Nora ANSELL-SALLES

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mardi 12 janvier 2016

CHIFFRE: comparatif entre secteur privé et public...

PARLONS CHIFFRE




151 euros par an et par salarié d'aides publiques pour l'accès à la complémentaire santé pour les salariés du secteur privé contre moins de 6 euros par an et par agent d'aides publiques pour l'accès à la complémentaire santé pour la moitié des agents publics.

LE SAVIEZ-VOUS ?

SECTEUR PRIVE
50% de la complémentaire santé au minimum sont pris en charge par l'employeur privé
8,4% des agents du secteur privé effectuent des astreintes
14,9% des agents du secteur privé travaillent la nuit entre minuit et 5h (même occasionnellement)
25,8% des agents du secteur privé travaillent (même occasionnellement)

SECTEUR PUBLIC
3% de la complémentaire santé sont pris en charge par l'employeur public
16,1% des agents de la fonction publique effectuent des astreintes
17,5% des agents de la fonction publique travaillent la nuit (entre minuit et 5h même occasionnellement)
36,7% des agents de la fonction publique travaillent le dimanche (même occasionnellement)

Source: INDISPENSABLES magazine de la Mutualité Fonction publique N°4

lundi 27 juillet 2015

1er baromètre marketing Adetem 
des médias sociaux en entreprise

Médias sociaux le prochain défi des entreprises...


1er baromètre marketing Adetem 
des médias sociaux en entreprise
4 grands défis pour les entreprises françaises

Les médias sociaux se sont invités dans la vie des consommateurs et du grand public il y a plus de 10 ans…
Les entreprises, avec un peu de retard, ont suivi le mouvement. Désormais les médias sociaux sont présentés comme un pilier incontournable du marketing. Mais qu’en est-il réellement de leur usage marketing dans les entreprises françaises aujourd’hui?
En début d'année, l’Adetem – l’Association Nationale des Professionnels du Marketing – Hootsuite et l’agence Visionary Marketing, ont lancé le premier baromètre marketing sur l’usage des médias sociaux en France. Découvrez les résultats du baromètre et l’infographie.

Intégrer les médias sociaux à leurs pratiques, c’est désormais chose faite pour la plupart des entreprises françaises (93%)* mais quels défis est-ce que cela entraine ?

Défi 1 : Savez vous estimer votre R.O.I sur les médias sociaux ?
Sous la pression économique, la question de l’efficacité et du ROI des medias sociaux est aujourd’hui le principal challenge pour les entreprises françaises.
• Evaluer le ROI des médias sociaux – un challenge pour 65%
• Convaincre les dirigeants de s’y investir – un challenge pour 41%

Défi 2 : Avez vous mis en place une stratégie globale sur ces canaux ?
L’organisation et la cohérence stratégique sur les médias sociaux demeurent encore problématiques.
• Concevoir une stratégie globale – un challenge pour 55%
• Coordonner les stratégies des différents services – un challenge pour 29%

Défi 3 : Que faîtes-vous de toutes ces données ?
Social CRM, Social Intelligence… A l’ère du « big » et du « smart data », l’exploitation des données issues des médias sociaux n’est pas encore maîtrisée.
• Comprendre et exploiter les données recueillies – un challenge pour 31%
• Transformer ces données en plan d’action – un challenge pour 51%

Défi 4 : Est-ce que vous avez mis les moyens ?
Le manque de ressources qualifiées est encore un frein au déploiement des médias sociaux en France.
• Former le personnel – un challenge pour 45%
• Allouer le temps nécessaire – un challenge pour 43%
• Affecter les ressources – un challenge pour 38%

Contact presse : Elan Edelman - Nathalie.touzain@elanedelman.com - Tél : 06 74 92 93 52
> Voir l'infographie> Télécharger le CP complet









