MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mercredi 6 novembre 2013
MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?
MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?: Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ? La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (...
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MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...: Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimen...
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MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...: Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimen...
Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement dans la lutte contre l'antibiorésistance
Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la
Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et
de la Forêt, ont reçu ce jour les représentants du Conseil supérieur de l’ordre
des vétérinaires et les organisations syndicales vétérinaires.
Cette réunion
a permis de poser les bases d'un engagement de la profession vétérinaire pour réduire
le recours aux antibiotiques critiques, dont la maîtrise est impérative pour la
santé humaine, en médecine vétérinaire.
Le plan Écoantibio
a d'ores et déjà permis de réduire le recours aux antibiotiques de 40% en 5 ans
en médecine vétérinaire. Cependant, les efforts doivent être poursuivis pour
les antibiotiques critiques, dont la consommation a fortement augmenté dans
certaines filières.
Il est
convenu que la mesure sur le découplage initialement envisagée sera utilement
remplacée par plusieurs dispositions qui seront introduites dans le projet de
loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt : inscription
dans la loi d'un objectif chiffré de réduction de la consommation d'antibiotiques
critiques, mise en place de vétérinaires référents, encadrement renforcé des
prescriptions par des recommandations de bonne pratique, élaborées sous l'égide
de l'ANSES.
Un groupe de travail associant
les vétérinaires, le ministère des Affaires sociales et de la Santé, et le
ministère de l'Agriculture, se réunira pour étudier les modalités de mise en œuvre
des engagements de la profession et notamment des dispositions qui seront insérées
dans le projet de loi.
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Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ?
La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (2003) en faveur de l'ouverture des données de santé, notamment celles du SNIIRAM. "Dans l'intérêt des patients et de la collectivité dans son ensemble, la Mutualité considère que le partage et l'exploitation de ces données sont essentiels pour disposer d'outils capables de mieux prévenir les crises sanitaires, d'améliorer la qualité des soins et de réguler les dépenses" affirme-t-elle.
En revanche, l'organisme prend ses distances avec la proposition du rapport de Pierre-Louis Bras d'une gouvernance par le ministère de la Santé, s'appuyant sur un haut conseil des données de santé et la remise en cause parallèle du rôle de l'Institut des données de santé (IDS). "Plutôt que la création d'une nouvelle instance de gouvernance dont les contours restent à définir, la Mutualité française préconise une évolution de l'IDS préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics". La Mutualité française réaffirme enfin son souhait de participer au futur débat national sur les données de santé.
De son côté, le CISS souligne un "surprenant paradoxe". D'un côté, l'accès aux données des patients par des sociétés privées intervenant pour le compte des hôpitaux publics afin d'optimiser le codage des activités des établissements (récente polémique autour du secret médical) se fait sans grande émotion du côté des responsables publics et de l'autorité de régulation. Ce que le représentant des patients qualifie de "pétaudière". Et de l'autre côté, "quand il s'agit de données anonymes, nous assistons à un « déploiement d'inertie » sans mesure pour interdire leur accès à tous ceux qui pourraient y trouver de l'intérêt pour la collectivité". L'organisation d'un débat public sur l'ouverture des données de santé, annoncée à plusieurs reprises par le Premier ministre, est régulièrement repoussée. "Ce débat semblait en vue pour octobre 2013 avant que le mois ne s'écoule … sans débat", s'impatiente le CISS.
La Mutualité Française est favorable à l'ouverture des données de santé et demande à êtreassociée aux travaux sur ce sujetOpen data en santé : pas de débat, pas de chocolat ! - communiqué presse CISS 31 octobre 2013Importante fuite de données pour une cinquantaine d'hôpitaux équipés d'un logiciel de gestion des urgences - dépêche APM
Le projet de loi visant à "simplifier les relations entre l'administration et les citoyens" adopté par le Parlement
Le projet de loi a été définitivement adopté après un dernier vote de l'Assemblée le 31 octobre. La principale disposition du texte prévoit que "le silence gardé pendant deux mois par l'autorité administrative sur une demande vaut décision d'acceptation", et non plus rejet. Une ordonnance fixera les procédures concernées et celles qui ne le seront pas.
