Nora ANSELL-SALLES

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mardi 15 octobre 2013

12 décembre 2013 : Journée du Livre d’Economie


Invitation presse

A noter dans vos agendas au 12 décembre 2013
la 15ème Journée du Livre d’Économie
de 9h à 13h

Au Ministère de l’Économie et des Finances
139, rue de Bercy
75012 Paris


Les  2 temps forts

12h15 : remise du Prix Lycéen « Lire l’Économie » par
Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale,
 

12h30 : remise du Prix du Livre d’Économie par
Pierre Moscovici, ministre de l’Économie et des Finances,


 Inscription
obligatoire : pour raison de sécurité

 Luce Perrot
Présidente de Lire l’Économie

01 42 26 99 40 /lireleconomie@lirelapolitique.com


vendredi 11 octobre 2013

10ème JOURNÉE EUROPÉENNE DE LA DÉPRESSION


Mardi 22 octobre à L’entrepôt – Paris 14ème

20h00 à 24h00

 PROGRAMME

Salle de cinéma « l’Entrepôt » : 7 rue Francis de Pressensé 75014 Paris

Manifestation gratuite ouverte au public – Préinscription recommandée –

 
Projection du film (salle de cinéma) :

• 20h00 – 21h30 : « Harcelé à en perdre la Raison » 90’, 2012, de Daniel KUPFERSTEIN

Moment convivial, dédicaces et débat (espace bar) :

 • 21h30 – minuit : animé par le Professeur Jean-Pierre OLIE, Membre de l’Académie Nationale de Médecine, Professeur de Psychiatrie à l’hôpital Sainte-Anne, en présence de : Dr Marie-Hélène DELHON, Médecin du travail (retraitée) de M. J-M. RIEUX, M. Daniel KUPFERSTEIN, Réalisateur, Mme Marie PEZE, Docteur en Psychologie, expert près la Cour d’Appel de Versailles, M. Gérard RIEUX, et un représentant de la Fédération CGT de la Santé et l’Action Sociale


PROJECTION du FILM « Harceler à en perdre la raison » :

Ce documentaire de Daniel Kupferstein retrace la lente « descente aux enfers » de Jean-Michel Rieux, employé communal dans le service Parcs et Jardins de la ville de Béziers. Au-delà de ce drame terrible, qui s’est déroulé en 2003, c’est toute la mécanique du harcèlement dans le travail qui est décortiquée grâce aux témoignages des membres de la famille, des amis et des collègues de travail. Alors que l’actualité nous renvoie régulièrement à des suicides et des cas de souffrance au travail, il est utile de montrer qu’un processus de harcèlement peut amener au pire...

 
Daniel KUPFERSTEIN est réalisateur de films documentaires, et auteur et réalisateur de films de fiction depuis 1998. M. Kupferstein était également formateur de 2004 à 2008 à l’Ecole Internationale de Création Audiovisuelle et de Réalisation (EICAR) sur l’écriture et l’initiation aux films documentaires et de 2007 à 2012 envers les bibliothécaires et les collégiens de Seine-et-Marne dans le cadre d’une sensibilisation aux films documentaires.

 
Sur son dernier film, « Harcelé à en perdre la raison », il nous raconte :

« D’après l’INRS, les cas de suicides sur les lieux du travail ont commencé à être rapportés par les médecins du travail vers la fin des années 1990. Entre janvier 2008 et juin 2009, la Caisse nationale d’assurance-maladie (CNAM) a reconnu 28 suicides comme accidents du travail. Pour autant, il n’existe pas de données nationales permettant de suivre l’évolution du nombre des suicides sur le lieu du travail et a fortiori liés au travail. Une chose est sûre, toutefois, quels que soient les chiffres: quand une vingtaine de salariés d’une même entreprise mettent fin à leurs jours sur le lieu de leur travail -y revenant parfois dans ce seul but- ou laissant un mot indiquant un lien clair avec les conditions de travail, c’est que ça va mal dans l’entreprise. Et France Télécom n’est pas la seule à voir s’accumuler les morts volontaires. Mais, là encore, le sujet est à manier avec précaution. Tous les salariés qui vont mal ne se suicident pas. En revanche, certains salariés confrontés à certaines situations, dans leur vie personnelle ou au travail, passent à l’acte. Quelles sont-elles dans le milieu professionnel (quelles organisations du travail, quel management, etc.) ? C’est tout ce champ de recherche qu’il reste à approfondir.

 
 
Pour mieux saisir la complexité de ces drames, voici un film, celui de Jean-Michel Rieux, harcelé dans son travail à en perdre la raison. »
 

 
Dr Marie-Hélène DELHON, médecin du travail (retraitée)

 
C’est dans le cadre de sa fonction de médecin du travail salarié du Service de Médecine du Travail de Béziers que, durant vingt-quatre ans, Marie-Hélène DELHON assure la surveillance médicale des agents de la Mairie.

