Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est ENVIRONNEMENT. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est ENVIRONNEMENT. Afficher tous les articles

jeudi 30 mai 2013

Sécurité des médicaments


 
Le Parlement européen renforce la transparence sur les essais cliniques

 

Au Parlement européen cet après-midi, les membres de la commission pour l'environnement, la santé et la protection des consommateurs (ENVI) ont voté en faveur du nouveau règlement européen encadrant les essais cliniques de médicaments (2012/0192 (COD)).

 

Alors qu'en France le procès du Mediator bat son plein et que l'autorisation de mise sur le marché de Diane 35 vient d'être suspendue, la question de la sécurité des médicaments placés sur le marché intérieur est au cœur des enjeux de santé publique.

 

Pour l'eurodéputée Michèle RIVASI, vice-présidente du groupe des Verts/ALE au Parlement européen :

 

"Les médicaments ne sont pas des produits comme les autres et présentent des risques parfois mortels: selon le professeur Bernard Bégaud, témoin au procès du Mediator, les médicaments causent en France autant de décès que les suicides et les accidents de la route réunis, soit 18 000 morts par an.

 

Il est donc essentiel que les citoyens européens puissent avoir confiance dans les essais cliniques réalisés en amont: seuls ces tests permettent de garantir la sécurité des médicaments avant leur mise sur le marché ou leur extension d'autorisation de mise sur le marché. Mais encore faut-il que tous les résultats soient rendus publics, car sinon des informations importantes sur les effets indésirables apparus lors des essais cliniques risquent d'être mises sous le tapis par l'industrie pharmaceutique, soucieuse d'éviter toute publicité négative."

 

Michèle Rivasi ajoute:

 

"C'est pour cette transparence des données que je me bats avec le groupe des Verts depuis le début. Le vote d'aujourd'hui acte clairement l'obligation de publication de l'analyse complète des données cliniques qui ont servi à la mise sur le marché d'un médicament, par-delà toute considération commerciale.

 

Et le combat ne s'arrête pas là, rendez-vous à Strasbourg pour le vote final à l'issue des négociations avec la Commission européenne et le Conseil".

mardi 21 mai 2013

Les perturbateurs endocriniens quels risques pour demain ?


SANTÉ & ENVIRONNEMENT

Les perturbateurs endocriniens quels risques pour demain ?

Le mardi 4 Juin 2013  de 11H à 13H

ESPACE CHARENTON

327, rue de Charenton 75012 Paris


Métro
ligne 8 Station : Porte de Charenton - Tram T3 : Station : Porte de Charenton:
Bus :
Ligne PC 2 Arrêt : Porte de Charenton  Ligne 87 Arrêt : Charenton jardinier Ligne 111 Arrêt : Porte de Charenton

Par la route : Périphérique sortie : Porte de Charenton  Porte de Bercy


Ces substances toxiques qui nous entourent…


Notre santé dépend du bon fonctionnement de notre système endocrinien. Il régule la sécrétion d’hormones essentielles au métabolisme, à la croissance, au développement, au sommeil et à l’humeur…

Certaines substances, connues sous le nom de perturbateurs endocriniens, viennent perturber une ou plusieurs fonctions du système endocrinien et ainsi accroître le risque de survenue de problèmes de santé.
Baisse de la fertilité masculine, puberté précoce, malformations congénitales, cancers du sein,… autant de troubles qui sont en nette augmentation ces dernières décennies.


Certains perturbateurs endocriniens sont naturels tandis que d’autres synthétiques sont  présents dans les pesticides, les appareils électroniques, les produits d’hygiène personnelle et les cosmétiques.

Certains additifs alimentaires ou contaminants présents dans l’alimentation sont également susceptibles de perturber le système endocrinien.


La santé environnementale soulève des problématiques émergentes directement liées à notre état de santé. Même s’il est encore extrêmement difficile de déterminer exactement les causes et les effets,
les pouvoirs publics devront définir des priorités de recherche pour étudier les liens entre les perturbateurs endocriniens chimiques et la santé et ainsi atténuer les risques. Il incombe aussi à tous de protéger les générations futures.




