Nora ANSELL-SALLES

jeudi 10 janvier 2013

MINE D'INFOS: Groupe Istya : nouveaux réseaux de soins mutualist...

MINE D'INFOS: Groupe Istya : nouveaux réseaux de soins mutualist...: Depuis le 1 er janvier 2013,   les adhérents de plusieurs mutuelles du groupe Istya* ont la possibilité de bénéficier des avantages pro...

Groupe Istya : nouveaux réseaux de soins mutualistes optique/audioprothèse


Depuis le 1er janvier 2013,  les adhérents de plusieurs mutuelles du groupe Istya* ont la possibilité de bénéficier des avantages proposés par le nouveau réseau « Audistya », qui rassemble 2358 centres d’audioprothèse sur l’ensemble du territoire.

 

En se rendant chez un audioprothésiste partenaire,  ils ont la garantie de produits de qualité à des tarifs négociés, de 10 à 20  % inférieurs au prix du marché, et peuvent bénéficier de meilleurs remboursements par leur mutuelle, jusqu’à +100 euros.

 

En parallèle, le réseau d’opticiens partenaires MGEN s’ouvre aux mutuelles du groupe Istya et devient « Optistya ».

 

Avec Audistya et Optistya, les mutuelles du groupe Istya apportent de réelles solutions à leurs adhérents pour l’acquisition des équipements de santé coûteux que sont les prothèses auditives et les lunettes.

 

*Le groupe Istya, 1er groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire, n°1 en santé, est une union de 6 mutuelles, liées entre elles par un mécanisme de solidarité financière (groupe MGEN, MNT, MGET, MGEFI, MCDef, MAEE). Il protège 5,5 millions de personnes pour un chiffre d’affaires de 3,1 milliards d’euros

 

En savoir plus

 

Retrouvez le dossier de presse complet en pièce jointe ou cliquez ici pour le télécharger sur le site.

Retrouvez les communiqués de presse sur mgen.fr

Suivez-les sur Twitter : @groupe_mgen

Contact presse Istya : Benoît Coquille

COQUILLE Benoît <COQUILLE@mgen.fr  / 01 40 47 23 92

 

NDLR : MGEFI ET ISTYA






LA FORMULE CLASSIQUE Vous souhaitez une couverture classique en relais de l’Assurance maladie intégrant des prestations optimisées ? Multi Santé v...



LA FORMULE ACTIVE Vous estimez que votre santé dépend en partie de votre comportement et vous souhaitez bénéficier d’une couverture santé de quali...


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24 oct. 2012 – Audistya sera ouvert le 1er janvier 2013, sans numerus clausus, à tous ... adhérents de la MGEFI et de la MCF1 bénéficieront également du ...

 

Contact presse MGEFI : Nora Ansell-Salles

nansellsalles@mgefi.fr / 01 44 08 44 35

MINE D'INFOS: Claude Rambaud, présidente du CISS invitée du Café...

MINE D'INFOS: Claude Rambaud, présidente du CISS invitée du Café...: Claude Rambaud, nouvelle présidente du Collectif Interassociatif sur la Santé (le CISS) est intervenu au café nile hier matin. Claude ...

Claude Rambaud, présidente du CISS invitée du Café nile le 9 janvier dernier


Claude Rambaud, nouvelle présidente du Collectif Interassociatif sur la Santé (le CISS) est intervenu au café nile hier matin.

Claude Rambaud à notamment plaidé pour une plus grande implication des patients dans les décisions qui les concerne 

En savoir plus : www.nile-consulting.eu <http://www.nile-consulting.eu/

mercredi 9 janvier 2013

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Le chiffre :

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Le chiffre :: MINE D'INFOS: Le chiffre : : 32 000 C’est -après trois mois d’existence- le seul de la barre de visites qui vient d’être franchie. Un...

Le chiffre :


55%

C’est le pourcentage de Français qui jettent des produits alimentaires parce que la date de péremption est dépassée, ce qui pose la question de la gestion du réfrigérateur.
 
Source : Les Français et le gaspillage alimentaire, TNS Sofres 2012

MINE D'INFOS: Arrêt cardiaque au bureau...

MINE D'INFOS: Arrêt cardiaque au bureau...: C'était en rentrant de déjeuner fin de semaine dernière, il s'est plaint à sa collaboratrice d'une douleur dans la poitrine et de vertig...

Arrêt cardiaque au bureau...


C'était en rentrant de déjeuner fin de semaine dernière, il s'est plaint à sa collaboratrice d'une douleur dans la poitrine et de vertiges. Il s'est installé à son bureau et la douleur a continué.

