Nora ANSELL-SALLES

vendredi 25 janvier 2019

Discours d'Agnès Buzyn prononcé le 24 janvier 2019



 

SEUL LE PRONONCE FAIT FOI

 

 

Discours d’Agnès Buzyn

Jeudi 24 janvier 2019

Congrès de l’Encéphale

 

Mesdames, Messieurs les professionnels de santé,
Mesdames et messieurs,
 
Je tiens avant toute chose à vous adresser mes vœux les plus chaleureux pour cette année 2019.
 
Cette année s’annonce intense à bien des égards et je pense évidemment à ce grand moment démocratique que doit être le débat national et les suites qui en seront données.
 
Vous avez placé ce 17èmecongrès de l’Encéphale sous le prisme de la confrontation de votre discipline, la psychiatrie, à l’épreuve du réel.
 
Nous faisons depuis quelques semaines l’épreuve du réel, mesurant dans des proportions que nous n’avions peut-être pas suffisamment anticipées, le malaise de la société tout entière. Ce malaise est grand et il faut l’entendre.
 
Les psychiatres n’ont pas découvert ce malaise en 2018. Pour tout vous dire, moi non plus, mais peut-être que les remèdes que nous avions commencé à administrer étaient sinon trop lents, à tout le moins trop tardifs.
 
C’est une approche soucieuse de l’expérience vécue des professionnels de santé et des patients que j’ai souhaité mettre en œuvre depuis maintenant 18 mois.
 
Dès juin 2018, le Ministère des solidarités et de la santé s’est ainsi engagé dans une feuille de route pour la santé mentale et la psychiatrie, en cohérence avec les objectifs de la stratégie nationale de santé, pour répondre aux défis de l’amélioration de l’accès aux soins et de l’accompagnement des personnes vivant avec un trouble psychique.
 
J’ai dit, dès ma prise de fonction, que la psychiatrie était le parent pauvre de notre système de santé. La lucidité n’étant pas une fin en soi, nous avons agi, avec méthode et détermination.
 
Pour crédibiliser ma feuille de route, je souhaite aujourd’hui prendre formellement quatre engagements, en réponse aux craintes qui ont pu être formulées :
 
-D’abord, les moyens dédiés à la psychiatrie seront pérennisés ;
 
-Ensuite, l’offre de pédopsychiatrie sera confortée dans tous les départements manifestement sous-dotés et le renforcement de l’encadrement hospitalo-universitaire sera poursuivi ;
 
-Troisième engagement, une politique ambitieuse de prévention, de lutte contre la stigmatisation et de développement de parcours de soins coordonnés embarquant les professionnels de la ville et de l’hôpital sera déployée et soutenue;
 
-Et enfin le pilotage de cette politique au sein de mon ministère sera incarné.
Je vais revenir dans le détail sur chacun de ces engagements.
Comme je m’y étais engagée en juin dernier, j’ai réuni une nouvelle fois ce matin le comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie pour dresser un premier bilan d’étape de la feuille de route santé mentale et psychiatrie, et pour dessiner ses perspectives dans les mois à venir.
 
Force est de constater que depuis ma venue l’an dernier ici-même, nous avons avancé.
 
Aujourd’hui, la quasi-totalité des trente-sept actions de la feuille de route, est engagée ou programmée.
D’abord, celles relatives à l’axe 1, sur la promotion du bien-être mental, la prévention et le repérage de la souffrance psychique, des troubles psychiques et du suicide ; ces actions ont avancé de façon notable et j’en citerai trois sur les sept qui sont programmées.
 
L’expérimentation « Écout'Émoi » est déjà lancée dans 3 régions : en Ile-de-France, dans le Grand Est et dans les Pays de la Loire. Elle organise le repérage et la prise en charge de la souffrance psychique chez les jeunes de 11 à 21 ans et elle autorise un forfait de 12 séances financées chez un psychologue libéral.
 
Ensuite, le projet « premiers secours en santé mentale pour les étudiants » se poursuit, en lien avec le ministère de l’enseignement supérieur, 4 ARS et 4 universités.
 
Il s’adresse aux étudiants dans une logique d’aide par les pairs, via une formation sur le modèle des « gestes qui sauvent ». La première formation test aura lieu à Clermont-Ferrand au premier trimestre 2019.
 
Au nombre des actions de prévention du suicide, le déploiement par les ARS du dispositif VigilanS de recontact des suicidants, se poursuit. 
 
J’ai annoncé sa généralisation au congrès de l’Encéphale, il y a tout juste un an. Il est aujourd’hui déployé dans 5 régions. Il le sera dans 12 régions fin 2019, et généralisé en 2020. 
 
Enfin, pour donner aux questions de santé mentale l’ampleur qu’elles méritent, je souhaite que la France organise en 2020 le « Sommet mondial sur la santé mentale ».
 
Après Londres en 2018 et Amsterdam en 2019, et dans le cadre de l’Alliance des défenseurs de la santé mentale et du bien-être, je plaiderai auprès de l’OMS pour que Paris accueille ce sommet ministériel.
 
S’agissant de l’axe 2intitulé « garantir des parcours de soins coordonnés et soutenus par une offre en psychiatrie accessible, diversifiée et de qualité », axe composé de 26 actions, il fait lui aussi l’objet d’un suivi attentif.
 
Je sais les attentes, je sais aussi les impatiences légitimes que suscitent la place, les missions et les moyens de la psychiatrie.
 
Cette attente et ces impatiences, je les ai entendues et c’est pourquoi des actions de fond, tant sur l’organisation que sur le financement, ont été mises en œuvre en 2018 et vont se poursuivre en 2019 de manière substantielle.
 
Avec son organisation en secteurs, la psychiatrie française a été précurseur de la territorialisation des soins et de la responsabilité populationnelle.
 
Elle doit aujourd’hui mettre en place une politique ambitieuse de prévention, lutter contre la stigmatisation et garantir des parcours de soins coordonnés et soutenus par une offre accessible, diversifiée et de qualité.
 
Je souhaite donc lancer, dès cette année, une mission sur les Centres Médico-Psychologiques pour valoriser et conforter leur place. Les formes de cette mission seront arrêtées très prochainement. Je souhaite également soutenir l’ensemble des démarches qui seront de nature à  consolider le rôle du médecin généraliste, des professionnels de santé de proximité et leur collaboration avec l’hôpital.
 
Ces travaux devront aussi permettre, avec les contributions attendues en 2019 sur les parcours des patients, enfants et adultes, de renforcer et de rénover la place de l’ambulatoire dans ces parcours.
 
Ce n’est qu’à ces conditions que nous pourrons aborder la question des délais d’accès aux professionnels des secteurs de la psychiatrie, non pas parce que nous serions condamnés à accepter le poids excessif des indicateurs, mais parce que la qualité d’une organisation peut être éclairée par l’évolution dans le temps de cet indicateur.
 
Telle est je le sais notre ambition partagée. Votre coopération, celle de toutes les sensibilités que vous représentez et la mobilisation active et constructive du comité de pilotage de la psychiatrie et du comité stratégique, sont indispensables.
 
Je mentionnerai maintenant quelques actions,déjà particulièrement avancées.
 
D’abord, les 10 dispositifs de prise en charge du psycho traumatisme et le Centre national de ressources et de résilience demandés par le Président de la République, sont désormais désignés à la suite d’un appel à projet national et se mettent en place.Leur financement est aujourd’hui engagé à hauteur de 400.000 euros par centre retenu.
 