Pour en débattre :



Animateur
:

Jacques DRAUSSIN, Rédacteur en chef du magazine « Bien Sûr Santé »


Intervenants
:


Dr William VEZINET, Médecin inspecteur de santé publique, ancien Conseiller technique à la direction de L’hospitalisation et de l'organisation des soins
«Le principe de précaution et les risques populationnels»;


Pr Robert BAROUKI, Directeur de l’Unité UMR-S 747 Inserm-Université Paris Descartes "Toxicologie Pharmacologie et Signalisation Cellulaire"

«Les perturbateurs endocriniens: liens avec les pathologies et leurs modes d’actions»


Léonora TREHEL, Présidente de la mutualité française Ile de France

«Le contexte et les enjeux en Ile-de-France, l’implication de la Mutualité Française»



Valérie DOMENEGHETTY, WECF Ile-de-France Consultante en santé environnementale

«Les actions du WECF: présentation  des actions de sensibilisation à travers les ateliers Nesting et MA maison MA santé »


Débat avec la salle



Un déjeuner réunira intervenants et journalistes

 

NOTA : l’Assemblée générale nationale de la MGEFI se déroulera les 18 et 19 juin prochains au palais des congrès de Reims.

Confirmation de présence et inscription au déjeuner auprès de :

Nora ANSELL-SALLES
06 70 74 15 42/ 06 60 43 58 09

nansellsalles@mgefi.fr

mercredi 24 avril 2013

LIBRES PROPOS signés Jacques Draussin


Vaccination à la petite semaine

 

Ici même, il y a plusieurs mois, nous pestions contre toutes ces journées thématiques qui scandent notre calendrier à grands coups de pathologies plus ou moins graves. Nous ne mesurions pas le poids de notre influence.

 

Au vu de la discrétion extrême avec laquelle se déroule la Semaine de la vaccination [pour mémoire, du 20 au 27 avril],  il semblerait que notre appel à la mesure ait en effet été entendu au-delà de nos espérances.

 

Très au-delà même car s'il est un sujet de santé sur lequel l'information a besoin d'être musclée, c'est sans conteste celui de la vaccination. Mise à mal par des rumeurs d'effets secondaires dramatiques, accusée de n'avoir comme seuls bénéfices que ceux engrangés par l'industrie pharmaceutique, descendue en flammes par la Cour des Comptes pour sa coûteuse politique, la vaccination a pourtant bien besoin d'un coup de main.

 

Lire la suite : www.biensur-sante.com
 
 
 
 
 
 
 
NDLR : MGEFI et Jacques DRAUSSIN
Chaque année le directeur de la publication de Bien Sûr Santé, anime gracieusement la table ronde qui clôture l'Assemblée générale de Paris.
 La thématique de cette année est consacrée à "Santé et Environnement".
Elle se déroulera de 11h30 à 13h le 4 juin prochain à l'Espace Charenton.
Relations presse de la table ronde : nansellsalles@mgefi.fr
 
 
 
 
 
 
 

lundi 22 avril 2013

Environnement chimique, obésité, diabète :


Un constat pour une meilleure prévention

 

« Environnement chimique, obésité, diabète : un constat pour une meilleure prévention », c’est le thème du colloque, organisé à Paris le 4 avril dernier par la Mutualité Française et le Réseau Environnement Santé, qui a rassemblé 300 personnes à l’Assemblée Nationale.

 

«  Nous sommes aujourd’hui face à une épidémie de maladies chroniques et c’est à cet enjeu que nous devons répondre dès à présent » ont rappelé Etienne Caniard, président de la Mutualité Française et André Cicolella, président du Réseau Environnement Santé, en introduction de ce colloque.