VOUS, VOTRE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ, ET LES RÉSEAUX SOCIAUX
Si vous aviez la possibilité d'échanger avec
votre complémentaire santé
 sur les réseaux sociaux vous choisiriez de préférence :

http://pressentinelle2.blogspot.fr/2015/07/vous-votre-complementaire-sante-et-les.html

mercredi 8 juillet 2015

Le groupe MGEN demande que soit mis en place un crédit d’impôt pour aider les fonctionnaires à acquérir une complémentaire santé

Réuni en assemblée générale à Metz le 7 juillet, le groupe MGEN a demandé que soit mis en place un crédit d’impôt pour aider les fonctionnaires à acquérir une complémentaire santé. Cette mesure de justice sociale garantirait que ces derniers ne soient plus les grands oubliés des aides à la complémentaire santé.


En effet, seul 1 % des aides publiques (50 millions d’euros sur 5 milliards annuels) bénéficie aux 5,6 millions d’agents publics. L’aide publique s’élève en moyenne à 260 euros, par an et par personne, pour les travailleurs non-salariés (contrats dits « Madelin »), à 150 euros pour les salariés du secteur privé, à 15 euros pour les agents de la fonction publique d’État toutes fonctions publiques confondues et à 2,20 euros pour les agents de l’Éducation nationale.

Le groupe MGEN demande que cette proposition soit portée lors des discussions des prochaines lois de finance.

Lire le communiqué de presse
20150708_CP_MGEN_AG_credit_impot.pdf




CONTACT
Benoît Coquille
Relations presse
Direction de la communication Groupe
Tél. 01 40 47 23 92 - 06 31 29 68 84
mgen.fr - @groupe_mgen
Retrouvez tous les communiqués de presse sur mgen.fr.
Suivez-nous sur Twitter: @groupe_mgen.




lundi 6 juillet 2015

Vous, votre complémentaire santé, et les réseaux sociaux...

VOUS, VOTRE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ, ET LES RÉSEAUX SOCIAUX
Si vous aviez la possibilité d'échanger avec
votre complémentaire santé
 sur les réseaux sociaux vous choisiriez de préférence :
 

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Linkedin
Viadéo
Forum de son site internet....
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Autre à préciser... 

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Bel été à tous!

lundi 22 juin 2015

#MGEFI 2015 texte de la RÉSOLUTION GÉNÉRALE

AG MGEFI 2015/RÉSOLUTION GÉNÉRALE




Avoir de l’ambition pour nos adhérents.
En plaçant cet objectif au cœur de leurs travaux, les 188 délégués, réunis à Marseille les 17 et 18 juin derniers pour la 14ème AG de la MGEFI, affichent résolument leur volonté d’agir, dans un contexte mouvant et contraignant, en vue de pérenniser un modèle solidaire de protection sociale en résonance avec les attentes et les besoins des adhérents.
Militants de la Sécurité Sociale, ils réaffirment leurs exigences pour un haut niveau de prise en charge du régime obligatoire en articulation avec l’intervention des complémentaires santé. Dans ce domaine, ils actent leur attachement à une gestion mutualiste de l’assurance maladie des fonctionnaires, tout en validant les changements opérés en interne au niveau des outils gestionnaires.
Acteurs de la protection sociale complémentaire, ils réitèrent leur engagement au sein du mouvement mutualiste pour obtenir la généralisation de la complémentaire santé et, en interne, leur détermination  pour faire évoluer les garanties de la Mutuelle qui doivent demeurer porteuses de solidarités fortes, complètes, innovantes et accessibles
Membres d’une communauté professionnelle, ils soulignent leur attachement au service public et rappellent leur volonté de conforter l’ancrage professionnel de la MGEFI, qu’ils veulent voir reconnu en obtenant, seule, une nouvelle fois son référencement.
Mutualistes et gestionnaires responsables, ils s’engagent à adapter leur organisation fonctionnelle et militante afin d’assurer la pérennité économique de la Mutuelle, l’efficience et la qualité du service rendu aux adhérents, dans une démarche forte  de proximité.
Cette stratégie d’ensemble doit conduire à mieux identifier et consolider la MGEFI dans son environnement. Aussi, ils approuvent massivement la participation de la Mutuelle aux travaux de rapprochement entre Harmonie et la MGEN, en vue de la construction d’un groupe mutualiste puissant.

lundi 13 avril 2015

Fonctionnaires des ministères financiers demandez un devis...