Le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnance certaines mesures de simplification administrative, notamment la mise en place d'un droit de saisine de l'administration par courrier électronique, qui pourra avoir valeur de lettre recommandée (même lorsqu'un texte exige le recours à une lettre recommandée). Il est également prévu que l'administration puisse contacter les usagers par lettre recommandée électronique dès lors que ces usagers en auront accepté le principe. A l'initiative du gouvernement, un nouvel article a été introduit pour que puissent être prises par voie d'ordonnance les dispositions permettant l'application du principe "Dites-le nous une fois". Il s'agit de systématiser les échanges d'informations entre administrations afin d'éviter que les mêmes informations ne soient demandées plusieurs fois aux citoyens et aux entreprises. La CNIL devra donner son avis sur les données qui pourront être échangées entre administrations.
Le dossier législatif du site de l'Assemblée nationale
Le blog
Le 24 octobre 2013, elle recevait Mireille Elbaum, présidente du Haut Conseil du financement de la protection sociale, François Fondard, président de l'Union nationale des associations familiales et enfin Thomas Fatome, le directeur de la sécurité sociale. La vidéo des auditions (1 h 04)
La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (2003) en faveur de l'ouverture des données de santé, notamment celles du SNIIRAM. "Dans l'intérêt des patients et de la collectivité dans son ensemble, la Mutualité considère que le partage et l'exploitation de ces données sont essentiels pour disposer d'outils capables de mieux prévenir les crises sanitaires, d'améliorer la qualité des soins et de réguler les dépenses" affirme-t-elle.
En revanche, l'organisme prend ses distances avec la proposition du rapport de Pierre-Louis Bras d'une gouvernance par le ministère de la Santé, s'appuyant sur un haut conseil des données de santé et la remise en cause parallèle du rôle de l'Institut des données de santé (IDS). "Plutôt que la création d'une nouvelle instance de gouvernance dont les contours restent à définir, la Mutualité française préconise une évolution de l'IDS préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics". La Mutualité française réaffirme enfin son souhait de participer au futur débat national sur les données de santé.
De son côté, le CISS souligne un "surprenant paradoxe". D'un côté, l'accès aux données des patients par des sociétés privées intervenant pour le compte des hôpitaux publics afin d'optimiser le codage des activités des établissements (récente polémique autour du secret médical) se fait sans grande émotion du côté des responsables publics et de l'autorité de régulation. Ce que le représentant des patients qualifie de "pétaudière". Et de l'autre côté, "quand il s'agit de données anonymes, nous assistons à un « déploiement d'inertie » sans mesure pour interdire leur accès à tous ceux qui pourraient y trouver de l'intérêt pour la collectivité". L'organisation d'un débat public sur l'ouverture des données de santé, annoncée à plusieurs reprises par le Premier ministre, est régulièrement repoussée. "Ce débat semblait en vue pour octobre 2013 avant que le mois ne s'écoule … sans débat", s'impatiente le CISS.
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Le projet de loi visant à "simplifier les relations entre l'administration et les citoyens" adopté par le Parlement
Le projet de loi a été définitivement adopté après un dernier vote de l'Assemblée le 31 octobre. La principale disposition du texte prévoit que "le silence gardé pendant deux mois par l'autorité administrative sur une demande vaut décision d'acceptation", et non plus rejet. Une ordonnance fixera les procédures concernées et celles qui ne le seront pas.
Le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnance certaines mesures de simplification administrative, notamment la mise en place d'un droit de saisine de l'administration par courrier électronique, qui pourra avoir valeur de lettre recommandée (même lorsqu'un texte exige le recours à une lettre recommandée). Il est également prévu que l'administration puisse contacter les usagers par lettre recommandée électronique dès lors que ces usagers en auront accepté le principe. A l'initiative du gouvernement, un nouvel article a été introduit pour que puissent être prises par voie d'ordonnance les dispositions permettant l'application du principe "Dites-le nous une fois". Il s'agit de systématiser les échanges d'informations entre administrations afin d'éviter que les mêmes informations ne soient demandées plusieurs fois aux citoyens et aux entreprises. La CNIL devra donner son avis sur les données qui pourront être échangées entre administrations.