 

20 minutes plus tard, sa collaboratrice a entendu des bruits comme s'il s'étouffait, elle est allée le voir, il était tout blanc et avait perdu connaissance. Elle a alors appelé Jean-marc de la comptabilité et Ambre du service "colis",  ils sont tous les deux sauveteurs- secouristes du travail.

 

A l'arrivée de Jean-marc et d'Ambre, il ne respirait plus et son cœur était arrêté. Ils ont entrepris un massage cardiaque immédiatement et ont prévenu les secours. Le SAMU est arrivé rapidement et il a pu être sauvé!


Imagine le drame! En plus d'être marié et père de deux enfants en bas âge, il est un des piliers de la société, nous aurions tous été dans la peine et la difficulté!

 

Le SAMU a félicité Jean-marc et Ambre d'avoir effectué les gestes qui lui ont sauvé la vie car apparemment dans beaucoup de situations de détresse, chaque minute compte en attendant les secours! Ils ont mentionné également que notre société pouvait s'équiper d'un défibrillateur cardiaque automatisé et que tout le monde peut s'en servir !


Ce "IL" que vous trouvez depuis le début du texte pourrait être votre collègue, votre frère, votre client, votre fils...

Apprendre à sauver une vie dans le cadre de l'entreprise est possible via la formation "sauveteur-secouriste du travail (S.S.T)" mais vous pouvez aussi aller plus loin en équipant votre entreprise d'un défibrillateur automatisé externe.


 "Plus haut formation - médicale "  est une société fondée par 3 professionnels de l'urgence qui se sont connus dans l'humanitaire. Au delà de l'aspect commercial, ils se sont toujours impliqués dans l'apprentissage du grand public "aux gestes qui sauvent la vie".

Impliquée, "plus haut formation - médicale" sensibilise les entreprises sur les situations de détresse et l'urgence cardiaque.

Engagez-vous
avec n o u s, formez-vous!


- Formation sauveteur-secouriste du travail (S.S.T) : durée 2 jours
- Équipement d'un défibrillateur cardiaque automatisé + formation à son utilisation et au massage cardiaque: jusque 40 personnes formées en 1 seule journée !

°L'ensemble de nos formateurs sont diplômés d'état. Ce sont tous des professionnels (médecins, infirmiers, ambulanciers, sapeurs-pompiers, policiers) en exercice dans des services d'urgence.
°Article R. 6311-15 du code de la santé publique : "Toute personne, même non médecin, est habilitée à utiliser un défibrillateur automatisé externe".
°Cette formation revêt un caractère obligatoire pour un certain nombre d'entreprises, cependant s'équiper et se former est un acte volontaire, humaniste, un message fort envers les autres! 
°Formez-vous gratuitement! Les organismes collecteurs prennent régulièrement en charge la formation S.S.T.

Merci d'avoir pris le temps de vous informer sur quoi repose le prix d'une vie
.

A votre écoute : Caroline 06.52.17.99.64

14 projets de recherche sont lancés pour permettre de mieux comprendre les maladies mitochondriales et développer des traitements curatifs.


Minuscules structures présentes en grand nombre dans nos cellules, les mitochondries ont deux caractéristiques essentielles : elles jouent un rôle central dans le métabolisme énergétique cellulaire et possèdent leur propre génome. Elles ont également d’autres rôles et sont notamment des acteurs clés de la mort et de la prolifération de certaines cellules.

 

Leur dysfonctionnement, qu’il soit héréditaire ou acquis, est à l’origine de nombreuses pathologies humaines, certaines très sévères, rares ou communes, touchant à la fois les enfants et les adultes et affectant de nombreux tissus et organes : muscles, cœur, œil, cerveau…

 

Une meilleure compréhension des processus d’apparition et d’évolution de ces maladies présente des enjeux capitaux, qui mobilisent quelques dizaines d'équipes en France, et de nombreuses autres à l'étranger.

Via son programme « Urgences », la Fondation pour la Recherche Médicale intervient chaque année dans des domaines de la recherche jugés trop peu explorés ou trop peu soutenus au regard de l’importance des enjeux. C’est dans ce cadre qu’elle a lancé, en 2012, un appel d’offres pour soutenir des projets sur tous les aspects moléculaires et cellulaires des pathologies mitochondriales. Grâce aux 3 162 000 euros engagés, 14 projets de recherche innovants démarrent.