 
En février 2003 survient un drame hors du commun qu’elle a été impuissante à prévenir malgré toutes ses alertes : le suicide de Jean-Michel Rieux, agent municipal, qui met fin aux jours de son épouse, Akima, et de leurs deux enfants, Amandine et Charles, avant de se supprimer lui-même. Jean-Michel Rieux dénonçait depuis plusieurs années un harcèlement moral professionnel qu’après le drame, les responsables municipaux puis la Justice se sont employés à nier.

 
Victime elle-même d’un harcèlement moral aujourd’hui reconnu par le Conseil des Prud’hommes, Marie-Hélène DELHON doit quitter son travail à la Mairie en 2004 puis son employeur, le Service de Médecine du Travail, en 2008 pour aller terminer sa carrière ailleurs. Elle consacre les premiers mois de sa retraite à rassembler tous les événements professionnels concernant Jean-Michel Rieux. Dans son livre intitulé « Du désastre professionnel au parti-pris judiciaire », elle démontre l’enchaînement qui a entraîné le terrible dénouement ; puis, elle met en parallèle la réalité des faits avec ce qu’en a retenu la Justice dont le parti-pris permet aujourd’hui à l’employeur d’éviter toute remise en cause. Ce livre est un appel à tous acteurs du monde professionnel, salariés, employeurs, syndicats, médecins, inspecteurs du travail, législateurs, juges, afin que chacun, à son niveau, devienne conscient de sa propre responsabilité et agisse pour que de pareils drames ne se reproduisent pas.

 

Une représentante de la Fédération CGT de la Santé et de l’action sociale parlera de son vécu dans le domaine.

 

LES INTERVENANTS – 10ème Journée Européenne de la Dépression à PARIS :

 
Pr. Jean-Pierre OLIÉ est Professeur de Psychiatrie à la Faculté de Médecine Paris-Descartes, Médecin consultant, ancien chef de service à l’hôpital Sainte-Anne à Paris, Médecin expert près la Cour d’Appel de Paris, agréé par la Cour de Cassation et Membre de l’Académie Nationale de Médecine Il est également, Président de la Fondation Pierre Deniker reconnue d’utilité publique pour la Formation et la Recherche en Santé Mentale Président de Ligne de Vie, association pour la réinsertion des anciens toxicomanes Président du Congrès de l’Encéphale, réunion annuelles des psychiatres francophones

 
Auteur de plus de 300 publications scientifiques et de 20 ouvrages professionnels ou grand public. Il a récemment publié

Guérir la souffrance psychique, 2009, éditions Odile Jacob

Cas cliniques en psychiatrie,…. Flammarion

 
Marie PEZÉ est Docteur en Psychologie, psychanalyste, expert près la Cour d’Appel de Versailles. Elle a créé la première consultation « Souffrance et travail » en 1997 au Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers de Nanterre, le site souffrance-et-travail.com et est responsable du réseau de consultations souffrance et travail.

 
Elle est aussi responsable pédagogique du certificat de spécialisation en psychopathologie du travail qu’a lancé Christophe DEJOURS en novembre 2008 au CNAM et Membre Fondateur du Groupe pluridisciplinaire de Réflexion sur la Maltraitance au Travail.

 
Elle a participé en 2002 au groupe de travail sur « le harcèlement moral dans les établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux publics », DHOS, Ministère de la santé, de la famille et des personnes handicapées. En 2005, à la commission « violence, travail, emploi, santé » présidée par le Professeur DEJOURS, dans le cadre de la loi relative à la politique de santé publique du 9 août 2004, Ministère des solidarités, de la santé et de la famille. En 2009 à la Commission Parlementaire UMP sur la souffrance au travail, à la Commission sénatoriale sur le mieux-être au travail.

 
Elle a ouvert sa consultation à de nombreux documentaristes : Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés de Sophie Bruneau et Marc-Antoine Roudil, J’ai très mal au travail de Jean-Michel Carré, La mise à mort du travail de Jean-Robert Vialet et Christopher Nick, prix Albert Londres 2010.

 Elle a publié :

1) Le deuxième corps, La Dispute, Paris, 2002.

2) Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés, Pearson, 2008, Flammarion, collection champs 2010

3) Travailler à armes égales avec Rachel Saada et Nicolas Sandret, Pearson, 2011

Réseau de Consultations Souffrance et Travail

vendredi 4 octobre 2013

Samedi 5 octobre : 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil

 

A Rueil Malmaison

Organisée à l’initiative de la Fédération Française des Associations et Amicales des malades, Insuffisants ou Handicapés Respiratoires (FFAIR), la 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil se veut une journée de sensibilisation et d’écoute sur cette maladie peu connue et dépistée qui toucherait pourtant 5 millions de Français.