Le dossier législatif du site de l'Assemblée nationale
Le blog personnel du directeur de
la CNAF
Ouvert quand il était encore
directeur de l'ARS, ce blog propose ses points de vue, ses coups de cœur, ses
engagements. A signaler un billet du nouveau patron de la CNAF sur sa prise de
fonction en réaction à un article du Canard enchaîné qu'il n'a visiblement pas
apprécié. Découvert par la page Facebook "Ce qu'Internet dit de la
Sécu"Le blog
La vidéo de la semaine
La MECSS de l'Assemblée nationale poursuit ses
auditions dans le cadre du financement de la branche FamilleLe 24 octobre 2013, elle recevait Mireille Elbaum, présidente du Haut Conseil du financement de la protection sociale, François Fondard, président de l'Union nationale des associations familiales et enfin Thomas Fatome, le directeur de la sécurité sociale. La vidéo des auditions (1 h 04)
Le hit des liens les plus cliqués
de la lettre 575 du 27 octobre 2013 :
Préparation interne au 54e concours
d'entrée à l'EN3S - Liste des candidats admis
Papy flingueur chez les retraités de Marseille - Le Canard enchainé du 23 octobre 2013 sur le site du Snfocos-caf13
La dynamisation des carrières des agents de direction. Journée d'information du 15 novembre 2013 (Ucanss)
Centralisation +++ C'est le sens profond du nouveau décret sur le contrôle interne à la Sécu. Le dernier papier de Frédéric Buffin
Compte rendu de la RPN ADD du 18 octobre 2013 - SNADEOS CFTC
RMPP : courrier au Président du COMEX - SNADEOS CFTC
Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le
Un grand bravo : La newsletter Annuaire Sécu de Gérard Bieth désormais payante depuis le numéro du 20 octobre 2013 rencontre un vif succès Les demandes de devis continuent d'affluer Les conditions d'abonnement
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La HAS ne reconnaît pas d'utilité au dosage de vitamine D* en routine
Le traitement par vitamine D est nécessaire dans certaines situations cliniques, pour autant dans la plupart des cas, doser
cette vitamine dans le sang n'apporte pas de renseignements utiles pour les
professionnels de santé.
On
assiste toutefois à une augmentation du nombre de dosage sanguins de la
vitamine D. Dans ce contexte,
la Haute
Autorité de Santé (HAS) publie aujourd'hui
un état des lieux de l'utilité établie du dosage sanguin de la vitamine D dans
la prise en charge des patients.
La HAS a évalué l'utilité de réaliser un examen biologique recherchant la quantité de vitamine D (25 OHD) dans le sang dans différentes situations cliniques pour prévenir, suivre ou traiter des pathologies éventuellement associées. La HAS précise que ce travail n'a pas porté sur l'intérêt d'un traitement par vitamine D, ni sur les doses à utiliser.
Doser la vitamine D ne présente aucune utilité démontrée dans un grand nombre de situations cliniques
Les situations cliniques analysées par la HAS et pour lesquelles elle conclut à une absence d'utilité du dosage sanguin en vitamine D sont les suivantes :
mortalité, chute, performance fonctionnelle, cancer colorectal, cancer du sein, cancer de la prostate, hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires, allergie, maladies auto-immunes, diabète de type II, maladie rénale chronique, grossesse, maladies infectieuses, performances cognitives, profil lipidique, mucoviscidose. Les données recueillies lors de cette évaluation fondée sur l'analyse de la littérature et la position des experts d'un groupe de travail ne permettent pas de déterminer une utilité clinique du dosage de vitamine D.
Concernant les personnes à risque de fracture, la HAS relève une étude suggérant un intérêt du dosage de la vitamine D chez les personnes âgées, mais encore trop peu étayée pour que la HAS puisse recommander le dosage systématique dans cette situation.
