est un laboratoire pharmaceutique international spécialisé dans le diagnostic et le traitement des allergies. Depuis plus de 50 ans, STALLERGENES repousse les frontières de la science pour proposer aux patients allergiques des solutions thérapeutiques toujours plus efficaces et durables. Grâce à sa stratégie d’innovation, soutenue par des investissements en recherche et développement représentant environ 20% de son chiffre d’affaires annuel ainsi que par des partenariats externes, STALLERGENES propose des solutions thérapeutiques ciblées d’immunothérapie allergénique, permettant d’améliorer considérablement la vie des patients souffrant d’allergies à travers le monde. STALLERGENES est implanté dans 23 pays et compte plus de 1 000 collaborateurs. En 2014, la société a réalisé 251 millions d’euros de revenus totaux et plus de 500 000 patients ont été traités avec des produits STALLERGENES. Plus d’information sur : www.stallergenes.fr Retrouvez toutes les interviews des experts sur http://www.acteursdesante.fr/
ne connaissent pas l’existence de traitements à long terme de l’allergie respiratoire,
tels que l’immunothérapie allergénique¹ Résultats de l’enquête Ifop/Stallergenes1
Paris, le jeudi 10 septembre 2015 – Nez qui coule, yeux gonflés, démangeaisons, éternuements… Les allergies respiratoires sont une maladie chronique ayant des répercussions importantes sur la vie des personnes qui en souffrent. Mais qu’est-ce qui provoque ces allergies?
Quelles sont leurs principales répercussions sur la vie des patients ? Vers quel professionnel de santé se tournentils principalement? Existe-t-il des traitements pour les soulager à long terme ?
Les résultats de l’enquête Ifop/Stallergenes révèlent que 65% des personnes souffrant d’allergies respiratoires ont conscience que celles-ci peuvent s’aggraver progressivement dans le temps entrainant le risque de développer de nouvelles allergies. Forts de ce constat, ils ne sont pourtant que 34% à consulter un spécialiste allergologue pour leur prise en charge ; 54% se tournant vers leur médecin généraliste. Résultat : seulement 31% des patients savent qu’il existe des traitements contre les allergies respiratoires, tels que l’immunothérapie allergénique (ITA), qui peuvent être efficaces à long terme.
Un quart de la population d’Europe et d’Amérique du Nord souffre d’allergies respiratoires2 dont
15 % à 20% d’une forme sévère3. Cette maladie est très souvent négligée et sous-diagnostiquée. En
effet, 45% des personnes qui en souffrent ne sont pas diagnostiquées4.
Des allergiques qui ont conscience de la sévérité de leur maladie et de son évolution possible dans
le temps
Seuls 9% des allergiques déclarent que leur maladie est bénigne¹
Les personnes allergiques interrogées dans le cadre de l’enquête Ifop/Stallergenes¹ sur l’origine des allergies
affirment à :
45% que l’allergie est une intolérance à certaines substances
36% une maladie chronique
28% une maladie des temps modernes.
En effet, la prévalence des allergies respiratoires a augmenté au cours des dernières décennies5 notamment dans la plupart des pays en voie de développement². L’industrialisation et l’évolution des modes de vie ont fortement contribué au développement de ces allergies6,7.
1 Enquête Ifop/Stallergenes menée par téléphone auprès d’un échantillon de répondants de 523 personnes souffrant d’allergies
respiratoires, extrait d’un échantillon de 1 990 personnes âgées de 18 ans et plus – Du 28 mai au 1er juin 2015
2 Asher MI, et al. ISAAC Phase Three Study Group. Worldwide time trends in the prevalence of symptoms of asthma, allergic
rhinoconjunctivitis, and eczema in childhood: ISAAC Phases One and Three repeat multicountry cross-sectional surveys. Lancet.
2006;368:733-43.
3 White P. et al. Symptom control in patients with hay fever in UK general practice: how well are we doing and is there a need for allergen
immunotherapy? Clin and Exp Allergy. 1998: 28: 266-270.