Veuillez trouver ci-joint le communiqué de presse relatif à la 11ème journée nationale de l'apnée du sommeil. N'hésitez pas à revenir vers nous pour toute information.


Samedi 5 octobre : 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil

A Rueil Malmaison

Organisée à l’initiative de la Fédération Française des Associations et Amicales des malades, Insuffisants ou Handicapés Respiratoires (FFAIR), la 11ème journée nationale de l’apnée du sommeil se veut une journée de sensibilisation et d’écoute sur cette maladie peu connue et dépistée qui toucherait pourtant 5 millions de Français.

Apnée du sommeil ? Qu’est ce que c’est ?



L’apnée du sommeil est un des troubles du sommeil le plus courant avec près de 5 millions de Français touchés. Elle se caractérise par un arrêt respiratoire, pouvant aller à 45 secondes, plusieurs fois par heure. Mis à part les conséquences dues au manque d’oxygénation, l’apnée du sommeil induit aussi des conséquences, parfois très lourde, sur le sommeil en tant que tel et donc sur la vie quotidienne.

Empêchant la personne d’atteindre un sommeil réparateur, celle-ci se lèvera avec la sensation de ne pas avoir dormi et pourra être victime de somnolence et/ou de baisse d’attention. Le risque de nombreuses maladies est accru chez les apnéiques : cancer, hypertension, accidents vasculaires cérébraux…

Dépistage et prise en charge au rendez vous



L’apnée du sommeil représente, aujourd’hui, un coût important pour la sécurité sociale malgré le faible nombre de personnes dépistées et prises en charge. En effet, les traitements traditionnels ont un coût d’environ 1000-1500 € par an et par patient. De nouveaux traitements sont donc régulièrement mis en place et feront l’objet de conférences lors de cette journée.

Organisée depuis de nombreuses années, la journée nationale de l’apnée du sommeil est devenue un rendez vous pour alerter, informer et partager autour de l’apnée du sommeil. Mal méconnu et pourtant insidieux, l’apnée du sommeil toucherait entre 3 et 5% de la population française dont une grande majorité ne serait pas dépistée et donc pas traitée.

La FFAIR, née de ce constat et du manque d’accompagnement des apnéiques, souhaite mettre en évidence les différents problèmes rencontrés par les apnéiques et leurs proches lors d’une journée de sensibilisation et d’information en compagnie d’autres malades, de professionnels de santé et de représentants d’association.

Cette journée aura lieu le samedi 5 octobre 2013 à l’Hotel de Ville, Salon Richelieu à Rueil Malmaison.

Pour plus d’information ou pour s’inscrire : http://www.apneedusommeil.net/?p=960





A propos d'Oniris


Créée en 2011 suite aux travaux du Docteur Vincent, Oniris, start-up familiale, met au point, fabrique et commercialise des Orthèse d’Avancée Mandibulaire (OAM), made in France. Alors que les traitements existants étaient jusqu’alors très chers ou très contraignant, l’orthèse Oniris a été créée afin d’apporter une solution simple, économique et efficace aux problématiques liées au ronflement et à l’apnée du sommeil. Elle a fait l’objet d’une étude clinique validant ses bénéfices, de plusieurs brevets et reçoit le soutien d’un comité scientifique regroupant plusieurs grands spécialistes. Déjà 10 000 patients l’ont adoptée !

Oniris est accompagnée par OSeo, en tant que Jeune Entreprise Innovante.

Chiffres clés :


Un chiffre d’affaires de 1 million d’euros en 2013 (prévision)
10 000 patients ont adoptés l’orthèse Oniris.
Depuis janvier 2013, déjà 7500 orthèses Oniris ont été vendues. Oniris devient ainsi le premier fabricant d’orthèse en France (Avant l’arrivée d’Oniris sur le marché, seul 5 000 patients étaient traités par an avec des orthèses de laboratoire)
Déjà disponible sur commande dans 20 000 pharmacies
24 salariés

Vendredi 11 octobre : journée mondiale des soins palliatifs - L’hôpital Bichat – Claude-Bernard se mobilise

Soulager les douleurs physiques et les autres symptômes, mais aussi prendre en compte la souffrance psychique, sociale et spirituelle ; tels sont les objectifs des soins palliatifs afin de préserver une meilleure qualité de vie possible du malade et de son entourage.

Cette prise en charge globale est délivrée par un ensemble de professionnels : équipes hospitalières, hospitalisation à domicile, associations… Dans le cadre de la journée mondiale des soins palliatifs, venez à leur rencontre vendredi 11 octobre 2013 à l’hôpital Bichat – Claude-Bernard.