Un dosage à réserver à ce jour à des indications limitées
La HAS recommande de réserver le dosage sanguin de vitamine D au diagnostic de rachitisme et d'ostéomalacie, aux mentions des AMM** des médicaments de l'ostéoporose et à certaines situations particulières : personnes âgées faisant des chutes répétées, suivi ambulatoire de l'adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation, traitement chirurgical de l'obésité chez l'adulte.
La nécessité de mener des études, particulièrement dans le cas des personnes à risque de fracture
La HAS recommande donc la réalisation d'études de qualité sur l'utilité du dosage, dans toutes les situations pour lesquelles les données disponibles sont aujourd'hui insuffisantes pour en apporter la preuve. Dans le cas des personnes à risque de fracture, la HAS recommande des études visant notamment à confirmer l'existence d'une valeur seuil utile à la décision thérapeutique.
PLFSS : Un risque de nivellement par le bas de la qualité des équipements optiques des Français
Le projet de loi
de Financement de la sécurité sociale 2014 (article 45) introduit deux mesures
ayant un impact direct sur l’accès aux équipements optique et aux modalités de
prises en charge.
"Si sur le fond, les mesures liées à l’optique peuvent apparaitre intéressantes, leur rédaction laisse clairement présager le renforcement des inégalités sociales et économiques, la mise à mort de notre système de protection sociale à la Française et de la filière optique au profit des complémentaires santé, seules vraies gagnantes des différentes mesures en cours de discussion !" explique Christian Roméas, président du SynOpE.
La première mesure vise à étendre le dispositif CMUC aux bénéficiaires de l’ACS (700 000 personnes environ). La détermination de ces tarifs est renvoyée à la négociation conventionnelle tripartite. Mme La Ministre avertit : si la négociation n’aboutit pas, elle tranchera par décret !
"Si sur le fond, les mesures liées à l’optique peuvent apparaitre intéressantes, leur rédaction laisse clairement présager le renforcement des inégalités sociales et économiques, la mise à mort de notre système de protection sociale à la Française et de la filière optique au profit des complémentaires santé, seules vraies gagnantes des différentes mesures en cours de discussion !" explique Christian Roméas, président du SynOpE.
La première mesure vise à étendre le dispositif CMUC aux bénéficiaires de l’ACS (700 000 personnes environ). La détermination de ces tarifs est renvoyée à la négociation conventionnelle tripartite. Mme La Ministre avertit : si la négociation n’aboutit pas, elle tranchera par décret !
"Mais quelle négociation Mme la Ministre ? Dans la mesure où vous la promettez sans cesse mais ne la mettez jamais en place !"
s'insurge Christian Roméas.
La seconde mesure concerne tous les français qui bénéficient d’une complémentaire santé par le biais des Contrats responsables (93% des contrats). Le gouvernement veut fixer un montant minimal de prise en charge et un plafond tarifaire.
Si nous sommes favorables à étudier la détermination d’un plancher et d’un plafond de remboursement, cela ne doit s’envisager QUE dans la concertation avec les professionnels de l’optique mais tel n’est pas le cas !
La seconde mesure concerne tous les français qui bénéficient d’une complémentaire santé par le biais des Contrats responsables (93% des contrats). Le gouvernement veut fixer un montant minimal de prise en charge et un plafond tarifaire.
Si nous sommes favorables à étudier la détermination d’un plancher et d’un plafond de remboursement, cela ne doit s’envisager QUE dans la concertation avec les professionnels de l’optique mais tel n’est pas le cas !
Les professionnels de santé directement concernés n’ont même pas été consultés sur cette mesure.
La rédaction du texte revient à fixer de manière déguisée
des tarifs imposés au secteur de l’optique ! Avec des milliers de perte d’emplois
à la clé !
Ce plafond tarifaire sera-t-il basé sur le tarif de responsabilité qui n’a pas été modifié depuis plus de 30 ans ? Et sans qu’aucune étude d’impact économique n’ait été réalisée ?