 

Ces projets – ainsi que l’état des lieux de la recherche dans ce domaine – vous seront présentés à l’occasion d’un point presse :

Le mardi 29 janvier 2013, à 10h30

à la Fondation pour la Recherche Médicale

54 rue de Varenne, 75007 Paris

Métro : Rue du Bac, ligne 12 ou Sèvres-Babylone, lignes 10/12

Au programme :

Enjeux et avancées de la recherche sur le dysfonctionnement des mitochondries : état des lieux et présentation du programme « Physiopathologie Mitochondriale » de la FRM

 

Agnès Rötig est directrice de recherche à l’Inserm et responsable de l’équipe « Génétique des maladies mitochondriales », dans l’unité Inserm/Université U 781 « Génétique et épigénétique des maladies métaboliques, neurosensorielles et du développement », à l’hôpital Necker-Enfants malades à Paris.

Elle est experte dans le domaine des maladies mitochondriales pour la FRM et a présidé le Comité de pilotage de l’appel d’offres de la FRM sur ce thème.

 

 

·         Rencontre avec 2 équipes scientifiques bénéficiaires du programme de la FRM :

 

·         Michel Ovize est cardiologue, Professeur des universités-Praticien hospitalier et dirige l’équipe « Cardioprotection » dans l’unité « CarMeN : Cardiovasculaire, Métabolisme, Diabétologie & Nutrition » (Inserm U1060/Université de Lyon/INRA 1235), à Lyon.

Ses travaux portent sur le rôle des mitochondries dans les mécanismes impliqués dans la destruction du cœur, au cours d’un infarctus du myocarde.

 

·         Véronique Paquis est médecin, spécialisée en génétique médicale, PU-PH (Professeur des universités-Praticien hospitalier) et dirige l’équipe « Maladies mitochondriales et instabilité mtDNA » à l’Institut de recherche sur le cancer et le vieillissement, à Nice.

Elle cherche à identifier les gènes responsables de maladies mitochondriales avec instabilité du génome mitochondrial, des pathologies aux formes cliniques très variables, allant des formes létales aux formes à révélation tardive. L’objectif est de faciliter le diagnostic de ces maladies, de proposer un conseil génétique fiable et à plus long terme de développer des traitements.

 

 

A propos de la Fondation pour la Recherche Médicale

Principal partenaire caritatif de la recherche médicale publique française, la Fondation pour la Recherche Médicale est la seule organisation à but non lucratif engagée dans tous les secteurs de la recherche médicale : maladies neurologiques, maladies infectieuses, maladies cardiovasculaires, cancers… Elle a pour ambition de développer une recherche de pointe au service de la santé de tous. Chaque année, plus de 750 équipes de recherche bénéficient du soutien de la Fondation. La FRM est reconnue d’utilité publique et membre du Comité de la Charte du don en confiance. Elle agit en toute indépendance grâce au soutien régulier de plus de 400 000 donateurs.

 

Pour plus d’informations : www.frm.org

Formation mutualiste

Liste des programmation générale des formations du 1er semestre 2013   programmation générale des formations du 1er semestre en cliquant ici

Détail de chaque formation en suivant son lien :


Janvier





Février






Mars



Avril




Mai





Juin



  


Renseignement et inscription :

Service fédéral de formation
fnmf.formation@mutualite.fr 

MINE D'INFOS: A propos de la proposition de loi relative à la ré...

MINE D'INFOS: A propos de la proposition de loi relative à la ré...: L’Académie nationale de médecine a pris connaissance de la proposition de loi N° 531 relative à la régulation de l’installation des ante...

A propos de la proposition de loi relative à la régulation de l’installation des antennes relais de téléphonie mobile


L’Académie nationale de médecine a pris connaissance de la proposition de loi N° 531 relative à la régulation de l’installation des antennes relais de téléphonie mobile déposée à l'Assemblée nationale, le 1er octobre dernier, par Jean-David Ciot, député d'Aix-en-Provence.1

Tout en adhérant à la demande de nos concitoyens en faveur de davantage de débat public et de transparence dans la décision en santé publique élargie aux questions environnementales, l'Académie regrette une initiative fondée sur un flou scientifique et réglementaire qui, ne pouvant se prévaloir en dernier recours que du principe de précaution, est de nature à renforcer artificiellement chez nos concitoyens un sentiment de peur et de défiance injustifié, mais préjudiciable en termes de santé publique.

Dans la perspective d'un débat parlementaire sur le sujet, l'Académie souhaite que les arguments scientifiques ne soient pas encore une fois occultés ou déformés. C'est pourquoi elle tient à rappeler ses précédentes mises au point 2 et à rectifier, références à l'appui, les erreurs et imprécisions contenues dans cette proposition de loi.