Autour de stands d’information et d’ateliers pratiques, les équipes seront à votre disposition pour répondre à toutes vos questions. Une conférence sur le thème « Mourir ici quand on vient d’ailleurs », animée par Fatiha Ayogil, psychologue de l’association URACA, et ponctuée d’intermèdes dansés par la Compagnie ACM Ballet, se tiendra dans le hall de l’hôpital à 13h.

Rendez-vous le 11 octobre 2013 de 11h à 16h30, hall de l’hôpital Bichat – Claude-Bernard, 46, rue Henri Huchard, 75018 Paris
Organisé par l’équipe d’accompagnement et de soins palliatifs de Bichat
Plus d’informations : aude-marie.olette@bch.aphp.fr ou 01 40 25 61 61

vendredi 21 juin 2013

22 juin 2013 : Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe, et de reconnaissance aux donneurs

Pour une reconnaissance par la société française des personnes donnant de leur vivant un organe
 


Depuis deux ans, la Journée nationale du don d’organes du 22 juin est

devenue « la Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe, et de reconnaissance aux donneurs ». Cet accent mis sur ces personnes est fortement soutenu par la FNAIR afin de rappeler que ces citoyens prennent un risque - qui peut s’avérer dissuasif - au niveau de leurs revenus. Une indemnisation véritable et une reconnaissance officielle faite par l’Etat serait une action simple et décisive pour encourager le don du vivant, lutter contre la  pénurie de greffons et diminuer le nombre de personnes dialysées en attente de greffes.
Grâce aux progrès de la médecine, le don d’organes de son vivant est devenu un acte peu dangereux pour le donneur. Plusieurs études ont même montré que les personnes qui ont donné leur rein avaient, 20 ans après l’opération, un meilleur état de santé que la population générale. Aujourd’hui, s’il existe un risque pour un donneur, il est essentiellement financier en lien avec le risque de perdre son travail en raison du temps des soins que le don d’organe implique. Mais le sujet est tabou. Lorsque les associations de patients parlent d’« indemnisation », les décideurs politiques entendent « rémunération », et agitent le spectre d’un possible trafic d’organes. La nuance entre les deux termes est pourtant de taille.
 

L'article 16-1 du Code civil stipule que « le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l'objet d'un droit patrimonial », en somme que l’on ne peut pas en faire commerce. Mais cela n’interdit pas l’indemnisation. Cette indemnisation est même prévue de longue date par la loi. L’article 34 de la loi n° 84-16

du 11 janvier 1984 prévoit en effet des dispositions pour les fonctionnaires qui ont subi un prélèvement d’organes au bénéfice d’une tierce personne : ils relèvent, en effet, de l’une des clauses prévues à l’article 27 du code de pensions civiles, à savoir le fait d’exposer « ses jours pour sauver la vie d’une ou plusieurs personnes ». Aussi, les fonctionnaires conservent dans ce cas l’intégralité de leur salaire jusqu’à ce qu’ils
 

soient en mesure de reprendre leur service et jusqu’à leur mise à la retraite.
 

La fonction publique dépend aujourd’hui d’un régime spécifique qui préserve pour les titulaires, et pour les contractuels sous conditions, une rémunération pleine pour une durée variable selon le type de congés (Congés maladie ordinaire, Congés longue maladie et Congés longue durée). Dans un souci d’équité envers l’ensemble de la population désirant accomplir un don de son vivant, la FNAIR demande à l’Etat de prendre des dispositions identiques pour l’ensemble des régimes de l’assurance maladie.
 

 
Cette égalité de traitement, inscrite dans le droit, témoignerait de la reconnaissance de la société envers toutes celles et ceux qui, font le geste du don de vie, du don de soi.

Aujourd’hui, l'établissement de santé qui réalise le prélèvement, prend en charge les frais de santé occasionnés et rembourse tous les frais engagés par le donneur d'organe, sur présentation des justificatifs de dépenses. Mais ces indemnités ne suffisent pas à rendre l’acte de don financièrement neutre pour le patrimoine et les revenus du donneur. Certes, le risque assurantiel a été prévu par la loi de bioéthique de juillet 2011 (« toute discrimination directe ou indirecte fondée sur la prise en compte d'un don d'organes comme facteur de refus de contrat d'assurances ou dans le calcul des primes et des prestations au donneur

ayant pour effet des différences en matière de primes et de prestations est interdite »). Mais quid de l’effectivité de cette loi ? Quid également du risque de perte de salaires pris par le donneur en cas de complications médicales ? Prévoir des situations difficiles qui dissuadent encore beaucoup de personnes de franchir le cap du don du vivant ne ressemble en rien à une rémunération.
 
Ce que demande la FNAIR à l’Etat est simplement de ne pas pénaliser les citoyens et leurs familles qui accomplissent un geste motivé par la générosité, en leur accordant une reconnaissance légitime et une promesse de sécurité économique.
 