 

Ce colloque s’est articulé autour de deux temps forts. La matinée a été consacrée aux travaux de recherche sur les maladies métaboliques et les perturbateurs endocriniens pour dresser un premier constat. En effet, sans remettre en cause les rôles de l’excès énergétique et de la sédentarité dans la progression de l’obésité par exemple, d’autres facteurs comme diverses molécules de synthèse présentes dans notre environnement interviennent dans l’évolution de ce type de maladie métabolique. La compréhension des mécanismes d'action de ces substances chimiques, dit perturbateurs endocriniens, est aujourd'hui décisive pour agir en matière de santé publique. Pour en parler : le Pr Arnaud Basdevant, Responsable du pôle « Endocrinologie-Diabétologie-Nutrition-Prévention » à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière, le Pr Anne Dutour-Meyer, chef de service « Endocrinologie, nutrition et maladies métaboliques » à l’hôpital Nord de Marseille, le Pr Serge Hercberg, directeur de recherche Inserm, président du comité de pilotage permanent du programme national « Nutrition santé », le Dr Gilles Nalbone, directeur de recherche émérite Inserm, le Pr Claudine Junien, professeur de génétique à l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines, le Pr Robert Barouki, directeur de recherche Inserm et le Dr Rémy Slama, président du conseil scientifique du Programme National de Recherche sur les Perturbateurs Endocriniens (PNRPE).

 

L’après-midi a tout d’abord été axée sur les aspects réglementaires et économiques avec les interventions du Dr Jean-Martin Cohen Solal, directeur général de la Mutualité Française, du Dr Pierre Mignen, chef du département d’information médicale au Clinipôle de Montpellier et de Yannick Vicaire, chargé de mission au Réseau Environnement Santé. Une table ronde a ensuite suivi, dédiée aux nombreuses actions de promotion de la santé environnementale déjà menées par des acteurs de la société civile pour sensibiliser le grand public et former les professionnels des secteurs sanitaire et médico-social à la réduction des risques environnementaux. Elle a réuni : Monique Augé, présidente de la Mutualité Française Bourgogne, le Dr Olivier Toma, président du Comité pour le Développement Durable en Santé, Claire Escriva, directrice de l’Atelier méditerranéen de l’environnement, Philippe Perrin, éco-infirmier, le Dr Philippe Richard, pneumologue et président de l’Association Protection Santé des Habitants de Saint-Omer, le Dr Laurent Chevallier, médecin nutritionniste au CHU de Montpellier et Camille Geay, chargée de prévention à la Mutualité Française Nord-Pas de Calais. Cette table ronde a aussi mis en lumière différentes actions mises en place pour protéger la santé des plus fragiles.

 

La conclusion de cette journée a porté sur la place des maladies métaboliques dans la stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Catherine Mir, adjointe au chef de service de la prévention des nuisances et de la qualité de l’environnement au sein de la Direction générale de la prévention des risques du Ministère de l’écologie ainsi que Gérard Bapt, député de Haute-Garonne et Jean-Louis Roumégas, député de l’Hérault, respectivement ancien et nouveau président du groupe santé environnement à l’Assemblée nationale, sont intervenus dans le débat.

 

Catherine Mir a évoqué les enjeux autour de la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Puis Jean-Louis Roumegas a rappelé qu’ « une stratégie globale en matière de perturbateurs endocriniens est nécessaire si l’on veut répondre à l’enjeu de santé publique ». Gérard Bapt a précisé qu’  « il y a nécessité d’une prévention primaire, c’est une bataille nationale et européenne à mener ».

 

Au-delà de la réglementation, André Cicolella a invité la Haute Autorité de Santé à se saisir de la question et à formuler au plus vite des recommandations pour réduire l’exposition aux substances diabétogènes et obésogènes. Il n’est plus possible de se contenter de la médecine curative. La prévention et la protection des malades doivent venir compléter le processus de prise en charge.

 

« Il faut que les plans et stratégies se croisent» a rappelé Serge Hercberg insistant sur la nécessité d’examiner de façon commune la pollution chimique par les perturbateurs endocriniens dans les différents plans nationaux PNSE, PNNS, Plan Obésité et Plan Alimentation.