Ce plafond tarifaire sera-t-il basé sur le tarif de responsabilité qui n’a pas été modifié depuis plus de 30 ans ? Et sans qu’aucune étude d’impact économique n’ait été réalisée ?
Faut-il accepter de mettre à mort la filière optique française au profit des seules complémentaires santé et au détriment de la qualité des produits optique accessibles aux français ?
Le SynOpE attend de la Ministre de la Santé qu’elle mette ENFIN en œuvre la concertation avec les professionnels de l’Optique qu’elle ne cesse de promettre mais que nous attendons toujours, alors que pendant ce temps là, les mesures pleuvent
NDLR : MGEFI ET
OPTIQUE
La MGEFI et sa vision de l'optique avec Optistya Rechercher un professionnel de santé
Remboursement des équipements d'optique vendus en ligne
Foire aux questions sur la santé
F.A.Q. Santé
Foire aux questions sur la prévoyance
Foire aux questions pratiques
Réaliser vos simulations
Fiches pratiques santé
La MGEFI, une nouvelle vision de l’optique avec Optistya
MINE D'INFOS: Hôtel-Dieu: le point du dossier
MINE D'INFOS: Hôtel-Dieu: le point du dossier: L’accueil des patients en urgence est maintenu à l’Hôtel-Dieu Conformément aux engagements pris par la ministre des Affaires social...
MINE D'INFOS: Projet de loi "Economie sociale et solidaire" : Ex...
MINE D'INFOS: Projet de loi "Economie sociale et solidaire" : Ex...: La commission des affaires économiques du Sénat, présidée par M. Daniel Raoul (Soc – Maine-et-Loire), examinera 259 amendements de séanc...
Hôtel-Dieu: le point du dossier
L’accueil des patients en urgence est maintenu à l’Hôtel-Dieu
Conformément aux engagements pris par la ministre des Affaires sociales et de la
Santé, l’Hôtel-Dieu continue et continuera d’accueillir les patients qui s’y
présentent en urgence 24h/24, 7j/7.
La prise en charge
de ces patients est assurée par des médecins urgentistes et par une équipe
paramédicale dans un environnement technique sécurisé (plateau technique
d’imagerie et de biologie, ambulance du Service Médical d’Urgences et de
Réanimation (SMUR) disponible 24 h sur 24, lits d’hospitalisation complète en
médecine).
L’Agence Régionale
de Santé considère que cette organisation correspond aux dispositions
réglementaires caractérisant une structure d’urgence telle que définie dans le
code de la santé publique (art. R 6123-1 et R 6123-6). Elle n’envisage donc pas
de lui retirer son autorisation d’activité d’accueil des urgences.
Comme cela est
déjà le cas depuis plusieurs années, les patients nécessitant une prise en
charge lourde (accidents cardiaques, polytraumatologie,
accident vasculaire cérébral, …) font l’objet d’une régulation médicale en lien
avec le SAMU de Paris et sont directement orientés par les services de
secours vers les autres structures
d’urgences et services spécialisés de Paris.
Par ailleurs, il
faut rappeler que l’activité d’urgence ophtalmique et le service d’urgence médico-judiciaire sont
maintenus à l’Hôtel-Dieu.
Au cours des 9 premiers mois de cette année, en
dehors des patients amenés par les services de secours (environ 30 patients par
jour), le Service des urgences de l’Hôtel-Dieu a accueilli en moyenne près de
70 patients par jour dont la quasi-totalité n’a pas nécessité
d’hospitalisation.
Enfin, il est créé
un comité de suivi et d’évaluation pour assurer le suivi du dispositif,
garantir une évaluation de la sécurité et de la qualité de la prise en charge
des patients et prendre en compte le fonctionnement des urgences parisiennes.
Ce comité, présidé par le Directeur Général de l’ARS, associe l’AP-HP et
la Ville de Paris et a vocation à se réunir mensuellement.