 


 
 
 

 
 
 
 




 

 

 

 

 

 
 

 

 

 



 

 
 
 

 




 

 

 
 
 
 
 
 

 

 

 




 
  

 



 

 
 

 




 

 

 

 
 
 

jeudi 21 mars 2013

Journée mondiale des donneurs de sang 2013


10e édition : la générosité des donneurs de sang plus que jamais à l’honneur
 
L’Etablissement français du sang organise le 14 juin prochain la 10 e édition de la Journée mondiale des donneurs de sang.
 
Cette journée, qui a pour objectif de remercier les donneurs de sang bénévoles, permet également d’en recruter de nouveaux et de constituer des réserves en produits sanguins conséquentes avant la période estivale, période traditionnellement sensible.
 
En 2013, l’Organisation mondiale de la santé a choisi la France comme pays hôte de l’événement, après l’Argentine en 2011 et la Corée du Sud en 2012. La Journée mondiale des donneurs de sang est célébrée dans plus de 190 pays.
 
A cette occasion, l’EFS vous donne rendez-vous le 14 juin à l’UNESCO pour un colloque international sur les enjeux de la transfusion sanguine dans le monde :
Ethique et autosuffisance
. (Voir encadré).
 
La Fédération française pour le don de sang bénévole (FFDSB), partenaire au quotidien de l’EFS, mobilise comme chaque année ses 750 000 bénévoles pour accueillir les donneurs et mène de nombreuses actions de sensibilisation au don de sang sur l’ensemble du territoire.
 
Plus de 350 lieux de collecte accueillent les donneurs de sang dans toute la France. Pour connaître le lieu de collecte le plus proche, rendez-vous sur  www.dondusang.net
A savoir
 
- 3 104 295 dons de sang en 2012
 
- 1 708 541 donneurs de sang en 2012.
 
- 10 000 dons sont nécessaires chaque jour pour répondre aux besoins des malades.
 
- 1 million de malades soignés chaque année grâce au don de sang.
 
- Les femmes peuvent faire jusqu’à 4 dons de sang total par an, les hommes 6.

- Se présenter avec sa carte d’identité si c’est un premier don et ne pas venir à jeun






 










 







mardi 19 mars 2013

Journée d’étude sur la « Coordination, intégration des services et gestion de cas »


Cette journée d’étude aura lieu le jeudi 4 avril 2013 au Conservatoire National des Arts et Métiers (Paris).

Les thématiques de la coordination, de l’intégration des services et de la gestion de cas se trouvent au cœur des préoccupations des pouvoirs publics, des professionnels, ainsi que d’un grand nombre de chercheurs œuvrant dans les champs de la dépendance.

Loin d’être une particularité française, un vaste champ de réflexions transnationales porte sur les réseaux d’acteurs et de ressources à visées de coordination, et/ou d’intégration des services, en lien étroit avec la mission de gestion de cas dans l’objectif de continuité des parcours des personnes.
La journée d’étude propose de réaliser un état des lieux des connaissances scientifiques et des expériences vécues en France, en Suisse, en Belgique et au Québec sur les thèmes de la coordination, de l’intégration des services et de la gestion de cas.

Cette journée s’adresse aux professionnels du secteur gérontologique, du handicap et de la santé mentale, ainsi qu’aux représentants des associations d’usagers, aux étudiants et aux chercheurs. Elle est organisée par le CNAM, en partenariat avec la CNSA, l’EHESP et La Fondation Paul Bennetot (Fondation du Groupe Matmut sous égide de la Fondation de l’Avenir).

La Fondation Paul Bennetot, par son rapport sur « Les nouvelles fonctions de coordinations en traumatologie et dépendance », paru en 2011, est aujourd’hui largement reconnue sur cette question qui participe à une nouvelle conception de l’organisation des soins centrée sur le parcours de soins.

Pour vous inscrire (entrée libre sur inscription)


Département Droit, Intervention Sociale, Santé, Travail

CNAM 292 rue Saint-Martin - Case I- 75141 Paris Cedex 03
Par email : zaia.rehiel@cnam.fr

vendredi 8 mars 2013

Baromètre Emploi : Spécial Journée de la Femme - 1 Secrétaire sur 2 est un homme

1 Secrétaire sur 2 est un homme
1 Gardienne d'enfant sur 2 aussi !
Top 10 des métiers les plus demandés : 60% de femmes


"Si l'égalité des sexes dans le monde du travail est encore loin d'être une réalité, les femmes sont en revanche aujourd'hui plus nombreuses à rechercher un emploi. Il semble également que devant la pénurie de profils, les hommes comme les femmes postulent pour des postes qui ne leurs étaient pas dédiés autrefois en mettant en avant leurs compétences plutôt que leur sexe".
Stéphanie Delestre, fondatrice de Qapa.fr


Paris, 25 février 2013. Chaque mois, Qapa, le premier outil de mise en relation dédié à l'emploi, analyse et communique les données de plus de 500 000 demandeurs d'emploi et de plus de 75 000 offres d'emplois.