 

Rémy Slama et Robert Barouki ont quant à eux souligné les besoins de recherche sur cette thématique ajoutant qu’il n’est pas nécessaire de connaitre toutes les réponses pour commencer dès à présent à agir. Robert Barouki a rappelé que « La recherche d’aujourd’hui va aider la prévention et les décisions de demain ».

 

Après cette journée d’échanges et de discussions, André Cicolella a conclu : « l’impact des perturbateurs endocriniens dans l’épidémie de maladies chroniques ne peut plus être ignoré. Les maladies métaboliques comme le diabète et l’obésité doivent ainsi être prises en compte dans la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. La France et l’Europe doivent se doter de stratégies ambitieuses pour répondre à cet enjeu ».

 

 

 

A propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.

 

 

 

 

A propos du RES

 

Présidé par André Cicolella, le Réseau Environnement Santé (association loi 1901) a été créé en 2009 pour mettre les questions d’environnement et de santé au cœur des politiques publiques. Il regroupe 4 groupes d’associations : ONG, scientifiques, professionnels de santé et malades.

 

Nous agissons pour une meilleure prise en compte du principe de précaution sur une base scientifique solide, qui s’appuie sur des études validées et indépendantes des intérêts privés.

 

La 1ère campagne lancée par le RES a abouti, tout d’abord à l’interdiction dans les biberons puis dans tous les contenants alimentaires du Bisphénol A, une molécule employée par l’industrie chimique malgré les nombreux risques sanitaires associés : cancer, diabète, obésité, troubles de la reproduction et du système nerveux.

 

Comme l’illustre cette campagne, le RES cherche à mettre dans le débat public les connaissances scientifiques disponibles et faire en sorte que les acteurs institutionnels et économiques mettent en œuvre le principe de précaution pour établir les réglementations et transformer les procédés industriels.

 

A propos du partenariat entre la Mutualité Française et le RES

 

Partenaires depuis 2010, la Mutualité Française et le RES agissent pour le développement d’une culture et d’une approche commune sur la santé environnementale et le renforcement d’actions d’information, de sensibilisation, de prévention et de promotion de la santé. Cette volonté partagée se décline autour de 4 axes de coopération :

 

-       construire des actions d’information, de sensibilisation et de formation à destination des mutualistes sur la santé environnementale,

-       développer des actions d’information et de sensibilisation à destination du grand public,

-       réaliser des états des lieux de publications sur des thèmes pour lesquels il est important de faire avancer la connaissance,

-       contribuer à des projets de recherche sur les risques émergents.

 

NDLR : MGEFI et Pr Robert Barouki,

Le professeur Barouki sera l’un des intervenants de la table ronde « SANTE ET ENVIROMENT » qui clôturera les travaux de l’assemblée MGEFI de Paris le 4 juin prochain de 11h30 à 13h à l’Espace Charenton.

Cette table ronde fera l’objet d’une couverture presse

Pour en savoir plus contacter :

nansellsalles@mgefi.fr

 

vendredi 15 mars 2013

Santé et environnement au coeur des préocupations de la MGEFI...


Nous passons en moyenne 14 heures par jour à notre domicile. Nous évoluons dans un environnement que nous souhaitons confortable et agréable à vivre, mais l’air que nous y respirons est parfois chargé de particules potentiellement nocives pour la santé. Ainsi, notre intérieur est susceptible de provoquer allergies, irritations ou maladies des voies respiratoires, et intoxications.


 

 

2 questions à Jean Guesné

Président de la Commission Prévention de la MGEFI

Engagée de puis toujours dans la prévention, la MGEFI a choisi en 2013 de sensibiliser ses adhérents au thème de la santé et de l’environnement. Jean GUESNE, président de la Commission Prévention, explique les raisons de ce choix.

 

Pourquoi le thème de la santé et environnement ?

 

 « Il est aujourd’hui admis que de nombreux facteurs environnementaux, la qualité de l’air intérieur, de l’air extérieur, la qualité des eaux distribuées, les pollutions des sols, la radioactivité, l’insalubrité, le bruit… peuvent avoir un rôle déterminant dans la survenue de pathologies, telles que le cancer, les maladies cardio-vasculaires, l’asthme, les allergies, les troubles neurologiques, troubles du sommeil ou de l’audition.