Ensuite, l’instruction sur l’offre de soins de réhabilitation psycho-sociale, dont je souhaite la généralisation à tous les territoires, est aujourd’hui en cours de diffusion. Je sais l’implication du comité de pilotage de la psychiatrie, qui se reflète tout particulièrement dans ces travaux préparatoires.
 
L’objectif est de garantir aux personnes vivant avec des troubles mentaux invalidants, ou qui connaissent des limitations des fonctions et des habiletés sociales en raison de leur pathologie, un accès à ces nouveaux outils thérapeutiques porteurs de sens et d’espoir pour les patients et leurs proches.
 
Pour garantir le parcours global attendu par les patients et les familles, les projets territoriaux de santé mentale sont en cours de déploiement, et un bilan sera dressé à l’horizon du mois de juillet 2020.
 
Je connais votre engagement dans cette démarche, tant au niveau national par les services du ministère que régional et territorial.
 
Je suis vous le savez très attachée à l’amélioration de la prise en charge des enfants et adolescents, de façon précoce et coordonnée.
 
A ce titre, je me félicite de l’adoption, dans la loi de financement de la sécurité sociale 2019, de l’article permettant le déploiement des plateformes d’orientation et de coordination et la création du forfait précoce pour les jeunes enfants présentant des troubles du neuro-développement, prévues par la stratégie autisme.
 
Les actions visant à renforcer la place de la pédopsychiatrie, améliorer le parcours de soins de l’enfant et de l’adolescent et développer la formation et la rechercheseront poursuivies en 2019.
 
Les questions d’attractivité et de démographie des postes médicaux, notamment en pédopsychiatrie et leurs incidences pour tous les professionnels du secteur, sont essentielles.
 
10 postes de chefs de clinique en pédopsychiatrie ont d’ores et déjà été créés en 2018.
 
En 2019, 10 postes supplémentaires seront créés. Au total, 20 postes seront créés avec un pool de postes de chefs de clinique passant de 48 à 68 postes en deux années.
 
Par ailleurs, je nommerai cette année 6 hospitalo-universitaires supplémentaires en pédopsychiatrie. Ces postes créés représentent une  augmentation de plus de 25% du nombre de HU titulaires depuis ma prise de fonction, passant de 36 à 47.
 
Je souhaite également que les capacités d’accueil de pédopsychiatrie soient augmentées : la priorité sera mise sur les départements qui ont une capacité faible ou inexistante.
 
Enfin, dès la rentrée de septembre 2019, les premiers infirmiers en pratiques avancées dans le champ de la psychiatrie commenceront leur formation.
 
Parallèlement, nous avançons sur l’amélioration de la qualité des pratiques.
 
Un groupe de travail du COPIL psychiatrie a permis de définir un plan de réduction du recours aux soins sans consentement et à la contention que je salue. Je connais déjà votre engagement en la matière, qui doit être salué.
 
Il se poursuit aujourd’hui par des missions d’expertise et de soutien, à la demande des acteurs territoriaux, notamment des présidents de CME.
 
Une première vague de séminaires régionaux a ainsi été réalisée en 2018 en régions Nouvelle Aquitaine, Normandie, Grand-Est, Hauts-de-France, Occitanie et PACA.
 
Une seconde vague d’accompagnement est prévue en 2019 en régions Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne et Pays-de-Loire.
 
La prise en charge des personnes détenues fait quant à elle l’objet d’une stratégie partagée avec le ministère de la justice.
 
Les préconisations que la mission conjointe de l’IGAS et de l’Inspection générale de la Justice vient de remettre, permettront de préciser les besoins de la deuxième tranche d’UHSA.
 
Au-delà des pratiques, je souhaite développer la recherche en psychiatrie et en pédopsychiatrie.
 
Malgré la grande qualité des travaux réalisés, la structuration des acteurs de la recherche doit être renforcée, en lien avec les dispositifs existants.
 
A cette fin, un groupe de travail placé sous l’égide du Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation et du Ministère des solidarités et de la santé a été initié.
 
Il doit contribuer à faire de la psychiatrie et de la santé mentale un champ privilégié de recherche. 
 
S’agissant de l’axe 3 de la feuille de route intitulé « améliorer les conditions de vie et d’inclusion sociale et la citoyenneté des personnes en situation de handicap psychique » :
 
L’objectif des soins continus et des accompagnements pour les personnes souffrant de troubles psychiques graves et persistants, est de leur garantir une vie de qualité et une participation sociale et citoyenne la plus accomplie possible.
 
Des actions y contribuent et concernent notamment la pair-aidance ; l’emploi ; le logement ; le recours effectif aux soins et aux aides pour tous.
 
La généralisation de l’emploi accompagné à l’ensemble des territoires continuera d’être soutenue.
 
Elle constitue aussi une des mesures de la stratégie nationale pour l’autisme au sein des troubles du neuro-développement.
 
Nous doublerons les crédits dédiés, portant le financement de l’Etat de 5 M€ en 2017 et en 2018, à 7 M€ en 2019.
 
L’offre de logement pour les personnes ayant des troubles psychiques est également en cours de développement, conformément aux engagements que nous avions pris.
 
Ainsi, depuis la première réunion du Comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie en juin dernier, un cadre juridique clair permettant le développement de l’habitat inclusif pour les personnes handicapées et les personnes âgées a été inscrit dans la loi ELAN du 23 novembre 2018.
 
Il s’agit là d’une troisième voie entre l’hébergement en établissement et le logement autonome.
 
Ce mode d’habitation regroupé est assorti d’un projet de vie sociale et partagée. Il sera financé par un forfait « habitat inclusif » créé par la loi ELAN. Ce forfait, porté à 15 M€ pour 2019, devra permettre de financer environ 250 habitats inclusifs. 
 
Pour les plus précaires, la Stratégie quinquennale pour le logement d’abord et la lutte contre le sans-abrisme, complète cette offre de logement.
 
Notre objectif est de créer 10.000 places de pensions de familles, dont 1/3 de résidences accueil dédiées à des personnes en situation de précarité ayant des troubles psychiques, au lieu des 7500 places initialement prévues par le plan de relance 2017.
 
S’y ajoute l’extension du dispositif « Un chez soi d’abord » de 4 à 22 métropoles, prévu d’ici 2022.
 
Il s’agit là d’un ensemble de mesures, qui toutes participent à un objectif commun : l’accès à un logement personnel et son maintien dans la durée, avec le soutien d’accompagnements adaptés.
 
Je vous avais fait part de mon engagement à préserver le budget de la psychiatrie, à le prioriser dans les plans d’investissement régionaux, à adapter ses ressources et à faire évoluer son modèle de financement.
 
Cet engagement s’est traduit dès cette année de manière très concrète avec le dégel intégral des crédits mis en réserve au début de l’exercice 2018, soit 64M€. Ce dégel intégral est une première, et doit permettre de redonner du souffle aux établissements.
 
Par ailleurs, j’ai décidé d’aller encore plus loin en allouant une enveloppe supplémentaire de 50 millions d'euros à la fin de l’année 2018 pour consolider les moyens des établissements et services de psychiatrie.
 
Cette enveloppe supplémentaire n’a rien d’un coup d’éclat, puisque ce financement est reconductible.
 
Au-delà de ces 50 millions, je souhaite impulser et soutenir plus particulièrement des initiatives locales innovantes, et créer un fonds d'innovation organisationnelle en psychiatrie.
 
Doté de 10 millions d'euros, ce fonds sera mis en place dès cette annéeselon des modalités en cours de définition.
 