4 Bauchau V, Durham SR. Prevalence and rate of diagnosis of allergic rhinitis in Europe. Eur Respir J. 2004 Nov;24(5):758-64
Seulement 16% des allergiques savent que l’allergie est causée par un dysfonctionnement du système immunitaire
Même si les allergiques ont conscience que les allergies respiratoires ne sont pas toujours une maladie bénigne, seulement 16% savent que cette pathologie résulte d’un trouble du système immunitaire¹. « Le système immunitaire sert d’une part, à la défense de l’organisme contre les agents pathogènes, les microbes, les tumeurs et d’autre part, à la tolérance du soi et des substances extérieures. Le dysfonctionnement du système immunitaire provoque une allergie par le mécanisme de « rupture de la tolérance naturelle ». Chez une personne allergique, une rupture de la tolérance à certaines substances comme, par exemple, les acariens ou les pollens se produit. Ces substances deviennent alors des allergènes. Leur présence provoque une inflammation anormale responsable de symptômes qui peuvent être localisés à différents endroits : nez, bronches… », explique le Professeur Jocelyne Just, Chef du service d’allergologie pédiatrique, Hôpital Trousseau, à Paris.
Près de 2 allergiques sur 3 savent que leur maladie s’aggrave avec le temps¹
Pour 65% des Français ayant des allergies respiratoires, leur maladie va s’aggraver progressivement avec le temps, avec un risque de développer de nouvelles allergies¹. En effet, il existe une étroite corrélation entre les allergies respiratoires et l’asthme dans le processus allergique5,8. Les personnes ayant des allergies respiratoires ont 3,5 fois plus de risques d’être asthmatiques que le reste de la population8,9,10,11. 40% des personnes souffrant d’allergies respiratoires souffrent également d’asthme ; 80% des asthmatiques souffrent d’allergies respiratoires12. « Les résultats de l’étude Ifop/Stallergenes expliquent en partie pourquoi l’allergie est perçue par les allergiques avec gravité ; ses effets étant considérés majoritairement comme durables et évolutifs », commente Damien Philippot, Directeur des Etudes, Département Opinion, Ifop.
67% des personnes souffrant d’allergies respiratoires ressentent une plus grande fatigue¹
Les allergies respiratoires ne sont pas sans conséquence sur la vie des patients comme l’indiquent les résultats de l’étude Ifop/Stallergenes. En effet, 67% des allergiques souffrent davantage de fatigue¹ et 63% constatent une réelle détérioration de leur qualité de vie¹. Un quart des personnes atteintes semble également confronté à une baisse des performances scolaires ou de la productivité au travail (27%)¹ et 21% présentent une diminution de l’attention¹. « Ces pathologies peuvent avoir des conséquences désagréables comme, par exemple, des troubles du sommeil, des problèmes de concentration, une irritabilité, de la fatigue, un absentéisme scolaire ou professionnel qui peuvent fortement dégrader la qualité de vie des patients les plus touchés. Ces troubles sont malheureusement peu pris en compte tant l’allergie est, à tort, trop souvent banalisée », explique Christine Rolland, Directrice de l’Association Asthme & Allergies.
Plus de la moitié des Français souffrant d’allergies respiratoires consulte un médecin généraliste
Les patients souffrant d’allergies respiratoires (54%)¹ vont principalement voir le médecin généraliste ; le spécialiste allergologue est consulté par 34% d’entre eux¹ notamment par les femmes (41%)¹, les personnes de moins de 35 ans (40%)¹ et les professions libérales, cadres supérieurs (42%)¹. « Un diagnostic précoce, dès l’identification des premiers symptômes, permet d’agir efficacement sur la maladie allergique et d’éviter son aggravation vers des formes sévères.
Grâce à son expertise, l’allergologue est le référent de choix pour conseiller les patients et les aider à mieux vivre avec leur allergie au quotidien. Il intervient dès le diagnostic de la maladie allergique et accompagne ses patients dans la durée afin de contrôler l’évolution des symptômes et de maîtriser les risques d’aggravation », insiste Christine Rolland.
5 Bousquet J, et al. Allergic Rhinitis and its Impact on Asthma (ARIA) 2008 update (in collaboration with the World Health Organization, GA(2)LEN and AllerGen). Allergy. 2008 Apr;63 Suppl 86:8-160.
6 Pawankar R, et al. State of World Allergy Report 2008: Allergy and Chronic Respiratory Diseases. World Allergy Organ J. 2008; 1(Suppl 1): S4–S17
7 Haahtela T, et al. WAO Special Committee on Climate Change and Biodiversity The biodiversity hypothesis and allergic disease: world allergy organization position statement. World Allergy Organ J. 2013;6:3.
8 Shaaban R. et al. Rhinitis and onset of asthma: a longitudinal population-based study. Lancet. 2008, 372:1049-1057.
9 Cruz AA. et al. ARIA Initiative Scientific Committee. Allergy. 2007; 62 Suppl 84():1-41.
10 Hadley JA. et al. Comorbidities and allergic rhinitis: not just a runny nose. J Fam Pract. 2012;61:S11-5.
11 Polosa R. et al. Greater risk of incident asthma cases in adults with allergic rhinitis and effect of allergen immunotherapy: a retrospective cohort study. Respir Res. 2005 Dec 28;6:153.
