Nora ANSELL-SALLES

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mardi 10 janvier 2017

HANDICAP :Coup de projecteur sur une démarche innovante


L'application Diversity'Scan permet aux entreprises de sensibiliser leurs collaborateurs aux sujets liés à la diversité et au handicap de manière impactante. Dassault Systèmes, Société Générale, Vinci Energies et Allianz proposent actuellement à leurs salariés cette expérience innovante.

Concrètement, le dispositif propose un lot d'affiches et une application mobile. Tels les tableaux animés d'Harry Potter, Diversity'Scan donne vie aux affiches diffusées dans les entreprises grâce aux technologies de réalité augmentée. Le fil rouge : deux collègues, projetés dans un cadre « Caméra Café » que l'on suit sur une dizaine d'épisodes, drôles, décalés et parfois émouvants.

Diversity'Scan est soutenu par la BPI pour son caractère innovant.

Lire le communiqué de presse sur Internet

Contact :
Mlle Gaël Leray - gael.leray@furetcompany .com - 07 61 05 19 75

Pour en savoir plus
- Sur le web : http://www.diversityscan.fr/
- Dans les stores : http://bit.ly/diversity-scan




NDLR : MGEFI et handicap





    mercredi 13 avril 2016

    Compte-rendu journée Adom du 25 mars 2016

    RETOUR SUR
    Journée annuelle ADOM du 25 mars

    "La différenciation des mutuelles et des entreprises à but non lucratif dans un marché concurrentiel"

    "L'évolution du statut de directeur mutualiste face à Solvabilité II et le cadre du dirigeant opérationnel"

    En partenariat avec la FNMF

    Vendredi 25 mars 2016 de 9h30 à 16h30
    Palais des Congrès d’Issy les Moulineaux

    Avec la participation d'Emmanuel ROUX - directeur général de la FNMF, de Jean-Paul LACAM - délégué général du CTIP, d'Arnaud CHNEIWEISS - secrétaire général du GEMA, de Mikaël MASLE, délégué général de la ROAM.

    Information : contact@asso-adom.fr

     

    jeudi 30 juillet 2015

    Généralisation des complémentaires santé pour les salariés : les entreprises se préparent

    Généralisation des complémentaires santé pour les salariés : les entreprises se préparent



    D’après une étude Audirep réalisée à la demande de l’Association française de l’assurance (AFA) et de la FNMF, la grande majorité des entreprises proposent déjà une couverture santé à leurs salariés, dans la perspective de la généralisation de la complémentaire santé en entreprise au 1er janvier 2016. Près d’une entreprise sur deux souhaite choisir librement la couverture santé proposée à ses salariés.
    Alors que la complémentaire santé devient obligatoire pour tous les salariés au 1er janvier 2016, 71% des TPE et 85% des PME/ETI/GE déclarent déjà proposer une couverture santé à leurs collaborateurs (contre 77% pour les entreprises de plus de 10 salariés en 2010).
    Le taux de couverture santé croît en fonction de la taille de l’entreprise : il est de 67% pour les entreprises de 1 à 2 salariés, de 86% pour les entreprises de 6 à 9 salariés et de 99% pour les entreprises de plus de 500 salariés.
    Les entreprises déjà équipées ont une bonne connaissance du futur dispositif : 80% des TPE et 87% des PME/ETI/GE en ont déjà entendu parler.
    Les entreprises qui n’ont pas encore proposé de couverture santé à leurs collaborateurs, soit 29% des TPE et 15% des PME/ETI/GE, se déclarent également bien informées (respectivement 84% et 96%).

    Liberté de choix

    Parmi les entreprises interrogées, 47% des TPE et des PME/ETI/GE déclarent qu’elles souhaitent choisir librement l'organisme complémentaire et la couverture santé qu’elles proposeront afin notamment de conserver leur autonomie et de tenir compte de l’avis de leurs salariés. 41% des TPE et 45% des PME/ETI/GE déclarent qu’elles suivront quant à elles la recommandation de l’organisme qui sera choisi par leur branche professionnelle.

    Méthodologie de l’étude

    L’étude Audirep a été menée au téléphone, du 10 mars au 20 avril 2015, auprès d’un échantillon total de 1.131 entreprises françaises (405 TPE de 1 à 9 salariés et 726 PME/ETI/GE de 10 salariés et plus) représentatif de la population française.