Accueil des patients en urgence à l’Hôtel-Dieu
Questions / Réponses
Qu’est-ce qui justifie l’évolution de l’Hôtel-Dieu ?
L’évolution de l’Hôtel-Dieu est préfigurée,
puis inscrite, dans les plans stratégiques de l’Assistance Publique – Hôpitaux
de Paris depuis plusieurs années déjà (plans stratégiques 2005-2009, puis
2010-2014). Ce n’est donc pas une décision récente. Elle a été approuvée par le
Conseil de surveillance, la communauté médicale de l’AP-HP, la collégiale des
urgentistes, et ce à plusieurs reprises.
Cette évolution se justifie
par :
La vétusté des locaux,
incompatible avec la mise en œuvre d’activités techniques lourdes et avec la
qualité et la sécurité des soins requises par les activités cliniques en hospitalisation
conventionnelle.
L’élaboration d’un projet
médical cohérent d’hôpital universitaire de santé publique, fonctionnant sur un
mode entièrement ambulatoire, ouvert sur la ville, et comportant une
consultation sans rendez-vous ouverte 24 h sur 24 (et à des tarifs opposables)
et des consultations spécialisées.
La transition vers cet hôpital
universitaire de santé publique a été planifiée. Plusieurs services ont été
répartis dans d’autres hôpitaux parisiens :
Le service de nutrition à la
Pitié Salpêtrière en 2008
Le service d’hématologie à Saint
Antoine en 2009
Le service de chirurgie
digestive à Cochin en 2011
Le service de pneumologie au Val-de-Grâce,
la chirurgie thoracique et la réanimation à Cochin au début de 2013.
Quelles sont les activités présentes aujourd’hui sur le site de
l’Hôtel-Dieu ?
La médecine interne
Le service d’accueil des
urgences (SAU)
La médecine physique et de
réadaptation
L’ophtalmologie
La diabétologie
La cancérologie
L’hôpital de jour de cardiologie
et hypertension artérielle
L’immunologie infectiologie
(VIH)
La médecine nucléaire
La psychiatrie
Un centre de diagnostic, de
consultations et de prélèvements
La pharmacie : cytotoxiques,
collyres et pharmacie hospitalière, dont une activité importante de
dispensation aux patients externes
La biologie : laboratoire de
réponse rapide
L'imagerie
Les pathologies professionnelles
et le sommeil
La médecine du sport (centre
d’investigation de médecine du sport)
Espace Santé Jeunes
Unité médico-judiciaire (UMJ)
Salle CUSCO (hospitalisation de
patients gardés à vue)
PASS (permanence d’accès aux
soins de santé)
Concernant l’accueil des patients en urgence qu’en est-il ?
Le service des urgences de
l’Hôtel-Dieu accueille environ 100 patients chaque jour. 7O de ces patients
viennent à l’Hôtel-Dieu par leurs propres moyens. Ils continueront d’être pris
en charge 24 h / 24 par des médecins urgentistes et une équipe paramédicale dans
un environnement technique sécurisé (plateau technique d’imagerie et de
biologie, ambulance SMUR, lits d’hospitalisation).
Ainsi, les Parisiens disposeront
au centre de la ville d’un service d’accueil organisé pour les prendre en
charge 24 h/ 24 dans de bien meilleures conditions qu’aujourd’hui.
Ce service, qui disposera de
lits de médecine en aval au cas où la situation d’un patient en nécessiterait
l’utilisation, répond aux critères d’une structure d’urgence telle que définie
dans le Code de la santé publique (art. R 6123-1 et 6123-6). L’Agence Régionale
de Santé n’envisage donc pas de lui retirer son autorisation d’activité d’accueil
des urgences.
Comme cela est déjà le cas
depuis plusieurs années pour certaines situations urgentes (accidents
cardiaques, accident vasculaire cérébral, …) les patients nécessitant une prise
en charge lourde sont directement orientés par les services de secours sur les
autres établissements de l’Assistance publique qui disposent de services adéquats.
Le transfert des patients lourds vers les autres établissements parisiens
ne va-t-il pas engorger ces établissements ?