Pour se rénover, les établissements psychiatriques pourront émarger aux financements nationaux en faveur de l’investissement prévus dans « Ma santé 2022 » et engagés dans la LFSS 2019.
 
La psychiatrie sera également prioritaire dans les programmes régionaux d’investissements des ARS, dont je salue la mobilisation et la très grande énergie déployée : l’objectif très clair est de combler le retard d’investissements et donner les moyens de rénover les établissements.
 
Enfin, je rappelle que les travaux menés l’an dernier ont contribué à définir des critères de modulation des dotations budgétaires dans l’objectif d’une réduction des inégalités territoriales et d’une meilleure allocation des ressources.
 
Trois régions historiquement sous-dotées ont ainsi pu bénéficier de dotations renforcées en 2018 : le Centre-Val de Loire, la Réunion et les Pays de la Loire. Ces travaux se poursuivront en 2019, en lien avec l’engagement des réflexions et des travaux de la mission de Jean-Marc AUBERT, sur la réforme des modes de financement.
 
Elle sera déployée en liaison étroite avec les professionnels et les règles de financement seront désormais mises au service du développement de la psychiatrie.
 
Des propositions concrètes et attendues seront dévoilées le 29 janvier prochain.
 
Au total, si l’on tient compte de ces investissements additionnels, ajoutés aux moyens de la feuille de route, ce sont 100 millions supplémentaires par an pour la psychiatrie et la santé mentale, dès cette année.
 
Le chemin parcouru depuis notre précédente rencontre est donc conséquent. Celui qu’il nous reste à parcourir ne l’est pas moins.
 
Les prochaines étapes sont programmées ; elles seront rythmées par des déplacements et des rendez-vous au cours desquelles nous aurons tous cet esprit constructif qui nous a déjà permis de mettre sur les rails les projets qui redonneront du souffle à la psychiatrie.
 
Enfin, la psychiatrie étant un sujet prioritaire de mon action et de mon ministère, je souhaite que l’action puisse être portée au quotidien, et incarnée sur les territoires.
 
C’est pourquoi j’ai décidé de nommer prochainement un délégué ministériel à la psychiatrie et à la santé mentale, chargé de piloter au plus près des acteurs et au quotidien le déploiement de la feuille de route de la psychiatrie et de la santé mentale, et de la porter sur les territoires.
 
Mesdames, messieurs, 
Je vous renouvelle mes vœux les plus chaleureux. Je forme aussi aujourd’hui le vœu collectif que nous réalisions l’ambition portée par notre feuille de route, c’est-à-dire l’ambition d’un changement de regard sur la santé mentale et la psychiatrie.
 
Mais plus qu’affaire de vœux, je sais que cela est affaire de volonté. Je connais votre engagement ; soyez assurés du mien.  
 
Je vous remercie.
 
 
 
 

Les ministères sociaux agissent pour un développement durable.
Préservons l'environnement : n'imprimons que si nécessaire !

jeudi 24 janvier 2019

Santé visuelle des seniors





Communiqué de séance

 


Paris, le 23 janvier 2019

Santé visuelle des personnes âgées en perte d'autonomie : le Sénat a définitivement adopté une proposition de loi de l’Assemblée nationale


 
 
Mercredi 23 janvier janvier 2019, le Sénat a définitivement adopté la proposition de loi visant à améliorer la santé visuelle des personnes âgées en perte d'autonomie.
 
La proposition de loi initiale ouvrait la possibilité d'intervention de l'opticien-lunetier en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). En séance publique, les députés ont introduit d'importantes modifications du dispositif initial, afin de :
·        soumettre cette possibilité à l'autorisation préalable du directeur général de l'agence régionale de santé (ARS), qui ne pourra y recourir que dans un cadre expérimental d'une durée de trois ans ;
·         préciser l'obligation pour l'opticien-lunetier d'informer la personne âgée que l'acte de réfraction ou d'adaptation pratiqué est dépourvu de nature médicale ;
·         prévoir la désignation d'au plus quatre régions dans lesquelles l'expérimentation pourra être menée ;
·         prévoir la transmission, dans les quatre mois précédant l'issue de l'expérimentation, d'un rapport au Parlement.
 
Examiné au Sénat conformément à laprocédure de législation en commission, selon laquelle le droit d’amendement des sénateurs et du Gouvernement s’exerce en commission, le texte n’a été modifié, ni lors de son examen en commission (le 16 janvier 2019), ni lors de la séance publique (le 23 janvier 2019). Il est donc considéré comme définitivement adopté.
 
Le Sénat a en effet suivi l’avis de sa rapporteure,Élisabeth Doineau. Bien que constatant que le texte est de portée limitée et ne « [s'inscrivant] pas dans une vision d'ensemble de réorganisation de la filière visuelle et ne[traitant] pas des problèmes structurels d'accès aux soins visuels des populations les plus vulnérables », Élisabeth Doineau a été « sensible au signal envoyé par ce texte d'un plus grand assouplissement de l'exercice de la profession d'opticien ».
 
 --
 
Pour plus de détails, consulter :
·     l’actualitésur le site du Sénat;
·      ledossier législatif ;
·        lerapportprésenté parÉlisabeth Doineau, au nom de lacommission des affaires sociales ;
·      les comptes rendus (analytiqueet intégral) et la vidéodes débats en séance publique.
 
  

 

Contact presse : Juliette Elie - 01 42 34 25 03 - presse@senat.fr   

La MGEN partenaire du festival de la BD d'Angoulême


 AfficheconcoursBDscolaire.jpg 
 2019PartenariatFestivalBDAngouleme.pdf 

Si le lien ne fonctionne pas,cliquez ici pour recevoir un nouvel e-mail avec le(s) document(s) en pièce(s) attachée(s) 
Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici

 
 
Communiqué de presse
 24 janvier 2019
 

 


Le groupe MGEN partenaire du 46eFestival International de la BD d'Angoulême et du concours de la BD Scolaire 

 
Le groupe MGEN est partenaire du 46e Festival International de la BD d'Angoulêmequi a lieu du 24au 27 janvier 2019, et duconcours de la BD scolaire.
 
Mutuelle de l'éducation, de la jeunesse et de la culture, le groupe MGEN est un acteur de la société investi auprès de nombreux organismes, en France et dans le monde, pour promouvoir la culture, l'éducation et la citoyenneté. MGEN accompagne chaque année de très nombreux rendez-vous culturels, festivals et autres spectacles vivants.
 
L'engagementdu groupe MGEN aux côtés du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême (FIBD) est porteur de sens,puisqu'il s'agit d'encourager la création artistique chez les jeunes et de faire de la BD un support éducatif et de promotion du vivre-ensemble. Le groupe MGEN a renouvelé son partenariat avec le FIBD jusqu'en 2022.
 
Concours de la BD scolaire
Depuis 45 ans, le concours de la BD scolaire est le premier concours européen de création de bande dessinée francophone en milieu scolaire, accessible à tous les élèves scolarisés de la maternelle au lycée. Parrainéégalement par le ministère de l'Education nationale, l'objectif de ce concours est d'encourager la créativité chez les jeunes dans le cadre d'une relation pédagogique avec leurs enseignants. Il se déroule sur 5 mois, d'octobre à mars, et il récompense les 40 meilleurs lauréats lors du FIBD d'Angoulême.Chaque année, ce sont entre 5500 et 6000 participants, plus de 600 planches, 420 établissements scolaires candidats. Par ailleurs, 7 récompenses régionales et 40 récompenses nationales sont attribuées, dont 3 pendant le festival. Au niveau local, les acteurs MGENsont largement impliqués dansla promotion du concours auprès des établissements scolaires jusqu'à la remise des prix.
 