 

Chacun de nous est concerné. C’est pourquoi La MGEFI a souhaité aborder la problématique de la qualité de l’air intérieur.

 

Pourquoi ce périmètre ?

 

:« La notion de qualité de l’air intérieur est récente. Les enquêtes de l’INSPES montrent que la pollution de l’air fait l’objet d’un sentiment d’information particulièrement bas. Or, des études témoignent d’une pollution spécifique à l’intérieur des logements, des bureaux ou des écoles, due à la présence de certains polluants. Notre mode de vie conduit la plupart d’entre nous à passer plus de 80% du temps dans des espaces fermées, au domicile ou au travail. Si la pollution de l’air intérieur touche une personne sur cinq, les gestes préventifs sont simples à mettre en œuvre.

 

En savoir plus

Retrouvez dans le N° 11 de Février 2013 de Couleurs MGEFI  ainsi que sur le CD audio cet article


 

mercredi 6 mars 2013

Votre environnement de sommeil est-il exposé à des nuisances ?


Partagez votre expérience à l'occasion de la 13e Journée du Sommeil

 

Pour la 13ème Journée du Sommeil, vendredi 22 mars, les spécialistes souhaitent sensibiliser les Français à l’importance de l’environnement pour un sommeil de qualité. Trois grandes nuisances environnementales perturbent la qualité de notre sommeil, non sans conséquences sur la santé et la qualité de vie.

Le bruit, premier facteur perturbateur du sommeil, provoque difficultés d’endormissement et réveils nocturnes. La lumière nocturne, (éclairage urbain, éclairage domestique trop puissant, lumières des écrans, etc.), désynchronise l’horloge biologique. Enfin, les excès de température, canicules ou grands froids, fragmentent le sommeil et le rendent moins récupérateur.

Faîtes-nous part de votre expérience sur vos conditions de sommeil en répondant à quelques questions sur le site de l'Institut National du Sommeil et de la Vigilance.

mardi 12 février 2013

mercredi 6 février 2013

Au Sommaire du N° de Février 2013 de "Couleurs" MGEFI




OBJECTIF SANTÉ

> Sports d’hiver : pour en profi ter sans se blesser

> Les Français en manque de vitamine D

 

PROTECTION SOCIALE

> Adhésion au groupe Istya

> Réseaux de soins : un atout majeur pour l’accès aux soins

 

S’INFORMER, SE PROTÉGER

> Santé et environnement

> Bon à savoir

 

MIEUX VIVRE VOTRE QUOTIDIEN

> Améliorer l’éclairage de son habitat

> Enfants : les secrets d’un bon sommeil

 

MA MUTUELLE EN PRATIQUE

> Infos MGEFI

> Vos remboursements

> Questions fréquentes

> Changement de situation

> Votre réseau de conseillers mutualistes

mardi 5 février 2013

13ème Journée du Sommeil : 22 mars 2013 - L'environnement : Bruit, lumière, température



Trois grandes nuisances environnementales perturbent la qualité de notre sommeil, non sans conséquences sur la santé et la qualité de vie :
 
 - Le bruit, premier facteur perturbateur du sommeil, provoque difficultés d’endormissement et réveils nocturnes.
 - La lumière nocturne (éclairage urbain, éclairage domestique trop puissant, lumières des écrans, etc.), désynchronise l’horloge biologique.
 - Les excès de température, canicules ou grands froids, fragmentent le sommeil et le rendent moins récupérateur.
 
La présence fréquente d'outils électroniques dans la chambre s'ajoute à ces facteurs. Un phénomène particulièrement préoccupant chez les jeunes : ordinateurs et/ou jeux électroniques, sont autant d'éléments susceptibles de raccourcir grandement la durée et la qualité de leur sommeil.
 
La Journée du sommeil®, vendredi 22 mars prochain, sera l'occasion pour les spécialistes de sensibiliser le public à l’importance d'un environnement favorable à un sommeil de qualité et de délivrer quelques conseils pratiques.
 