1. Le classement en « possiblement cancérigène » (2B) par le Centre International de Recherche sur le

Cancer (CIRC) ne concerne pas les antennes relais mais les portables, dont les niveaux d’émission sont

très différents. En effet, les antennes de téléphonie mobile entraînent une exposition aux champs

électromagnétiques 100 à 100.000 fois plus faible que les téléphones portables : être exposé pendant 24

heures à une antenne à 1 volt par mètre donne la même exposition de la tête que de téléphoner avec un

portable pendant 30 secondes.

On ne connaît aucun mécanisme par lequel les champs électromagnétiques dans cette gamme d’énergie et de

fréquence pourraient avoir un effet négatif sur la santé. Le rapport scientifique de l’Agence Française de

Sécurité Sanitaire Environnementale et au Travail (Afsset) sur les radiofréquences, d’octobre 20093, a

montré que les hypothèses concernant les mécanismes biologiques qui auraient pu être à l’origine d’un effet

sanitaire des radiofréquences n’ont pas été confirmées :

! les champs électromagnétiques utilisés en téléphonie mobile ne génèrent pas de radicaux libres de

l’oxygène et ne potentialisent pas le stress oxydant (p 152) ;

! ils ne sont ni génotoxiques, ni co-génotoxiques, ni mutagènes (p 165) ;

! il ne semble pas exister d’effet inducteur non thermique des radiofréquences sur l’apoptose

cellulaire, en particulier pour les cellules d’origine cérébrale (p 170) ;

! ils n’ont pas d’effet cancérogène ou co-cancérogène (p 174) ;

! ils n’ont pas d’effet délétère sur les cellules du système immunitaire (p 177) ;

! les travaux conduits depuis 2005 convergent vers une absence d’effet sur la barrière hématoencéphalique

pour des niveaux d’exposition (DAS) allant jusqu’à 6 W/kg (p 183) ;

! ils ne modifient pas la sécrétion de mélatonine (p 215) ;

! ils ne provoquent pas d’augmentation d’incidence ou l’aggravation de cancers expérimentaux dans

les conditions testées (p 401) ;

! à ce jour, aucun mécanisme d’interaction onde-cellule n’a été identifié (p 25) ;

! aucune preuve n'existe à ce jour que l’utilisation régulière de téléphone mobile augmente le

développement de cellules cancéreuses ou pré-cancéreuses et n'augmente ainsi, du fait de ce

mécanisme de « promotion », le risque de tumeur intracrânienne (p 249)

! les antennes-relais n’émettent pas de basses fréquences (p 96) ;

Ce rapport conclut : « Au vu de l’analyse détaillée et critique des travaux effectuée par le groupe de travail,

et compte tenu par ailleurs de l’état antérieur des connaissances, aucune preuve convaincante d’un effet

biologique particulier des radiofréquences n’est apportée pour des niveaux d’exposition non thermiques,

dans les conditions expérimentales testées. « (p 400). Ces conclusions rejoignent l’avis unanime d’autres

expertises collectives (OMS4, Scenihr5, rapport Zmirou6,, OPECST7 ou ICNIRP8) qui confirment l’absence

de risque des antennes-relais.

Comme le Health Council des Pays Bas9, qui lui dénie toute valeur scientifique, le rapport Affset 2009 récuse

les conclusions du rapport Bioinitiative 2007 : « Le rapport BioInitiative doit donc être lu avec prudence : il

revêt des conflits d’intérêts dans plusieurs chapitres10, ne correspond pas à une expertise collective, est de

qualité inégale selon les chapitres et est écrit sur un registre militant » (page 324).

2. L’électrohypersensibilité. A ce jour, aucun système sensoriel humain permettant de percevoir les champs

électromagnétiques utilisés par la téléphonie mobile n’a été identifié. Des dizaines d'études ont été

effectuées ; elles ont montré à la quasi-unanimité que les sujets se disant électrohypersensibles, bien que

manifestant des troubles variés en présence de dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques, sont

incapables de reconnaître si ces dispositifs sont actifs ou non. Les études suggèrent un effet nocebo (inverse

de l’effet placebo : troubles relatés résultant d’un mécanisme psychologique) et des facteurs neuropsychiques

individuels11. L’angoisse et des perceptions somatiques très variées en présence d’émetteurs de

champs électromagnétiques peuvent justifier une prise en charge adaptée. L’Académie déplore d'autant plus

que ces troubles, pouvant entraîner de graves handicaps sociaux, soient utilisés à des fins contestables au

détriment des intéressés.