Quartier Jeunesse
Toujours dans une optique d'ouverture à la culture, le groupe MGEN parraine deux expositions au Quartier Jeunesse lors du Festival :l'œuvre de Bernadette Després (la dessinatrice, entre autres, des célèbres Tom-Tom et Nana). La deuxième exposition présente les planches des lauréats du concours de la BD scolaire 2018.
 
 
Contact presse :
Marine Chaumier -mchaumier@mgen.fr - 01 40 47 23 92
 
 
Le groupe MGEN, « la référence solidaire »
Avec plus de 4 millions de personnes protégées, près de 10 000 salariés et un chiffre d'affaires supérieur à 2 milliards d'euros, le groupe MGEN est un acteur majeur de la protection sociale. MGEN gère le régime obligatoire d'assurance maladie des professionnels de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, de la Culture, des Sports, et de la Transition écologique et solidaire. MGEN propose également une complémentaire santé individuelle ouverte à tous les publics, ainsi que des contrats collectifs santé et prévoyance pour les entreprises et les associations. Acteur global de santé, MGEN met à la disposition de la population une offre de soins diversifiée et ouverte à tous à travers ses 56 services de soins et d'accompagnement (établissements sanitaires et médico-sociaux, centres médicaux et dentaires), les trois établissements de la région parisienne qu'il co-pilote et les 2600 services de soins et d'accompagnement mutualistes qu'il finance en France. Depuis le 13 septembre 2017, le groupe MGEN fait partie du Groupe VYV.
www.mgen.fr 
www.twitter.com/groupe_mgen
 
Le Groupe VYV, 1eracteur mutualiste de santé et de protection sociale en France
Le Groupe VYV (Chorum, Harmonie fonction publique, Harmonie mutuelle, MGEFI, MGEN, Mutuelle Mare-Gaillard, Mutuelle Nationale Territoriale, SMACL Assurances), créé en 2017, œuvre au quotidien pour être utile à tous et à chacun tout au long de leur vie. L'ensemble des composantes du groupe et leurs 40 000 collaborateurs, protège 10 millions de personnes et propose des solutions adaptées à plus de 72 000 employeurs publics et privés. Il totalise un chiffre d'affaires de 10 milliards d'euros en assurance santé, en prévoyance, en soins et services d'accompagnement, en épargne retraite...
Au sein du groupe, VYV Care porte la stratégie de développement de l'offre de soins et de services.  VYV Care rassemble plus de 1 000 structures, 25 000 collaborateurs, répartis dans 3 pôles d'activités : produits et services, soins, accompagnement.
Acteur engagé, avec 10 000 élus dont près de 2 600 délégués, le Groupe VYV innove et anticipe pour construire une société plus équitable et socialement responsable. Le Groupe VYV s'affirme comme un véritable entrepreneur du mieux-vivre.
www.groupe-vyv.fr

mardi 22 janvier 2019

LETTRE OUVERTE : 12 intellectuels dénoncent un déni de justice

ACQUITTES MAIS PRISONNIERS,
UN DÉNI DE JUSTICE

L'INDISPENSABLE LIBÉRATION DE LAURENT GBAGBO ET DE CHARLES BLE GOUDE, ACQUITTES MAIS MAINTENUS PRISONNIERS A LA CPI

Depuis la crise électorale de 2010 et l’arrestation du Président Laurent Gbagbo en avril 2011, la Côte d’Ivoire reste profondément divisée et traumatisée. Outre les massacres et l’exil massif d’Ivoiriens, la justice y est dévoyée. Le transfèrement de Laurent Gbagbo (novembre 2011) et Blé Goudé (mars 2014) à la Cour Pénale internationale – CPI - laissait supposer la mise à l’endroit des procédures judiciaires pour que le droit soit dit par la justice internationale. Il n'en est rien; car la CPI nous fait vivre les péripéties d’un droit singulier à La Haye.
Malgré une détention préventive qui s’est exonérée du principe de la présomption d’innocence appliquée à tout prévenu, après une instruction à sens unique, au terme d’une audience de la Chambre de 1ere instance qui a duré trois ans et a permis aux magistrats de se rendre compte de la vacuité du dossier du Procureur, la Cour de première instance a décidé, le 15 janvier dernier, de l’acquittement et de la libération immédiate des deux accusés.
  1. Déjà habitué à violer, sans risque, les droits des deux prévenus, le bureau du Procureur a convaincu la Chambre d’appel de maintenir le Président Gbagbo et Blé Goudé dans les liens de la détention à titre conservatoire. Déjà injuste, quand Laurent Gbagbo et Blé Goudé avaient le statut d’accusés, cette décision est un véritable déni de justice, une violation inacceptable des droits de l’homme depuis leur acquittement le 15 janvier 2019 par la chambre de 1ère instance. Une telle décision signifie aussi que la CPI fait des deux personnalités des hommes sans droit et dont on restreint la liberté alors qu’ils ne sont pas poursuivis. 
Citoyens d'Afrique et du Monde, nous exigeons la libération immédiate des deux acquittés, l’application des dispositions du Statut de Rome en la matière (art.81 du Statut de Rome) et le respect absolu des droits de MM. Gbagbo et Blé Goudé. La CPI n’a pas le droit de se placer au-dessus de la liberté et de la justice si elle veut être l’instrument universel de lutte contre l’injustice.
Fait à Paris le 18 janvier 2019.
- Pierre Kipré, professeur, ancien ministre, ancien ambassadeur
- Michel Galy, politologue
- Philippe Attey, banquier, ancien ministre
- Albert Bourgi, professeur, constitutionnaliste
- Malick Coulibaly, spécialiste du VIH/SIDA, ancien ministre
- Jean-Claude Djéréké, professeur (université de Baltimore)
- Richard Kadio, professeur, ancien ministre
- Lazarre Koffi Koffi, directeur de collection (édition L’harmattan), ancien ministre
- Pascal Kokora, professeur (Georgetown university), ancien ambassadeur
- Raymond Koudou Kessié, professeur, ancien ambassadeur
- Thomas N'Guessan Yao, professeur, ancien ministre
- Felix Tano, professeur, ancien membre du Conseil constitutionnel ivoirien


Sur l'agenda d'Agnès Buzin



Agenda de Madame Agnès BUZYN

Ministre des Solidarités et de la Santé

Semaine du 21 janvier 2019

 
 
Lundi 21 janvier
 
10h00              Entretien avec M. Alfredo MORENO, ministre du développement social du Chili et de la famille, en présence de Mme Marisol TOURAINE, Ministre de la Santé et des affaires sociales
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
                       
 
Mardi 22 janvier
 
09h30              Intervention lors du Colloque sur l’Hospitalisation à domicile et les Etablissements sociaux et médico – sociaux
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
11h00              Cérémonie des Vœux à la presse
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
16h45              Questions d’Actualité au Gouvernement
                        Sénat
 
 
Mercredi 23 janvier
 
10h00              Conseil des Ministres
                        Palais de l’Elysée
 
14h00              Intervention au colloque « Le professionnel de santé au cœur de la sécurité sanitaire »
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
15h00              Questions au Gouvernement
                        Assemblée nationale
 
19h45              Dîner officiel en l’honneur de M. Reuven RIVLIN, Président de l’Etat d’Israël
                        Palais de l’Elysée
 
 
Jeudi 24 janvier
 
07h45              Invitée de la matinale LCI présentée par Christophe JAKUBYSZYN
                        Boulogne Billancourt
 
09h30              Comité article 51
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
11h00              Comité stratégique santé mentale et psychiatrie
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
14h30             Remise du rapport de la Commission « bientraitance/maltraitance » commune au Haut conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) et au Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH). Présidé par Denis PIVETEAU, en présence de Sophie CLUZEL, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées.
Ministère des Solidarités et de la Santé
 
16h15              Congrès de l’encéphale
                        Palais des congrès de Paris
 
17h30              Entretien avec Valérie FOURNEYRON, Ministre des Sports et de la jeunesse
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
 
Vendredi 25 janvier
 
09h00              Réunion sur la stratégie de protection de l’enfance présidée par M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre
                        Hôtel de Matignon
 
11h00              Déplacement relatif à la prime d’activité
                        Paris
 

Les ministères sociaux agissent pour un développement durable.
Préservons l'environnement : n'imprimons que si nécessaire !