Plus de candidates que de candidats
Depuis le début de l'année 2013, Qapa a enregistré une nette augmentation des inscriptions de la gente féminine. En effet, sur les 10 secteurs métiers les plus demandés actuellement, les femmes sont largement majoritaires avec une représentation de 60%.

Le top 10 des métiers les plus demandés

   Répartition des demandes
  Métiers les plus demandés Femmes Hommes
N°1 Esthéticien / Esthéticienne 90% 10%
N°2 Assistante de direction 70% 30%
N°3 Vendeur / vendeuse en prêt à porter 70% 30%
N°4 Assistant commercial 70% 30%
N°5 Garde d'enfant à domicile 60% 40%
N°6 Secrétaire / Assistant administratif / Assistante de direction 55% 45%
N°7 Collaborateur d'expertise comptable 54% 46%
N°8 Vendeur / vendeuse en boulangerie-pâtisserie 55% 45%
N°9 Comptable 40% 60%
N°10 Réceptionniste en hôtellerie 30% 70%
  Total 60% 40%


Les métiers dédiés aux soins et à la mode sont les plus recherchés depuis le début de l'année 2013 avec une représentation des femmes de 90%. Ces postes sont encore majoritairement ciblés par les femmes même si la proportion des hommes tend à augmenter considérablement. Il est ainsi surprenant de constater que le secrétariat est aujourd'hui à parité égale entre hommes et femmes. De même, certains métiers comme la garde d'enfant à domicile sont également en passe de devenir égaux avec 60% de femmes et 40% d'hommes.


Des inégalités de salaires pour les deux sexes
L'inégalité des salaires est encore bien présente mais joue aussi bien en faveur des hommes que des femmes pour certains secteurs.
Il est ainsi encore injuste de constater qu'un homme "Assistant de Direction" sera payé en moyenne 200 euros net par mois de plus qu'une femme pour le même travail.
En revanche, cette inégalité se retrouve inversée en faveur des femmes pour la "Garde à domicile" ou pour la "vente en Boulangerie-Pâtisserie". Pour ces métiers, à travail et compétences égaux, les hommes sont sous-payés. 

  Salaires moyens nets
  Femmes Hommes
Garde d'enfant à domicile 1 451,00 € 1 211,44 €
Vendeur / vendeuse en prêt à porter 1 470,43 € 1 432,88 €
Vendeur / vendeuse en boulangerie-pâtisserie 1 421,12 € 1 388,45 €
Esthéticien / Esthéticienne 1 332,80 € 1 360,12 €
Assistante de direction 1 467,87 € 1 689,12 €
Assistant commercial 1 511,01 € 1 567,44 €
Secrétaire / Assistant administratif / Assistante de direction 1 485,13 € 1 522,15 €
Collaborateur d'expertise comptable 1 625,78 € 1 682,70 €
Comptable 1 905,50 € 1 941,56 €
Réceptionniste en hôtellerie 1 455,21 € 1 427,88 €
Moyenne des salaires 1 512,59 € 1 522,37 €


A propos de Qapa
Qapa est le premier outil de matching dédié à l'emploi qui met en relation les souhaits et compétences des candidats avec les besoins des recruteurs. Grâce à Qapa, les candidats trouvent rapidement un emploi adapté à leur profil et les recruteurs entrent en relation avec les candidats les plus pertinents. Basée à Paris, Qapa a été cofondée par Stéphanie Delestre, Olivier Zier, Corentin Larose et Florian Auriau. Un an après le lancement de Qapa, la société a lancé le site
www.qapable.fr en juillet 2012 qui met en relation des personnes qui ont besoin de réaliser une tâche ponctuelle ou régulière avec des personnes qui effectuent ce genre de prestation pour compléter ou avoir des revenus.
La Société a clos un premier tour de financement auprès de Partech International, 360 Capital Partners et de business-angels, dont Raphaël Zier.
Qapa en bref :
1,6 million de visiteurs uniques par mois
500.000 candidats inscrits
75.000 offres d'emploi
Pour en savoir plus :
www.qapa.fr

8 mars : journée de la femme



Maïa Baudelaire



Son combat contre les méthodes de régime à risques



1èreFemme Nutritionniste fondatrice du nouveau service de Coaching Minceur sur-mesure, remboursé par les mutuelles,

Maïa milite depuis 20 ans en faveur de la bonne nutrition et du rééquilibrage alimentaire


Née à Paris et issue d'une famille de médecins, Maïa
Baudelaire est très tôt passionnée par tout ce qui concerne l'alimentation. Après de nombreux voyages durant lesquelles elle se sera imprégnée de modes de vie et de cultures alimentaires très différentes, Maïa débute sa carrière aux Etats-Unis. Elle occupera diverses fonctions en Santé publique dont Nutritionniste dans un prestigieux centre de recherche N.I.H (National Institutes of Health) et à l' U.S.D.A (U.S. Department of Agriculture, Washington DC) dans le domaine de l'épidémiologie.