    Contacts presse

    FFSA
    Benoît Danton
    01 42 47 93 80
    b.danton@ffsa.fr

    FNMF
    Constance Baudry
    01 40 43 30 21
    constance.baudry@mutualite.fr

    GEMA
    Nathalie Irisson
    01 53 04 16 21
    nathalie.irisson@gema.fr
    Contacts presse
    FNMF
    Constance Baudry
    T: 01 40 43 30 21
    P: 06 85 29 82 22
    constance.baudry@mutualite.fr

    Accéder au site www.mutualite.fr

    mercredi 22 juillet 2015

    Nouvelle étude : Quelle place pour le Travail à Temps Partagé en France ?

    Nouvelle étude : Quelle place pour le Travail à Temps Partagé en France ?

    A l'heure où la société et les modes de vie évoluent ; où la flexibilité tend à apparaître comme une réponse possible à la crise économique et une solution au chômage, le travail à temps partagé constitue une alternative de plus en plus prisée par les entreprises et les travailleurs.

    A ce titre, la première étude nationale sur le Travail à Temps Partagé vient juste de sortir.

    Résultats de l'étude en format pdf sur simple demande auprès de :


    David Bibard

    - contact@le-p ortail-du-temps-partage.fr - 06 70 29 53 12.
    Le Portail du temps partagé
    Site : http://www.le-portail-du-temps-partage.fr
    Lire le communiqué de presse sur Internet


    lundi 17 novembre 2014

    ASTREES lance son nouveau site : http://www.astrees.org/

    Mise en ligne du nouveau site d'ASTREES  http://www.astrees.org/
    ASTREES propose aux diverses parties prenantes (entreprises, partenaires sociaux, experts et cabinets R.H., organismes de protection sociale), une réflexion collaborative et des activités pour anticiper et innover sur les thèmes du travail et de l'emploi en France et en Europe.
    Vous pouvez visiter le site, le commenter, le relayer... Il contient déjà beaucoup de documents et de productions d'ASTREES, et ce n'est qu'un début !
    Si vous êtes intéressés, ASTREES anime aussi un compte Twitter @astreesLab, une page Facebook ASTREES  et une page Linkedin.
    En savoir plus :
    Claude Emmanuel TRIOMPHE, Anne-Marie BJORNSON-LANGEN
    10, rue Saint Nicolas 75012 - PARIS Tél. +33 (0) 1 43 46 28 28  www.astrees.org

    vendredi 10 octobre 2014

    Enquête Deloitte sur l’assurance santé collective 2014 :

    62 % des entreprises vont revoir leur couverture santé compte tenu des évolutions réglementaires
     
    A l’heure où les entreprises sont en phase de renégociation annuelle des tarifs d’assurance santé, Deloitte publie pour la première fois les conclusions d’une étude sur les couvertures frais de santé en entreprises qui dresse un état des lieux des dispositifs en vigueur liés à la protection des salariés.

     

    L’enquête Deloitte s’appuie sur un questionnaire administré auprès d’une soixantaine de grandes entreprises du SBF 120, représentant près de 400 000 salariés couverts et environ 1 million d’ayants droits bénéficiaires.

    • 95 % des entreprises de plus de 250 salariés disposent d’une couverture santé pour leurs salariés.
    • Le coût moyen d’une couverture santé obligatoire s’élève à 1254 € par an, et le coût moyen supplémentaire pour une couverture optionnelle est de 361 € par an.
    • Près d’1 entreprise du panel sur 2 propose une couverture optionnelle à la charge du salarié.
    • Sur 2 ans, l’augmentation des tarifs ressort à : 2,5% en 2013 et 2,3% en 2014 avec des variations d’augmentation par entreprise allant de 0% à 15%.
    • Les frais d’intermédiation sont en moyenne de 11,6% et 6 sociétés sur 10 ne savent pas ce qu’ils représentent.
    • Les évolutions réglementaires récentes (ANI et contrats responsables) vont amener les entreprises à revoir leur couverture frais de santé. C’est le cas pour 62 % des entreprises.

    Philippe Burger, Associé responsable Capital Humain chez Deloitte et Franck Cheron, Directeur Capital Humain, se tiennent à votre disposition pour commenter les enseignements de cette enquête.

     

    Etude disponible sur demande auprès du service presse

     

    Deloitte fait référence à un ou plusieurs cabinets membres de Deloitte Touche Tohmatsu Limited, société de droit anglais (« private company limited by guarantee »), et à son réseau de cabinets membres constitués en entités indépendantes et juridiquement distinctes. Pour en savoir plus sur la structure légale de Deloitte Touche Tohmatsu Limited et de ses cabinets membres,consulter deloitte.com/about. En France, Deloitte SAS est le cabinet membre de Deloitte Touche Tohmatsu Limited, et les services professionnels sont rendus par ses filiales et ses affiliés.