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lundi 21 janvier 2019

C'est à lire et écouter


Vendredi 18 janvier 2018 - Lettre N°1050

 



 
Le podcast ESE décrypte N° 38 est en ligne   
Pour cette première émission de l’année la rédaction dresse l’état des lieux des chantiers en cours: Débat national, CPTS, Médecine Libérale, Réforme des retraites… 
  
Les sujets ne manquent pas.

Bonne écoute !

Pour accéder à l’émission cliquez sur le lien suivant : ESE décrypte-numéro 38 
 

 

 
Comment sont répartis 1 000 € de dépenses publiques ? Dans le cadre du grand débat national,Bercy vient de publier un récapitulatif de l’affectation des dépenses publiquessur 1 000 €.
Sur ce montant, 575 € sont consacrés à la protection sociale, dont près de la moitié pour les retraites soit 268€. L’Assurance maladie représente 191 euros, les allocations familiales 42 €, le chômage 35 €, l’aide au logement 17€, et les autres dispositif de solidarité (comme la prime d’activité ou le RSA), 22 €.
En dehors de la protection sociale, les dépenses sectorielles (affaires économiques, transport et équipement, culture, …) atteignent 143 €, les services publics régaliens 60 €, l’Education 96€ , la recherche 23 €, les administrations publiques 66 €. Enfin, 37 € sont affectés à la charge de la dette.
 

 

 
CPTS, Assistants médicaux : les lignes rouges de MG-France Au lendemain du lancement de la négociation conventionnelle ACI sur le cadre des CPTS, et à une semaine de celui portant sur les assistants médicaux, MG-France présentait hier ses voeux à la presse.
A cette occasion son président, le Dr. Jacques Battistoni, a tenu à présenter les lignes rouges que le syndicat généraliste fixe pour que les négociations puissent aboutir. Sur le volet CPTS, outre la pérennisation du financement, MG-France souhaite que le futur dispositif ne se limite pas à "un cahier des charges pour les médecins" et qu’une "démarche pédagogique" soit engagée pour encourager les professionnels de santé d’intégrer ces communautés. Concernant les futurs 4 000 postes d’assistants médicaux pris en charge par l’assurance maladie, MG-France souhaite qu’ils soient accessibles à l’ensemble des médecins y compris ceux qui ne s'intègrent pas dans un exercice coordonné. De plus, le syndicat estime inopportun de demander un profil minimum d’aides soignants pour ces futurs assistants insistant sur le fait que des formations peuvent, par exemple, permettre à des secrétaires médicales d’assumer ce type de fonction.
Toutefois, le syndicat reconnait que l’objectif poursuivi dans ces négociations va dans le bon sens et souhaite par ailleurs que cette année soit placée sous le signe d’un renforcement du dialogue social avec les pouvoirs publics. 
 

 

 
Pénuries de médicaments : les inquiétudes de France Assos Santé Le représentant des usagers a publié hier une étude (réalisée par BVA) consacrée à la pénurie de vaccins et de médicaments.
Premier enseignement : 25% des répondants se sont déjà vus refuser la délivrance d’un médicament ou d’un vaccin pour cette raison (31 % pour les personnes en ALD). 45% des personnes confrontées à cette situation ont été contraintes de reporter leur traitement, de le modifier, d’y renoncer ou de l’arrêter complètement. Une situation jugée anxiogène par 21% des personnes interrogées (41% pour les personnes en ALD). Et les conséquences sont potentiellement graves : augmentation des symptômes (14%), erreurs dans la prise de médicaments de substitution (4%) et même hospitalisation nécessaire (4% en population générale, 5% pour les personnes en ALD). Dans 36% des cas, ces pénuries concernent des vaccins.
"Nous demandons aux pouvoirs publics et aux autorités de régulation de faire leur travail, et qu’enfin les politiques publiques soient harmonisées à l’échelle européenne", souligne Alain-Michel Ceretti, président de France Assos Santé.
Une information claire et transparente sur les causes de rupture de l’approvisionnement, les plans de gestions de pénuries  et les sanctions imposées en cas de manquement aux obligations de notification et de mise en œuvre de ces plans est également demandée. 
 

 

 
Place de la Santé : le débat En marge du grand débat national, les mutuelles de la Mutualité Française organisent des rencontres consacrées aux questions de santé sur tout le territoire,"avec un temps fort du 4 au 8 mars".
Deux questions seront posées lors de ces débats : "Comment assurer, dans les territoires, un égal accès à la prévention et aux soins de qualité pour tous, à tous les âges ?" et "Comment lever les obstacles financiers à l’accès aux soins ? ".

 

 



 

6 Français sur 10 trouvent la durée des congés de maternité et de paternité suffisante. Mais 63% des 18-24 ans souhaitent un allongement du congé de paternité, selon la Drees lien.


  
 

 

 

Lettre éditée par Espace Social Europée - prix 3 € - SARL au capital de 120 000 € - RCS PARIS B 480 706 159 (2005B02166) 
Principal associé : Pascal Beau - 22 rue Léon Jouhaux 75010 Paris - tél : 01.53.24.13.00 - fax : 01.53.24.13.06
Rédaction : Pascal Beau, Alexandre Beau et Emilie Guédé 
Service abonnements : abonnements@espace-social.com / tél : 01.53.24.13.18 
Iconographie : Cocktail Santé / tél : 01.53.24.13.02 
Pour tout changement d'adresse mail ou pour nous signaler un problème de réception de notre lettre électrique, n'hésitez pas à nous contacter par mail (lalettre@espace-social.com) ou par téléphone (01.53.24.13.18) 
  
Commission Paritaire : n° 0316 T 87714 
ISSN : N° 0316 T 87714 
  
L'autorisation d'effectuer des reproductions par reprographie doit être obligatoirement obtenue auprès du Centre français d'exploitation du droit de copie (CFC) : 20 rue des Grands Augustins 75006 Paris - tél : 01.44.07.47.70

7ème édition de la course Vertigo



 


Paris, le 21 janvier 2019,

 

Communiqué de Presse.

 

PLAY International organise la7ème édition de Vertigo, 1ère course verticale et solidaire de France (100 % des inscriptions sont reversées à l’ONG d’éducation par le sport PLAY International)

 

Le 16 mai prochain, plus de 2 000 coureurs sont attendus au sommet de la plus haute tour de France (Tour First) au coeur du 1er quartier d'affaires européen.