De retour en France, elle rejoint avec grand bonheur le groupe Kellogg's, pour un poste à responsabilités, afin de développer la gamme santé des céréales du petit déjeuner en Europe, notamment Spécial K. Elle mènera ainsi une large campagne sur l'importance du 1er repas de la journée : le petit déjeuner.




Maïa étend ensuite ses compétences à l'international chez Unilever comme Directrice Marketing Santé : basée à Londres, elle gère les problématiques liées à la Santé, à l'alimentation et au développement durable dans de nombreux pays. Visionnaire et dotée d'un esprit sans cesse innovant, elle lance notamment « Vie », boisson naturelle à base de fruits et légumes de saison, primée comme meilleure innovation mondiale.




Femme et mère de famille adorant bien manger, Maïa s'engage également dans des campagnes de Santé publique pour promouvoir l'importance de manger des fruits et légumes, de prendre ses repas ensemble, de cuisiner et de transmettre les traditions culinaires.




Elle communique ainsi à travers le monde en créant une multitude d'évènements éphémères : pique-niques géants, slogans pour encourager les pères à rentrer plus tôt et partager les repas en famille, repas entre voisins, ateliers de cuisine éphémères...




Soucieuse de l'éthique professionnelle et du respect que chacun apporte à son corps et à son image, Maïa souhaite répondre à la problématique de surpoids qui se développe en France et dans le monde : plus qu'une simple question d'image, c'est un réel problème de Santé publique.



Maïa fonde alors I Love My Diet Coach® (ilovemydietcoach.com), le nouveau programme de Coaching Minceur par téléphone personnalisé et humain qui aide les femmes et les hommes à retrouver leur poids idéal de manière naturelle et durable, tout en gardant la forme!




Ce programme unique de Coaching Minceur propose une méthode révolutionnaire « 360° », qui allie Bien-être, Nutrition santé et Activité physique douce, s'adaptant au rythme de vie de chacun, pour se sentir en forme et en beauté, sans contraintes.




La légèreté de certaines méthodes, et leurs erreurs dangereuses pour la santé, sont notamment deux arguments qui l'ont amenés à mettre tout son savoir-faire au service d'un nouveau concept expérimenté aussi bien dans sa vie de mère de famille que dans sa vie professionnelle.




100% efficace, grâce au suivi régulier par téléphone avec un Coach Minceur dédié, Diététicien Nutritionniste diplômé d'Etat, cette Méthode innovante veut prouver qu'il est possible de mincir sans frustration tout en gardant convivialité et plaisir.




Reconnu comme un service éthique et efficace, I Love My Diet Coach® est le 1er service de coaching minceur nomade remboursé par plus de 90 % des mutuelles.

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NDLR : MGEFI et NUTRITION

Chats experts : les rendez-vous de la nutrition


Santé


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lundi 25 février 2013

Agenda :


 

28 février 2013 - Journée internationale des Maladies rares

 

24 au 26 mars 2013 - BIOVISION 2013 - RDV incontournable des Sciences de la Vie 3000 participants -65 nationalités- issus des secteurs académique,politique, industriels, financiers et de la société civile se réuniront pendant trois jours à Lyon.

De la recherche en passant par l'accélération des découvertes technologiques et biologiques, le modèle humain est en train d'évoluer,BIOVISION 2013 fera le point précis des avancées les plus innovantes au bénéfice du citoyen.

Le programme et la photothèque de BIOVISION 2013 sont accessibles
sur
www.biovision.org


 

vendredi 15 février 2013

Journée Internationale du cancer de l’enfant



  La Fondation Sanofi Espoir et l’Union Internationale Contre le Cancer renforcent leur partenariat
My Child Matters pour trois ans

- 38 700 enfants pris en charge et 9 700 professionnels de santé formés depuis 2006 -



Paris, France et Genève, Suisse - le 14 février 2013

- A l’occasion de la Journée Internationale du cancer de l’enfant, l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) et la Fondation Sanofi Espoir annoncent le renouvellement pour trois ans de leur partenariat My Child Matters, visant à lutter contre les cancers de l’enfant dans les pays à ressources limitées.

