Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 9 janvier 2014

A la une ce mois-ci : en 2014, la santé rime avec activité physique ! Découvrez le programme Sport-santé "Mon Oxygène"


ACTUALITÉS

Les équipes de la MGEFI vous présentent leurs meilleurs vœux pour cette nouvelle année !

IMPORTANT : pour tout changement de choix de garantie santé (Prémi Santé, Multi Santé ou Vita Santé), vous avez exceptionnellement jusqu’au 28 février 2014 pour formuler votre demande par écrit (le cachet de la poste faisant foi) via ce formulaire

Vos prélèvements : passage au format européen en 2014

A partir du 1er février 2014, la MGEFI passera au prélèvement SEPA (espace unique de paiement en euros).

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Zoom sur l’aide à la complémentaire santé (ACS)

L’Aide à la Complémentaire Santé (ACS) est une aide pour financer votre complémentaire santé individuelle. Etes-vous concerné ? Quel est le montant de l’aide ? Que devez-vous faire ?

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Scope santé : qualité des hôpitaux et cliniques, je m’informe !

Le nouveau site de la Haute Autorité de Santé vous informe sur la qualité de plus de 5000 établissements de santé (hôpitaux et cliniques).

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Prévention /Santé et activité physique : « mon Oxygène », votre programme Sport Santé

Tout au long de l'année 2014, la MGEFI souhaite valoriser le thème de prévention " santé et activité physique ". En partenariat avec Imaps, votre mutuelle vous présente « mon Oxygène », votre programme Sport Santé !

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Chats experts

Ce mois-ci, nous vous proposons de discuter en direct avec nos experts santé sur les thèmes suivants :

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-  « Bonnes résolutions : la nutrition », le mardi 14 janvier
      de 11h à 12h

-  « Désir de maternité », le jeudi 23 janvier
      de 11 h à 12 h

-  « Passer une bonne année avec les médecines douces », le mercredi 29 janvier de 11h à 12h





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jeudi 5 décembre 2013

Débat sur la sécurité sociale des étudiants : la Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche s'engage pour la santé des jeunes


Ivry-sur-Seine, le 4 décembre 2013

 
Débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat : la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche s’engage pour la santé des jeunes

  
A l’occasion d’un débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat, la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso, a annoncé un plan d’action en faveur de la santé étudiante pour 2014. La LMDE salue cette annonce et demande que les mutuelles et organisations représentatives étudiantes soient associées à la construction de ce plan afin qu’il réponde aux attentes des étudiants.

 

Plan santé pour les étudiants : les mesures doivent être ambitieuses !

 

A l’occasion d’un débat parlementaire sur la sécurité sociale des étudiants, la Ministre a annoncé que le plan vie étudiante, prévu pour 2014, comprendra un plan santé à destination de tous les étudiants. La LMDE salue cette annonce et indique que ce plan se doit d’être ambitieux afin de lutter contre les reculs de l’accès aux soins des étudiants induits par la dégradation de leur situation sociale. La dernière enquête de la LMDE montre ainsi que 34% des étudiants renoncent à des soins, et que 19% d’entre eux n’ont pas de complémentaire santé. La Ministre a indiqué que ce dernier chiffre s’élève même à 40% chez les étudiants dont les parents gagnent moins de 1 500€ par mois. Il y a urgence !

 

La LMDE se félicite par ailleurs de la mise en place de l’accès automatique à la CMU complémentaire pour les étudiants boursiers en situation de rupture familiale, ainsi que de l’annonce d’un travail en commun avec le ministère des affaires sociales et de la santé afin de favoriser l’accès à l’ACS des boursiers du CROUS. Alors que le gouvernement souhaite mettre en œuvre une généralisation de la complémentaire santé, la LMDE demande que le statut d’étudiant boursier ouvre automatiquement droit à l’ACS. Par ailleurs, la transformation des services de médecine préventive universitaire en « Campus Santé » doit s’accompagner de moyens afin d’en faire de vrais centres de santé universitaires, regroupant de nombreuses spécialités médicales en secteur 1 et pratiquant le tiers payant afin d’endiguer le renoncement aux soins. Enfin, la lutte contre le bizutage et l’ensemble des abus et pratiques dégradantes pratiquées sur les campus doit être une priorité. La LMDE soutient la volonté de la Ministre de s’y attaquer.