    
 

 DÉCOUVRIR LA COURSE EN VIDÉO DEMATÉLÉCHARGEZ LE COMMUNIQUÉ DE PRESSEousDE 
 

 

 
 

Antoine Biard 

PLAY International 

06 82 22 27 73

vertigo@pl4y.international

 

Ils participent depuis 2013 : Aareal Bank, AFD, AG Real Estate, Air France, All Fit Company, Agence Treize Cent Treize, Aliuta, Allianz Real Estate, Atarea Cogedim, Atos, Axa REIM, Babel, Beacon Capital Partners, Bouygues Batiment Ile-de-France, Bouygues Immobilier, Bouygues Ouvrages Publics, Brooks, Brand & Celebrities, Builders & Partners, Business Immo, Caisse des dépôts, CBRE, CBRE Global Investors, Cegelec, Cepa Ascenseurs, Clearwater International, Cniel, CNP Assurance, Colliers International, Compass Group France, Covea Immobilier, Croix Rouge Française, Cushman & Wakefield France, Dalkia, Deutsche Pfandbriefbank, DTZ Investment, ECN Live, EDF Commerce Ile-de-France, EDF EDEV, EDF Energies Nouvelles, EDF Ile-de-France, EDF FM Services, EDF SAFIDI, Eiffage Construction, EGIS HB, Elan France, Elior Services, Ellisphere, Enablon, Engie Cofely, Equity, Expanscience, EY, Fédération Française des Ascenseurs, FHB, Fidal, GE Money Bank, Goaleo, Gras Savoye, Groupe SOS, Humble Warrior, Icade, Iraiser, JLL, Jogg.in, Kerneo, Kone, Lanneau, Ligue Nationale de Volley, LIM Climbing, Linklaters, Mahola, LPA CGR Avocats, Malakoff Médéric, Meeschaert, MGEN, Mydral, N3XT, OPMD, Oxymetal, Parisian Real Estate, Paris La Défense, Passeport pour l'emploi, Pepsico, Prime Engineering, Prochima Segala, Publicis Conseil, Radisson Hotel Group, Radisson Blu, Saint Gobain, Samsic, Savills, Shangri-La Hotel Paris, Seenk, Set Environnement, Sidas, Sigdal Nomade, SNCF Eva, Société Générale, Sodexo Energie & Maintenance, Sodexo Entreprise, Spi Batignolles, SPIE ICS, Sporsora, Sport Management System, Strategies & Corp, Swiss Life REIM, Tarkett France, Terrel, Thibierge et associés, Tour First, Transdev, Tri-o Greenwhishes, Union Investment Real Estate, Vinci Facilities Energilec, Vinci GTM Batiment, Weil Gotshal & Manges, Yxime...

  

www.course-vertigo.org

Recherche scientifique


La Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé réaffirme son engagement dans la recherche scientifique issue du sang de cordon ombilical
Voir la version en ligne

Communiqué de Presse
Mercredi 28 novembre 2018

LA FONDATION D’ENTREPRISE RAMSAY GÉNÉRALE DE SANTÉ RÉAFFIRME SON ENGAGEMENT DANS LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ISSUE DU SANG DE CORDON OMBILICAL

La Fondation, qui fête ses 10 ans cette année, poursuit son engagement en faveur de la recherche en permettant à la Banque de Sang de Cordon de l’AP-HP de fournir des unités de sang de cordon à des équipes de recherche pour faciliter l’émergence d’applications thérapeutiques au service des patients.


Depuis 2008, la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé est engagée dans une mobilisation solidaire en faveur du don anonyme et gratuit du sang de cordon ombilical. 156 patients en France et dans le monde ont bénéficié d’une greffe d’un sang de cordon ombilical issu d’une maternité du Groupe Ramsay Générale de Santé participant à cette collecte. Obstétriciens et sages-femmes de cinq maternités1 du Groupe réalisent ainsi près de 1 000 prélèvements par an. Les prélèvements qui ne peuvent constituer un greffon à usage thérapeutique sont offerts à des chercheurs, dans le cadre d’un partenariat avec l’Unité de Thérapie Cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis / Banque de Sang de Cordon de l’AP-HP et son Centre de Ressources Biologiques.

La Fondation, qui fête ses 10 ans cette année, poursuit son engagement en faveur de la recherche en permettant à la Banque de Sang de Cordon de l’AP-HP de fournir des unités de sang de cordon à des équipes de recherche pour faciliter l’émergence d’applications thérapeutiques au service des patients. Zoom sur deux de ces projets qui utilisent les cellules souches issues du sang de cordon pour la production de plaquettes ex vivo et pour la régénération vasculaire.

Faire bénéficier aux équipes scientifiques d’unités de sang de cordon ombilical pour favoriser les avancées thérapeutiques

Le sang de cordon ombilical contient des cellules souches semblables à celles présentes dans la moelle osseuse et capables de reconstituer le système sanguin. Exigeant une moins grande compatibilité entre donneur et receveur que la greffe de moelle osseuse, les greffons offrent une chance réelle de traitement à des patients atteints de maladies du sang.

Lorsque les greffons ne remplissent pas tous les critères pour être transplantés à des patients, ils sont offerts à des chercheurs pour un usage scientifique, grâce à la Fondation Ramsay Générale de Santé. 
Mécène de l’Unité de Thérapie cellulaire et du Centre de Ressources Biologiques de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP depuis 2010, la Fondation d'entreprise Ramsay Générale de Santé poursuit son engagement pour les années à venir en permettant aux équipes scientifiques (de l'Inserm, du CEA, du CNRS, de l'AP-HP, de l'Institut Pasteur…) de bénéficier gratuitement d’échantillons biologiques de qualité pour inventer de nouveaux traitements en thérapie cellulaire.

Le don de sang de cordon sauve des vies et c’est le crédo de la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé, la cause qui a présidé à sa création en 2008. Nous sommes investis dans ce beau projet et permettons au Centre de Ressources Biologiques de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP d’offrir aux chercheurs les unités de sang de cordon non éligibles à la greffe. Nous sommes fiers de voir que certains projets de recherche commencent à se dessiner pour ouvrir la voie à des thérapies cellulaires et cellules médicamenteuses. Depuis la mise en place du partenariat avec l’AP-HP, 25 projets de recherche sont en cours et ce n’est que le début.

Pascal Roché, Président de la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé


La première greffe de sang de cordon ombilical au monde a été réalisée à l’Hôpital Saint-Louis AP-HP. La première banque « pilote » de sang de cordon y été également créée. Poursuivre cette action, et y adosser une activité visant à promouvoir la recherche scientifique dans le domaine des cellules souches, était donc tout naturel pour l’équipe de l’Unité de Thérapie Cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP. Le partenariat mis en place avec la Fondation Ramsay Générale de Santé s’inscrit dans cette volonté de soutien d’une action commune au service des patients et au service des chercheurs.

Jérôme Larghero, Chef de Service de Thérapie Cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP


 

Zoom sur 2 projets de recherche soutenus par la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé :

PLATOD : une technologie de rupture pour produire ex vivo des plaquettes grâce au sang de cordon

Les plaquettes, cellules du sang qui servent à la coagulation, sont utilisées pour soigner les patients, notamment suite à des chimiothérapies ou des transplantations de moelle osseuse. Or, à l’heure actuelle, le seul moyen d’en obtenir est le don de plaquettes, et celles-ci ne se conservent que 5 jours, ce qui en rend le stockage extrêmement difficile.
Le Dr Dominique Baruch, docteur en médecine et directrice de recherche Inserm à l’Université Paris Descartes, qui a fondé la start-up PLATOD en 2010, a fait le pari de produire ces plaquettes et d’optimiser la production ex vivo, à partir de cellules souches, de plaquettes fonctionnelles jouant un rôle crucial dans la prévention ou l’arrêt du saignement. Avec ce procédé, PLATOD entend développer une alternative aux plaquettes de donneurs, avec la fabrication rapide, grâce à un circuit miniaturisé fabriqué sur-mesure, de plaquettes standardisées, donnant la possibilité aux patients de recevoir un produit sûr et immunocompatible.  