Le nouveau plan d’action est construit autour de trois priorités : l’accompagnement renforcé et l’évaluation des projets en cours dans 15 pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, l’appui aux réseaux de soins internationaux et le déploiement d’actions de sensibilisation au plus haut niveau pour que les cancers de l’enfant deviennent une priorité de santé publique mondiale.

«

Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l’accès à la santé des plus démunis et qu’il a permis, tout à la fois, de renforcer la filière de soins et d’influencer les politiques de santé », explique Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de renforcer notre partenariat My Child Matters qui a démontré sa capacité à faire bouger les lignes. C’est le cas, notamment, au Philippines Children’s Medical Center, où le taux de survie à 2 ans, pour les leucémies, a progressé de 16% à 68% et où les traitements pour les plus démunis sont désormais pris en charge par l’Etat. »

Depuis 2006, plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. Au total, 38 700 enfants ont été pris en charge et 9 700 professionnels de santé ont été formés.

«

Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir, initié en 2005, est l’un des plus forts et des plus emblématiques pour l’UICC, en raison de son impact significatif sur la lutte contre les cancers de l’enfant dans le monde », résume Cary Adams, Chief Executive Office, Union Internationale Contre le Cancer. « Aujourd’hui, le fossé entre les taux de survie dans les pays développés et dans les pays à bas revenus se réduit. Les capacités de diagnostic précoce et de traitement ont été développées dans les pays concernés. Enfin, la cause des cancers de l’enfant est désormais défendue dans les pays et au plus haut niveau international, à l’OMS ou au Comité des Nations Unies sur les maladies non-transmissibles. »

Plus de 175 000
* enfants sont confrontés chaque année au cancer et au moins 90 000* en meurent. Près de 80 % des enfants atteints d’un cancer dans les pays développés guérissent grâce à une prise en charge précoce et efficace. Ce taux tombe malheureusement à 20 % des enfants, voire 10 %, dans les pays à faibles ressources où l’information, le diagnostic précoce, l’accès aux soins et aux traitements sont souvent difficiles.

Le programme
My Child Matters, conçu par l’équipe de la Fondation Sanofi Espoir et déployé avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), le St Jude Children’s Research Hospital (Etats-Unis) 2/2

et d’autres organisations partenaires, associe soutien financier, appui d’experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : l’information et la sensibilisation du grand public et des autorités, la formation de personnels qualifiés, le diagnostic plus précoce, l’accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, ainsi que le soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants.

Chaque année, un bilan est dressé avec chacun des partenaires locaux pour mesurer les impacts du programme sur les bénéficiaires directs, notamment les enfants et leurs familles, ainsi que les professionnels de santé, et pour juger de l’effet de levier sur les politiques de santé des pays.

* Source : UICC / SIOP (Février 2013) http://www.siop-online.org/


A propos de l’UICC


L’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation non-gouvernementale créée en vue d’aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l’éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l’UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Pour plus d’informations : www.uicc.org.


A propos de la Fondation Sanofi Espoir


La Fondation d’Entreprise Sanofi Espoir a été créée en octobre 2010 par le groupe Sanofi pour capitaliser plus de 15 années d’engagement de solidarité internationale. Sa vocation est de contribuer à réduire les inégalités en santé, en particulier auprès des populations qui en ont le plus besoin, dans une démarche de responsabilité sociale. Son action s’articule autour de trois axes majeurs : la lutte contre les cancers de l’enfant, la lutte contre la mortalité maternelle et infantile et l’accès aux soins pour les populations les plus démunies. Pour plus d’informations : www.fondation-sanofi-espoir.com


Liste des membres du Comité de pilotage de My Child Matters

Le Président, Pr Raul Ribeiro (Directeur de la division leucémies et lymphomes, St Jude Children’s Research Hospital, USA) et les autres membres : Pr Andrea Biondi (Clinica Pediatrica Ospedale S. Gerardo, Italie), Pr Franco Cavalli (Directeur, Istituto Oncologico della Svizzera Italiana), Prof. Mariana Kruger, présidente SIOP Afrique, représentant la Société internationale d’Onco Pédiatrie-SIOP, Pays Bas), Mr Kenneth Dollman (International Confederation Of Childhood Cancer Parent Organisations- ICCCPO), Dr Joe Harford (Directeur des Relations Internationales, National Cancer Institute, USA), Pr Mhamed Harif (Président, Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique, France), Mme Ruth Hoffman (Directrice, Childhood Cancer Foundation, USA), Pr Tezer Kutluk (Turkish Association for Cancer Research & Control, Turquie), Dr Ian Magrath (Président, International Network for Cancer Treatment and Research, Belgique), Dr Twalib Ngoma (Directeur, Ocean Road Cancer Institute, Tanzanie), Dr Eva Steliarova-Foucher (Direction de la recherche, Centre International de Recherche sur le Cancer, France).