 

 

Le régime étudiant de sécurité sociale, un outil nécessaire qu’il faut renforcer

 

Geneviève Fioraso a également souligné l’importance du régime étudiant de sécurité sociale dans l’acquisition de l’autonomie des étudiants et pour apporter des réponses adaptées aux enjeux de santé des étudiants, notamment en matière de prévention. A l’heure où différentes études scientifiques montrent les limites des campagnes de prévention institutionnelles à destination des jeunes, la LMDE se félicite de cette reconnaissance par le gouvernement et demande à ce que les acteurs de prévention à destination des jeunes bénéficient de moyens supplémentaires pour assurer leurs missions.

 

La LMDE demande enfin de longue date à ce que le régime étudiant de sécurité sociale soit rendu plus lisible pour les étudiants. Elle se félicite donc d’avoir été entendue par la Ministre sur de nombreux points. Ainsi, la date d’affiliation des étudiants sera avancée du 1er octobre au 1er septembre, afin d’accompagner la date de la rentrée universitaire, dès la rentrée 2014. Afin que cela soit rendu possible, la LMDE demande à ce que toutes les barrières techniques soient levées.

 

D’autres mesures allant dans le sens d’un renforcement et d’une meilleure lisibilité du régime étudiant de sécurité sociale doivent être mises en œuvre. La LMDE demande donc au gouvernement :

·         Une affiliation pluri annuelle, pour éviter aux étudiants de réitérer leurs démarches chaque année

·         Le retour à un opérateur unique pour la gestion du régime étudiant

·         L’extension du régime étudiant à l’ensemble des étudiants, y compris l’ensemble des étudiants salariés, des doctorants ou des apprentis.

 

La LMDE rappelle enfin que toute évolution du régime étudiant de sécurité sociale doit être pensée pour les étudiants et avec les étudiants.

 



 
Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.
La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.


mercredi 6 novembre 2013

PLFSS : Un risque de nivellement par le bas de la qualité des équipements optiques des Français


Le projet de loi de Financement de la sécurité sociale 2014 (article 45) introduit deux mesures ayant un impact direct sur l’accès aux équipements optique et aux modalités de prises en charge.

"Si sur le fond, les mesures liées à l’optique peuvent apparaitre intéressantes, leur rédaction laisse clairement présager le renforcement des inégalités sociales et économiques, la mise à mort de notre système de protection sociale à la Française et de la filière optique au profit des complémentaires santé, seules vraies gagnantes des différentes mesures en cours de discussion !"
explique Christian Roméas, président du SynOpE.

La première mesure vise à étendre le dispositif CMUC aux bénéficiaires de l’ACS (700 000 personnes environ). La détermination de ces tarifs est renvoyée à la négociation conventionnelle tripartite. Mme La Ministre avertit : si la négociation n’aboutit pas, elle tranchera par décret !

"Mais quelle négociation Mme la Ministre ? Dans la mesure où vous la promettez sans cesse mais ne la mettez jamais en place !"

s'insurge Christian Roméas.

La seconde mesure concerne tous les français qui bénéficient d’une complémentaire santé par le biais des Contrats responsables (93% des contrats). Le gouvernement veut fixer un montant minimal de prise en charge et un plafond tarifaire.

Si nous sommes favorables à étudier la détermination d’un plancher et d’un plafond de remboursement, cela ne doit s’envisager QUE dans la concertation avec les professionnels de l’optique mais tel n’est pas le cas !