12 Blaiss S.M. Rhinitis-asthma connection: epidemiological and pathophysiologic basis. Allergy and asthma Proc. 2005
Professeur Jocelyne Just
(cliquez sur la photo pour voir la vidéo)
- 17% des allergiques pensent que leur maladie n’évolue pas au cours de la vie¹
- 7% estiment qu’elle disparaît avec l’âge¹ Christine Rolland
Seuls 31% des allergiques connaissent l’existence de traitements à long terme de l’allergie respiratoire¹
Interrogées dans le cadre de l’étude Ifop/Stallergenes, 62% des personnes souffrant d’allergies respiratoires déclarent qu’il n’existe pas de traitements à long terme de la maladie¹ ; 51% d’entre elles pensent que les traitements actuels permettent uniquement d’en soulager les symptômes¹. A contrario, 31% déclarent qu’il existe des traitements à long terme de la maladie. « Les plus jeunes semblent les plus au fait de l’existence de ces traitements. En effet, 44% des moins de 25 ans les évoquent contre 19% des personnes âgées de 65 ans et plus. Ces résultats expliquent sans doute les raisons pour lesquelles les jeunes ont davantage tendance à relativiser la gravité des allergies respiratoires », commente Damien Philippot.
L’immunothérapie allergénique (ITA) peu connue des patients
« L’immunothérapie allergénique est un traitement préconisé chez un patient qui souffre d’une allergie unique ou d’une poly-sensibilisation allergénique avec une voire deux allergies modérées et qui, malgré les traitements symptomatiques et l’éviction, continue à être malade. L’immunothérapie allergénique consiste à administrer l’allergène en toute petite quantité au patient de sorte que le corps fabrique des anticorps qui vont protéger l’organisme contre l’allergie », explique le Pr Jocelyne Just. Les effets de ce traitement ne sont connus que partiellement des allergiques. Si 75% des personnes interrogées jugent que l’ITA permet d’améliorer leur qualité de vie et 61% qu’elle induit une tolérance aux allergènes en rééquilibrant le système immunitaire¹ ; plus de la moitié (51%) pense qu’elle permet de soulager uniquement les symptômes de l’allergie respiratoire¹. De plus, près du quart des allergiques ne sait pas en quoi consiste l’immunothérapie allergénique traduisant ainsi leur manque de connaissances sur le sujet. « Les patients doivent connaître les mécanismes conduisant à leur maladie ainsi que le rôle des médicaments afin de mieux adhérer à leur traitement. Si le médecin prescrit une immunothérapie allergénique qui dure plusieurs années, le patient risque d’arrêter au bout de 2 ou 3 mois. Alors que si le médecin lui explique le fonctionnement et le rôle de ce traitement, il y aura une meilleure adhésion du patient qui comprendra ainsi le bien-fondé de ce traitement dans la durée », ponctue le Pr Jocelyne Just.
A PROPOS DE STALLERGENES STALLERGENES est un laboratoire pharmaceutique international spécialisé dans le diagnostic et le traitement des allergies. Depuis plus de 50 ans, STALLERGENES repousse les frontières de la science pour proposer aux patients allergiques des solutions thérapeutiques toujours plus efficaces et durables. Grâce à sa stratégie d’innovation, soutenue par des investissements en recherche et développement représentant environ 20% de son chiffre d’affaires annuel ainsi que par des partenariats externes, STALLERGENES propose des solutions thérapeutiques ciblées d’immunothérapie allergénique, permettant d’améliorer considérablement la vie des patients souffrant d’allergies à travers le monde. STALLERGENES est implanté dans 23 pays et compte plus de 1 000 collaborateurs. En 2014, la société a réalisé 251 millions d’euros de revenus totaux et plus de 500 000 patients ont été traités avec des produits STALLERGENES. Plus d’information sur : www.stallergenes.fr Retrouvez toutes les interviews des experts sur http://www.acteursdesante.fr/
MINE D'INFOS: « la gestion du régime obligatoire de l’assurance ...
MINE D'INFOS: « la gestion du régime obligatoire de l’assurance ...: Mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale : Audition ouverte à la presse sur « la gestion ...