3. 0,6 V/m ; La demande d’abaisser les valeurs limites à ce niveau n’a aucune justification

scientifique12. Ce dogme est fondé sur la recherche d’une protection (avec un facteur de sécurité de 500)

contre un effet qui en réalité n’existe pas13. De plus, paradoxalement, dans certains cas, au contraire, en

multipliant les antennes-relais (ce qui réduit leur zone de couverture), la puissance d'émission du portable

augmente chaque fois que l’on passe d’une zone de couverture à une autre. L’exposition au téléphone

portable étant 100 à 100.000 fois plus élevée que celle aux antennes, on risque donc d’augmenter, sans

justification, l’exposition des quelques 90% des français qui utilisent un portable, ce que précise clairement

le rapport Afsset 2009 : « le groupe de travail recommande de peser avec soin les conséquences d’une telle

réduction, notamment : 1) en terme de multiplication du nombre des antennes ; 2) et en terme

d’augmentation possible de l’exposition de la tête aux radiofréquences émises par les téléphones mobiles14.

L’Académie nationale de médecine met en garde contre une instrumentalisation systématique des

inquiétudes de l'opinion par la réduction de la complexité de la science et de la technologie à des

amalgames associant des données erronées ou imprécises. Une telle instrumentalisation aboutit à une

information biaisée par des a priori sans fondement scientifique et à invoquer le principe de précaution

de manière abusive et trompeuse.

Références

[1] http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/propositions/pion0531.pdf.

[2] Académie nationale de Médecine. Les risques des téléphones portables :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1412

Académie nationale de Médecine. Les risques des antennes de téléphonie mobile :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1542

Académie nationale de Médecine, Académie des Sciences, Académie des Technologies. Réduire l’exposition aux

ondes des antennes-relais n’est pas justifié scientifiquement :

http://www.academie-medecine.fr/detailPublication.cfm?idRub=27&idLigne=1891

[3 ] http://www.afsset.fr/upload/bibliotheque/964737982279214719846901993881/Rapport_RF_20_151009_l.pdf

[4] Organisation Mondiale de la Santé. http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs193/fr/

[5] Commission européenne. Scientific Committee on Emerging and Newly Identified Health Risks :

Health Effects of Exposure to EMF. 19 janvier 2009.

[6] http://ebookbrowse.com/rapport-zmirou-2001-pdf-d73347810

[7] http://www.senat.fr/rap/r09-084-1/r09-084-1.html

[8] http://www.icnirp.de/documents/RFReview.pdf

[9] « le Comité conclut que le rapport BioInitiative n’est pas un reflet objectif et équilibré des connaissances

scientifiques disponibles » . The Minister of Housing, Spatial Planning and the Environment. Publication

2008/17E du 2/9/2008.

[10] Site du principal auteur de Bioinitiative 2007 : http://www.silcom.com/~sage/emf/cindysage.html

[11] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 308.

[12] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 340.

[13] La demande d’abaisser le seuil d’émission à 0,6 V/m a pour origine une proposition du Dr G. Oberfeld de

Salzbourg, fondée sur une publication de 1996* qui faisait état d’altérations de l’électroencéphalogramme de rats

soumis à un champ électromagnétique de 500 mW/m2. Pour se prémunir contre un tel effet il a préconisé de

limiter l’émission des antennes à une puissance 500 fois plus faible, aboutissant à la valeur de 0,6 V/m. En 1996,

ce seuil avait donc une réelle base scientifique. Mais en 1998** puis en 2000***, les mêmes auteurs ont montré

que l’effet qu’ils avaient décrit en 1996 n’existait pas en réalité, même pour des puissances allant jusqu’à 50 000

mW/m2.

* Mann K., Roschke J. (1996). Effects of pulsed high-frequency electromagnetic fields on human sleep.

Neuropsychobiology ; 33(1):41-7

** Mann K., Roschke J., Connemann B. et al. (1998). No effects of pulsed high-frequency electromagnetic fields

on heart rate variability during human sleep. Neuropsychobiology ; 38(4):251-6

*** Wagner P., Roschke J., Mann K. et al. (2000). Human sleep EEG under the influence of pulsed radio

frequency electromagnetic fields. Results from polysomnographies using submaximal high power flux densities.

Neuropsychobiology ; 42(4):207-12.

[14] Rapport Afsset 2009 cf. [3], page 406.