Les professionnels de santé directement concernés n’ont même pas été consultés sur cette mesure.
La rédaction du texte revient à fixer de manière déguisée des tarifs imposés au secteur de l’optique ! Avec des milliers de perte d’emplois à la clé !

Ce plafond tarifaire sera-t-il basé sur le tarif de responsabilité qui n’a pas été modifié depuis plus de 30 ans ? Et sans qu’aucune étude d’impact économique n’ait été réalisée ?

Faut-il accepter de mettre à mort la filière optique française au profit des seules complémentaires santé et au détriment de la qualité des produits optique accessibles aux français ?


Le SynOpE attend de la Ministre de la Santé qu’elle mette ENFIN en œuvre la concertation avec les professionnels de l’Optique qu’elle ne cesse de promettre mais que nous attendons toujours, alors que pendant ce temps là, les mesures pleuvent

NDLR : MGEFI ET OPTIQUE
La MGEFI et sa vision de l'optique avec Optistya                     
Rechercher un professionnel de santé                     
Remboursement des équipements d'optique vendus en ligne
Foire aux questions sur la santé                     
F.A.Q. Santé                     
Foire aux questions sur la prévoyance                     
Foire aux questions pratiques                     
Réaliser vos simulations                      
Fiches pratiques santé                     
La MGEFI, une nouvelle vision de l’optique avec Optistya
 
 

 
 
 

vendredi 11 octobre 2013

Le PLFSS 2014 n’est pas à la hauteur des enjeux en matière de santé


La Ministre des Affaires Sociales et de la Santé, Marisol Touraine, présentait mercredi 9 octobre le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour 2014 en conseil des ministres. Si ce texte contient certaines avancées notables en matière de prévention, la LMDE regrette qu’il ne soit pas plus ambitieux en matière de santé des jeunes et de régulation du système de soins.

 

La réduction des déficits ne peut pas être le seul objectif d’un PLFSS

 

Dans la continuité du cap politique fixé par le gouvernement, le PLFSS 2014 prévoit des économies pour l’ensemble des branches de la Sécurité sociale. Si cet objectif doit être atteint, il ne peut constituer l’alpha et l’oméga des politiques de santé.

En matière de santé, le PLFSS prévoit notamment une maitrise des dépenses de gestion des caisses de sécurité sociale de 500 millions d’euro. Alors que ces dernières souffrent déjà de difficultés chroniques liées aux manques de financement, il est impensable de présumer qu’elles pourront rendre une meilleure qualité de service aux assurés avec moins de moyens. La LMDE tient ainsi à alerter sur les risques que cette vision purement comptable fait peser sur les assurés sociaux.

 

Les étudiants encore et toujours oubliés de la généralisation de la complémentaire santé

 

La LMDE déplore que les annonces positives du gouvernement sur la généralisation de la complémentaire santé excluent certaines catégories de la population : chômeurs, retraités et jeunes étudiants ou en insertion.

En effet, alors que la loi de sécurisation de l’emploi ne concerne que les salariés du privé, le relèvement des plafonds d’accès à l’ACS et la CMU-C ne bénéficiera pas lui non plus aux jeunes. Bien que la majorité des étudiants entrent dans les critères de ressources pour bénéficier de ces aides, 3 critères cumulatifs leur en empêchent l’accès  (indépendance fiscale, logement indépendant, et absence de pension alimentaire). En l’absence de mise en place d’un chèque santé national, les étudiants devront encore attendre !

 

Contrats solidaires et responsables : le gouvernement doit respecter ses engagements !

 

Afin de mieux réguler le système de soins et de faire bénéficier aux assurés de complémentaires santé de qualité, la ministre a annoncé une refonte du contenu des contrats responsables répondant à une revendication de longue date de la Mutualité Française. Cependant, le gouvernement s’était engagé à moduler la taxe (TSCA) sur ces contrats vertueux afin de les différencier des contrats non responsables. La LMDE demande à ce que le gouvernement et le Président de la République tiennent leurs engagements en abaissant la fiscalité sur les contrats solidaires et responsables afin de faire baisser le prix des complémentaires santé, notamment pour les publics les plus fragiles.