À l’avenir, on peut imaginer mettre plusieurs de ces circuits en parallèle pour produire des volumes de plaquettes adaptés à la transfusion. Plus qu’une preuve de concept, cette innovation est une première étape clé vers de futurs essais cliniques et vers la production de plaquettes sanguines in vitro et à grande échelle. L’apport de cellules souches par la Fondation, dont la qualité est indiscutable et la traçabilité certifiée, est un réel atout pour avancer sur notre projet de recherche.

Dr Baruch


Des cellules souches pour reconstituer les vaisseaux sanguins des patients   

Les greffons de sang de cordon contribuent également à la recherche de la reconstruction vasculaire. Le Professeur David Smadja, hématologiste à l’Hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP, se concentre avec son équipe sur la modulation de la formation vasculaire dans différentes situations pathologiques. En effet, ces cellules souches pourraient être utilisées en médecine régénérative.

Depuis les années 2000, nous avons identifié que ce sont les cellules progénitrices qui forment les vaisseaux sanguins, même chez l’adulte. Dans cette lignée, notre projet, en partenariat avec des équipes de recherche de Louisville aux États-Unis, a pour visée de mettre au point une thérapie cellulaire qui permette, à partir de la propre moelle osseuse du patient, de reconstituer ses vaisseaux sanguins, mais également de manière plus large d’intervenir dans le traitement d’anomalies vasculaires. Le sang de cordon, par sa richesse en cellules souches, nous permet de comprendre comment une cellule très immature peut se transformer en un vaisseau normal ou pathologique.

Pr Smadja


L’objectif à terme du Pr Smadja est de pouvoir prélever et d’isoler les cellules souches très immatures de la moelle osseuse, de les différencier (c’est-à-dire de les spécialiser en un « type » cellulaire) afin de les caractériser en cellules endothéliales (cellules qui tapissent la face interne des vaisseaux et qui sont donc en contact direct avec le sang), de les multiplier et in fine de les réinjecter chez le patient, sans modification génétique.
À plus long terme, le Pr Smadja et son équipe entendent créer un médicament pour les patients dont les vaisseaux sont bouchés, comme les diabétiques, afin d’éviter l’amputation, ou encore de soigner les maladies pulmonaires avec anomalie des vaisseaux sanguins (ex : hypertension artérielle pulmonaire ou fibrose pulmonaire idiopathique).  

1 : Hôpital privé d’Antony, Hôpital privé de Marne-la-Vallée, Hôpital privé de la Seine-Saint-Denis, Hôpital privé Armand Brillard, Hôpital privé Dijon Bourgogne.


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Contact Presse
Marine PLAULT
Enderby
06 24 94 75 62
mpl@enderby.eu






© 2018 Ramsay Générale de Santé

Actualité Afrique


On refait la semaine 📰

Somalie : le Puntland s'est choisi un nouveau président 
Cet État semi-autonome de la Somalie a connu mardi un transfert pacifique du pouvoir à la suite d’une élection présidentielle très disputée qui a évincé le président sortant Abdiweli Mohamed Ali Gaas au premier tour du scrutin.
Saïd Abdullahi Deni, qui est pourrait poursuivre l‘étroite coopération du Puntland avec les États-Unis, a battu son plus proche rival, Asad Osman Abdullahi. Il a prêté serment pour un nouveau mandat de cinq ans.

En RDC, la plénière de délibération
La CENI a entamé dans la soirée de ce mardi 8 janvier 2019, la plénière de délibération pour la publication des résultats de l’élection présidentielle.« L’Assemblée plénière de la CENI a entamé, ce mardi 08 janvier 2019 depuis 19h, une série de plénières d’évaluations et de délibérations à l’issue desquelles elle procédera à la publication des résultats provisoires de l’élection présidentielle » a annoncé la CENI sur son compte twitter.

Madagascar: Ravalomanana admet sa défaite face à Rajoelina 
L’ancien président malgache Marc Ravalomanana a admis mercredi sa défaite face à son rival Andry Rajoelina lors de l‘élection présidentielle du mois dernier, appelant à la “réconciliation” au nom du développement du pays.

Présidentielle en RDC : des manifestations pro-Fayulu à Kisangani 
Des partisans de l’opposant Martin Fayulu, arrivé deuxième à la présidentielle en République démocratique du Congo, ont protesté jeudi dernier à Kisangani (nord-est) contre les résultats prononcés par la commission électorale, selon des témoignages recueillis par l’AFP.

Présidentielle 2020 en Côte d'Ivoire : l'ex-président Bédié pourrait se présente 
L’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié n‘écarte pas l’idée de se présenter à l‘élection présidentielle de 2020, éventuellement allié avec l’ancien chef rebelle Guillaume Soro ou avec le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo, a-t-il déclaré à l’AFP.

Nigéria : Le président de la Cour suprême incriminé d'infraction à la déclaration des avoirs 
Le président de la Cour suprême du Nigeria face à la justice. Walter Onnoghen doit se présenter lundi devant un tribunal spécial. Le plus haut magistrat du pays est accusé d’avoir recelé une partie de ses avoirs bancaires. Il posséderait plusieurs comptes bancaires en dollars et livres sterling. 
Le prix du carburant a doublé au Zimbabwe 
Doubler le prix du carburant, pour tenter de résoudre les problèmes de pénurie des produits de base comme le pétrole, c’est la solution adoptée par le président Emmerson Mnangagwa .Un litre d’essence s‘élève désormais à 3,31 $, contre 1,38 $, alors que le diesel se vend désormais à 3,11 $ le litre, contre 1,32 $ auparavant fixé par l’organisme de réglementation, a déclaré Mnangagwa aux journalistes samedi à la Chambre des représentants.
Présidentielle au Sénégal : cinq candidats retenus, les deux principaux opposants disqualifiés 
Le Conseil constitutionnel sénégalais a publié lundi la liste des cinq candidats à  l‘élection présidentielle du 24 février, dont le chef de l’Etat sortant Macky Sall, mais sans ses deux principaux opposants, l’ex-maire de Dakar Khalifa Sall et l’ancien ministre Karim Wade

Au Ghana, assassinat d’un journaliste qui enquêtait sur la corruption dans le football
Un journaliste d’investigation a été abattu par balles, mercredi 16 janvier au soir, alors qu’il rentrait chez lui à Accra, la capitale du Ghana, a-t-on appris de sources concordantes. Ahmed Husein faisait partie de l’équipe de reporters infiltrés dirigée par le célèbre journaliste Anas Aremeyaw Anas, qui a fait éclater l’an dernier un vaste scandale de corruption et de matchs truqués dans le football africain, conduisant à de lourdes sanctions des instances internationales
CPI : Laurent Gbagbo reste en détention jusqu'à une nouvelle audience en février
L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, innocenté mardi d’accusations de crimes contre l’humanité, restera en détention jusqu‘à une nouvelle audience le 1er février, a annoncé vendredi la chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI).