« la gestion du régime obligatoire de l’assurance maladie par certaines mutuelles »
Mission
d’évaluation et de contrôle
des lois de financement de la sécurité
sociale :
Audition ouverte à la presse sur
« la gestion du régime obligatoire de l’ par certaines
mutuelles »
Mercredi 16
septembre 2015
La Mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement
de la sécurité sociale (MECSS), coprésidée par Mme Gisèle Biémouret (SRC,
Gers) et M. Pierre Morange (UMP, Yvelines), procédera à l’audition
suivante, ouverte à la presse, sur « la gestion du régime obligatoire
de l’assurance maladie par certaines mutuelles » (M. Jean-Pierre
Door, rapporteur) :
À 14
heures :
M. Jacques Toubon, Défenseur des
droits.
Mercredi 16
septembre 2015
À 14 heures Salle de la commission des affaires sociales n° 6351
À 14 heures Salle de la commission des affaires sociales n° 6351
Palais-Bourbon –
1er étage (Entrée des
journalistes munis de leur carte de presse :
33, Quai d’Orsay, Paris 7e)
33, Quai d’Orsay, Paris 7e)
Retransmission en direct sur le site de l’Assemblée
nationale :
http://videos.assemblee-nationale.fr/direct.html
http://videos.assemblee-nationale.fr/direct.html
Contact presse : Laëtitia Mullings, 01 40 63
64 36, 06 63 71 04 17, lmullings@assemblee-nationale.fr
Ce message, ainsi que les pièces jointes, sont établis, sous la
seule responsabilité de l'expéditeur, à l'intention exclusive
de ses destinataires ; ils peuvent contenir des informations
confidentielles. Toute publication, utilisation ou diffusion
doit être autorisée préalablement.
Ce message a fait l'objet d'un traitement anti-virus.
Il est rappelé que tout message électronique est susceptible
d'altération au cours de son acheminement sur Internet.
________________________________________________________________
Vous pouvez consulter le site de l'Assemblée nationale à
l'adresse suivante : http://www.assemblee-nationale.fr
MINE D'INFOS: Rendez-vous le 3 décembre à l'Hôt...
MINE D'INFOS: <!--Notes ACF-->
Rendez-vous le 3 décembre à l'Hôt...: Rendez-vous le 3 décembre à l'Hôtel Salomon de Rothschild Carole Bouquet vous convie aux Couronnes Instit invest 2015 dont elle ...
Rendez-vous le 3 décembre à l'Hôt...: Rendez-vous le 3 décembre à l'Hôtel Salomon de Rothschild Carole Bouquet vous convie aux Couronnes Instit invest 2015 dont elle ...
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MINE D'INFOS: 45 artistes issus du monde de la musique, du ciném...
MINE D'INFOS: 45 artistes issus du monde de la musique, du ciném...: Parution le 17 septemb Clémentine Lévy Carnet de coloriages 45 artistes et leur Bendik Kaltenborn, Charlotte Le B...
45 artistes issus du monde de la musique, du cinéma, de la mode et de l’illustration ont signé les dessins exceptionnels de ce carnet de coloriages
Parution le 17 septemb
Clémentine
Lévy
Carnet de
coloriages
45 artistes et leur
Bendik
Kaltenborn, Charlotte Le Bon, Cœur
de pirate, Cozy Tomato, David Lynch, Douglas Cavanna (I Am Un Chien), Fafi, Fortifem, Garance Doré, Ines de la Fressange, Inès
Longevial, Jamie Hewlett
(Gorillaz), Jean André, Jean-Charles de Castelbajac, Jonathan Calugi, Laurence Bentz, Lenny Mathé, Little Madi, M. Chat,
Sess, Valentine Reinhardt, Vincent Godeau, Yelle…
45 artistes issus du monde de la
musique, du cinéma, de la mode et de l’illustration ont signé les dessins
exceptionnels de ce carnet de coloriages dont les droits d’auteurs seront reversés à l’association France Alzheimer
et maladies apparentées qui célèbre aujourd’hui ses 30 ans. Imaginé par
Clémentine Lévy en mémoire de sa grand-mère, elle-même atteinte d’Alzheimer et
disparue en 2014, ce carnet a pour vocation d’aider et de soutenir les
personnes malades mais aussi leurs familles.
Mannequin depuis 2009, Clémentine Lévy a travaillé pour Hermès,
Jean-Charles de Castelbajac ou encore Givenchy. En 2013, elle a animé une
chronique « tendances » aux côtés de Mouloud Achour sur Canal+. Elle assure
aussi l’habillage musical des soirées événementielles de grands noms de la mode
ou de la beauté comme Jean-Paul Gaultier ou Elizabeth Arden… »
s
Collection « Beaux
livres »
idées folles12.90 € - 96 pages – 170 x 240 mm Parution le 17 septembre 2015 |
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