 

Des mesures de prévention positives… mais au périmètre trop limité

 

Le PLFSS contient des mesures positives en termes de prévention à destination des jeunes, dans la droite ligne de la priorité à la prévention annoncée dans la Stratégie Nationale de Santé. Cependant, il s’agit de deux mesures extrêmement ciblées : le triplement du forfait sevrage tabagique pour les 20-25 ans et le tiers payant lors de la consultation pour les mineures de 15 à 18 ans voulant se faire prescrire un contraceptif. Ces deux mesures, bien que positives, ont une cible trop restreinte et méritent d’être élargies à l’ensemble des jeunes de 18 à 28 ans.

 

Pour la santé des jeunes, un choc de solidarité

 

Pour faire de la santé des jeunes la vraie priorité de ce PLFSS, la LMDE revendique ainsi :

-          la mise en place d’un chèque santé national pour permettre aux étudiants d’adhérer à une complémentaire santé

-          l’accès automatique à l’ACS pour les étudiants boursiers

-          l’exonération de la TSCA pour les étudiants

-          l’accès de droit pour tous les jeunes au tiers-payant dès 2014, au même titre que les autres publics précaires.

 

 
Qu’est ce que la LMDE ?

 

Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

 

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.

vendredi 19 juillet 2013

LIBRES PROPOS signés LECISS à propos de la complémentaire pour tous


Sur saisine de la ministre des affaires sociales et de la santé, le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie a reçu pour mission de prendre position sur les solutions à mettre en œuvre pour parvenir à l’objectif de généralisation de la complémentaire évoqué par le Président de la République, le 20 octobre 2012, à Nice, dans son discours de clôture du 40ème congrès de la Mutualité Française.

De fait, nous avançons, notamment parce que l’Accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013, transcrit dans la loi du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l'emploi, va permettre à 400 000 personnes environ d’accéder à une complémentaire dans le cadre de leur entreprise. Pour autant, il reste, selon l’avis que le Haut conseil pour l’avenir de l’assurance maladie a adopté ce jeudi 18 juillet 2013, environ 1 000 000 de personnes qui attendent encore de pouvoir « s’offrir » une complémentaire.

L’avis dégage deux voies pour permettre une véritable généralisation

D’une part, des mesures autour de l’aide à la complémentaire santé (ACS) : en augmentant son montant pour les plus âgés qui sont confrontés aux contrats les plus onéreux, et en offrant aux salariés les plus pauvres la possibilité de payer leur couverture complémentaire collective au moyen de cette ACS.

D’autre part, renforcer la couverture des personnes modestes non couvertes par un contrat collectif (notamment les retraités, les jeunes sans emploi, les chômeurs…) et éligibles à l’aide à la complémentaire santé : soit en créant une nouvelle catégorie de contrat de groupe à adhésion individuelle, soit en leur étendant le bénéfice de la CMU-C.

Un nécessaire effort d’information et d’accompagnement

Cependant, malgré leur intérêt, ces possibilités supplémentaires d'accès à une complémentaire restent surtout complexes et peu lisibles, voire contre productives dans la perspective d'une généralisation. Nous le regrettons et continuons à penser qu’il aurait été plus simple de se centrer sur la création d'une CMU-C contributive sous un plafond à déterminer. Néanmoins, dans ce contexte, le Collectif interrassociatif appelle à ce que les conclusions de l’avis soient prises en compte :

-      pour garantir la plus parfaite information des consommateurs sur les solutions nouvelles offertes au titre de la généralisation de la complémentaire ;

-      pour renforcer la lisibilité des contrats, qui n’a guère été améliorée par la Charte adoptée par l’Unocam en octobre 2010 ;

-      pour une régulation renforcée des contrats solidaires et responsables, en prévoyant notamment un « contrat socle » comportant des garanties minimales par rapport à un prix de référence ;

-      pour que des réseaux de soins puissent proposer aux adhérents des complémentaires des tarifs plus accessibles dans les domaines de l’optique, du dentaire, et de l’appareillage auditif, pour lesquels la prise en charge par l’assurance maladie obligatoire est depuis maintenant longtemps largement minoritaire.