Dans le monde 🌏
Le sultan de Malaisie abdique sans fournir d’explication
La renonciation au pouvoir de Mohammed V, sultan de la dynastie « tournante » de Malaisie, est une première dans l’histoire du pays depuis son accession à l’indépendance en 1957.Jamais aucun des neuf sultans héréditaires de la fédération de Malaisie, qui s’échangent tous les cinq ans le titre de monarque constitutionnel, n’avait abdiqué auparavant. Cette abdication du dimanche 6 janvier, n’est pas véritablement une surprise, au vu des rumeurs qui s’accumulaient ces derniers temps. Les autres sultans de la fédération se sont réunis lundi pour désigner son remplaçant, car il reste en titre le sultan de l’Etat de Kelantan
Madagascar : Andry Rajoelina officiellement élu chef de l’Etat
La Haute Cour constitutionnelle (HCC) malgache a validé, mardi 8 janvier, la victoire de l’ancien chef de l’Etat Andry Rajoelina à l’élection présidentielle du mois dernier, en rejetant toutes les requêtes en annulation pour fraude de son rival Marc Ravalomanana. « Est déclaré élu président de la République Andry Rajoelina », a déclaré le président de la HCC, Jean-Eric Rakotoarisoa, sous les acclamations de centaines de partisans de M. Rajoelina réunis devant le siège de l’institution à Antananarivo.
Washington renonce à un retrait militaire rapide de Syrie
« Nous partirons à un rythme approprié tout en continuant à nous battre contre [les djihadistes] et à faire tout ce qui est prudent et nécessaire ! », a déclaré Donald Trump. Avec Emmanuel Macron, ils ont évoqué que ce serait un retrait « réfléchi et coordonnée » de Syrie. Le président des Etats-Unis, particulièrement opposé depuis longtemps à ce déploiement, avait justifié sa décision en annonçant la défaite de l’EI que ces forces spéciales combattaient en s’appuyant sur une milice majoritairement composée de Kurdes syriens.
Explosion à Paris
A Paris, Une puissante explosion s’est produite, samedi 12  janvier peu avant 9 heures, dans un immeuble du 9e arrondissement, à l’angle de la rue de Trévise et de la rue Sainte-Cécile. Bilan provisoire : au moins deux morts et plus de quarante blessés, dont huit sont dans un état grave, selon la préfecture de police de Paris. La déflagration s’est produite alors que les pompiers étaient déjà en intervention pour une fuite de gaz.
Rédaction AFREEQUE
Dites nous ce que vous en pensez ?Envoyer

Enquête sur l'alimentation des Français


 


 

Communiqué de presse - Enquête

 
 

Que vont changer les Français dans leurs repas en 2019 ?

 

66% des Français veulent moins manger et 65% mieux manger

67% vont modifierl'organisation de leurs repas

 

54% veulent plus cuisiner avec leur conjoint(e) et 44% davantage avec leurs enfants

L'explosion du "Batch cooking" : plus d'un Français sur deux prépare son repas à l'avance

 

 

 
Paris, 21 janvier 2019
Les Français ont-ils pris des bonnes résolutions alimentaires pour cette nouvelle année ?
Quitoque, leader du marché de la livraison à domicile de panier-repas en France, a voulu savoir si les familles françaises allaient changer leurs habitudes dans la cuisine. Un sondage* qui dévoile une véritable volonté de changement par rapport à 2018 dans l'organisation, le partage des tâches et des tendances fortes comme le batchcooking, ou la préparation des repas à l'avance.
Lien officiel : www.quitoque.fr 
 
*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 12.852 personnes représentatives de la population nationale française, âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire Buzzpress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 2 au 15 janvier 2019. Profils : 51% de femmes et 49% d'hommes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.
 
 
2019 : moins manger pour les hommes et mieux pour les femmes
Pour cette nouvelle année, les Français ont pris de bonnes résolutions concernant leur alimentation. C'est en effet ce que déclarent 87% des femmes et 74% des hommes. Cependant, les priorités ne sont pas les mêmes pour tout le monde. Ainsi, 75%des femmes ont décidé de mieux manger quand les hommes sontseulement 54%dans ce cas. Moins manger est un choix commun avec 71% de représentativité pour les femmes et 61% pour les hommes. Enfin, moins dépenser arrive en troisième choix pour 34% des Français.  
 
Pour cette nouvelle année, avez-vous pris des bonnes résolutions concernant votre alimentation ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

81%

87%

74%

Non

19%

13%

26%

Si oui, vous avez décidez :
Réponses

Global

Femmes

Hommes

De moins manger

66%

71%

61%

De mieux manger

65%

75%

54%

De plus manger

4%

2%

5%

De moins dépenser

34%

38%

29%

De plus dépenser

2%

1%

2%

De vous faire plaisir

27%

15%

38%

Autre

3%

1%

5%

 
 
Qui va faire à manger ?  
L'organisation des repas va faire partie des grands changements 2019 au sein des familles françaises. En effet, plus de 65%des hommes et 69% des femmes interrogés déclarent vouloir modifier la gestion des repas. Les hommes sont plus de 75% à avouer devoir faire plus la cuisine qu'en 2018. En revanche, les femmes sont 59%à espérer s'occuper beaucoup moins des repas en 2019.
 
Allez-vous changer l'organisation des repas ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

67%

69%

65%

Non

33%

31%

35%

Si oui, vous allez :
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Plus faire la cuisine

58%

41%

75%

Moins faire la cuisine

42%

59%

25%

 
 
Cuisiner en amoureux et avec les enfants
Un fait surprenantconcerne les personnes avec lesquelles les Français veulent partager les tâches culinaires. Ainsi, 54% des Français déclarent vouloir cuisiner avec leur conjoint(e), mais également avec leurs enfants qui arrivent à plus de 44%.  
 
Avec quelle personne aimeriez-vous partager les tâches culinaires ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Mon/ma conjoint(e)

54%

55%

52%

Mon/mes enfant(s)

44%

43%

45%

Autre

2%

2%

3%

 
 
Batch cooking
Une des grandes tendances 2019 est la préparation à l'avance des repas pour le reste de la semaine. Les femmes sont ainsi plus de 71%à déclarer cuisiner leurs plats pour les autres jours. Cependant, les hommes semblent moins attirés par cette pratique puisqu'ils ne sont que 38% à anticiper leurs repas... à moins qu'ils ne profitent des petits plats déjà préparés de leur conjointe.
 
Prévoyez-vous de plus cuisiner vos plats à l'avance pour le reste de la semaine ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

55%

71%

38%

Non

45%

29%

62%

 

 

A propos de Quitoque
Quitoque, lancé en 2014 par Grégoire Roty, Etienne Boix et Céline Nguyen est aujourd'hui le leader du marché de la livraison à domicile de panier-repas en France. Accompagné depuis ses débuts par 360 Capital, ISAI, NCI, Sophie Boscher(investisseur initial), Nicolas d'Audiffret(fondateur de AlittleMarket) et Sébastien Forest (fondateur de Alloresto), Quitoque a su convaincre des milliers de foyers à travers la France entière grâce à une promesse claire : digitaliser les courses alimentaires du quotidien. A la différence des pures plates-formes de livraison, Quitoque a fait le choix d'internaliser la création des recettes, le sourcing des produits et la préparation des paniers-repas. La maîtrise de ces métiers a permis de construire une offre de qualité et sur mesure ainsi que d'assurer une croissance solide. 
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.quitoque.fr 
 
 

CONTACT PRESSE

Gildas Piquet-Friboulet - BUZZPRESS - gildas@buzzpress.fr - 06 19 93 58 32

 

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