ADHÉRER A LA MGEFI ...

 

COMBIEN CA COÛTE ?

MGEFI, la mutuelle référencée des ministères économiques et financiers.

Une complémentaire santé et prévoyance adaptée à votre statut et à vos besoins, ainsi qu'à ceux de vos proches.

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jeudi 10 avril 2014

LIBRES PROPOS signés Julien MILLION

La santé des jeunes, grande oubliée du nouveau gouvernement





Annoncées comme priorités dans l’allocution du Président de la République au lendemain des élections municipales, la santé et la jeunesse ne semblent pas être au cœur des préoccupations du nouveau premier ministre. Mardi, dans son discours de politique générale, Manuel Valls a éludé la question de la jeunesse et a cru bon d’annoncer de nombreuses baisses de recettes pour la sécurité sociale, risquant de compromettre notre modèle de protection sociale solidaire. La LMDE s’inquiète des premières mesures annoncées par Manuel Valls, ainsi que de la direction et de la forme que prennent son nouveau gouvernement.



La santé n’est pas une charge, c’est un bien collectif

Au cours de son discours de politique générale, le premier ministre n’a cru bon d’évoquer ni la santé ni la jeunesse. La protection sociale n’a été abordée que comme une charge devenue trop lourde pour les entreprises et les salariés. La LMDE tient à dénoncer ces orientations qui remettent en cause le principe même de notre système de protection sociale solidaire.


Ce n’est pas en asphyxiant financièrement notre système de protection sociale et en renvoyant chacun à la prise en charge individuelle des risques sociaux que Manuel Valls et François Hollande tiendront leur promesse, celle de voir les français vivre mieux en 2017.



La santé et la jeunesse ne méritent-elles même pas un secrétaire d’Etat ?

Aujourd’hui ont été annoncés le nom et le portefeuille des douze nouveaux secrétaires d’Etat. Parmi eux, aucun n’est en charge de la santé ou de la jeunesse. Comment Manuel Valls compte-t-il traduire les priorités santé et jeunesse fixées par François Hollande sans même leur dédier un secrétariat d’Etat ?


Le gouvernement ne semble pas avoir pris la mesure du message adressé par les jeunes lors des élections municipales. Seules des mesures fortes et immédiates pourront leur redonner confiance.

La LMDE réitère sa demande d’être reçue dans les meilleurs délais par Marisol Touraine afin de lancer les chantiers tant attendus par les étudiants, à commencer par l’accès à une complémentaire santé et un renforcement de leur régime de sécurité sociale.

 


Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la sécurité sociale et la mutuelle complémentaire de 1,2 millions d’étudiants, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.

La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.



jeudi 27 mars 2014

Généralisation de la complémentaire santé et pilotage de branche : quelles conséquences ?

Colloque Ipse : La généralisation de la complémentaire santé pose encore « mille et une questions »


Le 12e Colloque professionnel Ipse s’est tenu le vendredi 21 mars 2014, sur le thème « Généralisation de la complémentaire santé et pilotage de branche : quelles conséquences ? ». Plus d’une centaine de participants ont ainsi pu débattre sur la mise en place de la généralisation de la complémentaire santé au sein des branches.


Lors de ce Colloque, Brice Lepetit, chef du bureau 3C à la Direction de la Sécurité sociale (DSS) a tout d’abord annoncé la parution d’une série de décrets « pour la mi-mai », portant sur la définition du haut degré de solidarité, le contenu du panier de soins minimal ANI, et sur la procédure de mise en concurrence des organismes assureurs en cas de recommandation.