L'enquête OpinionWay, qui est actuellement réalisée par l'INSV en partenariat avec la MGEN, apportera un éclairage sur les habitudes des français en matière d'environnement et sommeil.
  

Merci de bien vouloir noter que la conférence de presse aura lieu à Paris
le mardi 19 mars à 9h30


   
Sensibiliser le public
, favoriser le dépistage et rappeler que des structures de soins existent lorsque le sommeil devient pathologique, telle est la vocation de la Journée du Sommeil® depuis 2000. En 2013, plus d’une cinquantaine de centres de sommeil seront mobilisés dans de nombreuses villes françaises avec le concours d’associations de malades.


 • Information du public sur www.journeedusommeil.org
 
 Page Facebook dédiée


Le programme sera disponible en ligne début mars 2013

 

mardi 27 novembre 2012

SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des études


Paris 5 / Paris 6 / Paris 7

    Lundi 3 décembre 2012

17h00 - 20h00

  AgroParisTech. Amphithéâtre Tisserand

16, rue Claude Bernard. 75005 Paris

 

  (Re)passez votre certificat d’études !

 

17h00

DU CERCLE VICIEUX DE BRENNER AU CERCLE VERTUEUX DE L’OMS

André AURENGO - Paris VI

17h15

CÔTÉ SCIENTIFIQUE : UNE ÉTUDE PEUT EN CACHER UNE AUTRE...

Claude MONNERET : du « sans parabènes » à la une

André AURENGO : téléphones portables : du débat sur toute la ligne

Louis-Marie HOUDEBINE : on peut tout faire dire à des rats...

18h15

CONTEXTE : DEBAT PUBLIC OU MEDIATIQUE ?

Sylvestre HUET (Libération)

Marc MENNESSIER (Le Figaro)

18h45

SUIVI POLITIQUE : DÉCIDER ou décider de poursuivre les études

Un parlementaire

19h15 – 20h00

LE POINT DE VUE DE L'OPINION

Interventions du public et réponses aux questions posées par mail lors de l'inscription.

 

Si vous souhaitez assister, merci de vous inscrire


Ateliers Santé - Environnement                       

Paris 5 / Paris 6 / Paris 7

Dans le cadre du Diplôme Inter Universitaire (DIU) Santé - Environnement de Paris 5, Paris 6 et Paris 7, des ateliers ouverts sont organisés quatre fois par an pour éclairer le public sur les sujets qui font débat en santé dans sa nouvelle dimension environnementale et sociétale.

Ces ateliers sont conçus comme des « travaux pratiques » dans un objectif essentiellement pédagogique, afin de rendre compte de l'état des connaissances scientifiques mais aussi de leur évaluation, voire de leur interprétation, à tous les niveaux du débat public, depuis l'alerte jusqu'à la décision.

Deux premiers ateliers, en 2011 et 2012, sur la question des pesticides et la prise en charge des personnes électrohypersensibles ont permis de valider la pertinence de cette formule argumentaire et interactive, et d'envisager d'autres réunions sur le même modèle courant 2013.

Lundi 3 décembre 2012, de 17h00 à 20h00, les « 3e Ateliers santé-environnement » poseront la question de la validité des études telles qu'elles s'imposent aujourd'hui en référence incontournable, mais souvent discutable, à la fois sur le plan médiatique et dans un nouveau contexte de décision politique.

A partir d'exemples précis, des scientifiques, des journalistes et des décideurs démontreront, de leur point de vue, différent et complémentaire, parfois conflictuel, les difficultés actuelles et les contraintes de l'information et de la décision en santé.

Pour répondre avec des arguments validés et référencés aux incompréhensions et aux inquiétudes de nos concitoyens.

Pour fournir à ceux qui ont la responsabilité d'informer et de décider une grille de lecture adaptée aux conditions d'exercice et à l'éthique de leur métier.

 

Posez vos questions par courriel : claire.zaslavsky@upmc.fr