 

Compte tenu des engagements financiers consentis par l’Etat, le Collectif interassociatif sur la santé estime :

- qu’au préalable à la généralisation de la complémentaire santé, une réflexion collective doit être menée pour définir de façon pérenne ce qui doit entrer dans le cadre de la prise en charge solidaire dont l’assurance maladie obligatoire reste dépositaire, ainsi que ce qui doit être intégré dans un contrat socle complémentaire généralisé ;

- que le prochain PLFSS devra prévoir des dispositions obligeant l’UNOCAM à remettre chaque année au Parlement un bilan du coût de la généralisation de la complémentaire santé et de ses effets sur l’accès aux soins.

 

ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

jeudi 23 mai 2013

CMUC : Ce qu'il faut savoir...

EN PRIMEUR SUR COULEURS MGEFI DE MAI 2013





Cmuc : Le saviez-vous ?

 

L’ACS : aide à la complémentaire santé

 

Une aide financière pour les assurés qui en ont vraiment besoin

 

L’aide à la complémentaire santé concerne les assurés dont les ressources sont supérieures au plafond fixé pour l’attribution de la Couverture Maladie Universelle Complémentaire (CMUC).

 

Délivrée sous la forme d’une attestation “chèque”, l’ACS ouvre droit à une réduction sur la cotisation auprès de l’organisme complémentaire.

 

 

Conditions pour en bénéficier

 

• Résider en France depuis plus de 3 mois

 

• Être en situation régulière

 

• A voir les revenus annuels qui ne dépassent pas les plafonds ci-dessous.

 

MÉTROPOLE   DOM

7 934 €            8 831 €

11 902 €         13 246 €

14 282 €         15 896 €

16 662 €         18 545 €

 

 

Montants de l’aide

Le montant de l’accord varie en fonction de l’âge du bénéficiaire.

 

ÂGE / MONTANT

De 16 ans/ 100 €

De 16 à 49 ans/ 200 €

De 50 à 59 ans /350 €

À partir de 60 ans/ 500 €

 

Comment l’obtenir ?

La demande doit être faite auprès de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de votre domicile (imprimé disponible sur www.ameli.fr) y compris pour les assurés affiliés à MFP Services.

 

NDLR : MGEFI et CMUC

 

La MGEFI peut être désignée comme organisme complémentaire pour la gestion de la couverture CMUC. Il suffi t de le préciser lors de votre demande auprès de votre Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

 

En savoir plus : www.mgefi.fr

lundi 10 décembre 2012

Adhérent MGEFI cette info vous concerne


Contrats spécifiques

 

Un numéro de téléphone unique

Depuis le 1er décembre, la cellule en charge

de la gestion des contrats spécifiques est accessible

par téléphone via un numéro unique.

Pour toute question relative à la gestion des dossiers :

- CMU-C,

- ACS,

- Contrats groupe (FMIN/A.G.R.A.F, FMP Collaborateurs

MGEFI...),

- Soins à l'étranger, TOM et Mayotte,

les adhérents doivent composer le 0810.11.20.77

du lundi au vendredi de 9 h 00 à 12 h 30.

Ce numéro est géré par un serveur contact multi

canal (CMC) qui oriente les adhérents en fonction

de la nature de leur contrat et l'objet de leur appel.

Leurs demandes peuvent être également transmises

par courriel à : contratsspecifiques@mgefi.fr