Ce sont environ 30 patients par
jour qui seront répartis sur les autres établissements de Paris (Cochin, La
Pitié Salpêtrière, Saint Antoine, Saint Louis, Lariboisière) en fonction des
lieux où ils seront pris en charge dans la ville. Cela représente 5 à 6
patients supplémentaires par établissement, ce qui est tout à fait supportable
par ces établissements dont les moyens ont été renforcés.
dnf - Hôtel-Dieu, le pire est l'ennemi du mauvais
Réaction de Bernard Granger
Vous vous souvenez de ce titre d’Alfred de Musset, Il
faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. Cette formule ne s’applique pas
aux urgences de l’Hôtel-Dieu, dont on a annoncé hier la fermeture tout en
disant qu’elles restaient ouvertes.
Trois projets s’affrontent pour cet hôpital, et leur synthèse
paraît improbable, malgré les aptitudes de nos autorités.
Le premier projet est rétrograde, le deuxième immobiliste
et le troisième transformiste. Ils sont aussi mauvais les uns que les autres.
Le premier est défendu par l’axe CGT-parti de gauche-verts.
Il consiste à refaire de l’Hôtel-Dieu un hôpital traditionnel, pour lutter
contre le « désert médical au centre de Paris ». La densité médicale dans Paris
est très faible, c’est bien connu. Les coûts de réhabilitation de ce vieil hôpital
construit au 19e siècle sont prohibitifs et rendent ce projet
inacceptable aux yeux de l’administration de l’AP-HP, de la Mairie de Paris, de
l’ARS et du gouvernement.
Le deuxième projet consiste à ne pas bouger de la situation
actuelle (avant mûre réflexion et au moins jusqu’aux élections municipales). C’est
le projet défendu par l’axe Mairie de Paris-gouvernement-Elysée. On apprend par
les documents de l’ARS ci-joints que la crispation autour du service d’accueil
des urgences de l’Hôtel-Dieu concerne 70 malades par jour en moyenne : de quoi
faire trembler la Capitale et la République !
Le troisième projet, celui de « l’hôpital universitaire de
santé publique » (comprenne qui pourra), défendu par l’axe direction générale
de l’AP-HP-présidence du conseil de surveillance de l’AP-HP, consiste dans un
premier temps à utiliser les locaux de l’Hôtel-Dieu pour un dispensaire ouvert
7/24, ce qui est présenté comme le fin du fin de la modernité. Le reste du
projet est une sorte de fourre-tout pour occuper les 58 000 m2 de cette vieille
bâtisse.
La CME centrale de l’AP-HP a voté plusieurs motions sur l’Hôtel-Dieu
et débattu de cette question à de nombreuses reprises. Elle a condamné les deux
premiers projets et attend pour se prononcer sur le troisième, qui ne l’emballe
guère, ni au plan médical, ni au plan financier.
Ces journées convulsionnaires (s’il y avait un neurologue à
l’Elysée, il lui faudrait user d’un puissant antiépileptique) ponctuées de déclarations
tonitruantes et de pantalonnades de plus ou moins bon goût lassent la communauté
hospitalière, à la fois celle de l’Hôtel-Dieu, qui travaille dans des
conditions matérielles et morales de plus en plus insupportables, et celle des
autres hôpitaux, qui se débat dans des difficultés dont la résolution est
occultée par le psycho-drame de l’Hôtel-Dieu.
Voici ce que m’écrivait un collègue marseillais : « « J'ai été
externe aux urgences de notre Hôtel Dieu et sa démédicalisation a pris 20 ans
et sa vente pour être transformé en hôtel (Intercontinental) a pris 10 ans de
plus.
À Paris les restructurations ont 20 ans de retard sur la
province et nous avons vécu tout cela avant vous. » Sachant que la fermeture de
l’Hôtel-Dieu de Paris est évoquée en effet depuis 20 ans, nous en concluons que
dans 10 ans nous assisterons au dernier épisode de cette lamentable histoire.