Au vu des demandes de plus en plus pressantes pour repousser les échéances fixées dans la loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin 2013, Monsieur Lepetit a laissé entendre que la DSS ne serait pas opposée à une poursuite des négociations de branche au-delà du 30 juin 2014. En revanche, la date buttoir du 1er janvier 2016 à laquelle tous les salariés devront bénéficier d’une complémentaire santé, sera conservée.


D’après Brice Lepetit, le gouvernement, compte tenu de la censure de la Cour de cassation, n’entendrait pas retoucher à la modulation du taux de forfait social entre les organismes assureurs recommandés et les autres. Des réflexions seraient en outre en voie d’être lancées sur la possibilité de « multi-désignations » pour organiser la mutualisation des branches. Une voie qui, selon Laurence Lautrette, avocate, n’a pas été fermée par les décisions du conseil constitutionnel. Des réflexions sur une séparation plus nette entre santé et prévoyance devraient également être menées.

Concernant la définition du haut degré de solidarité, nécessaire pour la nouvelle recommandation, le choix des pouvoirs publics se porteraient vers une fraction plancher du montant global des cotisations, à hauteur d’environ 2 %. Cette part permettra le financement  de l’action sociale, la prévention et les droits non-contributifs. 



Sur la mise en concurrence des organismes assureurs en cas de recommandation, Laurence Lautrette a également mis en garde sur le fait que les critères retenus devront être déterminés avec soin, pour que le choix de l’assureur ne se dirige pas systématiquement vers « le moins disant », mais plutôt vers le « mieux disant ».


Enfin, Jean-Marc Leverrier, actuaire conseil, a notamment fait part des ses doutes quant à la « solidité » des certaines désignations « face aux recommandations de demain », mettant en garde contre une possible « vague de résiliations » à l’automne prochain et conseillant d’être rapide dans la transition vers les nouvelles recommandations.


L’Ipse publiera à la mi-avril les actes de ce 12e Colloque professionnel rassemblant l’ensemble des interventions et débats de cette matinée.



mardi 18 février 2014

12ème Colloque professionnel Ipse




Généralisation de la complémentaire santé et pilotage d’un régime de branche : quelles conséquences ?
Vendredi 21 mars 2014 de 8h30 à 13h
Accueilli par l’AG2R La Mondiale – 26 rue Montholon – 75009 PARIS
 
Depuis l’ANI du 11 janvier 2013 introduisant la généralisation de la complémentaire santé, les modalités de mise en œuvre d’accords collectifs dans les branches professionnelles ne cessent de connaître d’importants rebondissements. Le dernier en date : la décision du conseil constitutionnel censurant la modulation du forfait social pour les clauses de recommandations. Ces nombreux revirements durant cette dernière année, notamment autour de l’article L 912-1 du code de la sécurité sociale, n’ont pas été sans créer une certaine confusion chez les acteurs de la protection sociale complémentaire, et plus particulièrement chez les partenaires sociaux en charge des négociations.
 
Ce 12e Colloque professionnel a pour objectif de clarifier les conséquences concrètes de ces décisions sur la mise en place et le pilotage de régimes de branche par les négociateurs. Ainsi, de quelles garanties collectives doit-on doter son régime pour parvenir à un degré élevé de solidarité, nouvelle condition d’éligibilité aux clauses de recommandations ? Quelles devront être les conditions à suivre pour la procédure de mise en concurrence des organismes assureurs ? A quelles suites doit-on s’attendre et peut-on dès à présent agir ?  Outre offrir des conseils et expertises et d’ouvrir à nouveau un espace de débats pour y voir plus clair, cette matinée proposera notamment un point de vue « européen » pour prendre de la hauteur sur ces débats.
 
Télécharger :
- L’exposé des motifs  : français
- Le programme  : français
- Le bulletin d’inscription et les conditions de participation : français
 
- Inscription en ligne
prix de la participation au Colloque : 150€.
Une facture vous sera envoyée dès réception de votre formulaire. Voir le bulletin d’inscription et les conditions de participation pour plus d’informations.