     

    jeudi 27 mars 2014

    Floriège d'infos e-santé de la semaine


    La majorité des entreprises encore faiblement sensibilisées à la DSN. La mobilisation devient urgente


    Début 2016, soit dans 21 mois, la généralisation de la déclaration sociale nominative (DSN), qui permet la mensualisation des déclarations, sera effective, a rappelé Élisabeth Humbert-Bottin, DG du GIP-MDS, qui s'alarme d'un décalage dans la montée en charge du dispositif par rapport aux objectifs initiaux. Il faut dire que 72 % des entreprises sont faiblement ou moyennement sensibilisées à la DSN, selon une enquête réalisée par le cabinet de conseil CSC en partenariat avec l'observatoire des SIRH.

    Et pourtant, elles perçoivent la DSN comme un projet complexe qui va avoir des impacts sur leur structure. Le déploiement de la déclaration a démarré en avril 2013 sur la base du volontariat. Alors que 100 000 entreprises doivent être entrées dans le dispositif à la fin de l'année, le GIP-MDS demande notamment aux éditeurs de s'engager davantage et de proposer le plus tôt possible à leurs clients un planning de mise en œuvre de la déclaration. L'enquête révèle que très peu d'entreprises sont pour le moment déjà engagées dans la DSN mais 47 % d'entre elles envisagent cependant de lancer le projet en 2014. Côté calendrier, la phase 2 de la DSN démarrera en octobre 2014 pour intégrer la DUCS Urssaf. Et, en juillet 2015 au plus tard, comme prévu par la LFSS pour 2014, certaines entreprises redevables d'un certain montant de cotisations auront l'obligation d'entrer dans le dispositif de manière anticipée… sous peine de sanctions. Et, au 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront avoir changé de système.
    > La DSN reste floue pour près de trois quarts des entreprises - NetPME 19 MARS 2014

     

    Banques, assurances, institutions : les Français perdent une journée complète chaque année pour joindre un téléconseiller


    Face à la forte propension des consommateurs à tenter de résoudre leurs problèmes en décrochant leur combiné, les entreprises cultivent leur injoignabilité. Entre la recherche du numéro de contact, souvent très complexe à trouver, voire introuvable sur le site web de l'enseigne ou de l'administration, et le temps d'attente, après avoir navigué dans les serveurs vocaux interactifs et les files d'attente des centres d'appels, les Français perdent en moyenne 7 minutes par jour pour joindre un téléconseiller qui pourra répondre à leur question, selon une étude le magazine En contact. Révélée par Europe 1.

    Cette étude dresse le palmarès des centres d'appels les plus lents à répondre aux sollicitations de leurs clients. Sur une année complète, le temps moyen cumulé à réaliser ces tâches dépasse les 28 heures. Le coût économique de ce phénomène en France représenterait plus de 5 milliards d'euros. Et les mauvais élèves des call-center sont : Ameli, avec un temps moyen d'accessibilité (qui comprend le temps passé à chercher le numéro de téléphone et le temps consacré à joindre l'interlocuteur recherché) de 23 minutes ; l'Urssaf n'est joignable qu'au bout de 22 minutes (un appel sur trois simplement aboutit à une prise de contact avec l'interlocuteur recherché) ; le Régime social des indépendants, une fois sur cinq, après 18 minutes. Sur la totalité de l'échantillon, les durées moyennes d'accessibilité sont de 16 minutes. Le problème : pour les services clients, mettre des téléconseillers à disposition des clients coûte cher. Les résultats de cette étude de En contact sont publiés en même temps que la présentation d'une application pour smartphones "révolutionnaire" censée venir en aide aux clients des centres d'appels. Au micro d'Europe 1, le rédacteur en chef du magazine, Manuel Jacquinet, expliquait mercredi 19 mars que l'appli "Vite ma hotline", disponible depuis mardi, permet de "joindre 500 services clients français" , notamment en retrouvant directement les numéros de ligne directe des entreprises (1200 numéros), assortis des meilleures plages horaires pour réussir à joindre quelqu'un rapidement. Un service premium est en outre proposé pour être rappelé directement dès qu'un téléconseiller est à nouveau disponible. Cette application a été créée par trois ingénieurs français, qui occupaient précédemment des fonctions de direction générale ou opérationnelle chez des grands opérateurs téléphoniques.
    Première à réagir à cette étude, la CNAMTS, qui assure que le temps d'attente moyen n'excède pas en réalité deux minutes trente secondes pour tout appel vers le numéro unique 36 46. Elle précise que sur une année pleine, elle gère un volume total de 30 millions d'appels entrants, avec un taux de réponse (pourcentage d'appelants ne raccrochant pas avant d'être mis en relation avec un téléconseiller) de 86 %. Il est vrai que la méthodologie de l'enquête du magazine est assez curieuse.
    > Les français consacrent chaque année 28 heures en moyenne à essayer de joindre les services clients - communiqué de presse du 19 mars 2014
    > Temps d'attente 3646 - Télécharger le communiqué de la CNAMTS