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Projet de loi "Economie sociale et solidaire" : Examen des amendements de séance
La commission des affaires économiques du Sénat, présidée par M. Daniel Raoul (Soc – Maine-et-Loire), examinera 259 amendements de séance déposés sur ce texte ce mercredi 6 novembre au matin.
Le projet de loi relatif à l’économie sociale et solidaire reconnaît et conforte un autre modèle de développement économique et social, complémentaire des modèles classiques, en soutenant les entreprises du secteur (coopératives, mutuelles, associations, fondations, entreprises sociales) qui redonnent du pouvoir aux salariés et parties prenantes tout en favorisant l’emploi local, le soutien aux personnes en situation de fragilité, la lutte contre les inégalités et le renforcement de la cohésion territoriale.
Lors d’une première réunion, le 16 octobre dernier, le texte du projet de loi a été adopté par la commission avec des modifications importantes. À l’initiative de son rapporteur, M. Marc Daunis (Soc – Alpes maritimes) et des autres sénateurs, la commission a notamment :
– précisé et renforcé l’échelle des rémunérations qui conditionne l’accès à l’agrément « entreprise solidaire d’utilité sociale » ;
– introduit une définition de l’innovation sociale qui facilite sa promotion ;
– prévu l’information des salariés, tout au long de la vie de l’entreprise, sur les possibilités de reprise ;
– inclus dans la définition générale des coopératives une référence aux grands principes coopératifs reconnus au niveau international ;
– conforté l’aspect pédagogique de la procédure de révision des sociétés coopératives, tout en l’étendant et en l’adaptant à diverses familles du secteur ;
– autorisé les coopératives artisanales à mettre en œuvre des politiques commerciales communes.
L’examen du projet de loi en séance, sur la base du texte adopté par la commission au cours de sa première réunion, aura lieu les 6 et 7 novembre prochains.
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MFP Services s'investit dans une démarche de Santé publique
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avec MFP Services s’investit depuis plusieurs années dans le programme « HOrizon
Prévention ». Ce programme vise à favoriser une démarche de Santé publique
afin de vous aider à devenir acteur de votre santé et de vous proposer des
services adaptés.
A cet effet, le 24 octobre
dernier, moncomptesantepratique.fr s’est enrichi d’une nouvelle rubrique
« Ma santé » qui vous permet de bénéficier de services d’informations
santé innovants dans l’optique d’entretenir votre « capital santé ».
Cette rubrique se compose de 2
grands onglets : « Mes rendez-vous santé », « Mes
vaccins » et est complétée par des « Fiches santé ». Elle est
accessible par toutes les personnes disposant d’un compte Santé Pratique.
Les personnes qui attendent un
enfant ou qui sont atteintes d’une maladie chronique bénéficient également d’informations
dédiées.
« Mes rendez-vous santé »
Ce service vous permet de
renseigner puis de suivre vos rendez-vous médicaux ainsi que ceux de votre
famille. Au début de chaque mois, vous recevrez ainsi un e-mail synthétisant
l’ensemble de vos rendez-vous et ceux de vos proches. Une version imprimable est
également disponible.
Pour faciliter la saisie de vos
rendez-vous, une interface « Mes contacts santé » vous permet au
préalable de constituer l’annuaire de vos praticiens et vos établissements de
soins référents.
« Mes vaccins »
Cette rubrique vous permet de gérer
le calendrier de vaccination de toute la famille en quelques clics ! Une
fois l’historique renseigné, le service calcule les rappels de vaccination et
vous informe, par l’intermédiaire d’un e-mail mensuel, de l’ensemble des
vaccinations à prévoir pour vous et vos proches. Votre « e-carnet
vaccinal » est également imprimable.
« Fiches santé »
En complément de la rubrique
« Ma santé », des fiches santé sont accessibles dans la rubrique
« Le système de soins ». Elles vous permettent d’accéder à une
information fiable sur la grossesse, les maladies chroniques, le bien-être et la
vaccination. A terme, cette rubrique sera enrichie de nouvelles fiches pour
vous accompagner à chaque étape de la vie !
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