     

    La vidéo de la semaine

     

    " Sécu et mutuelles, marions-les ! ", les moments forts du débat
    Jeudi 13 mars, Libération lançait, en partenariat avec la Mutualité Française, son premier "Jeudi de la santé", une série de rencontres autour des grandes questions de santé publique. Au programme de cette première édition, l'organisation complexe de notre système de santé, partagé entre Sécu et mutuelles. Le premier débat organisé a attiré " une foule attentive et sérieuse ", selon le compte rendu mis en ligne sur le site Internet du quotidien. Retrouvez également l'intégralité du débat en vidéo

     

    Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 593 du 9 mars 2014

    ·         1 - Branle-bas de combat sur les effectifs à la Sécurité sociale - Les Echos du 13 mars 2014


    ·         3 - Documents de support concernant l'INC du 13 mars 2014 - site Ucanss

    ·         4 - Population & Sociétés n° 509 "1914-2014 : un siècle d'évolution de la pyramide des âges en France"

    ·         5 - La CPAM des Hauts-de-Seine HORS LA LOI - FMF

    ·         6 - Lettre de la Michodière 9-2014 du 14 mars 2014

     

    Source : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale. Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le

    lundi 27 janvier 2014

    Café nile avec Patrick Errard le 29 janvier 2014 de 8h30 à 10h au Sir Winston « Pacte de Responsabilité : les entreprises du médicament peuvent-elles contribuer ? »


     

    Lors de ses vœux à la Nation le 31 décembre dernier, le Président de la République a annoncé le Pacte de Responsabilité visant à relancer une dynamique d’emploi et de croissance dans notre pays. Réitérant ses propositions le 21 janvier dernier devant les dirigeants patronaux et syndicaux, François Hollande précise que «…le pacte de responsabilité ne suppose pas l'accord de tous mais appelle la participation de tous ». Il semble donc que le monde de la santé, fort de 2 millions d’emplois tous secteurs confondus, ne saurait se maintenir en dehors de cette mobilisation nationale. Les enjeux sont colossaux puisque l’on parle d’un transfert de charges de 30 Md€ qui, baissant le coût du travail, permettrait la création d’un million d’emplois.

     

    Fleuron de l’industrie française, créateur d’emplois très qualifiés comme d’emplois de terrain (les 27.000 emplois du cluster Polepharma situé en région Centre, premier exportateur de médicament français, produisent 53% des médicaments en France), le secteur des industrie de santé est confronté le plus souvent à une logique contradictoire. Au détour de la Loi de Financement de la Sécurité Sociale pour 2014 qui fait peser une pression économique forte sur le business model des entreprises du médicament, comment sa fédération voit-elle sa participation à cette politique ?

     

    Patrick Errard, Directeur Général d’Astellas et Président du LEEM (Les Entreprises du Médicament), viendra débattre le 29 janvier prochain de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris) sur le thème :

     

    « Pacte de Responsabilité : les entreprises du médicament peuvent-elles contribuer ? »

    AGENDA : le prochain café nile du 5 février prochain recevra des représentants (industriels, pharmaciens, distributeurs) de la chaîne de distribution des produits de santé, afin de rappeler le rôle crucial de ces acteurs, tant en termes de sécurité sanitaire et de sécurité d’approvisionnement que d’impact économique.

    mardi 7 janvier 2014

    La MGEFI dans la presse

    Titre : Quels défis pour la protection sociale des agents publics ?
     
    LA REVUE DE LA MUTUALITE FONCTION PUBLIQUE - DEC 13  
     
     
    Titre : Quels leviers pour négocier la protection sociale dans les entreprises ?
     
     www.miroirsocial.com du 7 janvier 2014
     
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    @minedinfos / @pressentinelle2